Du Bruno Mars pour vous ❤️ Bonne lecture.

Jane

Tous ce qui me gagnais en  ce moment c'est la peur, lorsque nous revenons au campement, les autres sont aux septième ciels, et toute la nuit je suis restée éveillée.J'avais vraiment l'impression que c'était vraie. Je regardais Jake endormi à côté de moi. Je sais que ça lui a fait chier au fond de lui mais il s'est inquiété. Je n'ai vraiment pas la force de rester loin de Nate tant que je ne suis pas apaisée, est-ce injuste pour Ashley ? Et si elle rentrait avec moi aussi ?

Comme l'on doit encore rentrer faire nos valises et acheter des billets pour Londres, nous nous sommes rendus à l'hôtel vers sept heures. Les autres ont eu un sommeil profond s'ils ne m'ont pas entendu hier. Lorsque tout est prêt et que nous descendons les marches, je vois les gars réunis, discutant sérieusement.

—    Je suis désolée, vraiment, on aurait pu...

—    Ne t'inquiètes pas, on est ensemble, c'est l'essentiel.

—    Si tu avais vu ce cauchemar, j'avais l'impression d'être sur les lieux, ne pouvant rien faire, il était devant moi et...

—    Chut ! Oublies.

Jake me prends dans ses bras et son odeur de sucre rose m'apaise. Les gars me demandèrent si tous va bien et je leur réponds avec enthousiasme de ne pas trop s'inquiéter.

Je crois que la chose la plus dure à vivre, c'est ne pouvoir rien faire devant une situation grave surtout devant la transition entre la vie et la mort. J'espère ne pas le vivre.

Pendant les heures de trajet du retour, je trouve un infime sommeil car tous ce qui résonne dans ma tête c'est m'assurer en vrai que Nate va bien. Cela semble peut-être paradoxal mais Nate compte pour moi. Jake l'a compris mais il a aussi compris que je l'aime et il respecte mes décisions.

Lorsque je m'endors, je sens le pouce de Jake me caresser la main et lentement, Morphée me ramène dans ses bras.

—    On ne peut plus sortir ensemble Jane.

—    Jake mais qu'est ce qu'il y a ?

—    J'ai trouvez mieux que toi, plus jolie et qui m'aidera dans ma carrière.

—    Tu es sérieux !

—    J'ai l'air de plaisanter ?

—    Alors va t-en, personne ne te retiens.

Il s'en va et je le retiens.

—    Attend !

—    QUOI !

Les gens autour nous regardaient.

—    C'est moi qui m'en vais, tu paie le repas, c'est toi qui m'a invité pas l'inverse et je n'ai pas terminé mes spaghettis, dis à ta nouvelle copine de venir les terminer de toute façon elle se charge de piquer mes restes.

Lorsque je sors de l'hotel, toujours les paparazzis derrière leur voiture, je leurs lance un doigt d'honneur, et verse silencieusement mes larmes, j'ai mal, là juste là. J'essaie de joindre Nate mais il ne me répond pas. Je n'arrête pas de jurer. Je m'assieds sur les portes de l'immeuble, la neige me refroidis mais la brulure de mon cœur ne cesse de me regagner. Je dors sur le lit de neige en position fœtale, priant Dieu.

—    Jane ! Jane !

— Jane ! Arrêtes de pleurer.

Je me réveille en sursaut, encore un cauchemar. Mais pourquoi je fais des putains de cauchemar.

—    Tu m'as quitté, pour une mannequin.

—    Quoi ?

—    Dans mon cauchemar...

—    Ca n'arrivera ja...

—    Ne dit jamais « jamais », lui coupai-je, ça peut arriver ou pas.

Il m'embrasse le front et le vieux couple âgée en face de nous souris. Gênée, je me renfrogne dans son cou.

—    Rendors-toi...

—    Non, je vais refaire des cauchemars.

Lorsque nous arrivons à Londres, Ashley reçoit un appel, elle semble se disputer avec ce quelqu'un pendant que nous l'attendons, je m'approche du Kiosk à Magasine et voit des photos de nous en vacances. Oh Non, on ne peut pas être tranquille ? Ashley reviens, rouge de colère et les larmes au bord des yeux.

—    Il faut que je rentre.

—    Quoi ? Maintenant ?

—    Je te raconte plus tard... Au revoir les gars, c'était super d'avoir pu passer du temps avec vous. J'espère qu'on se reverra non ?

Elle check tout le monde et arrivé à Stan, elle ne sait pas quoi faire. Elle l'embrasse sur les coins des lèvres et à la fin m'enlace.

Je me souviens lorsque je suis sorti de cette gare, zigzaguer entre les gens qui marchaient avec mes grosses valises et mes habits collants à cause de la pluie. Jake a appelé un chauffeur pour nous ramener. Lorsque nous sortons de la gare, les journalistes et paparazzis nous entourent. Et puis merde. Un gars avec un costume noir viens à notre rescousse en poussant les journalistes, il prend nos bagages et les mets dans une voiture tandis que l'on rentre dans cette dernière. Je présume donc que c'est un chauffeur. Le trajet se fait rapidement et Jake me ramène au seuil de ma porte.

—    Bon bah, les vacances c'est fini...dommage, commence-t-il.

—    Elles étaient merveilleuses.

—    Fait attention quand tu es dans la rue, les journalistes et leurs alliés sont toujours prêt à tous.

—    Je m'en fiche, je reste moi-même, ils ne vont pas modeler ma vie, et j'espère que toi aussi tu seras du même avis que moi.

—    Je dois y aller, on s'appelle vers 22h, et si je ne pourrais pas, je te souhaite un bon rêve.

Il m'embrasse le front avant mes lèvres et je sens déjà qu'il va me manquer. J'hume une dernière fois son odeur, et il part lorsque je referme ma porte.

Je me précipite de prendre un papier et un stylo pour écrire à Nate.

« Nate,

Les vacances c'est fini, je me suis bien amusé, de retour, les paparazzis et les journalistes ont fait leur travail, nous encercler et nous bombarder de questions stupides. J'ai aussi vu au kiosk que l'on a été suivi pendant nos vacances, heureusement, ils ont été discret, je n'aurais pas été content que mes vacances soient dérangés.

Tu aurais pu rencontrer ma meilleure amie, mais elle a du rentrer à Paris à la dernière minute, j'aurais voulu te la présenter.

Mais je suis rentré plu tôt que prévu, comme tu vois. SURPRISE !

Mes nuit ont été horribles même dans le train lorsque je me suis endormi, c'était la même chose. Si tu savais.

Les vacances ont été magiques, rien à dire, c'étaient parfait et je sens que c'est trop beau pour être vrai, je sens que quelque chose de mal va arriver endommager ce bonheur que je ressens là. A voir même mes sommes.

Ca te dit d'observer les étoiles avec moi ? J'en ai besoin et je dois te raconter pourquoi mes sommes sont aussi troublées et pourquoi je t'ai appelé en pleine nuit hier.

Jane »

Je toque sur notre mur et met la lettre sur le balcon, je l'entends ouvrir la baie vitré et la refermé ensuite. Après  dix minutes, je l'entends ouvrir la baie et j'en déduis que c'est le moment pour moi aussi de sortir, j'emporte une couverture.

Lorsque je le vois, je pleure. Merde qu'est ce qui m'arrive. Il est là devant moi, sans égratignures, ni plaies, vivant. Je suis tellement soulagée que je lui dis :

—    Si tu savais combien tu m'as manqué... Je.. Tu es là, vivant !

Il me tend sa main et je l'attrape.

On prend ensuite place, en silence et on regarde les étoiles, après quelques minutes, je commence à tous lui raconter en versant mes larmes. Il rentre et reviens avec un « attrape-rêve » et un papier.

« Je serais toujours l'étoile dans ta nuit sombre, je t'ai dis que je brillerai toujours pour toi, n'es pas peur, ma lumière ne s'éteindra que si tu t'éteins, j'espère que ceci t'aidera à mieux dormir, appelle-moi si tous va mal encore et que si ça ne fonctionne pas »

L'attention, c'est un geste mignon, qui ne demande pas beaucoup de choses, juste des efforts. C'est une chose dont tout le monde à besoin mais ce n'est pas tout le monde qui sait le faire. C'est rare de l'avoir même si l'on a des milliards de livres, car ça part d'une affection, de la tendresse et de la compréhension.

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Hello ❤️

J'espère que votre lecture ne vous a pas déçu🥺 Alors qu'est que vous en avez pensé??  ❤️❤️

Je vous retrouve avec un nouveau chapitre plus tard 🖤🖤🖤 bisous je vous aime fort 😘