PDV ÉLISE:

Matt: Comment on a fait pour ne pas s'en rendre compte?

Amber: De quoi?

Elle entre et s'assied sur mon lit d'hôpital, Kristie et Christopher reste debout; ils ne savent pas ce qui c'est passé...

***********Flashback*************

Le mur rencontre mon corps et une douleur aigue arrive dans l'intégralité de ce dernier. Je ne me relève pas tout de suite après et me laisse du temps pour absorber le choc. Elle est partie... Mes pensées me semblent ridicule mais c'est ce qui c'est pourtant passé. J'essaie de bouger mais mon corps refuse de répondre comme si j'étais paralysé. Mais qu'est ce qu'elle m'a fait? Alors je reste allongé et attends que quelqu'un est la bonne idée de venir m'aider. Personne, personne ne vient m'aidé. J'essaie de relever la tête mais les couloirs sont vides. J'entends juste une musique venir de la salle devant moi. Je regroupe toutes mes forces et rampe sur le sol pour voir qui joue cette mélodie envoutante. J'entre dans la pièce et vois avec horreur que personne ne joue au piano mais les touches joues d'elles même comme par enchantement. La porte derrière moi ce referme ainsi que tous les rideaux des fenêtre me plongeant dans une obscurité quasi-totale. Soudain une ombre humaine se dessine sur un mur, je panique et essaie de bouger mais mon corps est toujours paralysé mais cette fois si non pas par la douleur mais par la peur. L'ombre prend peut à peut la forme d'une personne, je ne l'a connaît pas mais son visage est vraiment effrayant. Son crâne est dénué de cheveux, son regards brille d'une lueur malfaisante ainsi qu'un sourire malicieux. Il n'a pas du tout l'air de me vouloir du bien et ne doit pas être capable de plaisanter. Sans que je m'en rende compte je pousse un cri de terreur.

Moi: HHHHAAAAAAAA!!!!!!!

Sans que je ne le vois bouger je sens des mains serrer mon coup comme si quelqu'un était en train de m'étrangler. Puis encore d'autres mains mais cette fois si sur mes épaules et elles me secouent. Une voix lointaine parvint à mes oreilles.

?: Réveille toi Élise, ce n'est qu'un cauchemar allez!

L'homme s'avance dangereusement vers moi, un sourire encore plus mauvais sur le visage, et il sort une chaîne de son habit noir. Si cette voix a raison il faut que je me réveille. ÉLISE RÉVEILLES-TOI!!!!!!!!! Je hurle ces paroles dans ma tête mais rien y fait IL s'approche toujours et il passe la chaine autour de mon coups. A L'AIDE, AU SECOURS!!! Venez m'aidez...

MIAMI    PDV Eden :

Moi : Au revoir tout le monde et à bientôt !

Tout le monde vient vers moi et on fait un calin collectif. Ça va me manquer tout ça...

Ryan : Eden tu viens ? Sinon on part sans toi !

Moi : Oui j'arrive !

Je refoul mes larmes et prends mes 2 énormes valises.

Jordan : Attends je vais t'aider.

Il me les prend des mains et va les mettre dans la voiture. Je le rejoins.

Moi : Merci pour tout...

Je n'ai vraiment pas envie de partir, on était tellement bien là tous ensemble mais ma vraie vie m'attend, celle pour laquelle je suis née.

Jordan : Oh Eden !

Il m'ouvre ses bras.

Jordan : Viens par là.

Je ne me fis pas prier deux fois et part me réfugier dans ses bras. C'est tellement agréable. Depuis l'attaque de Sami nous sommes devenu très proche pas comme vous devez le penser mais disons que c'est un peu devenu mon grand frère, celui que je n'ai jamais eu.

Moi : Tu peux promettre quelques choses ?

Jordan : Tout ce que tu voudras.

Moi : Juste déchire tout à la fac et ne te fais pas avoir par la gente féminine, on peut vraiment être des garces quand on veut.

On s'échange un regard complice.

Jordan : Hahaha!  Est-ce que que mademoiselle Eden serait inquiète pour moi ?

Moi : Moi ? Pas du tout c'est que tu me connais mal si tu penses ça.

Jordan : Mais oui bien sûr.

Il lève les yeux au ciel.

Moi : Nan mais je suis sérieuse fais attention.

Jordan : Je te le promets et toi aussi fais gaffe avec Ryan. Par ce que vous vous plaisez bien tous les deux. Non ?

Je suis prise de court. Est-ce qu'il dit la vérité et que je ne m'en serais pas rendu compte ?

Jordan : Arrêtes de cojité mais quand même je suis sérieux moi aussi.

Moi : Oui je te le promets.

Je le serre une dernière fois dans mes bras, lui fais un gros bisous sur la joue et me retourne une dernière fois pour contempler la villa qui a été ma maison pendant 2 mois, là ou tellement de bons souvenirs se sont créer, que je garderais à jamais dans ma mémoire. Je fais mes adieux à ce paradis et monte difinitivement dans la voiture. Le retour va être long. Ryan démarre et on roule en direction de l'aéroport sous le grand ciel bleu de Miami. On est trois dans la voiture, moi, Ryan et Jace. Ce dernier va à Seattle avec nous car comme il s'est fait virer de son lycée pour violence il y a un an, il veut démarrer sur de nouvelles bases loin de tout ce qu'il a connu jusqu'à présent. Et Sammy a réussi à lui dégoter une place dans notre merveilleux lycée, génial. Je continu dans mes pensées jusqu'à l'aéroport ou le jet nous attend en évitant de repenser à tout ce qui c'est passer depuis les dernières semaines. Quand on descend de la voiture, une heure plus tard, il pleut à grandes eaux et je dois tenir fermement mon parapluie dans ma main pour éviter qu'il ne s'envole.

Jace : Besoin d'aide la miss ?

Moi : Non c'est bon je peux tenir mon parapluie toute seule.

Ma réponse est sèche et je suis obligé de crier pour qu'il m'entende. J'ai super froid et mon jean se retrouve bientôt trempé ainsi que mes chaussures.

Moi : AAH !!

Je glisse sur une feuille et tombe dans une flaque d'eau glacé. Je déteste la pluie ! Je suis maintenant trempée jusqu'aux os. Si je ne tombe pas malade ça sera un miracle. Je me relève en chancelant et commence à monter les marches qui mènent à l'avion. Je me tient un maximum à la rembarde pour éviter de reproduire la même chose que précedement. Je jette le parapluie qui ne mets d'aucune utilité à présent. J'entre dans l'habitacle et une douce musique me parvient aux oreilles. C'est Jace qui joue de la guitare.

Jace : Et ben dis donc t'en as mis du...

Il lève les yeux vers moi. Explose de rire.

Jace : HAHA!! Mais qu'est ce qui t'es arrivé miss ?

Moi : Rien et mon prénom c'est Eden au cas ou tu serais trop débile pour t'en souvenir.

Il ignore tout ce que je dis après le "Rien" et crie:

Jace : Ryan viens voir !

Croyans à une urgence il arrive en courant.

Ryan : Quoi ? Qu'est ce qu'il se passe?

Jace me monte du menton. Et Ryan tourne la tête vers moi. Il ne rigole pas du tout Lui et fusille l'autre du regards. Je ne comprends pas. L'autre ce calme immédiatement et s'assois sur son siège, dos à nous.

Ryan : Tu veux des serviettes et des vêtements de rechange ?

Moi : Oui je veux bien s'il te plaît.

Il s'en va et je reste debout en l'attendant. J'entends encore la guitare de Jace que je vais bientôt lui fracassé sur le crâne si il n'arrête pas. Ce ne sont pas de belles notes comme tout à l'heure mais bien l'inverse. Ca grince et ce n'est pas du tout agréable.

SEATTLE         PDV Emma :

Je cours le plus vite possible. Je ne veux que personne ne me retrouve. Jamais ! Mes cheveux me colle aux visages à cause de mes larmes, et de la pluie. Je commence a avoir faim et froid. Je suis mal barrer. Pourquoi j'ai réagi comme ça ? Je venais en cinq minutes de perdre tous mes amis. Sauf Eden évidemment même si quand elle l'apprendra elle ne voudra plus jamais me reparler. Je m'arrête essoufflée. Ca sert à quoi de courrir comme ça sans aucun but précis ? A rien. Je marche et en faites je savais très bien au fond de moi là ou je voulais aller ; dans le lieu le plus chalereux et acceuillant que je connaisse. Ce qui risquait d'être délicat puisque c'était dans la grande serre des Noël. Mais dans quelle merde je mettais encore fourrée ? Je pris mon téléphone car évidemment je ne savais pas du tout ou je me trouvais. J'ouvris l'application du GPS et entra l'adresse, une fois sur la bonne route je suivi la direction indiqué et bientôt je reconnu la maison qui m'était devenu bien familière. Je devais connaitre cette maison autant que ses propriétaires. J'entra par le petit portillon et regarda les fenêtres pour être sur de ne pas êtres vu. Je me mis presque à quatre pattes et me déplaça aussi vite que possible. Au fond du jardin se trouvais la grande serre, un endroit si paisible et tranquille. Je me lève et essuie un peu la terre de mes genoux, je suis trempée. Je tenta d'ouvrir la porte mais celle-ci était fermée mais je savais ou la clés était caché, a côté de la serre se trouvait 2 petits nains de jardins en pierre, je souleva le plus petit et Bingo ! la clés est juste en dessous. Je la prit et retourna devant la porte, je l'ouvris et dès que j'entra la quiétude du lieu m'envahit. Je fis un rapide tour de la serre et regarda les plantes soigneusement. Grâce à Monsieur Noël je suis maintenant incolable sur ses plantes, je les connais toutes par cœur. J'en arrose quelques unes qui sont en manque d'eau malgré que leurs proporiétaires passe tous les matins les chouchoutés. Puis je vais voir ma plante. Je me souviens de l'après-midi ou on est allé la choisir.

*******Flashback*****

Il m'avait convaincu de quitter mon pled et mon chocolat chaud pour qu'il me montre sa surprise. On a rouler 5 minutes et on est arriver en plein milieux de champs. Ce qui est assez rare à Seattle. Ensuite il ma présenté à un monsieur, James, il était très gentil et à ce que j'ai compris il connaissait déjà Eden puisque comme moi il l'avait déjà ammener ici. Puis on est allé dans une serre semblable à celle de Monsieur Noël mais en 3 fois plus grande et j'ai choisi la fleur qui me plaisait le plus. J'ai été tellement heureuse ce jour là et tellement honoré. Je crois même que j'ai passé au moins une heure à choisir ma fleur, je ne voulais pas me trompé. Aussi je me plaisais à imaginé Eden dans ce lieu, je l'imaginait marché dans la grande allée et hésité longuement sur la meilleure à prendre, celle qui lui correspondrait le mieux et la réprésenterait. Soudain l'une d'elle attira mon attention, elle était vraiment magnifique, rouge et jaune. Ces pétales étaient de toutes tailles, petites au centre et plus grande à l'extérieur. Aucun pétales n'étaient fanées comme si elle venait tout juste d'éclore (multimédia). A côté ce trouva un petit bout de papier. C'est surement James qui l'a égarer sans faire exprès. La curiosité a toujours été mon plus gros défaut mais cette fois si je ne dois pas céder à la tentation. Je retourne le papier sur lui-même et remarque un petit signe infinity. Il ne peut pas s'agir d'une coïncidence, c'est pas possible car quand on n'était petite on avait pris l'habitude de s'envoyer des petits mots sous la porte de nos appartements et pour que je puisse savoir qu'il venait bien d'Eden on s'était mis d'accord de dessiner le signe de l'infini pour notre amitié infini. Sans était trop je déplia le papier et lu.

« Cher Emma,

J'espère que tu verra mon mot car quand j'ai vu cette fleur j'ai tout de suite pensé à toi, elle a l'air fragile quand on la voit comme ça mais pourtant elle ne gèle pas l'hiver dehors, elle est forte et c'est ce que tu es. Je sais que vivre avec ta mère n'a jamais été facile mais bravo ! Ta meilleure amie admiratrice.

Eden »

Mr Noël: Alors tu as choisi ?

Moi : Oui je vais prendre celle-ci.

Et c'est comme ça que j'étais reparti avec cette fleur le sourire aux lèvres.

Maintenant je me sens vraiment stupide. Comment j'ai pu pousser mon amie aussi brutalement contre le mur, elle qui avait été une seconde meilleure amie pour moi depuis qu'Eden était partie. Elle avait su me défendre quand je me faisait ingurier. Et Matt ?? Oh non je n'ose même pas imaginer, il doit être tellement déçu par mon comportement. Les larmes recommencèrent a coulé. J'espère tellement qu'il vont tous bien ! Je sortis mon pled et me fis un chocolat chaud, un peu de réconfort ne fais pas de mal. Pendant qu'il chauffe je me change, j'ai passé tellement d'apès midi ici que j'ai fini par y laissé un sweat et un jogging. Ensuite je vais dans le canapé en buvant mon chcolat chaud et je finis pa m'endormir petit à petit.

BBRRR BBBBBRRRR !!!

Je me réveille en sursaut, je me lève difficilement et prends l'appel.

Moi : Oui ?

??: Salut Emma c'est moi.

Moi : Eden ?? Mais il est quel heure ?

Eden : Euh... 19 heures.

Une ampoule s'allume dans ma tête.

Moi : Mais ton vol ?

Eden : Bah justement ça fait 15 minutes que je t'attends à l'aéroport.

Merde !

Eden : T'es ou là ?

Moi : Sur la route, j'arrive !

Eden : Non ce n'est pas la peine j'ai déjà appelé Matt et il sera là dans 5 minutes. Et il m'a parlé d'une histoire d'hôpital et donc il m'y emmène après. T'es au courant de ce qui c'est passé ?

Hein ? Mais c'est quoi ce bordel ?!

Moi : Non je ne suis pas du tout au courant.

Ca me fais mal de je n'ai pas envie de le lui dire par téléphone.

Eden : Mais tu n'étais pas au lycée aujourd'hui.

Moi : Si mais je suis partis plus tôt, ma mère avait besoin de moi.

Eden : Ok... Bon bah je te dis quand je suis arrivé chez moi et tu me rejoins.

Moi : D'accord à tout de suite.

Je raccroche et j'ai la boule au ventre, je ne sais vraiment pas quoi faire. Est-ce que je dois quand même y aller et tout expliqué devant tout le monde, comme ça c'est fait et ils me détestent tous d'un coups ou je reste planqué là comme une lache à faire semblant  et à attendre qu'Eden ait tout appris à l'hôpital? J'ai toujours eu un dicton « la meilleure solution n'est pas forcément la solution la plus facile et la plus rapide il faut parfois prendre le temps de ce battre pour ce qui est juste » et c'était exactement le bon moment pour que je la respecte. Prise d'un soudain élan je me lève rapidement, jette le pled par terre, laisse mon chocolat chaud sur la table basse et sors de la serre. Il pleut toujours autant mais franchemant je n'en ai strictement rien à faire ! Je rabats quand même ma capuche sur ma tête et marche rapidement pour ensuite me mettre à courir. Encore. Arrivé devant mon immeuble je monte les quelques marches rapidement et passe mon boitier pour ouvrir la porte. J'entre chez moi comme une furie, je n'ai pas le temps.

Maman : Coucou chéri !

Je ne prends pas la peine de lui répondre. Elle s'en aperçoit et arrive dans ma chambre. Je me déshabille et prends des vêtements secs dans ma commode.

Maman : Qu'est ce qu'il te prends et tu vas ou comme ça ?

Moi : Maman j'ai pas le temps il faut que je me grouille !

Maman : Mais tu vas OU ?

Elle commence à s'impatienter.

Moi : Voir des amis ?

Maman : Mais pourquoi est ce que tu es trempée ?

Moi : Par ce qu'il pleut dehors et puis je ne peux pas tout t'expliquer maintenant !

Maman : Ah si justement, tu ne sortiras pas de cette chambre sans m'avoir tout expliquer chérie.

Je vais dans la salle de bain et branche mon sèche cheveux. Je suis à bout de nerfs.

Moi : Arrête ! Il n'y a jamais eu de compliciter entre nous et c'est pas maintenant que ça va commencer ! J'ai appris à vivre sans toi alors c'est bon je sais me débrouiller ! Alors maintenant DÉGAGE j'ai mieux à faire ! Toi va faire les boutiques je suis sur que les vendeurs te connaissent mieux que moi !

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Hey! J'espère que tout le monde va bien et passe d'excellente début de grandes vacances! Pour moi en tout cas c'est le cas mais bon je ne m'attarde pas trop sur le sujet. Enfin un nouveau chapitre. Est ce qu'il vous a plus? Ecrivez moi vos impressions en commentaires ou en votant!

La suite dans pas longtemps.

Big kisses!!                    AE <3