Stage p.1

NDA : Chuppachups, si tu ne me donne pas un autre nom de héros, tu garderas celui là, (sauf si tu préfères ton prénom)

Papa : Vous devez choisir vos noms de héros.
Supahu : Ha.
Papa : Vous pourrez toujours changer plus tard, mais ne mettez pas un truc au pif.

On a commencé à réfléchir, normalement on aurait dû garder le silence.

On aurait dû garder le silence.

Supahu : J'ai pas d'idées...
Moi : Blaste Red en vrai, ou juste Blaste.
Supahu : Mouais. T'as toujours pas d'idées toi ?
Moi : C'est plutôt l'inverse...
Okami : Moi, je l'ai, Blue Wolf.
Violet : C'est classe ! Vous pensez quoi de Brainflash pour moi ?
Sophie : Ça te va bien.

J'ai commencé à jouer avec mon crayon.

Moi : Sukuna ?
Supahu : Non.
Moi : C'est mon nom de héros !
Supahu : Tu vas pas arrêter de dire "Ça sonne italien" et je vais te péter les dents, PARCE QUE C'EST PAS LE CAS !!!
Moi : Ouais, bon...

Fujiiro, un truc avec ça... Fuko ? Nejii ? Fushiguro ? Ho la, je dérive là. Comment ça s'appelle les machins, qu'il fait POP Megumi ? Les Shiki... ? Shikigami !

Moi : Shikigami !
Okami : Tu sors ça d'où ?
Moi : Bah, je pensais à Fujiiro, j'ai essayé des mixes avec mon prénom, mais bon, Fuko, Nejii, c'est nul, et je trouvais que ça ressemblait à Fushig-
Supahu : Ta gueule...
Moi : Il a demandé, je lui explique.
Okami : Nan, ferme la...
Moi : Donc, ça ressemble à Fushiguro, et du coup, ça m'a fait penser à Megumi, et M-
Supahu : Sérieux, tu devrais arrêter d'avoir des obsessions, comme ça...

(NDA : J'ai reporté mon obsession de Katsuki pour Megumi, nan, parce que ça serait EXTRÊMEMENT chelou)

Moi : J'arrête si je veux. Donc, Megumi, son pouvoir occulte, c'est de faire apparaître des animaux, appelé Shikigamis.
Violet : Je ne veux jamais avoir un cerveau comme le tien.

J'ai rangé mon crayon.

Moi : Moi aussi...

Mon père est arrivé vers moi.

Papa : Neko, t'as trouvé, du coup ?
Moi : Shikigami ! C'est bien !
Papa : Je vais te passer tes demandes de stage, et je vous les emmène aussi, Supahu, Okami et Violet.

Il est arrivé avec un pile de papier.

Des quatres, c'était moi et Supahu qui en avions le plus.

Supahu : On en a combien là ?!
Papa : Une bonne vingtaine chacune.
Moi : Des adeptes de ma technique de la poussière !
Supahu : Ta gueule et regarde ce qu'il y a.

On a commencé à regarder.

Au bout de deux minutes, Supahu a fixé une feuille.

Supahu : J'ai une demande de l'agence de tes parents.
Moi : Fais voir !

J'ai regardé la feuille. Y'avais le nom de leur agence, Ryokucha.

Maintenant , l'explication de leur humour de merde.

Midori veut dire vert.

Ocha veut dire thé.

Ryokucha veut dire thé vert.

Vu qu'ils l'ont fondée ensemble, tous ça tous ça.

Moi : T'accepte ?
Supahu : Bien sûr !
Moi : T'imagine j'ai une demande de la Dynamight's Agency ?

J'ai regardé la feuille suivante.

Moi : Yes ! C'est trop bien ! Je vais dans l'agence de mon héros pref' !

Mon père m'a regardé.

Papa : C'est pas moi ton héros préféré ?
Moi : T'avais qu'à pas me faire chier avec le rangement de ma chambre.
Papa : On voyait même plus le bureau !
Moi : Si tu rentrais pas dans ma chambre aussi !
Papa : Je suis ton père tu me dois le respect !
Moi : Actuellement, t'es dans ton rôle de prof.
Papa : Je souhaite bonne chance à Katchan, mais vraiment...
Moi : Je suis pas si ingérable que ça...

Transition

J'ai attrapé la valise qui contenait mon costume de héros, et j'ai couru rejoindre les autres.

Papa : Je vous fais confiance, vous représentez le lycée. Et vous ne mettez vos costumes seulement avec le héros qui vous a pris, d'accord ?
Classe : D'accord !

Je n'avais même pas besoin de changer de ville. Tranquille.

J'ai pris le métro et je suis arrivée à peu près à l'heure à  la Dynamight's Agency.

Une fille aux cheveux rouges m'attendait.

Rouge : Salut, je suis Aka, la comptable de la Dynamight's Agency. Dynamight t'attend en haut.
Moi : Okidodoki !

Je suis entrée et j'ai pris l'ascenseur.

J'ai ouvert la porte d'un coup.

Moi : Bonjour chef !

Katsuki était assis sur sa chaise, et il discutait avec Kaso ?!

Katsuki : Salut Neko, je resterai avec toi pour le stage, et Doragon aussi.
Moi : M-mais ! Il va me tuer !
Kaso : Mais nan...
Katsuki : Il ne le fera pas. Tu es sous ma protection, et je ne quitterai pas d'une semelle.
Moi : Mon père t'as menacé ou quoi ?
Katsuki : Pas lui...
Moi : Nan... Ma mère ?!

Il a détourné le regard, alors que je me retenais de rire.

Katsuki : Je peux encore te renvoyer !
Moi : Pardon.
Katsuki : On va faire une patrouille. Vas mettre ton costume.
Moi : Oui, chef !

Je suis allée dans les vestiaires de l'agence.

J'ai mis mon costume le plus vite possible. Et j'ai attaché mes cheveux en semi queue de cheval.

J'ai bourré mon uniforme dans la valise que j'ai laissé dans un coin des vestiaires.

Et je suis remontée.

Katsuki : Parfait, on y va.

J'étais excitée comme une puce. Et surtout trop fière.

On est sortis de l'agence, et plein de journalistes se sont précipités vers Katsuki.

Ha, non.

Quelques uns sont restés avec Katsuki, d'autres sont allés vers Kaso.

Et le reste est venu vers moi.

Journaliste 1 : Vous êtes bien Neko Midorya ? La fille adoptive de Deku, et la fille biologique de Tomura Shigaraki ?
Moi : Heu, ouais...
Journaliste 2 : Ça fait quoi de faire son stage chez le numéro 1 ?
Journaliste 3 : Vous êtes arrivée deuxième au championnat de Yuei, une fierté ?
Journaliste 4 : Qu'est-ce qui vous a donné envie d'être une héroïne ?

J'ai commencé à avoir l'impression d'avoir un étaut autour de le gorge.

Y'avais trop de questions, trop de monde, trop de bruit.

Et aucune issue.

Moi (en chuchotant) : Partez...
Journaliste 4 : Vous pouvez répéter votre réponse ?

Ils ont commencé à se rapprocher encore plus.

Katsuki : SI VOUS VOUS ÉCARTEZ PAS TOUT DE SUITE DE MA STAGIAIRE, JE VOUS EXPLOSE VOS GUEULE DE JOURNALISTE !!!

Ils se sont tous écartés, me laissant respirer.

J'ai rejoint Katsuki en essayant de marcher dignement, mais, avec les jambes qui tremblent, c'est pas simple.

Putain ! Neko, tu t'es faite poignardée, t'as été dans le coma, t'as pratiquement vu Tei mourir sous tes yeux, et tu AS PEUR DE PUTAIN DE JOURNALISTES ?!

T'es associable...

Ha, c'est vrai !

Une fois arrivée devant Katsuki, il m'a ébouriffé les cheveux.

Katsuki : T'as besoin d'un truc ?
Moi : Un câlin...

Et je l'ai serré dans mes bras.

Il a soupiré et m'a enlacée.

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