Chapitre -11- Fausse joie.

PDV Jessica :

En moins de quelques minutes, ou peu être quelques secondes; Mon téléphone fut plein à craqué de notifications en tout genre. Le bruit incessant faisait vriller mes oreilles, je l'ai alors éteint il à déjà un bon moment. Ridiculement, ils m'étaient apparus strident et j'en avais été effrayée. Comme ci je ne pouvais contrôler la situation, et cela était difficile pour moi de l'assimiler, mon portable entre les mains, j'observe les nouveautés de mes actualités sur instagram. Rien que à vu d'oeil , je pourrais facilement affirmer que j'ai désormais plus de trois ou quatre cent abonnés depuis que ce phénomène à débuter. Je métais entre temps dépêcher de me mettre quelque chose sur le dos, je pris une grande bouffée d'air et alla m'assoir sur le bord de mon lit, mon coeur bat déjà la chamade, je n'aimais pas réellement ce changement soudain, j'étais généralement le type de fille sur instagram avec seulement une dizaines de likes sur ses postes et aucuns commentaires sous ces derniers. J'imagine que j'en avais prit l'habitude, voilà peu être la seule raison de mon stress ? J'aurais voulu y croire mais je sais que ce n'est pas vrai, je sais que tout va très vite sur les réseaux sociaux, ça m'a toujours fait peur de penser que quelque chose de mal pourrait m'arriver dessus, et je sais que les stars, et même leurs proches se font harcelés sur n'importe quel plateforme. Je repris mes esprits et ouvra l'application, je ne pouvais pas savoir tant que je ne me confronte pas au problème. Des centaines de j'aimes apparaissaient sur mes publications, et je me rendis compte que j'avais maintenant atteint les milles abonnés, un chiffre basique pour certains, mais pas pour moi. Des commentaires trônent sous quelques uns de mes postes, uniquement des messages positifs et des remarques gentilles, instantanément je fut soulagée, ce n'était pas de la haine mais bien de la gentillesse a l'état pure. J'alla alors regarder quelques messages privés reçus, impossible pour moi de tous les lires, il y en a tellement ! On me demande comment je vais, comme ci nous étions des amis de longue date; On me souhaite d'être heureuse car d'après eux je le mérite, et on me dit a quel point je suis magnifique. Honnêtement je sentie mon coeur se réchauffer soudainement, je regarda rapidement l'heure sur mon portable et prit le temps de répondre a quelques uns de ces messages, comment pourrais-je les ignorés ? Ce fut uniquement lorsque mon père vient taper contre ma porte que j'éteignit enfin ce portable, je lui donna l'autorisation d'entrer et il m'aida alors a emmené mes valises dans le hall, dès lors, des employés de l'hôtel s'en occupent. Je rejoins alors les garçons en compagnie de mon père et nous furent conduit à l'aéroport.

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Liam est le premier a mettre les pieds sur le territoire Américain, si le soleil se faisait cuisant en Espagne, il l'est d'autant plus ici, en Amérique. Peu être que ce fut à cause de tous les films que j'ai pû voir à la télé, tous ces films qui parlaient de la magie présente dans ce pays, ou alors juste a cause de mon imagination, mais je sentais déjà que ces quelques semaines passées ici seront incroyable. Une foule de gardes du corps assistent les cinq célébrités a mes côtés, lorsque nous entrons dans le bâtiment de l'aéroport, les cris fussent automatiquement, les garçons saluent leurs fans et essayent de prendre le plus de photos possible avec elles, et de signé le plus autographes. Les barrières métalliques gardent les fans un peu trop enjouées dans leurs zones, pour que aucuns dérapages n'aient lieux. Rapidement nous sommes emmenés dans des voitures aux vitres teintés et aussitôt elles démarrent, dans la voiture, l'ambiance est joviale, tous les monde est heureux d'être ici. Si un jour on m'avais dit que je viendrais en Amérique, honnêtement je n'y aurais probablement pas crû, mais le plus important est que j'y suis désormais, avec mon père et cinq de mes amis devenus très proches. Dans la voiture, la radio est allumée et c'est sans surprise que nous chantons les musiques qui passent et que nous connaissons plus ou moins.

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Enfin arrivés a notre hôtel choisi par l'équipe des garçons, je fus bouche-bée, si l'hôtel en Espagne était immense alors celui-ci est phénoménal ! L'immeuble s'étant vers le ciel, tellement haut que je ne peux distinguer a quelle hauteur le dernier étage atterri, je ne suis pas ce genre de personnes à regarder les autres de haut et a manger au restaurant a tous les repas, mais sans mentir, je commençais a me faire a ce mode de vie, de mon point de vu, je n'ai aucunes réelles restrictions, c'est donc pour moi un hôtel cinq étoiles, pour les garçons, c'est une prison dorée. Ce genre d'endroit fait parti du bon côté de la célébrité d'après Zayn, et je ne peux que le comprendre, mais s'en est une parmi tant d'autres qui elles, ne sont pas forcement aussi bonnes. Mon père nous poussent a entrés dans l'immense bâtiment pour esquiver la foule qui s'accumule à l'extérieur, devant moi tout brille du sol au plafond sans exception, je pourrais presque en devenir aveugle tellement sa me frappe dès notre entrées. Avec les garçons nous attendons patiemment que papa règles les quelques détails a l'accueil, pour après finalement nous rués dans l'ascenseur pour découvrir les chambres qui nous sont attribuées, nous nous quittons a ce moment là pour faire cette grande découverte. Je passa ma carte magnétique dans l'encoche électronique et le cadran devient vert, je pose ma main sur la poignée et ouvrit la porte, elle ressemble quelque peu a ma dernière chambre, seulement elle fait le double en taille, permettant d'y mettre un sofa en cuir et une télé écran plat dont je ne me servirai probablement pas durant mon séjour ici. Malgré toutes ces perles et paillettes, la seule chose qui m'intéressais vraiment fut les fenêtres qui recouvrent la moitié de mon mur, gardant tout de même un peu d'intimité pour le coin chambre, ce que j'apprécie plus que je ne le pensais. D'ici, j'ai l'impression de voir le monde tel qu'il est, et il est beau, mais aussi triste. En bas les gens sont pressés, ils ne prennent plus la peine d'admirer le soleil qui commence a lentement céder sa place a la lune. La plupart d'entre eux sont nés ici, j'imagine que la magie s'estompe avec le temps Malheureusement interrompue dans ma contemplation, je fus obligée de détacher mon regard de cette vue qui me fait me sentir si puissante et confiante a propos de tout ce qui pourrait se passer.

-Entré.

La porte s'ouvre lentement sur Niall qui entre, il sourit en me voyant là, et il fut si contagieux que je ne peux pas m'empêcher de le lui rendre.

-On va aller visiter les villes de New York, tu veux venir avec nous ?

-Non merci Je suis épuisée, je vais vidés mes valises et je vais me reposer.

-D'accord Demain je serais ton guide personnel dans ce cas.

-Oh vraiment ? Ce sera avec plaisir que j'accepterai ton offre.

Un large sourire prend place sur ses lèvres tandis que Louis entrouvre la porte en pressant Niall de les rejoindre, puis en glissant le fait que ma chambre serait apparemment mieux que la sienne, je rigola a sa remarque et Niall me fit un petite signe de la main avant de sortir et de fermer la porte derrière lui. Dès leurs départ je commença a ranger mes affaires dans les tiroirs a cet effet, quelques longues minutes après, ma valise pleine a craquée fut complétement vide. Je m'assis sur le bord de l'immense lit qui me réconfortera cette nuit, et attrapa de mes minuscules mains mon téléphone portable, lorsque je l'allume l'écran est inondé de notifications instagram et twitter que je n'utilise plus depuis plusieurs années, légèrement contrariée, je regarde mes messages et constate que ma mère ne m'a ni rappeler ni envoyer un message, ce qui m'attriste. Je décide donc pour combler le vide laisser par son absence d'ouvrir instagram et de parcourir l'étendu des messages reçus en ces quelques dernières heures. Sans même savoir pourquoi, le contenu changea rapidement, passant de mots doux et des insultes bien plus horribles les unes que les autres. A cet instant, je me sentie un peu plus seule, et j'ignore la raison du pourquoi cette sensation. Je ne connaissais pas toutes ces personnes et je crois que c'est pour cela que ça me touche autant, ils ne me connaissent pas, mais ils ont décidaient qu'ils ne m'aimeraient pas, sans me donner aucunes explications. Je ferma l'application avant même de laisser couler une larme déboussoler et aussi seule que mon ressenti, dehors, j'entend les cris, l'excitement des passants a l'idée de vivre le rêve Américain. Et pourtant toute la joie que j'avais pu connaitre en arrivant a disparut il y a quelques minutes, la transmettant a ces inconnus qui passent sous ma fenêtre.

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