Quand il/elle te trouve à l'hôpital après ta tentative de suicide loupé

NDA : cherchez pas se que j'ai en ce moment je suis juste dans un mood morbide 😅  fin' la période de Noël quoi 😂

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{...} = pensée

*...* = actions

T/p = Ton prénoms

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Shoto :

*Après que les secours t'ai récupéré, ils ont réussi a te sauver. Tu es toujours à l'hôpital, et les seuls personnes qui ont pu te rendre visite est ta famille. Et de se que tu as compris aujourd'hui c'est au tour de ton petit ami, Shoto, de venir te voir...
En parlant du loup on toque a ta porte, cette dernière s'ouvre pour laisser passer la tête de ton copain. En te voyant il entre dans la pièce et s'assoit sur le siège à côté de ton lit. Tout est calme pas un bruit, et aucun de vous ne veux briser ce silence pesant. Enfin jusqu'à se que Shoto se decide a parler*

Shoto : Pourquoi ?

T/p : *Tu fronce les sourciles et panche la tête sur le côté pour le questionner*

Shoto : Pourquoi as tu fait cela ? *tu ne lui repond rien et baisse juste la tête* Je ne comprends pas !

T/p : J'en ai eu marre de me battre encore et encore... de survivre... de sourire a la place de pleurer, de faire la fille forte alors que je suis detruite à l'intérieur ! *ta voix se brise* Je me suis senti tellement seul ! Et... Shoto... j'en peux plus... *pleure*

Shoto : A quel moment tu t'es dit que tu étais seule ? Moi je suis là. Et si tu veux pleurer, avec moi, tu peux.

T/p : Y'a des moment, tu as beau être entouré d'un milliard de personne qui t'aime, bah t'as quand même l'impression que personne ne te comprends et qu'au final t'es seul...

Shoto : T/p... je suis, et je serai toujours là pour et avec toi. Et je vais t'aider a te battre et a te reconstruire pour que tu n'es plus ces idées noir dans là tête.

Katsuki :

*Cela fait un petit moment que tu es a l'hôpital suite a ta tentative de suicide. Tout tes camarades etaient venu te voir pour te essayer de te faire sourire, te parler, et te faire rattraper les cours. Katsuki, ton petit ami, vient tout les jours. Mais quand il est là il ne parle pas et se contente juste de te regarder. Aujourd'hui il est venu à l'heure habituelle sauf que à la place de faire comme les autre jours et de s'assoir en silence sur le fauteuil a côté de ton lit, il se mit debout a côté de toi et prix la parole*

Katsuki : POURQUOI AS TU FAIT CA ?! POURQUOI T'AS DECIDER DE ME LAISSER ?! TU PEUX M'EXPLIQUER LA RAISON DE TA PUTAIN D'IDÉE DE MERDE ?!

T/p : Kat... (NDA : Waaaah... c'est le pire jeu de mot que j'ai jamais fait 😅)

Katsuki : NON ! LAISSE MOI FINIR ! POURQUOI TU FAIS PREUVE D'AUTANT D'ÉGOÏSME ?! TU T'ES DÉJÀ DIS QUE PEUT ÊTRE QUE SA FERAIT DU MAL A QUELQU'UN ! QUE DES GENS T'AIME ! Que je t'aime... qu'est ce que j'aurais fait si je t'avais perdu ? T'es débile d'avoir penser à mettre fin à tes jours... *commence à  pleurer* tu me refait un coup pareil et je te ramène a la vie pour t'exploser ta gueule !

T/p : *pleure aussi* Je suis tellement désolé... *tends ta mains vers le visage de katsuki pour essuyer ses larmes en gros image* 

Eijiro  :

*Cela fait presque une semaine que tu es à l'hôpital. Même si il ne t'es rien arrivé physiquement parlent, cet incident t'as laisser des traces. Personne n'a vraiment pu te voir depuis la tentative, et de toute façon ca n'aurai servis  a rien puisque tu refuses de parler ou même de faire quoi que se soit. Vivre n'est clairement plus une option pour toi...
Perdu dans tes pensées tu n'entendis même pas la porte s'ouvrir pour laisser passer quelqu'un. Revenu a la réalité tu tourne la tête et remarque ton petiti ami assis sur le fauteuil fasse a ton lit*

Eijiro : Merci

T/p : *froidement* Pour ?

Eijiro : M'avoir ecouter et ne pas avoir sauté... et tu vas bien ?

T/p : J'aurais jamais du t'écouter, et j'aurais du sauter. J'espère que ces informations pourrons t'indiquer comment je vais.

Eijiro : Hum... je t'ai apporté une peluche. Je me suis dit que comme sa tu te sentirais un peu moins seul... *te tend la peluche*

*Plus la conversation avance plus Eijiro perd son éternel sourire. Il ne se decourage pas et reste quand même positif. Enfin jusqu'à se que tu lui dise le fond de sa pensée*

T/p : Écoute. Je te remercie vraiment de m'aimer comme tu le fait et de vouloir sauver tout le monde, mais là... *rigole nerveusement* TU NE M'AS PAS SAUVÉ !! TU VIENS DE M'ENFONCER ! Pfff... un hero égoïste... j'aurais tout vu!

Eijiro : *se lève de la chaises et hausse la voix* Je t'ai dissuadé de sauter parce que... PARCE QUE JE T'AIME T/P ! Je t'aime comme personne n'a jamais aimé !  Et l'idée de te perdre ma broyé le coeur ! Alors oui c'est peut être égoïstes mais je m'en fout ! Parce que si c'est pour que chaque jour je me lève en sachant que je ne te verrai pas sourire, que je n'entendrai plus ton rire et le son de ta voix, je ne vois pas l'intérêt... ma vie sans toi n'a aucun sens...

T/p : (j'ai aucune idée de se qu'elle pourrait bien repondre alors amusez vous dans les commentaires 😂)

Izuku :

*Depuis que tu es à l'hôpital tu t'ennuies a mourir... tout objet que tu pourrais utiliser pour tenter de te tuer est éloigné. Les activités autorisés sont rare. Alors quand tu entendi la porte s'ouvrir sur ton petit ami le brocoli tu fut très heureuse. A chaque fois qu'il vient te voir il fait son maximum pour te faire rire, sourire, enfin tout pour que tu ne pense pas a la mort.*

T/p : Pas que je ne t'aime ou que je n'aime pas te voir mais que fais tu ici en pleine journée ? Tu n'es pas en cours ?

Izuku : non... je me suis cassé le petit orteil...

T/p : Oh...

Izuku : Mais t'inquiète ca va ! Et toi alors la vie ici ? *image*

*Vous parlez ainsi un long moment où comme prévu aucune pensé morbide ne t'a traversé l'esprit. Mais pour les pensées obscènes c'est une autre histoire...*

Denki :

*Tu es actuellement dans ton lit d'hôpital sous la "surveillance" de ton petit ami, Denki, qui essais du mieux qu'il peut de te faire sourire ou rire. C'est Denki quoi... Toujours à faire rire les autres et à remonter le morale. Mais malgré cette belle initiative, tu as bien remarqué que ton copain n'est pas dans son assiette et que ta tentative de suicide l'a touché bien plus que se qu'il ne veux le montrer*

T/p : Arrête.

Denki : *la ferme* Quoi ?

T/p : Je vois bien que tu fais genre d'aller bien alors qu'en réalité c'est pas le cas... Alors arrête de jouer la comédie avec moi et défoule toi. Dis moi tout se que tu as sur le coeur.

Denki : *arrete de sourire* Je me sens trahit, mais aussi coupable et indigne de toi... Tu as voulu nous lâcher... Et moi je n'ai rien vu je ne comprend même pas se que je fais ici en fait... Je veux dire en tant que petit ami...

T/p : Je n'ai pas voulu vous lâcher, mais me libérer. Et je ne t'en veux pas... Tu pense que Shoto, Izuku, Eijiro, ou Jiro l'on remarqué ? Et pourtant se sont quand même mes amis...

Dabi :

*Tu viens d'arriver à l'hopital, enfin tu y as déjà passé ta première nuit. Et quelqu'un entre en trombe dans la chambre. Tu eu du mal à le reconnaître mais sa voix te ramena vite à la réalité*

Dabi : J'ai eu tellement peur... Putain mais qu'est ce qu'il t'a pris ?! Putain t'en à encore des idées de merdes comme ça ?!

T/p : Mais qu'est ce que tu fais ici ?

Dabi : Dit le maintenant si t'es pas contente de me voir

T/p : C'est pas ça mais tu risque de te faire choper... Faut que tu partes !

Dabi : Comme l'a dit Shakespeare dans Hamlet à la ligne 88 de l'acte 3 scène 3 : non.

T/p : Mais...

Dabi : Ta gueule et repose toi... Ne t'en fait pas pour moi.

Himiko :

*Cela fait quelques petits jours que tu es à l'hopital et ta petite amie n'est pas venu te rendre visite à cause de son statut de vilaine mais tu ne lui en veux pas puisque chaque jour tu reçois un petit cadeau avec une petite lettre écrite de sa part (accompagné des informations (à la tété) qui annonce chaque jour qu'une personne à été assassiné. Et bizarrement c'est tes harceleurs. On se demande qui a fait ca!)*