Chapitre 9 : mentir pour préserver
"Vous êtes enceinte"
se fue les mots prononcé du docteur, un léger silence s'installait, j'étais prise par un sentiment de joie mais aussi d'inquiétude.
Je regardai Livaï qui semblait vraiment heureux, il me souria et me pris dans ses bras, oui il semblait vraiment ravie et enthousiasme!
Je decidai de voir le medecin en consultation privé, juste après, je devais m'assurait d'une seule chose...
"Le bébé a quel age ?"
"apriori trois, deux mois..."
Alors le père pouvait être aussi bien Livaï que Ben, pouvais-je faire pour le savoir...
"Est ce que il aurait un moyen de faire des test de parternités ?"
Le medecin me regardait de travers, certainement à imaginer que je trompe mon mari ou je ne sais quoi d'autre.
"Ben ecouter, oui, ramener moi les deux pères et..."
"Mais il ne doit pas être au courant, je vous explique..."
Je lui racontai tout l'histoire, il accepta de m'aider, je sortai de son cabinet assez amérement, Livaï lui était vraiment au ange...Je ne l'avais jamais vue aussi heureux, il me repris dans ses bras en clamant sa joie, je lachai une larme, Livaï m'interrogea :
"Pourquoi tu pleures ?"
"Je ne sais pas..."
"Qu'est qu'il ne vas pas ?"
"On est peu etre un peu trop jeune..."
"Oh t/p, calme toi"
"Avec mes études et toi, ton boulot ? comment veux tu qu'on lui donne de l'attention"
"On fera avec"
"Tu penses pas que je devrais avorter...je le peux après, on ne pourra plus"
"Non..."
"Je préferai..."
"Tu veux vraiment tué notre enfant ?"
"Livaï, je ne me sens pas prête à être mère!"
"Je pensais que tu voulais des enfants"
J'éclatai en sanglot, Livaï savait sur quoi touché...Ayant eu des parents innatentives, j'ai toujours voulu en avoir des enfants à qui je donnerai de l'attention et de l'amour...
Je m'échappai à toute allure de l'hospital, mes cotes me faisaient encore mal mais je n'avais pas envie d'affontais son regard...Chance du hasard, Eren venait de se gardé, il était venue prendre de mes nouvelles, je montai sur sa becane en lui demandant de vite démarait...
On se posa dans un parc, en vérité, c'était l'endroit ou Eren et moi se retrouvaient tout le temps :
"Eren, je suis dans une merde"
"Raconte-moi"
"Je suis enceinte"
"Arh ! Toi, maman" il ricanna tout seul
"Ça date de deux, trois mois"
"Et ?"
Soudain dans les buissons sorta Zoé, se qui me ficha une trouille momumentale.
"Et ? tu sais pas qui est le père"
"Tu nous écoutes depuis tout à l'heure"
"Oui"
"Ben ou Livaï"
"C'est super chaud, limite ta vie c'est une série télé"
"Il est ou ? Livaï"
"Je sais pas, je l'ai laissé en plan comme quoi, je voulais avorter"
"ben, tu sais quoi, tu vas le voir et tu lui dis :oh Livaï, je sais que tu es ravi de cette grossesse sauf que tu es peu etre pas le père...du coup tu prèfererais un garçon ou une fille ?! Oh si on peignait la chambre en bleu ou en mauve ?! tu changes vites de sujet, tu vois!"
"Eren, t'es vraiment con"
"Je suis pas con, je fais de la psycologie"
"Oh Eren je t'ai piqué cinq cent balles, t'a vue le nouveaux call of duty est sorti !"
"QUOI ???"
"T'a vue Eren"
"Attend faut que je me l'achétes absolument, c'était quoi le debut de ta phrase enfaite ?"
"Bref je vais vous laissé, je vais retrouvé Livaï, juste constacté Mikasa pour lui demandé de retrouver Ben"
"Ok"
Je m'empressai de retrouver Livaï, je rentrai chez nous, le coeur lourd, je ne pouvais lui dire, je ne voulais pas qu'il soit triste, et si jamais, il était le père, il n'aurait aucun soucis.
"LIVAÏ JE T'AIME!" hurlais-je
Il sortit de la cuisine et me sauta dessus, il me fis des doux baisers dans le cou, que j'aime cet homme.
"Je t'aime encore plus"
Il me carressa délicatement la peau, il retira mon haut en continuant de m'embrasser tendrement et passionement, l'actraction de nos corps fus si forte que la seule chose que je souhaitait, c'est qu'il soit en moi.
Il lecha mon corps et s'arreta sur mon ventre, il deposa sa tête, il voulait écouter les battements de son enfant, il semblait appasait et calme, il parlait à son enfant comme si il pouvait comprendre ce qu'il disait, je lui caressai la joue, je me sentai tellement coupable...
Il repris ensuite sa course, il malaça ma poitrine, en y deposant des baisers passionels, il suça mes mamelons sensuellement, que j'aimais sentir ses mains et mes lèvres sur ma peau..
il retira aussi son haut, je m'empressa d'attaquait son cou et son torse de mes mains et baisers, nos pantalons et nos sous vêtements ne survivèrent par longtemps à nos ébats.
Livaï entra à moi, s'était si chaud et agréable, je ne pouvais que gemir, mes mains s'attachaient à son dos, c'était si puissant et intense, on finissa par atteindre tout deux la jouissance.
Je m'endormis dans ses bras, je ne pouvais qu'être heureuse dans ses bras. Le lendemain dans mon lit, Livaï m'apportait le déjeuner, on se fis un bisous esquimeaux, il me fournisait mon courrier qui m'était atttribué, d'une nature plutot jaloux, il resta à côté de moi, pour regarder, sur la lettre, une écriture familière...
"Je te retrouverais ou que tu seras, tu me seras un jour mienne, Reiner"
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