Chapitre Quarante-quatre
OULAH JE PRÉVIENS DES LE DÉBUT, pas d'insultes envers moi ni les persos xD Alors, en gros c'est plutôt violent alors attention les yeux, vous allez haïr beaucoup de monde mais pas de meurtre. Aller je vous laisse gros bisous je vous adore hein ;) <3
A la fin de la fête, tous étaient rentrés chez eux pour aller dîner, mais notre petite famille en avait décidé autrement. Comme mon père alpha n'avait pas pu profiter de la fête en l'honneur de son fils, il avait proposé que tous nous allions au restaurant et c'est ainsi que nous nous étions retrouvés à diner dans un restaurant de la ville, cette ville qui auparavant possédait un maire paranoïaque qui avait tenté de tuer mes parents. Lorsque j'y pensais, j'avais eu soudainement une peur bleue de perdre mon père et jamais je n'oublierai cette peur d'être orphelin. J'avais pensé vivre à jamais avec Chaerin ou juste avec mon père qui n'avait pas été capturé. Mais, j'avais revu mon père arriver et là j'avais ressenti l'une des plus belles sensations sur terre : le soulagement. Jamais je n'aurais cru me sentir aussi bien que dans les bras de mon père, à le regarder pendant des heures et à imprégner son image dans ma tête pour que jamais sa mémoire ne meure.
Je savais parfaitement que dans notre espèce il était simple de se faire tuer surtout si l'on vous arrache le cœur, et donc j'avais rapidement été habitué à faire face à la mort. Mais savoir que vous risquez de perdre votre père le sentiment de soulagement de le revoir est un sentiment on ne peut plus doux.
« Daeho, tu te perds de plus en plus dans tes pensées ces derniers temps. Tu vas bien ? »
« H-Hein ? Bien sûr papa. Je repensais à mon enfance et à quand tu as risqué de mourir. »
Le petit brun, assit face à moi, avait soupiré en jouant avec sa fourchette. Il devait lui aussi se remémorer cet instant on ne peut plus stressant, alors qu'à côté mon père jouait avec les jumeaux, leur tirant sur le bout du nez pour les faire rire. Ainsi, j'étais le seul à être nostalgique avec mon père qui avait les yeux soudainement humides. Il devait regretter ses années de jeunesse, ces années où il avait enfin compris sa vraie nature. A vrai dire c'était maintenant mon tour d'apprendre ce que j'étais, apprendre à devenir un loup de nouvelle génération, un chef de meute exemplaire. Pendant ce temps, Hyunsu caressait doucement mes doigts, abaissant ses yeux magnifiquement bleus tandis que ses cheveux blancs couvraient ses paupières bridées. Il avait cette beauté qui déformait constamment ses traits et c'était cela qui m'avait fait tomber dans ses bras. Il avait la pureté des plus belles pierres précieuses alors que dans chacun de ses mouvements se traduisait la tendresse. Il était incapable d'être violent et cela je le savais. Or, ce soir-là, il sut me montrer qu'il était capable de tout donner, de se mettre en danger, d'aimer coûte que coûte.
En effet, alors que nous finissions tous notre repas, un bruit étrange attira mon attention. J'avais suivit mon instinct qui commençait à s'affoler en cette période d'insécurité et j'avais longuement soupiré lorsqu'un bruit semblable à celui d'une caisse de métal jetée avec une force contre une paroi en glace résonna dans les oreilles. Je ne savais pas de quoi il s'agissait à vrai dire, mais le fait que cela recommençait encore et encore me poussa à agir. J'avais regardé les familles autour de moi, il s'agissait principalement de bêtas apeurés mais il y avait aussi les familles de quelques amis qui eux aussi étaient des alphas.
« Rentrez tous chez vous pour ce soir. J'ai un mauvais pressentiment. Protégez les enfants. »
Mes parents acquiescèrent sans commenter et ils aidèrent à évacuer le restaurant. Ainsi, propriétaires, serveurs, comme clients quittèrent le bâtiment par la sortie à l'arrière, emportant de force Hyunsu qui refusait de me laisser seul à nouveau. Or, je ne voulais pas l'impliquer alors j'avais forcé les jumeaux à le tirer or de là, usant de leur malice pour le persuader que je n'avais pas besoin d'aide. C'est donc après qu'ils soient tous partis que j'avais regardé ma mère la lune qui brillait maintenant et qui semblait m'appeler. Mes cheveux s'étaient hérissés et j'avais lentement retiré mes vêtements. Les rayons purent ainsi caresser toute mon épiderme et peu à peu j'avais vu une fourrure noire pointer son nez hors de mon épiderme. Jamais je ne m'étais changé autant de fois en si peu de temps mais je n'avais pas vraiment le choix. Ainsi j'avais laissé mon corps se réarranger et mon loup laissa sa nature s'emparer de mon corps. Mes pattes noires s'étaient à nouveau manifestées tandis que ma truffe humait l'air. Il y avait une drôle d'odeur dans l'air, une odeur que je ne connaissais pas du tout, une odeur qui semblait menaçante et qui rappelait le sang. Mais, je n'avais pas le temps de réfléchir et donc j'avais filé vers le centre du village. La nuit nous avait déjà noyés et j'étais guidé par les étoiles aux lumières fades. Or, j'avais l'impression que même si les rues étaient vides j'étais encerclé. Des bruits inquiétants dérangeaient le silence de ma petite ville alors que j'entendais parfaitement que des personnes sautaient de toit en toit autour de moi. Malheureusement je ne pouvais rien y voir et chaque fois que j'entendais un bruit il semblait si lointain que rien n'avait de sens. Je tournais en rond sur la place principale à la recherche des sons mais la seule chose qui attira mon attention fut une pièce dorée au milieu de la place. Elle brillait d'une lueur bleuté, étrange, qui semblait intriguer mon loup. Je n'avais pas réellement envie de m'approcher mais mon loup était attiré comme un aimant et sans que je ne puisse faire quoi que ce soit je m'étais retrouvé juste au-dessus de la pièce à l'observer et à lire les inscription dessus. Elles étaient en latin et j'avais eu un certain mal à déchiffrer les mots, or, lorsque j'avais enfin compris le sens de la pièce la lueur de celle-ci augmenta. Elle m'enveloppa et j'étais soudainement paralysé. Mes pattes s'étaient comme enfoncées dans les pavés et c'est à cet instant que les bruits se firent plus insistant. J'avais vu des dizaines de figures tomber autour de moi et s'approcher lentement. Ce n'était pas des animaux car ils se tenaient sur leurs jambes et que malgré le fait que ma vision était embrumée j'arrivais à voir qu'il s'agissait d'hommes. Ils étaient grands, pâles, et leurs lèvres étaient si rouges que je compris qu'ils avaient bu le sang d'un de mes congénères. J'étais fou de rage mais cela ne comptait pas face à eux tout en sachant que j'étais tombé dans leur piège comme un idiot. Je voulais être un chef de meute et j'étais incapable de me défaire de la prise d'inconnus aux tendances vampiriques.
Et c'est à cet instant qu'un immense cerf aux bois radieux apparut. Son corps brillait de mille feux sous la lune alors qu'il tapait du sabot sur les pavés. Il avait les bois postés en avant et il prévenait ceux qui étaient autour de moi. Or, aucun d'eux ne sembla apeuré par la menace et toute dents dehors ils se jetèrent sur Hyunsu. Mon amant fonça alors vers eux et il en embrocha plusieurs qui tombèrent sur le côté, leurs visages blancs tordus de douleur. Malheureusement pour nous, ils avaient les mêmes atouts que nous et leur régénération rapide leur permit de rapidement se jeter sur Hyunsu. Il n'abandonna pas et donna le plus de coups possibles, utilisant pattes avants comme arrières pour finalement user de ses bois qui avaient brisés des mâchoires, cassés des côtes ou fait de profondes entailles dans la chair. Malheureusement ils furent bientôt trop fort pour nous et alors que je tombais au sol, désespéré, ils ligotèrent les pattes fines du cerf. Pour l'humilier, le blesser, ils avaient commencé à arracher ses bois un à un, alors que je tentais de hurler. Or, aucun son ne s'échappait de ma gorge et j'avais été forcé d'observer trois hommes arracher les bois de mon amant qui ne cessait de gémir de douleur. Finalement la douleur l'emporta sur le courage et il se changea à nouveau en homme avant de se laisser couler dans l'inconscience. Quant à moi je tentais tout de même de me battre et j'avais commencé à bouger mes pattes. J'y mettais toute ma force, toute ma volonté, or, lorsqu'enfin j'avais senti que le piège qui m'avait pris me relâchait, un homme arriva et attrapa à pleine main mon oreille. Il redressa ma tête et d'un énorme coup de pied il m'envoya dans les bras de Morphée.
A mon réveil ma tête battait tant la douleur était présente, comme si un tambour était utilisé au fond de mon crâne. J'avais aussi affreusement mal aux poignets et aux chevilles. Mes yeux étaient aussi ouverts et pourtant je n'y voyais rien à cause d'un morceau de tissu qui obstruait ma vue. De plus, je sentais une brûlure infâme autour de mon cou qui me fit hurler dès mon réveil. J'avais l'impression qu'un fer chaud était posé sur ma gorge et cette fois ma voix n'était pas bloquée.
« Oh faites-lui la fermer. »
« Tu savais parfaitement qu'il souffrirait au réveil en lui mettant le collier d'argent, alors pourquoi te plaindre maintenant du con ? En plus je déteste les loups de cet âge, la chair est trop ferme. »
« Dis pas de conneries, je voulais juste l'empêcher de se changer en lui mettant le collier mais vous l'avez trop fermé alors le métal brûle déjà la peau. Va le desserrer il te touchera pas de toutes manière bambamie. »
« Stop les surnoms de suite je te préviens. »
J'avais serré les dents pour calmer mes cris et c'est à cet instant que des mains gelées se posèrent sur ma peau. Ces doigts de glace avaient lentement desserré le collier qui me laissa respirer et me laissa reprendre des forces. Je ne savais pas ce que je faisais là mais je savais pourtant qu'ils n'avaient pas pris la peine de m'habiller. Je sentais un vent frais passer sur ma peau frissonnante alors que la table sur laquelle j'étais allongé et surtout attaché était gelée, comme un pan de métal qui jamais n'avait connu la chaleur humaine.
« Qu'est ce qui se passe ici ? »
Une nouvelle voix venait de m'interpeller et immédiatement j'avais dirigé mon visage vers la nouvelle voix. Elle était forte, dominante même et je sentais que j'aillais aimer ce qui allait se passer. Or, le silence régna un instant trop long pour que j'ai l'impression que le dominant arrivé allait nous faire libérer. Je l'avais juste entendu errer dans la pièce pour mieux observer ce qu'il y avait autour de moi. Juste après je l'entendis rire d'un rire aigüe et affreusement froid, comme dénoué de toute joie de vivre.
« Vous en avez ramené deux, de deux espèces différentes, et en plus de cela des chefs de meute. Je vous félicite vous n'avez jamais été aussi efficaces. Youngjae, par contre je t'avais dit de ne pas toucher aux proies avant tout le monde. »
« Je suis désolé mais le cerf était tellement appétissant que j'ai pas pu m'empêcher de le goûter juste un peu. »
« NON ! »
Je n'avais pu retenir ma voix et maintenant je me sentais tirer sur mes liens pour me libérer. C'était forcément un affreux cauchemar et je ne pouvais pas à nouveau avoir des problèmes, pas encore. Je ne voulais pas à nouveau risquer ma vie et encore moins celle de Hyunsu. Or ceux qui m'avaient attrapé n'étaient pas d'accord et des pas lourds s'approchèrent de moi et après un instant je senti une main attraper une énorme touffe de mes cheveux. De son autre main il avait arraché le bandeau qui m'obstruait la vue et j'avais pu le dévisager. Sa peau était d'une pâleur sans nom, ses lèvres d'un rouge infini, tandis que la pupille était teintée d'une couleur sang. Il me fixait droit dans les yeux et ses cheveux blonds commencèrent à s'hérisser. Il léchait longuement ses lèvres et cela alors que son visage aux allures asiatiques me faisait face. Il avait une rangée de dents toutes affreusement pointues et je voyais encore dessus plusieurs traces de sang. Les vampires existeraient ?
« Depuis quand un sac à viande ose parler ? »
« P-Pardon ? Un quoi ? »
« Bambam, ne me dis pas que tu leur as pas expliqué ? »
« Il n'a rien dit parce qu'ils dormaient encore Jackson, mais moi si tu veux je peux leur expliquer... »
« Vas-y Youngjae. »
Un autre asiatique s'approcha alors et souri plissant en même temps ses yeux. il avait posé une main sur ma jambe et il regardait avec envie tout mon corps tandis que je me tournais et retournais pour voir Hyunsu à mes côtés, le ventre ouvert et en pleine génération. Immédiatement des sueurs froides coulèrent le long de mon échine, brûlant mes cellules proches de la mort. J'étais comme disjoncté devant une telle vision d'horreur alors que je voyais mon amant respirer lourdement et son ventre se refermer peu à peu. Je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient de nous mais j'avais une soudaine envie d'appeler mes parents, de pleurer, de hurler, tout à la fois tant j'étais déchiré entre des milliers de sentiments. Ma tête m'en tournait et ce fut de pire en pire.
« Il y a maintenant plusieurs siècles que notre espèce vit cachée et qu'elle chasse petits animaux et autres pour se nourrir. Sauf qu'un jour on s'est dit que c'était injuste que vos espèces puissent vivre en paix et que nous devions nous cacher. Alors on est sorti de nos trous. On a rampé sur vos terres. »
Pour afficher ses propos il grimpa sur la table de métal sur laquelle j'étais installé et commença à ramper au-dessus de ma poitrine avant d'atteindre mon cou.
« On a commencé à conquérir de plus en plus de forêts et là on a trouvé une idée. On en avait assez de perdre des hommes dans la chasse et surtout les loups étaient forts. Alors, on a fait un pacte avec une meute et c'est en étant proche d'eux que nous avons pu trouver vos faiblesses. Vous êtes tellement dépendant de la lune qu'il suffit de montrer à votre loup une pièce de lune pour que vous ne sachiez plus vous défendre. Pathétique ne trouves-tu pas, le loup ? Mais tu sais quel était le but profond de mieux vous connaître ? »
« N-Non... »
« Pour mieux vous bouffer... »
J'avais longuement frissonné alors que ses ongles glissaient longuement sur ma poitrine.
« Les cerfs sont très savoureux, et les loups c'est tellement jouissif qu'on ne veut manger plus que cela. Je ne te dis pas à quel point les omégas sont délicieux... »
Youngjae me fit face, lui et sa pâleur alors que ses lèvres rouges sangs parcouraient ma poitrine. Je frissonnais d'horreur à chaque contact avec sa bouche jusqu'à ce qu'il morde à pleine dents dans mon bas ventre. Il n'hésita pas à planter ses dents sous la peau et commencer à suçoter le sang qui s'échappait de la plaie. Sauf qu'il fut impressionné de sentir que la plaie s'était refermée en à peine quelques secondes l'empêchant d'apprécier la boisson. Evidemment celui-ci venait d'entrer dans ma liste d'ennemis et il était le premier que je comptais assassiner.
« Et tu sais c'est très simple d'avoir des sacs à viande. On kidnappe des loups, des cerfs, des ours les plus farouches, et on vous garde cachés dans une de nos salles. Là, tous les jours, on vient prélever ce qu'on désire et comme la régénération fait rapidement son travail on peut se nourrir avec vous toute une vie. On gagne un nouveau loup si l'on a fait un grand exploit, un cerf si l'on a aidé la meute, et un ours si vous avez sauvé le groupe. Moi, j'ai aidé le chef alors il m'a permis d'avoir le cerf. Et toi mon grand, c'est Jackson qui t'a gagné. Quel chanceux... »
Le fameux Jackson se tenait à mes côtés, les bras croisés alors que je voyais qu'un sourire malsain grandissait sur son visage. Je voyais ses dents longues percer le sourire et cela me donna une affreuse envie de pleurer. Cette envie ne put être contenue longtemps et une perle salée glissa longuement sur ma joue gelée, et cela fit rire le grand blond dans mon dos. C'était si drôle à ses yeux qu'il s'amusa à passer ses doigts sur ma poitrine, jouant avec les creux que formaient mes abdominaux avant de se mettre à sucer sur mon cou pour le marquer d'un affreux suçon violacé.
« Et tu sais c'est quoi le mieux, le loup ? »
« Qu-Quoi ? »
« C'est que je fais ce que je veux de toi... Je suis gâté j'ai gagné une petite pute d'oméga. J'ai hâte pour tes chaleurs... »
Mes sanglots se renforcèrent lorsqu'il commença à suçoter le lobe de mon oreille. J'étais paniqué et j'avais mal. Je voulais partir, je n'étais pas quelqu'un de mauvais et j'espérais réellement que quelqu'un, n'importe qui en fait, pourrait venir me sauver. Mais cela n'arriva pas. Avant le réveil de Hyunsu j'avais été emporté par le grand blond qui disait mourir de faim, et j'avais vu le fameux YoungJae prendre ma perle. Je tentais de me débattre et j'avais même envisagé de me changer en loup mais j'avais autour du cou un collier à pic d'argent, qui faisait que si je me changeais je risquais de me tuer définitivement. Je n'avais jamais connu l'effet de l'argent sur notre espèce mais il était vrai que jamais je n'avais vu un de mes loups porter de l'argent. Je n'avais donc pas le choix que je tenter de donner des coups dans le vent, mon corps posé sur l'épaule gauche du monstre qui venait de me capturer. Evidemment cela ne lui fit rien et il me prit dans un complexe de couloirs sombres avant de m'emmener dans une pièce. Là, il me jeta sur un lit peu confortable et me retira les liens qui entravaient mes mains et mes poignets. Bien sûr, il ne me laissa pas m'échapper une fois détaché et il me repoussa sans arrêt sur le matelas avant de me jeter des vêtements. Lorsque je l'avais observé j'avais longuement rougis et lui en avait ri. Il s'agissait d'un haut long qui allait me servir de longue tunique et d'un caleçon gris. Et sans vraiment savoir pourquoi j'avais obéis. J'avais enfilé les vêtements et caché ma nudité avant que l'animal ne s'approche et se penche près de mon corps. Il renifla longuement ma peau avant de soupirer.
« J'aime tellement ton espèce. Je me suis battu pour obtenir un oméga et quand les autres t'ont ramené j'ai bien cru que j'allais jouir dans mon caleçon. Maintenant j'ai juste envie de te baiser pendant des heures. Mais avant. Allonge-toi dans le lit, j'ai faim. »
« Non. »
« Tu vas pas longtemps jouer avec moi car saches que si je donne un coup dans le collier l'argent s'enfonce dans le cou et il te tue. Alors tu t'allonges sans broncher. »
Paniqué je m'étais allongé sur le dos et les jambes serrées. Il n'aima pas les cuisses scellées alors il les ouvrit violement et s'allongea entre. Ceci fait il remonta mon haut blanc et regarda avec attention mon corps. Il souri lorsqu'il jugea avoir trouvé une partie agréable à goûter et il planta ses dents dans la chair. J'avais hurlé de douleur lorsqu'il commença à arracher la chair dans de grandes bouchées pour les avaler goulument. Je me tordais de douleur sentant mon sang couler sur ma peau, tandis qu'il s'enfonçait de plus en plus dans mon ventre. Il y avait mis les doigts et il cherchait à l'intérieur je ne sais quoi. Je mourrais de douleur alors qu'il tâtait chacun de mes organes. Enfin, il en trouva un à son goût et il l'arracha me faisait hurler toute ma voix. Ma voix s'en était même brisée tandis qu'il avait sorti de mon ventre un organe sombre de la taille de sa paume et à la forme proche de celle d'un haricot.
« Les reins c'est le moins douloureux à avoir. La prochaine fois tu souhaiteras être mort... »
J'avais envie de mourir déjà et pourtant il me promettait pire. Je me sentais pleurer, j'avais peur et mon corps trop faible commençait à me faire couler dans le sommeil. Face à moi le grand blond commençait déjà à consommer ma chair avec gourmandise et c'est alors qu'il me murmurait un « tu verras, tu aimeras les jiangshis... »
*vous regarde tenter de me tuer alors que je me protège dans un lieu inconnu* j'aime bien les jiangshis moi xD
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