Chapitre 19

Pdv Louis :

Je suis toujours allongé sur Harry et nous ne parlons pas, je me contente de lui faire des papouilles dans les cheveux.

-Il faut que nous ayons une discussion Hazz...

-Je sais.

-Pourquoi ?

-Pourquoi quoi ?

-Ma parole t'es con toi.

Je dis en pouffant. Et monsieur semble contrarié.

-HÉ !! Je ne te permet pas.

-Je me permet tout seul bébé.

Il dépose un chaste baiser sur mes lèvres et s'assoit en tailleur à côté de moi, et, je me redresse dans la même position face à lui. Il prend lentement mes mains et je sens que ce moment va être fort en émotions.

Pdv Harry :

Je suis assis en face de Louis. J'ai peur. J'ai tellement peur qu'il me lâche. Mais il faut que je lui dise, il doit avoir des réponses à ses questions !

-Écoute Louis, je t'aime, n'en doute jamais. Ce que je vais te raconter risque de te choquer mais ça fait parti de moi. Tu es libre de partir à tout instant si ce que je te dis est trop pour toi.

-Hazz... Rien de ce que tu pourras me dire ne me fera changé d'opinion sur le fait que tu es l'homme que j'aime et que je te veux pour qui tu es, et j'accepte chaque partie, qu'elle qu'elle soit, ton passé qu'il soit triste ou heureux je l'accepte parce que je t'accepte toi, toi tout entier.

Il me dit en venant prendre mon visage en coupe et m'embrasse avec tout l'amour du monde.

Je commence mon monologue, j'explique tout à Louis de A à Z. Et putain que j'ai envie de pleurer mais je ne veux pas que mon Louis me voir faible. J'ai senti tout du long les mains de Louis se resserrer autour des miennes à chaque fois qu' il sentait que je ne me sentais pas bien et que j'allais craquer.

-Oh mon dieu, mon amour...

Il me prend dans ces bras en chuchotant cette phrase. Il n'a pas de pitié pour moi, juste de la compassion et c'est tellement rassurant.

-Louis, j'ai passé 7 ans de ma vie à être torturé par cette histoire, et le jour où t'es arrivé, le passé est resté où il était, je ne pensais plus à ça. Mais il a resurgit quand j'ai su que tu étais en danger. Alors s'il te plaît ne m'en veut pas de t'avoir éloigné de moi.

Je dis la dernière phrase et un sanglot s'échappe ainsi que ma voix craque. Il me prend dans ses bras et je viens loger ma tête dans son cou.

-Non, non, non. Je ne t'en voudrais jamais surtout maintenant que je sais que tout ça est bientôt finit.

-Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime...

Je répète abondamment, de peur qu'il s'en aille, que quelqu'un me l'arrache pour lui faire du mal. Je suis totalement dépendant de lui.

-Moi aussi je t'aime amour. Dis moi, quand est le procès ?

Je me dégage délicatement de son cou pour le regarder dans les yeux.

-La semaine prochaine. Jeudi.

-Tu veux que je vienne ?

-Je ne veux pas te forcer à venir ne te sent pas o-

-Tututut, si je te propose c'est que je ne me sens aucunement obliger, et je veux pouvoir te soutenir dans cette épreuve.

-T'es tellement parfait.

-T'as tout le temps de découvrir toutes mes imperfections, et crois moi je suis loin d'être parfait.

-Tu es parfait pour moi...

Je dis en venant l'embrasser.

-Ça te dit une journée chill tous les deux?

Comme ci j'allais refuser une journée chill avec mon amoureux...

-Avec plaisir princesse.

-Mais !!! Je ne suis pas une princesse.

Dit-il en faisant la moue et en croisant les bras.

-Oh, alors tu ne veux pas que je te porte comme telle ?

Je dis, semblant désinteréssé.

-JE SUIS RAIPONCE !

Je pars soudain en fou-rire suivit par Louis.
Je me lève alors et le porte telle la princesse qu'il est, une main dans le plit de ses genoux, et l'autre dans son dos.

-Un petit creu princesse ?

-Mmmmh oui.

Un grand sourire aux lèvres, nous nous en allons, nu comme des vers, dans la cuisine pour grignoter quelque chose.

Je dépose Louis sur le plan de travail et je lui demande ce qu'il souhaiterait manger.

-J'ai bien une petite idée..

Okay, princesse Disney pas si innocente que ça.

-Je savais pas que y'avait un retournement de situation dans le film.

-Je le rajoute. Mention spéciale Harry Styles.

Il dit en m'attirant entre ses cuisses bien ouvertes, où je peux apercevoir sans gêne son sexe déjà bien dur.

-Du coup, tu veux manger quoi ?

Je demande avec une voix qui se veut rauque sous l'excitation.

-Toi.

Fin..



















































SIKEEEEEEEEE. Je suis drôle je sais, dites que je suis drôle !!!!!!!!!!!!!

Avouez vous avez flippé vos mamans les gentilles.

Ruum ruum reprenons.










-À genoux.

J'ordonne et je le vois sourire, son regard change devenant noir de désir. Il s'exécute alors que je le place dos au plan de travail pour me maintenir et profiter du moment.

Il est assit juste en face de moi en me regardant d'un air innocent et il détourne rapidement son regard vers ma queue avec envie.

-Daddy ?

-Oui Baby?

-Je peux la prendre ?

-J'attends que ça mon cœur.

Sans plus attendre il empoigne ma queue et fait des longs et lents vas en vient dessus.

-Suce.

Il la prend en bouche tout en me regardant dans les yeux si innocemment que je pourrais jouir rien qu'en le regardant.

Des gémissement sorte de ma bouche alors qu'il met ses mains derrières son dos de manière à me faire comprendre qu'il est totalement soumis, et que je peux lui baiser cette belle petite bouche.
Je met ma mains dans ses cheveux que je caresse tendrement et je commence à lui enfoncer ma queue dans sa bouche.

-Oooooh... Continu baby, prend Daddy tout en entier pour moi.

Je dis dans un gémissement, j'ai le paradis autour de la queue.

Je continu de le baiser jusqu'au fond de la gorge où je reste quelques secondes.

La vision qui s'offre à moi est juste incroyable.
Louis, ma queue autours de sa bouche, les yeux vitreux ainsi que quelques larmes qui perles aux coins de ses yeux, un regard innocent, nu, et qui émet des gémissement outrageusement bandant.

-Bébé je vais venir..

Je dis d'une voix enroué du plaisir qu'il me donne.
Je lâche sa chevelure pour qu'il se retire mais il fait lui même des gorgée profondes en me sucrant avidemment.
Je viens dans un long râle, mes jambes tremblantes et mes yeux qui apperçoives des étoiles.
Je sens Louis se crisper, lui aussi a jouit. Je n'avais même remarquer qu'il se branlait en même temps.

C'est la meilleure pipe de ma vie.

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