Point de vue de Livaï :

Sortit de prison, me voilà enfin, libre comme un oiseau sortant d'une cage qu'on avait enfermer egoistement, Mais le problème s'est que sans mes ailes, je ne pouvais pas m'envoler loins et T/p était mes ailes, sans elle, je ne serais pas ce que je suis, elle m'a changé et me procure à elle seule mon bonheur et ma liberté.

Je me mis aux recherches, mais même après cinq heures, a cherché dans ton les coins du motel, à consulté tout les témoignages, rien elle était introuvable. Deserpèré, je rentrai à la maison, esperant qu'elle rentre ou que mon téléphone sonne, et qu'on m'annonce qu'on la retrouvait saine et sauve mais la réalité était beaucoup plus brutale.

Je reçu en revenge la visite du père de T/p, il semblait enervé, il ne semblait pas comprendre que sa fille ne voulait plus jamais le voir.

"T'es content, tu as transformé ma fille"

"Elle est juste heureuse"

"Elle fait que des conneries depuis qu'elle est avec toi!"

"La vérité monsieur ? Vous êtes un pervers narcissique, qui croit que l'amour s'achete, vous n'avez jamais donné l'affection que votre fille méritait, tout comme votre ex-femme, votre fille n'avait plus envie d'être un élément de décoration dans votre cadre de vie parfaite à présentait aux autres mais être une fille qui pourrait s'exprimer et aimer"

"N'importe quoi..."

Il parti comme ci, mes paroles l'avaient brusqué, la vérite est toujours du à encaisser après tout, alors que je regardai le plafond quelques instants, j'entendu le perroquet faire des scenes, d'habitude, je voulais le tué mais ça ne me faisait que rappeler que T/p en prenait d'un grand soin quand il criait, je mis le drap blanc sur la cage et le perroquet s'endorma de si tôt...

Je continuai malgrès tout mes recherches, il m'était impensable d'attendre...

Et pourtant...Aucune nouvelle jusqu'a que Eren m'appella...

Point de vue d'Eren :

Quelques heures auparavant 

T/p a disparu, Livaï est libéré mais aucun moyen de trouver T/p, bizarrement je trouvai Ben, il allait bien, il cherchait T/p, d'une grande intelligence, il se demanda si Reiner ne connaiçais pas les lieux et notamment les égouts ou les souterrains, ou on allèrent alors avec Zoé, Jean, Moi-même ainsi que Ben et Mikasa dans les égouts de la ville vers le motel, et on trouva une sorte de trappe qui menait au motel.

Reiner était certainement passait pas là mais ça ne nous indiquait pas ou se trouvait T/p, impossible de trouver la moindre trace enfin jusqu'à qu'on trouve une sorte de grande porte qui ressemblait fortement à un bunker qui devait être la cachette de Reiner durant toutes ses années, bien sur notre premier reflexe fut d'appeler Livaï mais il nous manquait malcontresement le code de la porte.

Point de vue de Livaï :

En ce moment,

Ils avaient bien tenté tout code, l'anniversaire de t/p, l'année de leurs rencontres au lycée mais rien...

J'allai encore me prendre une murge quand j'appris que de plus, la police ne pouvait rien faire car c'était une propriété de l'Etat, je croisai à ce bar, la barman qui n'était autre que Régine, elle me pris le vers des pattes.

"Oh Livaï, que se passe -il ?"

"La femme que j'aime s'est fait enlevée"

"T/p ?"

"Oui"

"Ben faut savoir"

"Il faut que je trouve un code à quatre chiffre que Reiner aurait choisis"

"Son code de téléphone quand on sortait ensemble, c'était 9999"

"Pourquoi ce chiffre ?"

"J'en sais rien"

Je me dirigea seule à la porte du bunker, je mis le code que Régine m'avait mis avec un faible espoir et il marcha comme par miracle, j'envoyai un message à Mikasa, si jamais les choses finissait mal...

Je m'introduisai directement dans le bunker, je n'entendu rien, j'arrivai enfin vers une immense chambre, je vue T/p attaché sur un lit, elle était en sous vêtements, elle me vue, je m'approchai d'elle sans ignoré le danger, un piége tomba sur moi, mes mains fus prisent dans des menotes et me voilà, enfermer dans une cage ne pouvant rien faire pour y sortir, me voila revenue l'oiseau enfermé. Reiner avait crée un piége parfaitement organisé pour moi.

Reiner entra en scéne, il me souria a pleine dent en laissant passer un rire sadique, il me voulait du mal, et il allait m'en faire. Il s'approcha de moi et me frappa violament au visage, T/p poussa des cris mais un tissu retenait sa voix. Il s'approcha donc d'elle, les yeux pervers, je presentais ce qu'il voulait faire.

Il lui retira le tissus de la bouche, et commença à plonger sa tête dans sa poitrine, en laissant ses mains de porcs lui toucher les parties de son corps, elle criait en lui suppliant d'arreter mais rien n'y fait.

"ARRETE ÇA!" hurlais-je de toute mes forces

Je ne pouvais me resoudre à voir cette scene.

Il lui retira son haut en ignorant mes hurlements et ceux de t/p, il lui lécha la poitrine, la mordait, elle pleurait mais rien n'y fesait, elle me regardait et me souffla les larmes coulant :

"Livaï, c'est toi que j'aime, ça ne changera jamais"

Reiner s'arreta et retourna me voir.

"T/p, si tu me supplis pas de te baiser, je tuerai Livaï en l'écartelement"

"T/p, non"

"Reiner,...Baise...moi"

"J'ai pas bien entendu, n'est ce pas Livaï, elle doit le dire plus fort, c'est plus existant"

"Reiner baise moi..."

Reiner s'approcha dont d'elle, il lui lecha le corps, la pris devant moi et la penetra de son intimité, quelques choses se brisa en elle tout comme en moi, j'en pleura de douleur, me voila totament impuissant...

Il l'a supplia de dire qu'elle prenait de plaisir, j'entendai sa respiration, ses gemisements, ses pleurs et ses cris de detresses, mais il continua ses vas et viens devant moi...Je voulais le tué...

 Il l'a pris ensuite par derriere en l'obligeant, un cri de douleur se fis entendre...Il l'a caressa, l'embrassa, lui fis l'amour, ça me semblait sans fin, j'en lachèrent des larmes. 

"Comme promis, je ne tuerai pas Livaï, tu as était bien sage après tout"

il pris t/p par la main pour s'échappait avec elle, Reiner eu un moment d'ination et t/p m'envoya les clefs, je me demenotta en à rien de temps...Une chose était sur, j'allais du mal à ne pas faire un meurtre.

A suivre...