ÉPILOGUE (Partie 2)

— C'est vraiment pratique d'avoir un manager capable d'ouvrir des portails magiques, commenta Adrian en retirant son pull qu'il déposa sur le canapé. Je n'arrive toujours pas à croire que de tels pouvoirs existent pour de vrai ! C'est complètement din...

Holy se jeta sur lui comme un affamé, sa phrase se perdit contre sa bouche.

Passé la surprise, Adrian répondit à ses ardeurs avec joie. Ses doigts s'égarèrent à nouveau sous sa longue veste en cuir. Son épiderme était chaud et doux comme du cachemire... Elle est surtout délicieuse ! Tellement délicieuse !

Son loup avait raison et Adrian comptait bien déguster chaque centimètre carré de la peau de Holy. Celui-ci semblait avoir la même idée pour lui, car il souleva son t-shirt d'un geste impatient pour le faire passer par-dessus sa tête. Il jeta le vêtement au loin puis revint à la charge avec une fougue presque féroce.

Holy le plaqua contre le mur et plongea le nez dans son cou. Adrian s'abandonna complètement. Il se laissa toucher, embrasser; lécher... Il ferma les yeux, savourant chaque baiser et caresse sur sa peau nue et brûlante. Il haleta de bonheur alors que les mains et la bouche de Holy étaient partout sur lui. La sensation de plaisir était incroyable. Oui, oh oui ! C'est tellement incroyable !

Les lèvres de Holy retrouvèrent les siennes, ils s'embrassèrent goulûment, cherchant son souffle chez l'autre. Holy agrippa ses cheveux, se colla contre lui et frotta son bassin contre le sien d'un geste langoureux. Ils gémirent de concert, c'était si bon !

Sans cesser de l'embrasser, Holy attrapa sa ceinture qu'il défit d'une main experte. Il tira sur son jean et Adrian s'empressa de l'enlever. Il n'était plus qu'en boxer et Holy se recula pour le contempler. Il se passa lentement la langue sur les lèvres, l'œil gourmand, revint ensuite vers lui pour se coller contre son corps frémissant.

— Tu es tellement beau et sexy, souffla-t-il. Mon grand méchant loup à moi.

— C'est toi qui est sexy, grogna Adrian, il tenta également de lui retirer son pantalon, mais Holy s'écarta à nouveau pour le regarder droit dans les yeux, le regard ardent.

— Non, toi, tu es sexy, répliqua-t-il. Tu es incroyablement sexy, Adrian Ashes. Depuis toujours. Quand on était au lycée, toutes les filles bavaient sur toi.

— N'importe quoi...

Adrian éclata de rire, c'était totalement absurde. Les gens l'avaient toujours trouvé bizarre, aucune chance que des filles aient pu baver sur lui au lycée !

Et pourquoi pas ? s'offusqua son loup. Quant à Holy, il lui fit les gros yeux.

— Mais si ! Tu n'as jamais remarqué comment elles te tournaient autour ?

— Euh, non...

Visiblement partagé entre l'amusement et l'exaspération, Holy se blottit contre lui. Ses bras l'enserrèrent avec force, Adrian lui caressa les cheveux avec tendresse. Il se pencha pour embrasser et lui mordiller légèrement le bout de l'oreille.

— Je n'ai jamais rien vu de tout ça... parce que moi, je n'avais d'yeux que pour toi, mon ange... lui murmura-t-il, le ton à la fois sensuel et taquin.

Holy frissonna, il attrapa ensuite sa main d'un geste vif et le tira vers le canapé.

La minute d'après, Adrian était avachi sur le sofa, complètement nu. A califourchon sur ses genoux et un lubrifiant à la main, Holy, lui, ne portait plus que sa veste et ses magnifiques ailes opalines. Elles scintillaient d'une lueur irisée sous l'éclairage tamisé de l'appartement. C'était magique.

A cet instant précis, Adrian se sentait plus excité que jamais. C'était vraiment quelque chose de se faire chevaucher par un ange !

OUI OUI OUI !

Holy s'empara à nouveau de sa bouche, tout en bougeant lascivement. Ils bougèrent ensemble en une danse érotique, frottant leurs sexes tendus l'un contre l'autre. Adrian grogna contre ses lèvres, ses mains attrapèrent ses fesses pour accompagner ses mouvements sensuels. Putain, c'est tellement bon !

Ils s'embrassèrent, explorant la bouche et la peau de l'autre avec ferveur. Holy toujours à cheval sur lui, ils se caressèrent, s'appliquèrent mutuellement du lubrifiant. Leurs gestes étaient à la fois tendres et passionnés, leurs soupirs le plaisir résonnaient doucement dans le silence feutré de la pièce.

— J'ai adoré votre nouvelle chanson, chuchota Adrian entre deux baisers langoureux.

— Je l'ai écrite rien que pour toi, répondit Holy tout contre ses lèvres. Mon rêve, mon doux rêve, chantonna-t-il en soulevant le bassin pour se placer sur son sexe dressé.

Les doigts d'Adrian s'égarèrent dans son dos, sous ses ailes. Holy saisit sa nuque, plongea ses magnifiques yeux gris dans les siens, puis descendit lentement, le faisant coulisser en lui. Adrian gémit. Holy était toujours aussi chaud et étroit, la sensation toujours aussi grisante et merveilleuse. Son loup n'avait même plus la tête à faire des commentaires, tellement il planait. Ils ne pouvaient que grogner de bonheur, le souffle court et la bouche entrouverte, en attente d'un autre baiser...

— La nuit est si brûlante, chanta leur bien-aimé, la voix vibrante de volupté.

Il rejeta la tête en arrière, haletant de plaisir à mesure qu'Adrian le remplissait. Les mains sur sa taille, ce dernier l'admirait. Comme à chaque fois qu'ils faisaient l'amour, il savoura l'expression de pur délice sur le visage de Holy, son Holy (NOTRE Holy !).

Ses longues mèches argentées tombaient sur son visage relevé, chatouillant ses joues au rythme de sa danse sensuelle sur lui. Adrian caressa son corps d'une main, cajola son érection de l'autre, lécha sa peau moite et chaude comme de la braise.

Holy agrippa sa nuque encore plus fort, il bougea de plus en plus vite, sans cesser de chanter. Rendue rauque par l'extase, sa voix était d'une sensualité envoûtante.

— Mon rêve, serre-moi contre toi...

Les doigts enfoncés dans son épiderme, Adrian enfouit le visage au creux de son épaule. Il sentit le cœur de son aimé cogner contre sa cage thoracique, au même rythme que le sien, tandis que ses entrailles, à lui, pulsaient sous l'assaut d'un orgasme imminent et qui s'annonçait dévastateur.

Et pendant ce temps, Holy dansait toujours sur lui. Ses mouvements devenaient cependant de plus en plus erratiques. Sa voix n'était plus que soupirs et halètement.

— Mon rêve, mon doux rêve...

Les dernières paroles de la chanson se perdirent dans un râle extatique lorsqu'il jouit. Son gémissement rauque eut raison d'Adrian qui se déversa également entre ses cuisses serrées. Leurs langues s'entrelacèrent avidement alors qu'un tsunami de plaisir les fauchait dans un tourbillon de sensations merveilleuses.

— La nuit est si brûlante...

***

La villa de Holy en Alaska était immense avec de larges fenêtres et baies vitrées dans toutes les pièces. Elles étaient encore plus grandes dans la salle de bains avec jacuzzi ! L'eau chaude jusqu'à la taille et Holy blotti contre lui, Adrian soupira d'aise.

Il se dit qu'il n'y avait pas mieux qu'un moment détente dans un bain à remous après le sexe et une bonne douche. C'était encore meilleur avec une aussi belle vue sur le vaste paysage enneigé à l'extérieur. Oh oui, alors !

— Tu m'as tellement manqué, murmura Holy.

Adrian l'entoura de ses bras pour bien caler son dos contre son torse.

Ils n'avaient pas pu se voir pendant quatre longues et douloureuses semaines. Holy était retourné en Suède pour enregistrer le nouvel album de Moonflowers. Adrian, lui, avait dû faire le tour de la Louisiane pour visiter ses meutes et leur territoire.

— Toi aussi tu m'as trop manqué, mon ange.

Il se pencha pour déposer un léger baiser sur son épaule, puis un autre, et un encore autre... Holy frémit de plaisir. Il tourna la tête, les lèvres offertes, attrapa sa nuque d'une main pour rapprocher leurs visages. Ils s'embrassèrent avec passion pendant plusieurs minutes. Sa langue avait le goût sucré du vin, c'était délicieux...

Le souffle court, Holy revint ensuite à sa position initiale, la tête confortablement posée sur son torse et une expression de pure bonheur sur ses traits parfaits.

— C'était merveilleux tout à l'heure, dit-t-il avec un sourire béat. J'adore t'avoir en moi, mais surtout j'adore te chevaucher ! C'est trop, mais trop bien...

Adrian rit, il embrassa à nouveau ses épaules, son cou... Il inspira les senteurs florales de sa peau avec délice. Elles étaient encore plus enivrantes dans la chaleur ambiante du jacuzzi. Holy sentait tellement bon. La plus belle odeur du monde !

— A chaque fois qu'on fait l'amour, je me dis que c'est extraordinaire et que ce serait impossible de faire mieux, poursuivit Holy, la tête légèrement penchée sur le côté pour lui offrir encore plus de peau à déguster. Et pourtant, chaque fois, c'est encore et toujours meilleur. C'est complètement fou non ?

— Mmm... fit Adrian, trop occupé à le savourer pour formuler une meilleure réponse.

Ils se firent des mamours, barbotèrent dans l'eau chaude tout en admirant les flocons de neige qui tourbillonnaient de l'autre côté de la grande baie vitrée.

Le regard pétillant et un joli sourire aux lèvres, Holy parlait de tout et de rien : le nouvel album de Moonflowers, l'enregistrement et la sortie imminente du premier clip, l'accouchement imminent de Naomi, elle et Isaïah qui allaient bientôt se marier, Sasha qui passait décidément beaucoup de temps à La Nouvelle Orléans...

— Et comme par le plus grand des hasards, Ava est prise par des rendez-vous professionnels quand il est dans les parages, commenta Adrian, amusé. Ils ont beau se la jouer discret, tout le monde est au courant depuis belle lurette...

— Comme nous au lycée ! sourit Holy. Toute l'école avait deviné qu'on était ensemble, tu le savais ça ? Apparemment, ça crevait les yeux qu'on était fou amoureux !

Adrian éclata de rire. Il se souvenait qu'Isaïah lui avait fait cette remarque à l'époque : qu'il transpirait carrément d'amour lorsque Holy était dans les parages. Son meilleur ami n'était visiblement pas le seul à l'avoir remarqué !

— Et sinon... Comment ça s'est passé pour toi ? demanda Holy, après une seconde d'hésitation. Ton premier vrai contact avec les autres Alphas et tout...

— Bien, le rassura Adrian. Très bien même et crois-moi, j'en suis le premier surpris !

Contrairement à ce qu'il avait pensé, tous les Alphas n'étaient pas contre lui. A l'instar d'Hazel Terrebonne, beaucoup étaient même convaincus qu'avec lui, un vent nouveau allait souffler sur la communauté loup-garou de la Louisiane. Pas de pression surtout !

Laisse-moi gérer ! On va s'en sortir comme un chef !

Adrian en doutait, mais il n'avait pas envie de débattre sur le sujet.

— Je t'avais dit que ça se passerait bien, lui dit Holy qui avait retrouvé son adorable sourire aux fossettes. Tu as toutes les qualités d'un Chef de meute : tu es fort, tu es à l'écoute, tu es empathique, tu as un bon sens du leadership... bon, ça s'est surtout Loulou, mais ce n'est pas grave ! Ensemble, vous faites un super Alpha Suprême !

AHAH ! Tu as entendu Holy ! C'est moi le meneur ! Toi, tu es juste le mou de service ! Son loup s'esclaffa, ravi de sa pique décidément débile.

Adrian leva intérieurement les yeux au ciel.

Pour un Alpha Suprême, tu es vraiment puérile... se moqua-t-il.

— Et... comment va Ariana ? s'enquit à nouveau Holy.

Il y avait cette fois-ci une pointe d'appréhension dans sa voix, comme s'il avait peur d'aborder un sujet qui fâche. Adrian s'empressa de lui prendre les mains d'un geste apaisant, mais c'est à se demander si ce n'était pas pour se rassurer lui-même.

— Ariana va bien, répondit-il en essayant de masquer son angoisse.

Mais Holy ne fut pas dupe, ses sourcils se froncèrent d'inquiétude.

— Enfin... elle me déteste toujours autant. Elle ne veut toujours pas me voir et encore moins me parler. Mais elle a accepté de voir un thérapeute pour discuter... Et rien que ça, ça donne du courage pour la suite, ajouta précipitamment Adrian, toujours dans une piètre tentative de se rassurer lui-même.

Peuh !

— Oui, c'est une bonne nouvelle, acquiesça Holy avec conviction. Ça veut dire qu'elle veut aller de l'avant ! Avec le temps, je suis sûr qu'elle voudra renouer les liens...

Adrian sentit un mélange de tristesse et de malaise l'envahir. Il ne savait toujours pas comment faire pour arranger les choses avec sa sœur. Il ne pouvait que veiller sur elle de loin. Holy le soutenait à cent pour cent, mais Adrian s'en voulait de lui imposer à nouveau ses problèmes familiaux. Oh ça va ! C'est pas comme si Ariana allait s'installer chez nous ! CA N'ARRIVERA JAMAIS, je te préviens !

— Je suis vraiment désolé de t'imposer tout ça, mon ange, mais Ariana est... malade, elle a passé trop de temps aux côtés de notre père, plaida Adrian, sans pouvoir s'en empêcher. Moi au moins, je t'avais toi, j'avais Ava et Isaïah... Ariana, elle, n'avait que lui. Mais il ne l'a jamais regardé, il ne l'a jamais estimé. Je ne peux pas... Je ne peux pas l'abandonner, tu comprends ? Mais je te promets que je vais tout arranger et...

— Adrian, le gronda Holy en lui faisant désormais face. Je t'assure que ça va, que je comprends. Ariana est ta sœur, tu as tout à fait le droit de vouloir prendre soin d'elle et essayer de reconstruire votre relation. Je sais que ça va prendre du temps, qu'il y aura des hauts et des bas, mais je ne compte aller nulle part, d'accord ? Je t'aime et peu importe ce qui va se passer, je ne te quitterais jamais. Plus jamais. Viens là...

Adrian se blottit dans ses bras, rassuré. Holy lui caressa les cheveux. Il restèrent ainsi pendant un long moment, profitant de la présence de l'autre sans parler.

— Et toi, comment tu vas ? Tu fais encore des cauchemars ?

Holy avait été vraiment traumatisé par le combat de pleine lune. Les semaines qui avaient suivi, il se réveillait en sueur chaque nuit pour s'assurer qu'Adrian n'était pas mort. Ce dernier le couva d'un regard anxieux, mais Holy lui offrit un sourire rassurant.

— Ça va, mon loup, assura-t-il. Même si ça m'arrive encore de... de te voir inerte et en sang au milieu de l'Arène... (Il frissonna, Adrian l'entoura aussitôt de ses bras) Je ne fais plus autant de cauchemars qu'avant. Tu n'as aucune inquiétude à te faire, je t'assure ! Parler à un thérapeute m'a fait du bien et je vais mieux maintenant, promis !

— D'accord, mais...

Lové contre lui, Holy leva la tête pour plonger les yeux dans les siens. Son regard gris débordait d'assurance, mais surtout de tendresse. Autant que ceux d'Adrian à cet instant précis. Ce dernier comprit et n'insista pas.

On ne guérissait pas facilement d'un traumatisme. Il était le mieux placé pour savoir que cela prenait du temps. Et il devait respecter le fait que Holy ait besoin d'aller à son rythme, ils en discuteront lorsqu'il sera prêt à le faire.

Adrian se pencha, voulut déposer un baiser sur son front, mais Holy se redressa. Leurs lèvres se joignirent pour un baiser d'une douceur infinie.

Ils s'écartèrent pour se dévisager, avec toujours autant d'amour. Holy affichait son merveilleux sourire, Adrian caressa ses fossettes du bout des doigts.

— Je t'aime tellement... chuchota-t-il.

Mais tellement !

— Moi aussi, je t'aime. De tout mon coeur... répondit Holy.

Ils s'embrassèrent à nouveau, se dévorèrent des yeux, avant de s'embrasser encore et encore. Le clapotis de l'eau résonnait comme une douce musique dans le silence de la pièce, alors qu'ils profitaient tendrement l'un de l'autre. C'était vraiment parfait.

PARFAIT !

Adrian voulait vivre de tels moments pour toujours. Avoir Holy à nos côtés pour la vie !

Poussé par son loup, les mots fusèrent de sa bouche sans qu'il s'en rende compte :

— Tu veux m'épouser ?

Holy se figea, le fixa comme s'il venait soudainement de lui pousser deux antennes sur la tête. Ses yeux et sa bouche s'arrondirent de surprise.

— Quoi ?

Etonné par sa propre audace, Adrian faillit se rétracter, prétendre à une plaisanterie, un poisson d'avril en plein décembre (N'IMPORTE QUOI !). Mais au final, pourquoi pas ? Au fond, il avait toujours partagé les rêves de mariage de son loup.

— Holy Hell, veux-tu m'épouser ? répéta-t-il, tout en traçant des petits cœurs sur ses joues avec son pouce. L'intéressé fronça les sourcils en réponse.

— Adrian, si c'est une blague, ce n'est vraiment pas drôle...

— Ce n'est pas une blague, rétorqua-t-il en souriant. Je te demande vraiment en mariage. On te demande en mariage. Mon loup et moi... on en rêve depuis longtemps. (Très longtemps !) Alors... ça te dit de te marier avec nous ?

Holy ne répondit pas, trop occupé à les dévisager, bouche bée comme s'il n'en croyait toujours pas ses oreilles. Et puis soudain, ses lèvres s'étirèrent en un grand sourire extatique. Il se jeta dans leurs bras avec tellement de fougue qu'ils en tombèrent à la renverse dans un grand plouf. Adrian rit, à la fois heureux et soulagé de sa réaction.

— Alors c'est un oui ? demanda-t-il quand même. Bon, je n'avais pas prévu de te faire ma demande comme ça et je n'ai pas encore de bague, mais...

— Oui ! le coupa Holy. Bien sûr que je veux t'épouser, mon amour ! Toi, moi et Loulou, pour la vie ? C'est un grand oui ! Oui, oui et encore oui !

Ses joues roses irradiaient littéralement de bonheur. Il secoua ses longs cheveux humides, rit aux éclats, se jeta à nouveau sur Adrian pour l'embrasser, sans cesser de répéter que oui, il voulait absolument se marier avec son grand méchant loup.

Adrian rit à son tour, l'embrassa avec passion, Holy s'enroula autour de lui...

Une heure d'euphorie, de mots doux et de galipettes plus tard, ils furent de nouveau installés l'un contre l'autre dans le jacuzzi, Holy confortablement calé contre le torse d'Adrian. Ils ne disaient plus rien, savourant simplement ce moment qui marquait une nouvelle étape de leur amour. Amour que plus personne et plus rien ne pourrait jamais faire barrage. Oui, plus jamais, jamais, jamais !

Tout était absolument parfait...

Adrian se pencha vers Holy pour lui chuchoter une question qui venait soudain de lui tarauder l'esprit. Il devait absolument en connaître la réponse...

— Et sinon... tu trouves que j'ai une tête rock'n roll ? 

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