Chapitre 4 : Une nouvelle arrivée


Après la découverte de ce cadeau les jeune amants étaient allés se coucher et ont passer la nuit à dormir l'un dans les bras de l'autre. 

Le lendemain Marc se leva avant tout le monde à 6h puis alla dans la cuisine pour se faire un café serré accompagné de deux tartines ainsi qu'une banane. Une fois le café prêt il alla s'assoir à la table du salon et commença à manger son petit déjeuner quand tout à coup une petite fille châtaine aux yeux légèrement bridés et d'un marron standard s'approcha de lui et le regarda, puis sans rien dire elle partie elle aussi dans la cuisine et se prépara un chocolat chaud, pendant ce temps le plus âgés continuait son petit déjeuné en silence. 

C'est 5 minutes plus tard qu'Emma vint s'assoir en silence juste en face de son père et posa sa tasse de chocolat chaud devant elle toujours dans un silence presque religieux. Elle était encore un pyjama constitué d'une simple et longue robe fine innocemment blanche comme la neige. Ce fût d'une voix douce que Marc vint briser ce silence 

- Marc : Bah alors ma puce qu'est ce que tu fais déjà debout ? 

- Emma : Je n'arrivais plus à dormir alors au lieu de rien faire dans mon lit et de m'ennuyer je suis sortie pour déjeuner et pas te laisser tout seul. 

- Marc : Merci ma puce c'est gentil, même très gentil. Dit il en souriant à sa petite fille 

- Emma : De rien papa c'est normal, tu es gentil et je t'aime alors je ne vois pas pourquoi je ne serais pas venue. Dit la jeune fille en lui rendant son sourire sauf que le siens était plus humoristique que celui de son père en raison de sa moustache de cacao. 

Le plus vieux rigola de bon cœur avant de ne se lever puis d'un geste habile prendre un bout d'essuie tout et de retirer cette pseudo moustache qu'avait la jeune asiatique. Juste après cette action de son père la jeune châtaine lui vola une tartine et partie en courant dans sa chambre pour sans doute lire une tartine dans la bouche. 

Suite à ce petit évènement le psychiatre soupira en rigolant et entrepris de débarrasser la table avant de ne prendre ses affaire pour se rendre à son lieu de travail. C'est donc une fois la table propre et la vaisselle faites que le père alla prévenir la jeune fille de son départ. 

- Marc : Je vais au travail ma puce, tu aide bien maman avant d'aller à l'école hein. 

- Emma : Oui papa promis ! A ce soir je t'aime

- Marc : A ce soir ma puce je t'aime aussi. 

Il lui embrassa le front en ébouriffant légèrement ses cheveux puis une fois sa mallette en main avec ses documents il partie de chez lui puis descendit sur le parking au pied de l'immeuble où l'attendait sa voiture. 

Alors qu'il venait de descendre de sa voiture un infirmier accouru vers lui avec un dossier assez vide ce qui était mauvais signe 

* Merde un dossier aussi fin ça ne veut dire qu'une chose... * 

- Infirmier : Docteur Davis ! On vous cherchais partout ! Une nouvelle patiente est arrivé et elle vous attends dans votre bureau. Ah et on a du lui mettre une camisole... Sinon elle aurait assassiné tout le personnel. 

- Marc : Pourquoi est elle ici ? Dit il en soupirant 

- Infirmier : Quadruple meurtre et terrorisme. Elle a essayé de faire exploser le commissariat du quartier 

- Marc : Alors sa place est en prison pas en hôpital psychiatrique 

- Infirmier : Elle ne sait pas parler, enfin si mais elle parle de manière incohérente, personne n'arrive à la comprendre. Alors le juge voulait l'avis d'un professionnel.  

- Marc : Et c'est tombé sur moi...

- Infirmier : Et oui désolé docteur, mais vous êtes le plus efficace ici.

Le jeune médecin passe devant l'infirmier et lui prends le dossier en même temps puis une fois dans le hall il ose enfin ouvrir le dossier et le lire 

- NOM : Inconnue 
- Prénom : Inconnue   
- Date de naissance : Inconnue 
- Famille : Inconnue 
- Description de la raison de la venue : A elle seul elle a tué 1 policiers puis a subtilisée son arme de service, à 14h05 elle rentre dans le commissariat de Woe Street. Une fois dans les bureaux elle tue de deux balles chacun les deux policiers affectés à la surveillance du coffre des scellés. A peine les deux gardiens au sol un autre arrive par derrière et tante de l'arrêté, elle se retourne et l'abat aussi. Etant à cours de munition elle se fait vite interpeller puis arrêtée.      

* Putain elle c'est battue comme une démone... Mais ce dossier est bien vide. Comment on peut si peu en savoir sur une terroriste ? Je vais devoir le savoir par moi même* 

Une fois qu'il eu lu le peu d'information que l'hôpital avait sur elle Marc partit en direction de son bureau là où l'attendais la nouvelle. Le jeune médecin n'eu le temps de rentrer dans son bureau qu'il vit une femme habillée d'une camisole assise sur le divan à le regarder un brun de malice dans les yeux, mais pas une malice douce et normal. C'était une lueur de malice presque folle, sans même l'examinée Marc était sur d'une chose, jamais elle n'ira en prison. Une fois le jeu de regard terminé l'homme vint s'assoir en face de sa patiente et la salua d'un petit sourire

- Marc : Bonjour madame comment allés vous ? 

- Femme : Je ne peux savoir, je pourrais vous dire que je vais bien tout comme je pourrais vous dire que je vais mal, mais en soit comment peut on affirmer si nous allons bien ou pas. Cette question est futile.  

- Marc : Et comment vous appelez vous ? 

- Femme : Un prénom sers à se faire remarquer, moi je ne veux pas être remarquer, je ne veux être vue par personne. Mais si vous voulez me différencier des autres patients appelés moi comme vous voulez. 

- Marc : Bien, pourquoi êtes vous ici ? 

- Femme : Pourquoi poser une question quand on connait la réponse ? 

- Marc : Avoir votre point de vue 

- Femme : Je ne veux que la liberté.

- Marc : Pourquoi faire du terrorisme si vous voulez être libre ? C'est contradictoire. 

- Femme : Vous pensez que le pays où nous vivons est libre ? Vous pensez sincèrement que votre mode de vie vous rends libre ? Etudier pour être le meilleur, travailler pour être le meilleur et pour gagner le plus d'argent, une fois plus utile on vous envoie crever seul au fond d'une vieille baraque. C'est ca votre liberté ? Pour moi ce n'est pas ça. Pour moi la liberté c'est être heureuse, pouvoir aller ou on veut quand on veut, profiter des moindres petit moments qui vous rendent heureux. Pour moi la liberté c'est faire tout ce qu'on veut dans le respect d'autrui. Alors non votre monde n'est pas libre ce n'est qu'une image qu'on vous bourre dans le crâne depuis tout petit. 

* Je vois ce n'est pas qu'elle est folle elle est juste intelligente et dois avoir un Q.I élevé. En plus de ça elle ne pense pas comme tout le monde et est contre la société. Alors tout ça mélangé donne une jeune femme aux allures folles alors que pas du tout. Cependant je ne peut pas la laisser partir. Une fois en prison elle réussira à s'enfuir. Elle sera plus surveillée ici. * 

- Marc : Comment puis je vous appelez alors

- Femme : Appelez moi Harlai. 

- Marc : Bien Harlai, quel âge avez-vous ? 

- Harlai : 16 ans. 

* Elle n'a pas 16 ans elle n'a pas le physique d'une ado, elle ment et elle continuera surement à mentir. Son prénom aussi ce n'est pas le vrai mais comme on a rien pour vérifié... Fait chier *

- Marc : Dans ce cas là on vous mettra avec les mineurs. Vous pouvez y aller 

- Harlai : Non ! J'ais 24 ans 

- Marc : C'est vrai ce mensonge ? 

Harlai : Oui 28 mai 1981. 

- Marc : D'accords je vais rajouter ça dans le dossiers. Des infirmiers vont vous raccompagner dans votre chambre

- Harlai : D'accords, on se reverra plus tard de toute façon à plus doc ! 

Une fois la conversation terminé la jeune femme repartie du bureau tandis que le jeune docteur lui se plongea à nouveau dans ses dossiers, il pris le premier et fût surpris de voir que ce dossier était en faite une demande de sortie pour un patient. Mais ce qui le fît presque tomber de sa chaise c'est que ce n'était pas n'importes quel patient, c'était pour Dims, le pauvre homme encore si torturé par la mort de sa mère. Le laisser sortir serait une mauvaises chose pour lui, il ne tiendrait pas longtemps et ce suiciderai. Il se leva alors et alla voir le patient pour lui parler et ainsi savoir la raison de cette demande car après tout, il pouvait bien se tromper. Il se leva alors et partie en direction de la chambre numéro 104. 

Quand il arriva devant il demanda poliment à ses collègues infirmiers de le laisser rentrer pour qu'il puisse avoir un rendez vous avec le patient et ainsi l'évaluer pour savoir si il pouvait le laisser partir sans risque de danger majeur, les deux infirmiers après un accord commun s'écartèrent et laissèrent passer le jeune médecin pour pénétrer dans la chambre. Une fois dedans il vit le grand blond assis sur son lit à lire un livre sur la justice japonaise. Le jeune brun s'installa en face du malade et le regarda avant de se racler la gorge et de lui dire d'une voix douce. 

- Marc : Bonjour Dims        

- Dims : Oh bonjours docteur, que voulez vous ? 

- Marc : Comment vous sentez vous aujourd'hui ? 

- Dims : Je pense que je me sens bien.. J'aime ce livre et aujourd'hui il fait beau, le soleil brille alors... Oui aujourd'hui je me sens bien docteur 

- Marc : C'est une bonne nouvelle, je pense que votre demande de sortie sera accepté 

- Dims : Mais quel demande docteur ? 

- Marc : Bah votre demande de sortie 

- Dims : Mais quel demande 

- Marc : Oh oui je me suis trompé de patient excusez moi, bonne lecture monsieur Dims.
Dit le jeune homme à la blouse blanche avant de ne se lever et de repartir à grande enjambés hors de la chambre. 

Une fois dans le couloir le brun accéléra le pas furibond et se dirigea en direction du pôle administratif de l'hôpital qui se trouvait plus au sud du bâtiment. Il y fût en seulement 10 minutes, une fois dans le bureau de la secrétaire il patienta quand il sentit son téléphone sonner le prévenant d'un appel

- Marc : Ici le docteur Davis à l'appareil j'écoute. 

- Emma : Papaaaa ! 

- Marc : Emma c'est toi ?! Pourquoi t'es pas à l'école ? 

- Emma : Car je t'ais écouté. Maman elle a vomi du coup je reste avec elle. 

- Marc : Je t'avais dis si c'était grave 

- Emma : Elle a vomie, c'est grave je reste avec elle. 

- Marc : Ah lala... Sacré Emma. 

- Emma : Dis papa c'est...

- Marc : J'ais pas le temps de te parler ma puce, continue de surveiller maman, on se voit ce soir je t'aime ma puce bonne journée bisous

- Emma : D'accords papa..Moi aussi je t'aime, à ce soir...

L'homme raccrocha puis se dirigea vers le bureau de l'administration responsable des entrées et des sorties. Il ne prit même pas le temps de frapper à la porte et rentra dans le bureau avec des yeux noirs qui foudroyaient la vieille femme en face de lui.  La femme avait les yeux rivés sur son ordinateur, elle était vieille, si vieille que seul les rides habitaient son visages, si vielles qu'on dirait qu'elle n'avait jamais sourie et a toujours été de mauvaise humeur.    

- Marc : On peut m'expliquer ça ! Dit-il en lançant le dossier sur le bureau de la plus vieille  

- Mary  : De quoi vous parler docteur Davis ? 

- Marc : Pourquoi j'ais trouvé une demande de sortie pour Mr Dims ?

- Mary : Car il en a fait la demande 

- Marc : Non il ne l'a jamais faîtes, quand je suis allé le voir il en était même pas au courant ! 

- Mary : Bon il ne l'était pas mais cela fait quoi ? 

Marc : Pourquoi vous voulez le mettre dehors ! 

- Mary : 3 infirmiers viennent de partir, pour ne pas surcharger les autres nous sommes obligés de faire des petits arrangement. 

- Marc : Et sans l'avis ni des patients ni des médecins ? 

- Mary : Nous avons pris les patients sans aucun troubles ca ne dérangera personne 

- Marc : Mr Dims est dépressif et sans argent ! Si on le laisse seul dehors il ce suicidera ou fera pire !   

- Mary : Alors faites des heures supplémentaires pour surveiller les patients vous même docteur Davis. 

- Marc : C'est ce que je ferai si vous êtes incapable de faire autrement. Inscrivez moi au planning. Dit il en récupérant le dossier et partant. 

Il tenta de se calmer pendant le trajet retour vers son aile mais cela était impossible, cette vieille peau l'avait mis hors de ses gonds

* Comment on peut en avoir rien a foutre comme ça d'un humain qui est dans le besoin. C'est inhumain.. *

Il fût obligé de passer par la salle de repos pour aller se préparer un café et de le boire cul sec pour se sentir mieux et ainsi retourner à ses rendez-vous. 

Le reste de sa journée c'était passer sans majeurs évènements, il avait eu le temps de voir tout ses patients et étaient rentrés chez lui cependant il était tard, il était sur le parking devant chez lui non pas à 20h mais à 22h. Il avait dû rester un peu plus longtemps pour surveiller les patients jusqu'à l'arrivée de son remplacent.

A peine la porte d'entrée passé qu'il sentit un coup sur sa joue suivie d'un baisé humide. Il releva alors la tête et vit Jacy en larmes. 

- Jacy : Tu étais où idiot ! Pourquoi tu répondais pas à ton téléphone ?! Je me suis inquiété pour toi ! 

- Marc : Ja..Jacy te mets pas dans cet état...j'étais au travail j'ais du rester plus longtemps. Assies toi je vais tout t'expliquer. 

Sans plus l'asiatique s'assis devant son époux et attendit les explications. c'est une fois qu'il sentit que sa compagne était calmé que le brun débuta son histoire sans omettre un seul détail. 

- Jacy : Je vois.. Mais tu aurais pu répondre au téléphone 

- Marc : Je n'avais plus de batterie. 

- Jacy : D'accords... 

- Marc : Tu as si peur que ca ? 

- Jacy : Il y a des meurtres tout les jours.. Evidemment que j'ais peur 

- Marc : Et si on partait 

- Jacy : Pour aller où ? 

- Marc : Et si on retournait au Japon chez toi ? Dans la ville où tu es née ? 

- Jacy : Oui...Pourquoi pas...Mais tu es sûr de vouloir tout quitter ?

- Marc : Jacy, pour toi et notre famille je serai prêt à tout. Même partir à l'autre bout du monde alors aller au Japon ne me fait pas peur. Et puis j'ais toujours voulu voir chez qui tu avais grandit. 

- Jacy : On ira les voir alors. J'espère qu'on reverra la femme qui était l'amie de mes parents. 

- Marc : C'est décidé alors, dès que cela sera possible nous partirons au Japon. 


Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top