Chapitre trente-deux
Hum annyeong? Je sais j'ai mis un temps fou à écrire ce chapitre mais j'ai entre temps continué des ff que j'avais mises de côté. Alors ne m'insultaient pas pour la tournure de ce chapitre au cas où hein xD bref c'est plutôt chelou comme tournure. Anywayyyy. je pense faire bientôt le prochain chapitre, je ne sais absolument pas quand mais je ferai de mon mieux pour que ça soit vite. OMO CETTE HISTOIRE EST TROP LUE JE VOUS NEM!
J'espère voir vos petits messages les loulous, commentez si vous avez des choses à dire ou des suggestions je lis tout et je répond souvent. ze mord pas les poussins. bonne lecture!!
Alors que Minhyuk continuait de me tirer je tentais tant bien que mal de contenir cette soudaine chaleur qui avait envahi mes reins et le bas de mon ventre. Je ressentais une drôle de chaleur dans mon ventre qui était loin d'être caractéristique d'un rut, mais bien d'une chaleur. Je m'étais alors mit à haleter en contractant mes épaules, lorsque papa était excitait il contractait ses épaules pour se calmer mais je n'y arrivais pas, et plus je marchais plus je me sentais me plier pour écraser mon bas ventre affreusement tendu. Des larmes de douleur et d'envie emplissaient mes yeux qui me brulaient tant j'avais envie de contenir mes larmes. Je me sentais surtout en panique et chaque pas que je faisais était une torture, ainsi lorsque Minhyuk déverrouilla la porte de sa petite maison j'avais longuement soupiré. Il me fallait m'allonger dans un lit mais la première chose qui accueillit mon corps vacillant fut le canapé qui autrefois me servait de lit pour faire la sieste. Maintenant, j'y étais en train de me tordre de douleur, posant mes mains sur mon bas ventre. Je serrais la peau blanche si tendu de celui-ci alors que je voyais que mon pantalon s'imprégnait d'une infâme auréole sombre. Mon jean délavé était devenu sombre au niveau de mon entre-jambe et c'est ce qui fit paniquer Minhyuk. Il s'était mis à courir dans tous les sens dans la maison avant de tirer ses parents dans le salon. Hoseok, qui était rond à cause du petit qu'il attendait se mis à courir dans tous les sens pour trouver un téléphone portable ou quelque chose. Tandis que les yeux de Jungkook étaient de plus en plus sombres alors qu'il se penchait de plus en plus par-dessus mon corps. Je ne sentais plus que l'odeur de sa dominance, ses phéromones d'alpha qui me faisaient frissonner de tout mon corps. Il avait lui aussi l'air envoûté par mes phéromones et ce même s'il tentait de se contenir en contractant les épaules. Malheureusement, lui et moi n'étions clairement pas fait pour provoquer à l'autre un rut et il avait repris rapidement ses esprits. J'étais pour lui comme un fils et jamais il n'avait osé poser ses doigts sur moi, et il n'allait jamais le faire. Il quitta seulement la maison alors que mon ventre se contractait dans des spasmes de plus en plus douloureux tandis que mon front devenait de plus en plus moite. J'étais de plus en plus faible, et savoir que je faisais à l'instant une puissante chaleur me désespérait on ne peut plus. Alors Minhyuk avait raison, j'étais aussi un oméga, comme mon père.
« Y-Yoongi, ton fils a sa première chaleur à la maison, i-il faut que tu viennes vite le chercher. Je sais pas quoi faire ! »
Hoseok courrait dans tous les sens avant de revenir avec une serviette humide sur mon front. Il caressait mes joues rouges d'excitation et d'envie, tandis que mon pauvre corps continuait de se contracter. Mon dieu je n'en pouvais plus, j'avais affreusement besoin d'un lien et plus j'attendais plus je sentais que mes forces s'épuisaient.
« Mais Yoongi, je ne serai jamais capable de mordre le fils de notre couple alpha, Jungkook va finir par avoir un rut et Minhyuk est parti chercher un ami de Daeho. »
« C'est qui cet ami ? » questionna mon père à l'autre bout du fil, essoufflé car il était sûrement sur le point de venir me chercher.
« Un Alpha qui lui tourne autour depuis quelques années. Jang YiJeong. Le gamin qui passait tout son temps à embêter Minhyuk quand il était gamin car il le jalousait d'être aussi proche de ton fils. »
« Le fils de Jinyoung ? »
« Oui, lui. »
Le silence se fit et je n'entendis plus mon père pendant un instant avant qu'il ne reprendre une profonde inspiration et qu'il murmure ceci :
« Prépare-lui une chambre, YiJeong pourra l'aider j'en suis persuadé. »
J'étais paniqué, mon père me donnait à un garçon de mon lycée, mais je savais qu'il faisait cela pour que je garde la vie. Mais, je n'avais jamais ressenti de sentiment fort pour YiJeong et moi je voulais Minhyuk. Mais, plus j'y réfléchissais plus je me disais que depuis des années l'attitude de mon petit ami envers moi était de plus en plus distante. Il avait surement voulu me quitter depuis longtemps mais comme j'étais une vraie sangsue il n'avait pu se détacher. De plus, il me fallait clairement un alpha ou un bêta pour qu'un jour je puisse espérer survivre. Il fallait donc que je me fasse raison, je devais me lier à JiYeong car il était le seul qui avait l'air de me porter assez de sentiments pour me sauver la vie, et surtout car il fallait que je passe à autre chose. Ma vie entière je m'étais conforté dans l'idée que je serai un alpha, heureux aux côtés de Minhyuk, créant une vraie famille avec lui. Mais, il fallait que je réalise que l'on ne reste jamais, ou très rarement, pour toujours avec son premier amour et que lui et moi n'étions pas destinés à être ensemble. Nous nous aimions surement, mais cela ne devait et ne pouvait pas aller plus loin que cela.
Le temps que je me fasse une raison, Hoseok m'avait préparé une chambre au troisième étage qui n'était pas utilisée, qu'il avait toujours gardé pour que son fils y casse ses chaleurs. J'avais donc le plaisir d'y trouver un magnifique lit parfaitement dressé, avec des draps clairs, une fenêtre qui menait sur le jardin pour aérer, et surtout il y avait à l'intérieur une forme de chaleur qui faisait un bien fou et qui avait délicatement calmé mes chaleurs. Lorsque je m'étais allongé dans le lit double mon hôte caressa ma joue et me rassura d'une voix faible. Il m'expliqua alors qu'il avait commandé à un autre chef de meute un spray qui faisait flotter dans les airs une phéromone d'alpha, ce qui expliquait pourquoi j'étais soudainement apaisé. Mais, lorsque la porte se retrouva ouverte à la volée en bas et que les odeurs de Yijeong me parvinrent je ne pus contrôler mon corps qui soudainement se creusa et ma voix qui se manifesta dans un gémissement aussi plaintif que possible. Très vite, des pas pesants avaient martelé les marches des escaliers avant qu'un corps imposant ne se tienne dans l'encadreur de la porte. Là, avait apparu mon camarade de classe, les épaules contractées, le cou enflé d'envie, les lèvres mordues à ma vue, tandis que son front commençait déjà à s'humidifier. C'est donc à cet instant que le père de mon ex petit ami se décida à quitter la pièce en vitesse et derrière Yijeong il ferma la porte. Dès lors, la seule chose que j'avais sentie était l'odeur sucrée et apaisante du rut de mon alpha. Il avait commencé à craquer son cou pour se contenir mais à chaque inspiration il était pris d'un frisson puissant qui m'envoyait une vague de phéromones masculines et dominantes sur les miennes. Il sentait affreusement bon et lorsqu'une bosse se forma sous sa fermeture éclair je ne pus retenir un petit rire satisfait ses phéromones m'avaient soudainement calmé et étrangement comme j'étais à deux doigts de me lier je n'avais plus tant d'appréhension.
Il rit à son tour lorsqu'il remarqua mon pantalon souillé, qu'il retirant lentement pour que je ne sois plus dérangé par l'humidité de celui-ci. Puis, il plaqua mes deux mains sur le matelas, se plaçant directement entre mes cuisses. Ses lèvres pulpeuses et si rouges s'étaient mises à dévorer, ronger, sonder mon cou de baisers chauds et humides. Sa langue jouait avec ma jugulaire avant que ses dents ne frôlent la peau pour remonter le long de mon cou pour aller attraper mon oreille. Je m'étais senti gémir lorsque son souffle caressa mon conduit auditif, tandis que sa langue allait et venait contre le lobe mou de mon oreille. Il jouait avec, s'amusant de mes soupirs et frissons qu'il me provoquait. Il avait cette perfection qui émanait de son corps et lorsqu'il commença à caresser mes poignets plutôt que de les serrer je me senti me perdre dans ses bras. J'avais enroulé mes cuisses autour de ses hanches, ondulant en gémissant et respirant toujours plus souvent. Chacune de mes zones sensibles étaient affreusement sensibles à l'instant et lorsqu'il commença à passer ses doigts partout sur mon corps pour me retirer mon haut et me regarder dans mon entièreté. Il regarda longuement mon corps blanc avant de sourire et de murmurer un « tu me le donnes alors ? ». J'avais répondu par un hochement de tête et un sourire, il se permit alors d'embrasser et marquer ma peau de suçons qui m'avaient fait soupirer, parfois gémir lorsqu'il mordait la chair, jusqu'à ce que je hurle littéralement au plaisir qu'était de le sentir sucer mon bouton de chair rose. Il laissait ses dents attraper le morceau de peau avant de tirer dessus et le relâcher, laissant des dizaines de chocs électriques animer ma colonne vertébrale tendue par tous mes muscles. Je n'en pouvais plus, j'étais mort de plaisir lorsqu'il commença à s'abaisser toujours plus et lorsqu'il m'arracha mon caleçon trempé. Il le jeta dans un coin de la pièce et d'une main il attrapa mon membre tendu à l'extrême qui s'était plaqué contre mon ventre. Il l'avait torturé de lents vas et viens qui creusèrent mon dos tandis que mes yeux gris disparaissaient sous mes paupières trop plissées. Je n'en pouvais plus et je sentais l'inconscience m'envahir plus il attendait. Ma chaleur commençait à avoir raison de mon et s'il ne se pressait pas je n'allais pas tenir. D'ailleurs, tant j'étais ailleurs je ne l'avais pas entendu se dévêtir, mais lorsqu'il remonta mes jambes contre ma poitrine je ne pus ignorer la chaleur de son membre enflé contre mon entrée. J'avais difficilement avalé alors qu'il m'annonçait d'une voix faible et affreusement excitée qu'il allait y aller. J'avais répondu par un simple : « je ne tiens plus je suis à deux doigts de partir ». Il compensa donc mon manque et son membre chaud s'enfonça dans le fourreau de mes chairs rapidement. J'avais creusé le dos, pantelé, et dire que j'avais hurlé était un euphémisme. Toute ma voix s'était manifestée dans un gémissement de pur bonheur, alors que je tremblais, je pleurais, je riais, j'étais devenu simplement fou de bonheur. Mes ongles griffaient son dos magnifiquement blanc alors que je soupirais de moins en moins fort. Je savais que briser une chaleur était affreusement bon mais je n'aurais jamais cru que ce serait si vrai et là je n'en pouvais plus. Mon dos était creux et je n'arrivais pas à m'allonger correctement ce qui força Yijeong à m'attirer vers lui et mieux m'allonger. Puis, il enroula mes jambes autour de ses hanches plutôt que ses épaules et il commença à marteler mon entrée. Je l'entendais gémir d'une voix grave et animale, il était monstrueusement attirant et pour ma part de minuscules gémissements aigues quittaient ma gorge. Je tremblais tant j'aimais ce qu'il faisait de mon corps alors que dans mon entrée une chaleur se propageait. La friction, le plaisir, tout me faisait surchauffer et trembler. J'étais couvert de transpiration et mes doigts perdus sur ses épaules glissaient sur sa peau on ne peut plus douce. Mais c'est alors qu'il redressa son visage et qu'il me regarda. Ses cheveux étaient animés de sursauts à cause de ses mouvements de bassin mécaniques, et quelques perles de sueurs y glissaient.
« J-Je t'aime depuis toujours Daeho. »
J'avais douloureusement avalé ma salive et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit il frappa de plein fouet ma prostate qui me fit voir littéralement des étoiles. Des points blancs dansaient devant mes yeux voilés par le plaisir et le bonheur, je n'en pouvais plus je suffoquais. Ma respiration était on ne peut plus erratique alors que la chaleur qui autrefois était surtout localisée dans mon entrée se propagea dans mes reins. Je ne savais pas ce qu'était ce soudain bonheur mais j'approchais d eplus en plus d'une forme d'extase. Mon ventre se contractait à chaque venue de sa part alors que je sentais mon entrée se serrer de plus en plus sur son membre palpitant de plaisir. Tous les deux nous gémissions contre le nez de l'autre, avant qu'il n'attrape une mèche de mes cheveux et qu'il dirige ma bouche vers la sienne. Il posa amoureusement ses lèvres contre les miennes alors que tant bien que mal je prenais sa langue entre mes deux muqueuses en forme de croissants. Il gémissait tout contre ma propre bouche animée de soupirs et cela me poussa à bout définitivement. J'étais venu dans un râle loin d'être aussi masculin que je ne l'aurais cru et ce en laissant ma semence brûlante se déverser sur mon ventre jusqu'à mon sternum. Bien évidemment il ne dura pas plus longtemps et il s'écroula sur ma poitrine souillée après être venu dans un son des plus érotique. Son corps était luisant de transpiration, et l'air chargé en une senteur érotique ; mélange de nos deux phéromones.
« Yijeong. Et si on se donnait une chance ? Je ne peux pas laisser passer ma première fois comme ça... »
J'étais rouge de honte en disant cela, j'avais l'impression d'être vraiment désespéré alors que je n'avais juste jamais ressenti quelque chose d'aussi intense.
« C'est tout ce que je demande. En tous cas je suis coincé pour un petit moment en toi, alors on peut déjà profiter l'un de l'autre. »
J'avais hoché de la tête et il échangea nos positions. Il s'était allongé sur l'autre côté du lit pour éviter ma place humide de transpiration et il m'allongea contre lui, caressant ma colonne vertébrale et mon dos complet. Il souriait et je lui répondais en embrassant le coin de ses lèvres et le bout de son nez. Enfin, nos bouches se retrouvèrent et un sourire de pur bonheur se traça sur mes lèvres enflées de plaisir, avant que je ne sente le besoin énorme de dormir.
« Bonne nuit petit ange en sucre. »
« Sucre ? »
« Oui, car tout est clair chez toi. Tes cheveux, tes yeux, ta peau, tout. »
« C'est aussi le surnom de mon père. C'est drole... »
« Oui, assez. Aller dors Daeho... je t'aime... »
« M-Moi... »
« Ne te force pas à le dire. Je sais que tu aimes toujours Mimin. Bonne nuit... »
Ce fut la dernière phrase que nous prononçâmes avant que je ne m'endorme...
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