01
Michael était plongé dans la lecture de son livre à lire pour l'école. Il n'avait pas envie de le lire. Il n'aimait pas la lecture. Comme la plupart des garçons. Sa génitrice voulait le faire lire, mais elle n'y était jamais arrivée. Tandis, qu'elle était d'accord avec le fait que l'école oblige aux jeunes de lire des livres, Michael se révoltait contre ce fait. Il n'aimait vraiment pas lire. Si bien que tout les livres qu'il avait du lire à l'école, il ne les avait jamais lus jusqu'à la fin. Jamais. Pas une seule fois. Michael aimait pourtant ce livre-ci. Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur. Son professeur pourra être fier de lui. Avoir réussit à faire lire un livre entier à Michael, se doit d'être récompensé d'une médaille.
Si Michael disait à se mère, qu'il avait lu le livre en entier, et cette fois, sans sourire bêtement, elle ne le croirait pas. Elle offrirait comme même une boîte de chocolat au professeur de Michael, en le remerciant d'avoir réussit, quelque chose qu'elle n'avait réussit. Michael était dans l'histoire, vraiment dedans. Il aimait ce livre. Le seul dans tout ceux qu'il avait déjà lu et laisser prendre la poussière dans un coin de sa chambre. Son professeur aurait de quoi dire, sa fierté d'avoir réussit un exploit qui semblait impossible. Rien n'est impossible. Rien n'est jamais vraiment vrai non plus. Tout le ment comme il respire. Il y a juste une petite différence. Il y a les bons menteurs, et les mauvais menteurs. Michael faisait partit dans bons. Il avait réussit à faire tourné en bourrique sa mère plus d'une fois. Il avait déjà essayé avec son père, mais il était plus difficile à avoir que sa mère.
Les pères avaient toujours été plus difficile à avoir que les mères, c'était connue. C'est peut-être parce qu'elles avaient le cœur plus ouverts, que les filles sont plus naïves à la base que les garçons. Personne ne saura vraiment les raisons, ce ne sont que des hypothèses que les scientifiques émettent. Encore une nouvelle chose, qu'on peut rajouter à la liste, de tout ce qui ne sera jamais prouvé, ou en tout cas tant que Michael sera encore vivant. Michael n'aimait l'école. Il préférait apprendre un nouveau morceau sur sa gratte fétiche, celle qu'il c'était lui-même, le premier objet qu'il c'était offert, sans l'aide de ses parents. Michael tournait les pages. Il lisait vite, ce qui était rare chez lui. Il n'allait pas souvent vite dans tout ce qu'il avait à faire. Il prenait son temps, estimant que le temps est fait pour durer et non pour être pressé tout le temps.
Il aimait, être ne retard pour énerver ces professeurs et ses parents. Il aimait déjeuner à son rythme, se laver lentement. Il aimait, faire comme bon lui semblait. Ce qu'il n'aimait vraiment pas, c'était les ordres. Obliger quelqu'un à faire quelque chose, il ne supportait pas cela. Il avait cette fâcheuse manie d'enfreindre les règles, de ne pas faire ce qu'on lui demandait de faire à temps, de ne rien respecter. Il aimait tout enfreindre, ne rien respecter. Il n'était pas un mauvais élève non plus, mais c'est juste qu'il aimait dépasser les limites installées par les établissements scolaires et ses parents. Michael n'était pas si méchant qu'il n'en avait l'air, et qu'il le faisait passer.
Dans la « réalité », il était gentil. Il n'avait rien de celui dont il pourrait se faire passer. Il est peut-être froid au début, assez distant et méfiant, mais il suffit de mieux apprendre à le connaître, et on peut découvrir, un garçon qui n'a simplement pas envie de gâché sa vie sur un banc d'école, et qu'il voudrait en profité en riant avec ses amis tant qu'il le peut encore. Michael avait ses habitudes aussi, et il n'aimait pas quand on les dérangeait. Il était régulier, un peu comme un maniaque de l'ordre, mais lui c'était dans ses activités. Si bien, qu'il détestait les imprévus. Michael soupirait lorsque sa génitrice le ramenant dans sa chambre. Il était complètement dans le livre, et sa mère du presque crier dans son oreille pour qu'il fasse enfin attention à ce qu'elle devait lui dire.
Il voulait savoir, quelle excuse sa mère allait trouvée pour l'avoir déranger dans sa lecture. Il avait prévenu sa mère, qu'il fallait qu'elle ait une très bonne excuse pour le déranger, ce qui la surprit, inévitablement. Lorsque sa mère en eu finit, Michael fut peiné. Il avait envie de finir ce livre, mais il n'y aura bientôt plus d'électricité, et sa mère, protectrice comme elle est, elle refusait qu'il lise près d'une bougie allumée. Il pourrait se brûlé, et aussi brûlé le livre. Il devait le rendre à la bibliothèque, en bon état. Brûler, ne serait pas vraiment l'idéal. Il continua de lire, jusqu'à ce que sa mère l'appelle à nouveau, pour manger cette fois-ci. Le repas fut silencieux.
Michael voulait tellement savoir la suite, qu'il lit à table. Malgré la désapprobation et les remarques de ses parents, il ne s'arrêta pas de lire. Il se disait que ses parents voulaient qu'ils lisent, mais lorsqu'ils lisaient, on venait tout le temps le déranger ou lui dire de ne pas lire. Il avait un sourire malicieux, avec une pincée d'arrogance. C'était un sourire, que son père ne supportait pas, et que sa mère modérait encore. Michael avait toujours été arrogant, depuis tout petit. Lorsqu'on est un Clifford, il faut bien être arrogant. Le père de Michael était un colérique, arrogant, prétentieux et assez vantard. Il aimait dire qu'il avait telle ou telle chose avant les autres. Michael n'avait pas hérité de cette partie-là de son père, mais bien de celle de ne jamais faire ce que l'on demande.
Son père avait frôlé la délinquance. Michael n'y était pas encore. Il avait encore un petit bout de chemin à faire avant d'y arriver. Sa mère était là pour lui, aussi. Et non absente, comme la mère de son père l'avait été. Une alcoolique, on lui retire tout de suite ces enfants. Michael était banale, mais pas son père. Michael ne se sentait pas pour autant inférieur à lui. Il se sentait même supérieur, supérieur de tout. Voir même des sentiments. Une partie qu'il du avoir de son père. Sa mère avait toujours été trop gentille. C'est ce qui du plaire au père de Michael. Elle était bien trop douce et bien trop fragile que pour traînée avec un gars comme lui, mais elle avait finie mariée avec un enfant. Illogique. Réel. Qui n'a pas plut à beaucoup de monde. Encore moins à ses parents.
Elle réussit de les convaincre. Convaincre que l'homme qu'elle aimait, était quelqu'un de bien, qu'il le cachait juste. Cela n'avait pas été facile. Michael n'avait pas eu de grandes différences entres les hauts et les bas de sa vie. Il s'en contentait. Il ne cherchait pas, à être heureux comme jamais, si c'était pour que ce bonheur s'échappe dans un triste silence de solitude. Michael n'était pas le gars le plus populaire du lycée, ni le plus détester, ni le plus aimer. Il était juste un gars, un gars qui ne respectait pas les règles, mais qui n'allait pas vers l'exclusion total, malgré toutes les petites choses qu'il avait déjà fait, qu'il avait accumulé depuis des années. Il finirait bien un jour, par se faire renvoyé complètement et non un petit mercredi par ci par là. Loin d'être le cliché du voyou modèle.
Loin d'être un voyou tout court. La pire effraction qu'il avait fait, et c'était un gag, entrer dans les toilettes des filles. Certaines filles avaient aimées, et même qu'elles en avaient rient pendant longtemps, repentant sans cesse, un exploit qu'aucun garçon n'avait eu le courage de faire avant. Il en rigolait encore maintenant, lorsqu'il y pensait. Ce qui était, rare. Il ne pensait pas beaucoup à tout ce qu'il avait fait, il ne s'en vantait pas les mérites non plus. Il avait fait quelque chose, que se soit un exploit, un miracle ou non, cela ne changeait pas grand-chose à sa vie, d'après lui.
Arriver en retard en cour, répondre à un professeur, oublier ses affaires, oublier de faire ses devoirs, « oublier » de se présenter en cours, c'était tout lui. Il n'était pas le seul élève de son école à être comme ça. Il y en avait une multitude d'autres, plus pires les uns que les autres. Certains étaient même ingérables. Pour la direction de l'établissement scolaire, Michael n'était qu'un élève parmi tant d'autre dans le même style. Il n'était qu'un à punir, une fois par semaine, rarement plus. Ils avaient des cas bien plus corsés. Ils avaient bien plus difficiles à gérer qu'un Michael Clifford qui arrivait en retard au cours de géographie, le premier de la journée.
L'un des seuls cours que Michael appréciait, était celui de Religion et de sport. En religion parce que depuis l'année scolaire dans laquelle il a fait son entré, sans avoir doublé une seule fois, il chantait. Le cours de religion était un cours où l'on chantait. Il n'y avait pas crut lorsqu'on le lui avait dit, mais entre septembre et décembre, il eut le temps de s'en rendre compte. Le cours de sport, parce que c'était comme même un sportif. Pas de très haut niveau non plus, mais il savait comme même toucher à un peu tout les sports. Il préférait l'endurance ou le tennis au basket et volley. Il aimait aussi le football, mais pas au point d'en parler à longueur de temps. L'escalade était son péché-mignon de l'été. Chaque été, il allait au club d'escalade tout près de chez lui.
Chaque année, durant tout l'été, il s'entraînait. Chaque année il augmentait de niveau. Chaque année, il reprenait au précédent de celui auquel il était arrivé, pour avoir moins de risque de se blessé. Pour lui, l'escalade, c'est comme le vélo, cela ne s'oublie pas. Il a la technique, il sait s'en sortir, pas encore comme un professionnel, mais pour amateur, il se débrouille pas si mal que ça. Il cache à ses parents, qui le croient dehors avec des amis et amies, qu'il est en faite, au club d'escalade. Ce n'est pas forcément quelque chose accepterait difficilement, mais pas si facilement non plus. Même en lisant, il avait finit son assiette avant tout le temps.
Il mangeait peut-être lentement ses céréales, mais pour les repas, ce n'était pas le cas. Il mangeait rapidement, plus rapidement que son paternel, ce qui n'étai pas si facile, aux yeux de sa femme. Michael n'écoutait rien de tout ce qu'avait put dire ses parents durant le repas, il repartit dans sa chambre, finir sa lecture. Le chalet dans lequel i dormait, était partagé en deux, mais des murs empêchaient comme même tout contact avec les voisins. Il monta dans sa chambre, se faufila sous sa couette, dont il s'en recouvrit à la atte, ayant soudainement froid.
Il regarda l'heure, il n'était pas tard. Il avait mangé plutôt que d'habitude. Sûrement à cause de la panne de courant qui ne tarderait pas à arriver. Michael voulait finir, absolument, au point que cela en devienne une obsession, son livre avant l'extinction des feux. Il jeta un coup d'œil dehors, remarquant l'épaisse couche de neige déjà présente sur le sol, et qui ne faisait que grandir, avec la neige qui s'amoncelait de plus en plus sur le sol blanc, venant du ciel. Il aimait la neige, il serait bien sortit, mais son livre l'intéressait plus que la neige.
Les sports d'hiver, malgré qu'il soit australien, il avait été bercé dedans. Il n'était pas contre non plus. Il lit encore un chapitre, et malheureusement pour lui, il lui en restait encore 4 à lire, lorsque la lumière du plafond, s'éteignit brusquement. Michael pesta, mais il n'y pouvait rien, il fallait juste qu'il accepte.
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