Chapitre cinquante et un

Lemon everybody xD, comme promis c'est pour les 40K, mais comme les propositions de pairing étaient trèèèès variées j'ai pris celui qui serait plus logique à faire dans la logique de l'histoire.

           

La nuit était tombée depuis déjà longtemps, lorsque j'entendis que la fenêtre de mes parents venait d'être ouverte. Je les avais entendu parler quelques minutes avant, puis une masse était tombée dans le jardin. Me penchant par la fenêtre j'avais pu voir l'un de mes parents courir vers la forêt, surement sur la piste d'un autre jianhshi. Je l'avais regardé disparaître entre les arbres, avant que je n'entende les sons des draps de mes parents se froisser. J'avais donc deviné que mon père était retourné se coucher, laissant son amant seul à l'extérieur, mais surtout me laissant la voie libre vers la cave. Il avait été facile pour moi de jouer la comédie face à mes parents plus tôt dans la journée, pour mieux leur faire croire que je ne tenterai rien, mais je ne pouvais laisser Jackson seul dans la cave. Ainsi, j'avais quitté le lit que je partageais encore avec Hyunsu, le pauvre ange était recroquevillé sur lui-même depuis qu'il s'était endormit et il serrait un de mes hauts contre son nez, tentant d'emplir ses poumons de mes phéromones. Je ne savais pas pourquoi cela l'avait rassuré mais lorsqu'il sentait l'odeur d'un autre le sommeil lui venait plus facilement et ainsi, rien qu'une seconde, il avait oublié le manque de Youngjae. Or, pour ma part je n'arrêtais pas de sentir l'odeur de mon Jiangshi venant de la cave et il me fallait aller le voir. Mes poignets, toute ma chair en fait, brûlait pour le nourrir, j'étais même prêt à me déchirer le cœur pour lui offrir.

Le plus silencieusement possible, j'avais descendu les marches des escaliers, avant de lentement ouvrir la porte de Taehyung. Je savais que lui et sa sœur avaient des techniques méconnues pour arriver à leurs fins, ainsi si je voulais ouvrir la porte de la cave, j'avais besoin d'un des deux. Alors, secouant le plus délicatement possible les épaules de mon frère, je l'avais poussé à ouvrir les yeux. il me regarda d'ailleurs incrédule, se demandant pourquoi j'étais dans sa chambre, en pyjama, alors qu'il était presque trois heures du matin.

« Quoi, Hyung ? »

J'avais posé une main sur ses lèvres pour qu'il parle moins fort. Puis, je lui avais fait signe de se relever, chose qu'il fit après avoir rejeté la couverture. Il avait frotté ses yeux bleus, avant de gratter ses cheveux platine. Je ne savais pas ce qu'il attendait, mais il était resté sur son lit à gratter son visage longuement, avant qu'il ne me regarde dans les yeux et croise les jambes comme un chef d'entreprise.

« En quoi as-tu besoin de moi ? »
« Tu dois m'ouvrir la cave ? »
« J'y gagnerai quoi ? »
« Je rêve ou tu me fais du chantage ? »
« Bingo, je ne fais rien gratuitement, et puis tu sais parfaitement que je peux te dénoncer à papa. Tu n'as pas le droit d'aller le voir. »
« D'accord. Qu'est-ce-que tu veux ? »
« Je veux ton ironman articulé. »

J'avais grincé des dents, il savait qu'il s'agissait d'une figurine collector, et pourtant j'avais dû accepter. Ce fut heureux comme jamais qu'il me proposa en conséquence de le suivre. Il m'avait fait avancer dans le couloir sombre de la maison, avant de se poster face au cadenas. Là, il avait sorti de sous le tapis une des clefs pour l'ouverture et la glissa dans le cadenas. Après un petit cliquetis, la serrure rendit l'âme et j'avais pu ouvrir la porte. Je n'avais jamais été aussi déçu, j'aurais bien pu trouver la clef moi-même. Mais maintenant j'avais fait un pacte et avant que je ne le renvoie au lit je lui avais promis de lui donner son dû dès le lendemain. Il partit donc, après avoir attrapé mon petit doigt pour faire une promesse et je pus enfin me retrouver face à la porte ouverte vers l'entre sombre que composait la cave. De là-dessous, s'échappait une odeur âcre de murs moisis, tandis que l'air sentait renfermé. Il n'était pas changé et donc le dioxygène allait peu à peu se faire rare si je n'aérais pas. Ce fut donc dans cette idée que j'avais laissé la porte ouverte, prenant au passage une bougie que j'avais allumée à la va vite, puis j'avais descendu les petites marches de pierres. L'escalier était court, mais les marches si vieilles étaient pour la plupart défoncées et il m'avait fallu une grande attention pour le pas dévaler les marches sur la tête. Finalement, mon pied nu arriva sur le sol gelé de la cave et à l'aide de la flamme vacillante j'avais pu observer l'environnement noir comme la nuit sans lune. Je ne voyais qu'à peine, et même à cette distance je n'avais pas vu Jackson. Pour le voir, j'avais dû faire le tour de la cave illuminant chaque bougie qui avait plus tôt été soufflé. C'est alors que la silhouette au dos courbé et au souffle irrégulier m'apparut. Il était au milieu de la pièce et il soufflait à peine, ses yeux étaient clos et je voyais parfaitement qu'il s'était endormit. J'avais donc regardé mon poignet et sortant mes dents j'avais soufflé. Je me préparais à nouveau à souffrir mais il avait faim alors il me fallait assumer mon rôle. Mon poignet fut tranché sur toute la largeur en conséquence, et le sang qui s'en échappa me fit frissonner. Je ne devais pas laisser déjà celui-ci coaguler, alors rapidement je m'étais jeté à genoux face au blond endormit, et j'avais posé le sang sur ses lèvres. La réaction fut presque immédiate et les yeux rouges me firent face tandis que les dents pointues s'étaient accrochées à mon poignet suintant d'hémoglobine. J'avais immédiatement gémis, lui enfonçant un peu plus la chair dans le bouche, le suppliant d'en prendre toujours plus. J'avais soudainement une envie d'être dévoré de la tête aux pieds, mon corps s'emplissant de chaleur, d'envie de désirs, et de toutes ces choses encore inexplicables mais qui éveillaient mon pantalon. Je ne savais pas ce qui m'étais soudainement arrivé mais j'avais l'impression que plus il pompait sur mon sang plus j'avais besoin qu'il en prenne. J'avais cette sensation qu'à chaque fois qu'il pompait sur mon sang, que mon ventre prenait feu. J'avais envie de lui.

Toujours imposant la présence de mon poignet dans sa bouche, je m'étais inséré entre ses cuisses. J'avais la bouche posée sur le bas de son ventre, gémissant son prénom sans relâche alors que le jiangshi s'était mis à gémir à son tour. Mon souffle commençait à réchauffer sa peau, mais ce que je ressentais surtout, c'était la chaleur imposante et enflée sous mon visage. Je sentais qu'il était dur, tout comme moi et cette fois-ci je ne voulais pas dire non à mes envies. Avec Minhyuk, nous n'avions jamais passé un seul cap, avec lui je voulais changer les choses.
Lorsqu'il relâcha mon poignet, repus, j'avais utilisé ma main pour ouvrir son pantalon et sans qu'il ne m'y autorise j'avais sorti don membre de sa prison de tissus. Je n'avais jamais fait ce genre de choses mais intuitivement je m'étais penché par-dessus le bâton de chair et d'un coup de langue j'avais réveillé un peu plus l'engin. J'avais fait jouer mon piercing avec le frein et tout le long du bouton rose j'avais fait passer la boule bienfaitrice. Ses gémissements rauques se manifestèrent sans cesse, chaque fois que mon piercing jouait avec le gland. Or, lorsque j'étais descendu tout le long du membre, le gobant jusqu'à la garde, je l'avais entendu émettre un son étouffé qui gonfla sa jugulaire. Il avait la tête rejetée en arrière tandis que je sentais que ma langue était étroitement plaquée à la veine gonflée sous le membre. C'est car ma langue était contre sa chair qu'il commença à gémir, mais lorsque mes vas et vient se firent plus sûrs d'eux, il creusa le dos et accompagna le mouvement de ma bouche à l'aide de ses hanches. Il s'enfonçait le plus possible dans ma gorge jusqu'à ce qu'il ne puisse plus de mes coups de langue et l'étroitesse de ma gorge jusque-là encore vierge. Il se tendit donc de tout son corps tandis qu'au bout de ma langue j'avais senti le gland palpiter. J'avais avaler sur le bouton de chair pour le pousser à bout, tandis que les lèvres serrées j'avais tenté de conserver ma foi en moi. Pourtant, plus je le sentais venir plus je me sentais reculer, je ne savais pas si j'étais capable d'avoir le fruit de sa jouissance dans ma bouche. Or, d'un mouvement puissant il déchira ses liens dans son dos et plaqua ses doigts dans ma tignasse pour m'enfoncer au plus sur le manche de chair. N'ayant pas d'autre choix j'avais senti l'autre gémir toute sa voix et enfin, la délivrance le prit. Il relâcha son bonheur dans le creux de ma bouche, ses abdominaux contractés à l'extrême, alors que par jets chauds j'avais senti sa semence jouer avec ma langue.

« Alors Daeho, maintenant tu fais quoi ? »

J'avais gardé le membre en bouche pour ne pas avoir à sentir ce que j'avais sur la langue, or Jackson commença à tirer dessus d'une main et ma bouche se retrouva vide de chair mais pleine d'une sensation amère. Le goût ne me disait absolument rien et je n'avais pas la force d'avaler. J'avais donc penché le visage jusqu'au membre encore dur et droit comme un piquet, et ouvrant les lèvres le liquide blanchâtre se répandit sur le bâton. J'avais parfaitement vu le froncement de sourcils à mon acte de Jackson, mais lorsqu'il remarqua que j'avais abaissé mon pyjama, révélant ma virilité tendue, il comprit mieux mon acte. Il m'aida à grimper sur ses cuisses, postant son membre vers mon entrée. Je ne me reconnaissais absolument pas, jamais je n'aurais cru coucher dans une cave avec pour lubrifiant une semence que je venais de cracher, mais avec Jackson tout avait l'air si différent. Plus rien n'avait l'air sale à mes yeux, j'avais juste envie de lui et lui de moi et c'était ce qui comptait.

Descendant le bassin lentement, j'avais senti un gland humide se pose rà mon entrée. Je n'avais fait l'amour qu'une fois, et l'expérience bien qu'agréable c'était terminée en vraie catastrophe, pourtant cette fois je voulais croire que c'était différent. Le manche coulissa alors dans mon fourreau de chair et non sans me sentir affreusement tendu j'avais gémis. Je faisais l'amour avec mon Jiangshi et même la douleur d'être ouvert ne m'avait pas atteint tant l'idée était luxurieuse et agréable. La seule sensation qui me fit pleurer fut la sensation d'être plein, sentant mon bassin totalement enclanché dans le sien. Je n'avais pas mal, je pleurais de bonheur tant j'avais désiré que cela arrive depuis qu'il m'avait mordu. Je voulais maintenant le sentir aller et venir, au plus vite, mais lorsque j'avais commencé à m'élever, il me maintint en place.

« Bouge pas, j'ai envie de profiter un peu. »
« D-De quoi ? »
« De ton étroitesse. »

Je n'avais pas compris mais lorsque je m'étais concentré j'avais remarqué que j'étais totalement serré sur son membre et sans même que j'ai à contracter mes muscles il était serré au maximum. J'imingais déjà son plaisir exploser en moi à cet sensation et cela renforça mon érection qui était posée sur son ventre, attendant que je ne soulage mes envies. Enfin pourtant, Jackson donna un coup de hanche qui me fit sursauter sur son corps, me faisant comprendre que je pouvais bouger. Se réfléchir, mon bassin s'était animé de bas en haut, m'éloignant de sa chair pour mieux la reprendre. Chaque coup de rein nous faisait gémir et je sentais que la chaleur de nos corps s'était mêlée avec force. Nous étions maintenant deux à prendre notre pied et ce fut d'autant pire lorsqu'il trouva ma prostate. Il s'était mis à l'attaquer à chaque coup de rein, pressant mes fesses pour me guider dans le mouvement et me faire retomber encore plus fort sur son manche. Je suffoquais de plaisir et chaque fois que je retombai de tout mon poids, dans un bruit de peau indécent, ma vois l'appelait du fond de mon abîme de luxure. Le plaisir étant trop fort j'avais l'impression d'être très loin, or de mon corps et mon esprit divaguait dans un paradis de sensation. Pourtant j'étais revenu sur terre lorsque les dents de Jackson s'emparèrent de mon épaule qu'il croqua avidement pour se mettre à boire le sang. La sensation incroyable avait fait bouillir mon bas ventre qui tendait encore plus mon érection à deux doigts de l'explosion. J'allais venir. Je ne tenais plus le plaisir et sentir la tête du membre de Jackson, s'emparer du fond de mon entrée m'avait fait suffoquer d'un trop plein de plaisir.

« J-Jackson, je suis désolé. Je tiens plus ! »
« Laisse toi aller... »

Sa bouche couverte de mon sang vint attraper la mienne dans un baiser doux mais au goût métallique de sang, et lorsqu'il attrapa mon piercing du bout des dents, mon plaisir sembla atteindre son climax. J'avais serré les cuisses sur son basin me courbant et hurlant sans pouvoir m'arrêter. J'avais senti ma semence alors glisser sur sa poitrine, tandis que soufflant un air profondément chaud contre sa bouche, j'avais gémis ma voix entière. Le plaisir n'avait jamais été si fort et il s'intensifia même lorsque le plaisir de mon amant atteint son climax à son tour. J'avais senti son membre venir à sa fin dans mon entrée, salissant le fourreau brûlant.

Après un instant, nous nous étions tous deux écroulés, tremblant dans les bras de l'autre tant le plaisir fourmillait encore dans nos veines. Malheureusement, j'avais été beaucoup trop indiscret et il m'avait fallu le quitter pour faire croire que j'avais agi avec Hyunsu. Je m'étais rapidement retiré, et j'avais tant bien que mal enfilé à nouveau mon pyjama tandis que ses doigts joueurs de Jackson tentaient de m'exciter à nouveau.

« Jackson, mon père ne doit pas savoir que c'était avec toi. Je t'en prie je dois partir. »
« Très bien, mais d'abord tu dois nettoyer. »

Regardant sa poitrine et son membre qu'il me pointait j'avais compris que je ne pouvais m'en aller de la sorte. Le moins dégoûtant aurait surement été de courir à la cuisine pour chercher une serviette en papier, mais le plus rapide avait été ma langue. Alors, n'ayant aucune seconde à perdre, j'avais léché d'abord son membre entier, ignorant ce que j'avalais pour plutôt tout rendre impeccable. Puis, j'avais nettoyé sa poitrine à l'aide de ma bouche, embrassant parfois les tétons toujours durcit, avant de me retirer, sa peau impeccablement nettoyée. Evidemment l'acte m'avait valu une récompense qui n'avait été autre qu'un doux baiser au coin des lèvres.

« Reviens me voir au plus vite mon cœur. »
« C'est promis, je viendrais te voir dès demain matin, d'abord il faut que je dorme un peu. De toutes manières je viendrais te chercher pour que tu prennes une douche. Ok ? »
« C'est parfait petit ange. »
« Merci... »
« Pourquoi ? »
« Les surnoms, ça me touche. »

Le blond me sourit en coin et enfin il me laissa le rattacher. J'avais, avant de partir, embrassé son front couvert de sueur, et soufflé les bougies. Ceci fait, j'avais repris ma place dans mon lit avec Hyunsu et j'avais dénudé le cerf et ma personne. Je m'en voulais de nous avoir ainsi mis en caleçon mais il fallait que mon père croie à toute la mascarade, et surtout je ne voulais pas qu'il sache que le lien était déjà fait. Ainsi, le lendemain matin, lorsque le petit brun vint nous réveiller, il sembla radieux de se rendre compte que j'avais 'couché' avec Hyunsu. Heureusement, il ne parla pas de nos ébats de la veille et il nous laissa aller prendre notre petite déjeuner, évidement avant j'avais rhabillé Hyunsu. J'avais trompé mon monde, mis à part Taehyung bien sûr, et je n'avais eu droit à aucunes questions. J'avais simplement été permis, après avoir fait la demande, de prendre le Jiangshi à la douche. C'est donc les poings toujours liés que je l'avais pris à l'étage où il put se laisser aller sous l'eau chaude bienfaitrice. Il soupirait chaque fois qu'il passait une main dans ses cheveux blonds, tandis qu'exceptionnellement, sa peau avait pris une coloration rose.

« Yah Jackson, tu sais dans deux jours je fais la première épreuve. »
« Tu sais de quoi il s'agit ? »
« Pas le moins du monde, mais je devrai être fort, je le sais. J'aimerai que tu sois là pour m'encourager. »
« Evidemment que je serai là. Je serai partout où tu seras... »
« Merci... mais j'ai une question. »
« Dis-moi. »
« Avant moi, tu avais un autre loup ? »
« Eh bien oui, celui que j'ai eu quand je suis entré dans mon nouveau groupe. En fait, il n'était pas à moi, c'était un donneur universel, celui que l'on offre à ceux qui n'ont pas encore leur propre sac à viande. On n'a le sien qu'après un exploit, mais nous devons nous nourrir, alors nous en avons plusieurs qui servent pour quatre à cinq jiangshi. Le lien ne peut pas se créer dans ce cas. »
« Alors pourquoi Yugy a dit que j'étais ton nouveau protégé ? »
« Haha, car même si je me nourrissais avec ce loup, je lui donnais une vie, comme j'ai tenté de t'en donner une. Enfin tu étais toujours mauvais au début, je ne pouvais pas te féliciter pour ça. »
« Oh, je vois. »
« D'autres questions ? »
« Non... merci. »

Le blond me souri doucement avant de se tourner vers le gel douche et en couler une noisette dans sa main. Il s'était frictionné la peau fortement pour en retirer toute impureté, tandis que j'avais peur pour la suite, pour la première des trois épreuves. Et si... je n'étais pas à la hauteur ?

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