Hors de propos

Babacar: tu as durer au toilette.

Moi: j'ai été retenue.

Il me prend la main j'avais une relation très tactile avec Babacar je penses plusieurs personnes ont refuser de se mettre avec lui ou en avais marre à cause de moi.

Après un bon repas nous sortons du restaurant. Demain on devait retourner au boulot et je devais parler à Babacar du ministre.

On sort dehors et je le vis avec deux gardes entrer dans une voiture. Les mains de Babs était dans mon dos et je vis monsieur gueye me fusilier du regard.

Moi: imagine un homme marié craque sur moi.

Lui: c'est arrivée ou c'est une supposition.

Moi: une supposition c'est pas arrivé.

Lui: sure?

Moi: oui je te jure pourquoi tu me crois jamais?

Lui: car tu es capable de tout et je suis le seul à le savoir.

Moi: donc si un homme marié haut placer voulais de moi tu penses que je devrais me lancer ou reculer.

Lui: tu reculeee bien loin même. Il est MARIÉ Maimouna Aliyah Sy il est marié.

Moi: ok c'est bon j'ai compris pas touche. Mais sa femme peut ne pas être au courant.

Lui: tu as rencontrer quelqu'un dit moi c'est qui.

Moi: j'ai rencontrer personne je disais ça juste comme ça.

Lui: tu as tout les mecs que tu veux te lance pas dans ça t'es pas une briseuse de ménage.

Moi: ok j'ai compris.

Si Babacar n'est pas d'accord c'est non. Donc cher ministre sexy je vous dirai non.

Je rentres chez moi un peu fatiguée. Je ne sais pas pourquoi mais je reprend mes recherches sur lui je ne sais pas pourquoi je suis attirer par l'interdît je ne comprendrai jamais pourquoi.

J'appelle ma grand mère.

Moi: bonjour nana

Elle: bonjour chipie comment tu vas ça fait une semaine que je n'ai pas eu de tes nouvelles.

Moi: le boulot les sorties c'est compliqué.

Elle: tu vas bien ? Tu es heureuse? Tu te sens comment?

Moi: cava nana tout vas bien je te jure et toi tu te sens mieux les médecins disent quoi?

Elle: que il y a un bon pronostic. Tu me manques beaucoup Aliyah.

Moi: ça me rappelle que j'ai une mère je veux pas entendre ce prénom.

Elle: tu as une mère Maïna je suis sure qu'elle regrette ça fait des mois qu'elle veut te parler et tu refuses.

Putain elle sais que je déteste cette femme. Ils faut que je change de sujet.

Moi: Nana j'ai rencontrer quelqu'un il y'a 3 jours.

Elle: sérieux oh mon coeur.

Moi: il s'appelle Aziz.

Elle: c'est un joli prénom mon cœur.

Moi:il est ministre de l'intérieur et il est marié nana.

Elle: et après tu t'en fou.

J'éclate de rire j'adore cette femme.

Moi: mais nana!! Toi aussi. Babacar m'a dit de pas foncer.

Elle: ton grand père je l'ai arracher des mains de sa femme j'étais sa secrétaire tu t'en fou ma belle je te dis quoi tout le temps ?

Moi: que je peux avoir tout ce que je veux.

Elle: il est ministre Maïna on laisse pas passer un ministre pas parce qu'il est riche mais tu ne m'en aurai jamais parler s'il ne te plaisait pas.

Moi: je le sais bien il est très craquant.

Elle: envoie sa photo.

Je lui transfère les captures que j'ai eu sur Google.

Elle: Mamamia Maimouna Aliyah Sy tu te prives de ça?

J'éclate de rire elle ne connais rien de mes combines elle ne sais même pas que j'ai coucher avec Amel elle serai très déçu sinon mais elle sait bien que les hommes me court après et ça c'est comme un film pour elle.

Moi: je fonces ou j'écoute Babacar?

Elle: Babacar est amoureux de toi. J'arrête pas de te dire la dernière fois que tu es venue à New York je te l'ai dit.

Moi: non Nana. Je vais recontactée ce ministre.

Elle: bonne décision. S'il vient à toi sa femme je suis désolée pour elle mais leurs mariage est finis.

Moi: je le sais je t'aime.

Elle: Love you.

Je raccroche.

Lundi matin.

Je m'étais préparer pour le boulot je serai en retard et comme je le vois Will va me tuer.

Je me prépare rapidement. Et met mon blaser avec mes paires d'escarpins. Je rejoins la route de la corniche pour rejoindre mon bureau.

Toutes nos voiture furent bloquer parce que le président devait passer. Ça me fait chier ça me casse les couilles même si j'en ai pas.

Je rejoins mon bureau énervée je vis claire à l'entrée elle passe sans me saluer comme toute les femmes de ce bureau mais je m'en fou. Je rejoins le bureau et vis Babacar.

Lui: t'es en retard.

Moi: très en retard et Will va me massacrer et toi aussi mais plus tard le nouveau client arrive quand ?

Lui: dans 15 minutes.

Moi: je vais me prendre un café.

Je sors pour aller me servir un café. Je vis Nadia me fixer froidement. Elle m'agace.

Moi: tu vas bien Nadia?

Elle: oui et toi miss talon haut.

Moi: sinon il va bien Michael?

Elle me regarde mal c'est son copain et je le lui ai voler ou non pas volé il est venu à moi il m'a demandé de sortir avec lui. Je suis sortie pour un dîner avec lui je ne l'ai même pas embrasser et le monsieur a quitter sa copine. Alors que je n'envisageais même pas de sortir avec lui.

Nadia: TU N'AS PAS LE DROIT DE PRONONCER SON NOM GROSSE SALOPE.

Moi: il a une super belle gueule. Quand je penses que ce cher monsieur voulais que je poses mes lèvres sur les siennes.

Je lui fais un grand sourire.

Moi: ça dû être dure Nadia de voir son mec ne pas avoir accès à lui de voir un mec que tu as aimer pendant trois ans te quitter pour une stagiaire avec des yeux d'ange.

Nadia: ferme ta gueule.

Moi: il a une langue incroyable j'en ai eu les jambes qui tremblaient. Un cunni de malade mentale je suis sure que il n'a jamais voulu se baisser entre tes jambes.

Elle s'approche de moi pour me gifler j'adore ça énerver Nadia c'est la plus grosse peste de la boîte.

Moi: n'ose même pas bébé. N'ose pas ce visage il coûte très cher.

Elle: TU N'ES QU'UNE GROSSE PUTE QUI FAIT TOUT POUR QUE LES HOMMES TOMBENT À SES PIEDS TU N'AIME PERSONNE GROSSE MERDE TU NE VAUT PAS MIEUX QUE CELLE À PONTY.

Je lui fit un gros sourire car tout le monde nous regardais maintenant continue de te ridiculiser. Je me retourne et tombe nez à nez avec Will et putain il fou quoi ici lui.

Will: tu as recommencer Nadia ? Je t'ai dit de la laisser tranquille.

Nadia: elle m'a dit..

Will: on a un nouveau client. Monsieur le ministre suivez moi je vous présente Maimouna Aliyah Sy.

Moi: on a un ministre dans nos locaux.

Aziz me fait un grand sourire je ne savais pas que ça serai lui mon client. Il est trop sexy bon dieu.

Will: exact il est où Babacar?

Moi: dans le bureau.

Je souris Babacar sort du bureau et me prend par la taille pour me coller à lui.

Will: je te présente notre couple préférée ils bossent super bien ensemble.

Malcolm: je t'ai dit qu'ils n'étaient pas en couple ils sont meilleur ami.

Malcolm me prend des bras de Babacar et me serre dans les siennes. Will et Malcolm on tout les deux chercher à sortir avec moi chose que j'ai totalement refuser. J'en ai marre de tout ses mecs qui me suivent comme des cons.

Le ministre était impassible comme si ça ne lui faisait rien j'aurai bien voulu qu'il soit jaloux mais rien aucune expression.

Moi: en quoi pourront nous vous aider monsieur.

Aziz: je ne fais que passer je dois y aller assez vite j'ai une réunion ce matin ma secrétaire vous enverra tout mes dossiers.

Moi: parfait c'est un plaisir de vous rencontrer.

Je lui tend la main et il serre ma poigne putain je veux cette main.

Will: merci monsieur Gueye de nous faire confiance. Je laisse Mademoiselle Sy vous raccompagner.

Aziz: après vous.

Je marche devant lui.

Lui: vous aimez être le centre de l'attention avec tout ses hommes.

Moi: non pourquoi vous êtes jaloux?

Lui: aucunement. Au regard de tout je vous trouve assez prétentieuse.

Moi: je ne suis pas prétentieuse Monsieur ses hommes je ne leurs ai jamais dit aimez moi.

Lui: vous sortez avec ce Babacar?

Moi: c'est mon meilleur ami.

Lui: je penses que je devrais renoncer à vous vous avez déjà un public.

Je le regarde choquée. Aucune personne n'a jamais renoncer à moi.

Moi: vous voulez vraiment tout arrêter.

Lui: ce n'est pas parceque je vous trouve belle et inaccessible que vais passer mon temps à courir derrière vous. Vous êtes une gamine prétentieuse qui cherches à énerver les gens de son bureau.

Moi: ce n'est pas ce que je cherche je n'ai rien à prouver.

Lui: un jour vous êtes en robe , un jour vous danser contre moi, et un jour vous êtes en tailleur.

Moi: je m'habille comme je le souhaites et un petit truc c'est pas parce que vous avez l'habitude de la routine que le fait de voir quelqu'un toujours sur une couleur vous dérange n'est ce pas.

Il me fixe dans les yeux.

Lui: je vous interdit de parler de ma femme.

Moi: ah oui votre femme vous vous en rappeler aujourd'hui c'est pas quand vous vouliez coucher avec moi mais aujourd'hui. J'allais vous laisser une infime chance. Mais je n'en ai plus envie. Et vous savez quoi vos conneries a deux à balle allez chercher ailleurs. Vous êtes jaloux que eux puissent me toucher me serrer dans leurs bras vous non.

Lui: votre amie a raison vous êtes bonne pour ponty.

Moi: le ministre de l'intérieur connais ponty.

On s'arrête devant le parking.

Moi: à ponty elles ne mettes pas des lingeries aussi sexy que les miennes et à ponty elles ne sont pas aussi instruite donc ne m'insulter pas espèce de connard dégarnie. Si vous êtes en manque de nouveauté allez le chercher ailleurs mais ne vous permettez plus d'essayer de m'insulter monsieur le connard de l'intérieur.

Je passe devant lui sans un regard. Imbecile.

J'en ai marre de Will de Malcolm et de Babacar qui me collent tous comme des connards.

Je me sentis propulser il me tire pour me coller contre lui.

Moi: vous êtes malade ?

Lui: pas du tout la prochaine fois tache de dire MINISTRE DE L'INTÉRIEUR.

Il s'approche de moi jusqu'à être à quelques centimètre de mon visage ses gardes du corps nous regardais mais on dirai qu'il s'en foutait.

Moi: ne t'y risque même pas je suis trop chère pour toi Aziz Gueye. Ok. Relâche moi j'ai du boulot.

Lui: il y'a un truc que tu ne comprend pas si je te veux que je t'aurai. Et surtout arrête de me chercher.

Moi: j'arrêterai quand les poules auront des dents. Vous êtes sexy en colère. Allez au boulot cher beau gosse il vaudrait mieux pour vous.

Lui: ce qui vaut mieux pour moi ce n'est pas à vous de me le dire.

Moi: vous êtes coller contre moi là à ce que je sache et il y a vos gardes qui nous regardent.

Lui: je m'en fou vraiment si je voulais je vous embrasserez là c'est juste que je n'ai plus d'intérêt pour vous.

Ça ça fait mal.

Je le pousse.

Moi: je dirai à Will de m'enlever sur ce dossier. Je veux plus avoir affaire à vous.

Lui: vous avez affaire à moi depuis ce jour où je vous ai suivi dans cette cabine. Prenez le temps de réaliser la situation la réponse à la question que vous chercher c'est que vous serez avec moi sans même que je ne supplie.

Je rentres dans mon bureaux énervée espèce de con.

Moi: Babacar vous pouvez pas me coller tout le temps comme ça c'est nulle je suis pas là seule fille dans cette entreprise donc on va éviter j'irai dire a Malcolm aussi. Pas au bureau.

Babacar: il se passe quoi tu es énervée.

Moi: vous m'énervez tous.

La semaine fut longue on devait éplucher tout les contrats un à un de ce foutu ministre. Et avec le cabinet nous étions tous inviter à une de ses collectes de fonds je ne sais même pas ce qu'on fait la ba alors que nous ne faisons que travailler pour lui.

Je ne m'étais même pas prise la tête à passer des heures à me faire jolie.

Je me dépêche pour y aller car après je devais aller en boîte avec mes amis.

On arrive devant la salle c'était magnifique.

J'entre au bras de Babacar.

Je le vis à côté de l'estrade dans ce magnifique costume je ne sais pas pourquoi je veux ce mec et ça m'énerve.

Sa femme était juste là à ses bras et moi j'étais très contente je vais être l'amie de sa femme ce soir....

Babacar: cava ?

Moi: tout vas bien.

On s'approche des grandes tables et je vis le ministre et sa femme venir vers nous.

Aziz: bonjour mademoiselle Sy monsieur Niasse je vous présente ma magnifique épouse Fatima Tall.

Moi: c'est un plaisir vous êtes absolument sublime madame Sy.

Elle: mais vous aussi mon époux ne m'a dit que du bien de votre cabinet.

Babacar: merci beaucoup. Monsieur le ministre.

Moi: nous en sommes heureux.

Elle: vous avez de super beau cheveux mademoiselle Sy j'adore et vous êtes très soignée.

Moi: mon futur fiancée aime que je prennes soin de moi.

Le ministre me fusille du regard. Babacar semble choqué.

Lui: il en a de la chance ce monsieur.

Fatima: c'est ce que j'allais dire.

Moi: merci beaucoup. Il est mon plus grand interdit et je le veux plus que tout.

Je souris.

Babacar: nous allons nous installer merci encore pour l'invitation.

Sa femme: je peux vous parler rapidement de chose de femme.

Moi: bien sure.

Elle me prend la main. Madame vous prenez la main de la femme qui va se faire votre époux c'est pas très tendre ça.

Elle: je suis désolé de vous importuner mais j'ai besoin d'aide. J'ai besoin de prendre soin de moi vous êtes magnifique vous prenez soin de vous je veux faire de même mon époux est très tête en l'air dernièrement je ne sais pas pourquoi. Je vous prie de ne en parler à personne.

Moi: le secret professionnel c'est moi.

Elle: donnez moi juste votre coiffeuse, ou un numéro je n'ai que 30 ans je veux et j'aime me sentir belle. J'ai peur qu'il aille voir ailleurs.

C'est fait mais bon.

Moi: je vais vous donner tout mes contacts.

Je prend son téléphone et je note tout les numéros.

Moi: voilà pour vous je vous souhaites de belle choses avec votre époux.

Elle: merci pour tout et puis je avoir le votre.

Moi: malheureusement non je préfère garder mon numéro privée que pour mes proches je peux vous donner mon numéro professionnel.

Elle: d'accord.

Je lui donnes le numéro. Et rejoins Babacar.

Je vis un monsieur venir vers moi trente minute plus tard il fit semblant de se servir un verre.

Il me chuchote.

Lui: 1 et étage porte 120 tout de suite.

Moi: qui?

Lui: je penses qu'il est assez fâcher pour que l'on le fasse attendre.

Moi: je m'en fou. Dites lui non.

Babacar: tout vas bien ?

Moi: oui.

Le monsieur: madame je penses que vous ne voudriez pas de scandale ici.

Je me lève énervée je déteste ce macho à la con.

Je sors discrètement de la salle. Je monte au premier suivit de deux gardes.

Je rejoins la salle et je le retrouve là assis dans son canapé en train de m'attendre je vais le tuer.

Moi: TU TE PRENDS POUR QUI ?

Lui: pour l'homme qui fait mouiller ta culotte.

Moi: VOUS ÊTES UN CONNARD. FOUTEZ MOI LA PAIX. JE N'AI AUCUNE ENVIE DE VOUS FRÉQUENTER. 

Lui: tu cries depuis tout à l'heure bébé cette salle est insonorisé. Tu es belles dans cette combinaison.

Moi: ne m'appelle pas bébé.

Lui: Maimouna on va discuter tranquillement jusqu'à avoir un accord je veux un dîner samedi prochain.

Moi: et si je ne veux pas?

Lui: je vous baiserai sur cette table juste derrière vous et je vous promet que dès que je vous toucherai vous serez à moi.

J'étais trempée mais je refuse de le montrer. Je me contiens je refuse de craquer j'ai envie de l'embrasser et son audace m'excite mais à partir du moment où il le fera je serai dans la merde chose assez clair.

Moi: et après quoi vous me retrouverez dans un appartement chaque fin de semaine et vous me ferez l'amour avant de rentrer chez vous ?

Lui: non pas toutes les fin de semaine je vous rappelé que je n'ai pas ne serai ce qu'une seule envie de ma femme donc peut être on pourrais dire quatre fois par semaine.

Moi: et j'y gagne quoi.

Lui: moi tu m'auras moi quand tu voudras même si tu appelle à 4 heures du matin sauf si je voyage.

Moi: vous voulez une pute en fait.

Lui: non Maimouna vous êtes là seule femme que j'ai regarder en cinq année de mariage. Je vous veux vous et le fait que vous soyez tout le temps à des centimètres de moi sans que je ne puisse rien faire c'est une torture sans fin.

Moi: je ne veux pas Babacar n'est pas d'accord.

Il éclate de rire.

Lui: il est issu accro à toi ce mec tu es là seule qui ne le voit pas comme ses imbéciles qui sont dans ton entreprise. Et qui pensent que ils sont mes seuls avocats.

Moi: vous êtes un faux client.

Lui: non 40 pour cent de mes affaires sont avec toi le reste avec mon autre cabinet.

Moi: bon je vais y aller.

Lui: non.

Moi: vous allez me retenir je crie si vous me toucher j'ai dit non je ne serai pas votre chose.

Il s'approche de moi.

Moi: non.

Il me prend par les hanches pour me coller à lui et là pour la première fois je sentais tout son corps sur le mien. Ses grand bras serrais mes hanches et son parfum me rendais complètement folle.

Moi: arrête je ne veux pas. C'est trop tôt. Je n'embrasse jamais comme ça.

Il me fit un grand sourire.

Lui: il y a une première fois à tout.

Putain son corps s'écrasait contre le mien nos hanches s'entrechoquent et mon souffle était court il se frotte lentement à moi. Je le sentais dure contre moi. Putain j'en ai marre. Ça se fera tôt ou tard.

Je plaque mes lèvres contre les siennes il aspire mes lèvres contre les siennes sa langue aspirait là mienne contre la sienne. Il m'embrasse encore sa bouche martelait la mienne mon corps explosait contre le sien. Putain c'est tellement bon.

Il me porte et me dépose sur bureau. Ce baiser n'a rien de sensuel c'était trop charnel. Sa bouche se livrait à la mienne comme jamais aucun homme ne l'avait fait ses mains palpait mes fesses pour que j'aille à sa rencontre je gémissais encore plus fort contre lui. Il aspire ma lèvre inférieur. Et continue de m'embrassait nos deux corps se frottait encore plus durement l'un contre l'autre il bandait contre moi là je sentais ma culotte mouillé de plus en plus il en voulait plus moi aussi mais pas aujourd'hui pas ici et pas après nous être disputée. J'encerclai mes bras au tour de son coup. Il m'embrasse avidement. Quand il presse mes sens je gémis très fort contre lui. Oh mon dieu. Il caresse mon dos cet homme m'était interdit oh mon dieu j'embrasse un homme marié et je n'ai aucun regret.

Il me mord la lèvre inférieure. Me faisant gémir encore plus fort contre lui putain je vais crever sous cette table .

On s'arrête avant que ça n'aille plus loin. J'avais le corps en feu.

Moi: ne refais plus jamais ça.

Lui: c'est toi qui m'a embrassé.

Moi: ne répond plus à mon baiser alors.

J'étais perdue la tête en vrac ça ne m'arrive pas jamais je sais me contrôler. J'avais chaud. Très chaud. Je n'ai jamais ressentis ça je n'aurai jamais du.

Moi: votre femme est à quelques minutes.

Lui: je m'en fou.

J'étais toujours assise sur ce bureau les jambes écarter les cheveux mélanger, les lèvres enflée.

Lui: Maimouna vous n'êtes pas une pute je vous veux dans ma vie.

Putain je vous veux aussi mais non.

Il presse ma taille en me forçant à garder les jambes écarter. Sa main remonte le long de ma jambe jusqu'à arriver à mon entre cuisse sa main se pose là oh mon dieu. J'ai tellement envie de lui.

Il presse sa main juste là me faisant aller à sa rencontre.

Lui: dites oui pour le dîner.

Moi: non.

Il me caresse a travers ma combinaison j'avais même pas de culotte seigneur.

Moi: non je veux pas. Ne refais plus ça. Enlève ta main.

Lui: si tu voulais que je le fasse tu ne se presserai pas contre elle. Tu me rend dingue aussi mais aujourd'hui faut que tu me dises pour le dîner.

Moi: non.

Lui: continue de refuser, samedi je passe te chercher. Rentre bien bébé.

Il prend sa veste et sort du bureaux me laissant pompette.

Putain tu as flancher Maïna tu ne flanche jamais. Tu as flancher.

Je me lève et rentre dans la douche. Je me nettoie proprement et refais ma perruque. Je regarde le bureau derrière moi.

QU'EST CE QUI MA PRIS.

Je sors du bureau après une bonne dose de gloss et sort du bureau je vis le monsieur qui m'a demander de monter dans le bureau.

Lui: il m'a demander de vous déposer chez vous.

Moi: Dites à Aziz gueye d'aller ce faire foutre.

Je sors et préviens Babacar que je vais rentrer. Il m'embrasse tendrement la joue sous les yeux en  colère de monsieur le connard de l'intérieur.

Je vais exprès et le serre dans mes bras.

Je rentre chez moi et plonge dans la baignoire d'eau froide.
Pourquoi j'ai fait ça pourquoi je l'ai embrassé.

Mon ventre se contracte encore quand je vois son regard sa bouche contre ma peau.

Je suis définitivement dans la merde.

Bonne soirée.

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