Stiles encore à moitié endormi repense à sa nuit agitée, et dire qu'il a enfin eu ce qu'il désirait le plus au monde. Certe peut-être que si il avait eu le choix, il l'aurait peut-être fait dans d'autres circonstances, mais ça y est, Derek est enfin siens. Il décida enfin d'ouvrir les yeux pour décrouvrir qu'il était seul dans son lit d'hopital. Ses pensées s'effacèrent aussitôt.

Stiles: J'aurais du m'en douter, Connard... 

Quelques jours plus tard...

Mélissa McCall: ton père a signé les papiers, tu peux sortir aujourd'hui. 

Stiles: Merci beaucoup.

En arrivant enfin chez lui il n'avait qu'une envie c'était de dormir et d'essayer de ne pas pleurer, ce qu'il n'avait pas réussi à faire depuis cette fameuse nuit. En arrivant dans sa chambre, il découvra son lit déchiré avec un mot dessus; il reconnu l'écriture de princesse Derek. Une partie de lui voulait le déchirer sur le champ mais l'autre partie toujours amoureuse pris le dessus. 

Maintenant je vais être obligé de partager mon lit ;) Avant de me détester complètement passe chez moi quand tu sortiras de l'hopital. Derek

La tentation pris le dessus sur la haine et Stiles se rendit chez Derek. 

Stiles: Derek?

Derek: Enfin... J'ai cru que tu ne sortirais jamais..

Stiles: Tu sais que t'es un vrai connard?

Derek: Donc tu me déteste vraiment hein?

Stiles: C'est ça le problème, j'aimerais tellement pouvoir te détester mais je n'y arrive pas.. 

Derek: Approche mon ange..

Derek posa sa main sur la joue de Stiles, une goutte coula de ses yeux, Derek la sécha en passant son pouce dessus. Il l'embrassa d'abord doucement puis d'une passion incommensurable. 

"Derek. Derek." C'est à la fois un gémissement et une demande, le plaisir s'étend dans Stiles and le fais trembler. Il ferme ses yeux, trouvant un refuge derrière l'obscurité de ses paupières pour qur Derek ne puisse pas voir qu'il est si près de perdre le controle.

Les doigts de Derek presse contre sa si fine et douce peau qui couvre son coccyx, il glisse ses hanches sur celle de Stiles. "Là", Il soupire dans son oreille, "je suis juste là". Le lit craque sous eux, le lit heurtant le mur et la couverture tombe à cause de leurs mouvements langoureux. 

C'est pas que Derek n'aimerait pas prendre les rennes, attraper le poignet de Stiles et le maintenir sur le matelas, sous lui et prendre tout ce qu'il veut, tout ce qu'il a besoin, de ce garçon qui a tant désiré. Il le ferait pendant des heures, mordant le torse de Stiles, rodant à chaque courbe et à chaque creux de son corps, dessinant une histoire avec les marques rouges qu'il laisse sur la peau de Stiles, en le faisant se cambrer et en suppliant avant que Derek ne le prenne de la manière qu'il veut.

Pas de restrictions, pas de limites, c'est comme ça qu'il le ferait, avec ses griffes découpant la fine couverture sous eux, et avec ses crocs poussant dans le creux de la gorge de Stiles, là où son pouls est plus forts and là où sa gorge se serre. 

Néanmoins, il a quelque chose dans les yeux de Stiles, dans la façon que son corps bouge au-dessus de lui, toutes les poussées frénétiques et les gémissements, lui donne envie de donner au lieu de prendre, soumis à la passion qu'il a pour Stiles. 

"Ouvre tes yeux Stiles", murmure Derek, un doigt glissant entre les fesses de Stiles, poussant juste assez, -

"Derek,.." Stiles se cambre en arrière, trop loin pour comprendre se qur Derek lui demande. Le doigt de Derek glisse enfin en lui et l'embrassant de ses lèvres pulpeuse et rouge vin. 

"Oui", siffle Derek, poussant encore plus loin , "tu vas te sentir si bien, si bien...". "Détends-toi", dit-il de sa voix grave et de velours. 

De petites gouttes de sueur descende dans le cou de Stiles. Il lance un regard à Derek, "Oh putain,..." Ses muscles se rétractant autour des doigts de Derek, son dos se pliant sous la force de son propre orgasme,

Enfin, pense Derek. Dehors, la lune se lève au-dessus des bois.