Ultraviolence
Ultraviolence
« TU NE COMPRENDS RIEN ! » je le regardai, affaiblie.
« C'EST UN MENTEUR ! JAMAIS NOUS NE RETROUVERONS NOTRE ARGENT ! » criai-je. Il s'approcha de moi, rouge, les veines à découvert.
« Et tu sais bien que nous en avons besoin... » dis-je timide.
« DN, DN, DN, DN, QU'EST-CE QUE JE VAIS FAIRE DE TOI? TU N'AS RIEN DANS LA TÊTE? »
Il avait l'habitude de me surnommer « DN. » Aucun rapport avec mon prénom, mais plutôt car cela signifie « deadly nightshade ». C'est le nom anglais d'une plante.
Une plante mortelle.
Il disait que j'avais été incorporée de poison. Tout cela se soignait avec de la beauté et de la rage, bien sûr. Oui, Jim m'a dit ça.
Il s'approcha de plus en plus de moi. Il prit la mince peau de ma cou puis la pinça jusqu'à ce qu'elle devienne bleue.
« PUTAIN DE CONNE! »
Je laissai échapper un souffle court.
« Mais.. »
Il me frappa et cela fut comme un doux baiser.
C'est de l'ultra violence.
Mais je ne l'ai pas choisi.
Jim continua à me frapper, me disant à quel point je ne vaux rien. Je m'effronda sur le bord du mur. Je peux entendre les sirènes, j'en suis sûre.
Elles arrivent.
Donne-moi toute cette violence.
Jim avait aussi l'habitude parfois de m'appeler « poison » Plutôt mignon, non? Il me traitait comme si j'étais « poison ivy »
Oh, ça, c'est une autre plante mortelle.
Je pourrais bien mourir ici. Seulement car il est à côté de moi. Je serais incapable de mourir sans lui, cet amour. Jim m'a élevé, d'une certaine manière. Il me faisait mal, évidemment, mais c'était le grand amour. On sait tous que le grand amour ne peut jamais être parfait? Alors c'est de cette manière qu'il était impeccable. Jim m'a aussi enseigné, plus personnellement..
« Que l'aimer n'était jamais assez. »
Je ne vois que des points noir. Je sens la main de l'homme sur moi. Va-t-il me frapper une fois de plus ?
Nous pourrions retourner à New York, cette grosse pomme. Cet endroit si majestueux. T'aimer était dur, Jim, mais jamais je n'ai abandonné. Ce n'est pas cette faille d'aujourd'hui qui me fera changé d'idée. Nous pourrions aussi retourner à Woodstock, cet endroit si dépaysant. Là où personne nous reconnais. Le paradis est sur terre. Le paradis est quand je suis avec toi. Je ferais n'importe pour toi, babe.
Je t'ai aimé dès que je t'ai vu,
Et je t'aimerai jusqu'à la dernière fois.
Je suis la princesse, mais s'il te plait, comprend mes petites lignes blanches, elles sont mon seul plaisir.
Au fond, je suis ta chanteuse de jazz, non? Je sais que tu aimes ça.
Mais tu es mon chef de secte. Oh oui.
Un éclair jallis dans mes yeux. Tout devinrent plus clair. Je ne savais plus où j'étais. Je pris une chance, pensant que Jim pourrais encore m'entendre. Ce ruissellement de pureté m'attirait de plus en plus. ATTENDEZ! JE N'AI PAS TOUT CONCLU! Je laissai sortir deux ou trois petites lignées d'air de ma bouche, puis je dis d'un ton paisible ;
« Je t'aimerai pour toujours, je t'aimerai pour toujours. »
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aww that song 😍 cela ne fut pas complexe d'écrire un os avec de si belles paroles omg
Avez-vous aimé? I hope so🤗
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