Déboussolée
J'étais toujours perdue dans mes pensée. J'ai reçu pleins d'appel de mes amis pour qu'on ailles en boîte mais je n'ai pas répondu.
Je viens d'embrasser un homme marié de plus sa femme m'a saluer aujourd'hui. Je suis une mauvaise personne c'est pas bien ce que je fait là.
Mais je ne sais pas si c'est la culpabilité qui me fait peur ou le fait d'avoir aimer ça.
J'ai aimer chaque seconde de cette soirée. De sa main sur mon entre jambe j'en ai le tournis quand j'y penses à ses lèvres sur les miennes. Il embrasse super bien.
Seigneur pardonne moi j'ai pécher. Je me lève pour aller prier je sais que je suis une pécheresse mais j'essaie de prier au maximum pour que dieu me pardonnes.
Je finis blottie dans mon lit pour dormir mais le sommeil ne me trouvais pas. Je reçois un texto.
~J'espère que tu es bien rentrée~ C'est Aziz.
Moi~ oui depuis ne m'envoie plus de message~
Lui~ tu ne dors pas ?~
Moi~c'est mon chat qui répond à tes messages bien sure que je ne dors pas idiot.~
Lui:~ tu n'as pas été éduqué~
Moi: ~ je ne saute pas une femme alors que ma femme est juste à côté~
Lui: ~ Arrête de jouer à la sainte tu en es pas une donc arrête. C'est toi mademoiselle qui m'a sauté dessus c'est toi qui m'a embrasser~
Moi: ~ tu n'avais pas a y répondre ~
Lui:~ tu me manques d'ailleurs~
Moi:~ je vais me coucher à demain~
Lui: ~ on a pas finis de parler ~
Je ne répond plus à ses messages mon téléphone se mit a sonner je me lève rapidement et répond.
Moi: Allô?
Lui: salut bébé.
Moi: tu es un gros psychopathe tu le sais ça?
Lui: tu es là seule à me l'avoir dit pourquoi tu ne veux pas qu'on se voit ?
Honnêtement moi même je ne sais pas peut être j'ai peur de l'effet de cet homme sur moi. Peut être ai je la trouille je n'en sais rien.
Moi: honnêtement je n'en sais rien.
Lui: si je n'étais pas marié si je n'étais pas venu à toi avec mon alliance tu ne me repousserai pas.
Moi: non mais tu es marié respecte un peu ta femme c'est dure ça.
Lui: je t'ai dit que j'ai mes raisons. Je viens de lui offrir une semaine à Paris et une autre à Barcelone pour qu'elle se repose et tout avec sa sœur et sa meilleure amie. Donc on a deux semaines à nous.
Mon ventre se tord aussitôt. Après ce baiser j'ai perdu tout mes moyens.
Moi: c'est mal ce que tu fais.
Lui: ok je suis le diable tout ce que tu veux. Mais je veux te connaître. Je suis marier depuis des années c'est la première fois que je regarde une autre femme que j'embrasse une autre femme que j'envisage une relation avec une autre.
Moi: je ne suis pas une briseuse de ménage.
Lui: je sais bien je te demande juste de dîner avec moi mercredi et si tu veux le samedi on passe la journée ensemble.
Moi: je ne gagne rien dans cette relation.
Lui: tu m'auras moi Maimouna. Je serai à toi pas à elle juste à toi.
Putain il est fort pour parler au gens normal qu'il soit politicien.
Lui: donne moi un mois de période d'essai.
Moi: si je fais ça tu auras le temps de m'amadouer.
Lui: tu es impossible à amadouer. Tu m'as dit que j'étais trop chère pour toi.
Moi: il y'a beaucoup d'autres femmes à fréquenter.
Lui: aucune n'a réussi à me faire cet effet en buvant une limonade.
J'éclate de rire. Il a réponse à tout.
Moi: mercredi 21 heures.
Lui: parfait.
Moi: laisse moi dormir maintenant.
Lui: j'ai toujours envie de t'embrasser.
Moi: tu ne mérites pas ta femme.
Lui: je le sais bien tu crois quoi.
Moi: bonne nuit Aziz.
Lui: dors bien Maïna.
J'ai accepter de dîner avec lui. J'avais hâte d'être à mercredi.
Le lendemain j'ai passer la journée chez moi j'étais trop fatiguée pour faire quoi que ça soit.
On s'est envoyer des textos toute la journée j'étais comme une gamine qui venait de rencontrer un mec qui lui plaît.
Le lundi matin j'arrive au boulot. Je retrouve tout le monde assis en salle de réunion je les rejoins rapidement.
Moi: bonjour.
Will: bonjour Aliyah installe toi. Elle est là il faut vraiment que vous régliez vos foutus problème.
Moi: mais de quel problème vous parlez?
Malcolm: Les filles ici présentent disent qu'elles ont toutes un problème avec toi et je ne compte pas te renvoyer donc il faut que vous régliez ce problème.
Moi: je n'ai des problèmes avec personne c'est Nadia qui me déteste car j'ai date son mec.
Babacar sourit. J'ai envie de rigoler.
Nadia: elle ne calcule pas le sentiment des gens elle s'en fou de tout le monde elle fait ce qu'elle veut et Will et Malcolm ne lui disent rien.
Claire: tu as dit au mec avec qui je sortais que je faisais des crises de nerfs. Il a eu peur et m'a plaquer.
Émilie: tu te pavane avec tes talons ici comme si le monde t'appartenais.
Moi: mais le monde m'appartient , vous êtes toute RIDICULES. JE SUIS QUI JE SUIS JE N'AI PAS BESOIN DE VOUS. Et puis toi tu te prend pour qui, ton mec qui t'a quitter c'est son problème, claire. Nadia je n'ai jamais dit à ton mec de me suivre je n'ai rien fait il m'a couru après. Et toi Émilie je mets des talons aussi cher que ton salaire. C'est mon problème. Il vaudrai mieux que vous commenciez à bien faire votre boulot car vous voyez les clients c'est moi qui les amènent et oui moi. Pas vous avec vos habits de chez numéro uno. C'est moi donc je vous emmerde toute je ne m'excuse jamais ça ne va pas commencer maintenant.
Malcolm: c'est pour ça que vous lui en voulez vous êtes sérieuse la?
Will éclate de rire.
Babacar: on retourne au boulot on a un nouveau dossier Maïna. Désolé les filles mais elle, elle reste.
Je sors ma réflexion et retrouve rapidement mon bureau bande de salope je vais leurs faire bien pire. Émilie je sais qu'elle a un copain maintenant je vais coucher avec son gars et là elle verra bien si son mec va la suivre Imbecile.
Moi: je te jure je leurs ferai payer.
Babacar: laisse tomber.
Moi: non je ne laisserai pas tomber.
Babacar: arrête Aliyah.
Moi: NE M'APPELLE PAS COMME ÇA.
J'étais tellement énervée putain c'est quoi ces salopes qui pleurnichent pour un mec. Bande de grosse Salopes.
Babacar: tu sais quoi calme toi.
Moi: j'ai besoin d'une clope. Je sors.
Babacar: tu as arrêter de fumer depuis deux ans reprend pas pour elles. Elle me ne te mérites pas bébé regarde moi respirer avec moi.
Je fixe ses yeux et essaye de me calmer.
Il me prend la main.
Moi: je me vengerai.
Lui: je sais.
Je sors mon téléphone et appelle Michael le mec de NADIA.
Moi: salut Mike.
Lui: salut beauté j'ai attendu ton appel.
Moi: tu me manques tu sais.
Lui: ça te dirai qu'on se voit.
Moi: oui bien sure on peut déjeuner aujourd'hui. Tu passes me prendre au bureau.
Lui: d'accord parfait.
Babacar: Maimouna Aliyah Sy.
Moi: non tu ne juge pas.
Je compose le numéro de l'ex de claire. Je garde tout les contact.
Moi: bonjour Abdou.
Abdou: bonjour belle gosse.
Moi: tu vas bien ?
Abdou: oui cava dès que j'entends ta voix.
Moi: j'ai besoin d'attention tu me manques.
Lui: ownn bébé je suis en Gambie en ce moment.
Moi: okay c'est pas grave.
Lui: je t'envoie un cadeau pour me faire pardonner dans deux heures.
Moi: te prends pas la tête on peut se voir quand tu reviendras.
Lui: je m'excuse bébé je t'envoie un truc laisse moi faire.
Moi: tu peux écrire ton nom sur la carte.
Lui: bien sure.
Je raccroche.
Moi: Babacar ne me juge pas.
Je m'assieds à mon bureau et commence à bosser lorsque je me fait appeler à la réception une heure après.
Je fait un clin d'œil à BABACAR. Je sors de mon bureau avec ma robe.
Je vis claire assise.
Elle il y'a un colis pour toi.
Je vis une super grosse boîte.
Je vis la carte c'était Abdou je fait un grand sourire.
Moi: claire tu peux me jeter la carte dans ta poubelle s'il te plaît.
Je lui donnes son visage devient rouge instinctivement.
Elle: c'est lui qui t'a offert ça.
Moi: qui ça ?
Elle: Abdou c'est lui c'est son prénom et son nom de famille. Tu peux pas arrêter de nous faire du mal.
Moi: arrêtez déjà de me mettre des bâtons dans les roues c'est de bonne guerre.
Elle: un jour je te tabasserai Maimouna.
Moi: j'ai fait de la boxe pendant trois ans tu verras que je n'ai pas peur.
À midi je vis Mika arriver il vient me chercher pour le déjeuner. Je vis le regard de Nadia, je gagne toujours.
Moi: bon appétit Nadia je penserai à toi.
Mika: on y va.
Moi: oui bébé.
Il me prend la main et on y va.
Je sais que ce n'est pas gentil mais je suis quelqu'un qui refuse de se faire marcher dessus.
Mercredi 20 heures 30.
J'étais prêtes mais stressé. Je n'arrivais plus à parler. Suis je bien ou assez je ne sais pas c'est le seul homme qui me fait paniquer.
Je descends de mon bâtiment et vis sa voiture garer la. Un de ses gardes m'ouvre la porte.
Son parfum renferme toute ta voiture la mienne se mélange au sien. Nos regards s'accroche.
Lui: salut.
Moi: salut.
On se fait un grand sourire putain je craque sur lui.
On était séparer par un grand espace.
Moi: comment tu vas?
Lui: salle journée mais cava mieux maintenant. Tu n'as pas répondu à mes messages hier.
Moi: je n'en avais pas envie.
Il s'approche de moi ma respiration s'arrête mon corps se tend et je suis à sa merci.
Il prend délicatement ma main et entrelace nos doigts. Il m'embrasse l'épaule.
Lui: tu es magnifique.
Moi: merci mais je le sais.
Il sourit et me colle à lui: je pose ma tête sur sa poitrine j'encercle mes bras au tour de sa taille.
Lui: tu m'as terriblement manqué.
Moi: toi aussi.
Il me serre encore plus fort. Ce moment la il n'y avait que nous deux comme le soir où l'on s'est embrassé. Il n'y avait que nous deux. J'oublie qu'il est le ministre de l'intérieur, j'oublie qu'il est marié.
On ne parlait pas je penses que la façon qu'on a de se serrer démontre que nous n'avons pas besoin de parler. Je ne sais pas ce qui me relie à cette homme mais c'est fort c'est la quatrième fois que l'on se voit. En 4 fois j'ai aimer chaque seconde même si on se dispute.
La voiture se gare.
Aziz: cava ? Tu es ok ?
Moi: oui.
Il m'ouvre la portière et me prend la main.
Nous étions devant un bateau au port.
Il me prend la main et je le suis à l'intérieur c'est la première fois que j'ai un rendez vous dans un bateau.
Moi: c'est beau ça.
Lui: j'ai essayé de faire de mon mieux.
Moi: tu es sure que t'es gardes ne vont pas cafter.
Lui: non t'inquiètes pas.
J'avance devant lui et se met à genoux devant moi et enlève mes talons. Lentement putain.
Il enlève l'autre paire. Et m'embrasse la hanche. Embrasant tout mon corps.
Il se relève et on avance à l'intérieur. Du bateau on s'installe à la petite table il y avait plusieurs plat.
Moi: on va faire un tour.
Lui: oui t'es prête.
Moi: bien sure.
Il clique sur un bouton et parle dans le micro.
Lui: on peut y aller Charles.
Lui: alors Maimouna Aliyah Sy qui êtes vous ?
Moi: un coup on se tutoie un coup on se vouvoie.
Et vous qui êtes vous? Et pourquoi la politique.
Lui: j'ai toujours aimer les chalenges peur être ça mais je ne compte pas rester dedans éternellement. Je suis Aziz gueye fils unique j'ai une sœur qui vit au état unis avec son mari j'ai perdu ma mère à 12 ans donc j'ai grandis avec mon père.
Moi: je suis vrai j'me désole pour ta maman. '
Lui: c'est pas grave. Et toi à accouche.
Moi: bon moi je suis née hors mariage peu etre C'Est pour ça que je suis si perturbée. J'ai grandis avec ma grand mère ma mère m'a abandonné donc c'est mon père qui c'est occuper de moi jusqu'à ce qu'il se marie je vois une fois par an c'est les veilles de mon anniversaire.
Lui: c'est triste ça.
Moi: cava en vrai je m'en fou vraiment. Pourquoi moi?
Lui: je ne sais même pas mais je sais que c'est toi.
Moi: je plain ta femme je risque de ne rien lui laisser dans l'assiette.
Il me regarde son éternel sourire en coin.
Lui: il faut qu'on discute. Je t'ai fait suivre.
Moi:QUOI??? TU ES MALADE?
Lui: Maimouna tu refuse de me parler j'ai besoin de savoir ce que tu fais.
Moi: non non ça ne fonctionne pas comme ça si tu me fais suivre tu n'aimera pas ce que tu verras .
Lui: tu as déjeuner lundi avec un certain Michael.
Moi: oui et ?
Lui: je veux savoir pourquoi?
Moi: j'avais une vengeance personnelle.
Lui: c'est l'ex d'une de tes collègues tu n'as pas de gêne.
Moi: pourquoi j'en aurai je t'ai dit je fais ce que je veux.
Lui: Aliyah.
Moi: ne m'appelle pas comme ça.
Lui: tu as laissé cet homme te faire une bise.
Moi: et quoi? J'ai pas coucher avec lui y'a ps mort d'homme.
Lui: TU TE FOU DE MA GUEULE?
Moi: non mais je trouve pas normal que tu te permettes de juger alors que tu n'es pas blanc comme neige monsieur le ministre.
Lui: Maimouna si on doit entretenir cette relation il vaut mieux que tu ne vois personne d'autre.
Moi: d'où je te donne l'exclusivité. Je peux accepter de coucher que avec toi mais je verrai d'autres mec ça y'a même pas à me le redire tu n'as pas de droit sur moi.
Lui: si c'est comme ça on arrête.
Moi: y'a aucun soucis dépose moi chez moi maintenant.
Il me fusille du regard je fais la moue comme un bébé il se prend pour qui a jouer sur plusieurs tableau.
Ah les hommes dès que tu fait comme eux ça les rend dingues.
Lui: je ne suis pas venue pour que tu rentres chez toi.
Moi: eh bien je vais rentrer car on a pas d'accord la.
Lui: putain t'es super chiante.
Moi: pas plus que toi connard de l'intérieur.
Il me soulève de ma chaise et me plaque contre lui.
Lui: je t'ai dit d'arrêter de me traiter de connard.
Moi: parle toujours connard. Tu veux pas que je fréquente d'autres hommes alors que toi tu gardes ta femme au chaud moi je veux un plan de secours.
Lui: un plan de secours pourquoi?
Moi: pour quand ça sera finis.
Lui: tu es sérieuse là.
Moi: très. Et puis je ne sortirai avec toi qu'à une seule condition.
Lui: laquelle?
Moi: si je te dis c'est finis c'est finis tu me laisse tranquille et tu sors de ma vie.
Lui: QUOI MAIS T'ES FOLLE.
Moi: c'est à prendre ou à laisser.
Lui: si je tombe amoureux de toi?
Moi: on en arrivera pas là ba arrête je veux pas parler d'amour accepte ma décision.
Lui: ok. Tu ne revois plus Michael.
Moi: façon j'en ai fini avec lui.
Lui: ok on est d'accord.
Moi: tache de faire en sorte que ta femme ne soit pas au courant je ne veux pas être tabasser dans la rue je coute super chère.
Lui: comme toujours.
Je veux me dégager de ses bras c'était trop tendu.
Moi: tu arrêtes de me faire suivre ok.
Lui: ça je ne peux pas je veux savoir ce que tu fais.
Moi: arrête c'est tout ce que j'ai à dire. J'en ai marre cette semaine je n'ai fait que me disputer avec les gens.
Il se décolle de moi et s'assied il me tire pour que je sois assise sur lui.
Il caresse mon dos nue.
Lui: il s'est passer quoi ?
Moi: les filles au boulot me déteste car je leurs ai toutes piquer leurs mecs. Hier je me suis disputer avec Babacar. Et là avec toi.
Lui: tu te dispute avec toi out le monde. Façon.
4 fois.
Moi: quoi 4 fois.
Lui: c'est ce qu'il m'a fallut pour savoir que je ne réussirai jamais à te sortir de ma vie.
Il me tourne pour que sois face à lui putain j'ai rêver de sa bouche tout ses jours.
Il me fait d'abord un smack. J'en veux plus. Il lit dans mes yeux.
Lui: le dîner attendra.
Il me porte pour m'amener dans la cabine. J'étais brûlante. Il me met debout. Et allume la lampe. Nos regard ne se quittaient pas j'étais frustrée.
Il me prend par les hanches et colle son érection gigantesque contre mon ventre me retournant complètement le cerveau. Il me porte encore relevant ainsi ma robe laissant mes fesses nue couvert d'un minuscule string.
Il colle ses lèvres aux miennes et en enlevant sa veste. Mes seins et sa poitrine s'entrechoquent dans un long gémissement quand sa langue entre en contact avec la mienne je n'ai jamais ressentis ça de toute ma vie. On dirai que j'ai été créer pour lui. Nos corps se connaissaient alors que ce n'est que la deuxième fois qu'on s'embrasse. Sa langue aspirerai la mienne. Chacun essayant de montrer à l'autre qu'il en voulait plus. Ses mains s'accroche a mes fesses il se frotte lentement à moi. Oh c'était tellement bon que je ne savais plus où j'étais sa bouche me maîtriser à la perfection nos langues ne s'arrêtait pas là dans ce bateau au milieu de l'océan.
Il soulève lentement mes jambes et me laisse m'accrocher à lui. Je gémis quand je sens sa main là juste entre mes cuisses il tire sur mes fesses pour que j'aille à sa rencontre que je me frotte contre sa main tendu. Je gémissais de plus belle. Le corps tremblant.
Lui: putain ta bouche est délicieuse.
Je me laissais aller contre sa main toujours là je le veux en moi c'est finis. Il se décolle de moi et enlève entièrement ma robe.
Lui: tu es magnifique.
J'avais le souffle court ça n'étais plus l'homme de tout à l'heure. Ses muscles ne tiennent pas dans cette chemise il l'enlève me laissant époustoufler. Il avait une aile d'aigle tatouer sur sa poitrine et ça allait jusqu'à son dos.
Lui: laisse moi te faire jouir bébé.
Je n'arrivais plus à parler et la lentement les yeux dans les yeux il tire sur mon string la lumière était toujours allumer.
Lui: j'ai rêver de te voir étendue comme ça je ne sais combien de fois.
J'avais honte j'essayais de cacher mon malaise il me fixe droit dans les yeux sans même que je ne puisse réagir. Il insère deux doigts en moi le faisant perdre la tête. Je me cambre pour aller à sa rencontre. Il ressort ses doigts en faisant exprès de faire des cercles sur mon clitoris. Je perdais toute notion du temps mes gémissements emplissait toute la pièce. Il continue à faire des cercles nos yeux ne se quittais pas il continue à pincer mes tétons tout en me doigtant. Je n'avais aucune constance. Personne n'avais réussi à me faire jouir rien qu'avec ses doigts. Il enlève ses doigts et reprend mes lèvres entre les siennes. Son pantalon ne cessait de grandir il se frottait contre moi en grognant.
Moi: embrasse moi.
Ses lèvres retrouvent les miennes alors que nos deux corps se perdait l'un contre l'autre lui habiller moi toute nue. Il enlève son pantalon restant en caleçon. Putain il est tellement sexy que je n'ai pas de mots. Là je le sentais encore plus là il était en moi sans être en moi. Je me sentais baiser sans l'être. Sa bouche martelait la mienne il me donnait la plus belle correction de ma vie mon corps mon âme tout était à lui à cet instant. Mon clitoris était sensible comme jamais il ne l'a été je le veux en moi je veux qu'il me fasse l'amour j'en peux plus.
Moi: prend moi s'il te plaît.
Il me fixe droit dans les yeux choquée par la demande.
Moi: ça se fera tôt ou tard. Prend moi s'il te plaît pour aujourd'hui juste cette fois-ci.
Son regard était couvert de désir. Je ne sais pas ce que je fait.
Lui: il n'y aura plus de retour en arrière.
Moi: je sais.
Lui: ça sera finis Maïna tu le sais ça.
Moi: je sais pas dans quoi je m'embarque mais je le veux.
Lui: putain j'ai jamais vue une femme comme ça.
Il plaque ses lèvres contres les miennes mon corps était perturber le train qui me mène à destination se trouve dans ce boxeur et je refuse de ne pas profiter de la vie.
Il enlève son boxeur le laissant le souffle coupé. Mon horloge c'était éveillée il pouvait me rendre folle. Il descend entre mes jambes de sorte que j'accompagne les siennes mes jambes bien écarter il passe deux doit sur ma fente dégoulinante. Et là les yeux dans les yeux. Il me pénètre oh mon dieu.
Moi: oh mon dieu.
Mes larmes coulaient purée j'ai jamais vue d'aussi bon j'étais étroite.
Moi: je suis étroite.
Lui: non bébé c'est moi qui suit trop gros.
Il ressort et essaye d'habituer mon corps au sien avant de replonger en moi.
Je crie sans faire exprès il sourit et continue à onduler en moi.
Lui: t'es tellement bonne purée.
Il aura fallut trois semaine 5 rencontre pour que je couche avec lui je suis une dévergondé je ne fais jamais ça aussi tôt j'attend au moins 6 mois c'est le troisième homme de ma vie avec qui je fais l'amour. Pensez pas que je suis une marié couche toi là.
Il commence me donner des coups de boutoir tout mon corps répond à ses assauts nos deux corps en sueur je m'accroche à son torse. Ses coups de reins était tout ce que j'ai espérer en faisant l'amour. Mes jambes tremblaient. Mon souffle était court. Il continuais à marteler mes fesses sa bouche aspirant la mienne j'avais perdu la tête c'était tellement bon que je ne voulais que ça s'arrête jamais. Il continue à me prendre encore et encore avant de commencer à caresser mon clitoris causant ainsi ma perte je jouis dans un bel orgasme il me suit en se déversant en moi. Il se couche contre moi. Deux humains terrible.
On la fait.
Il ressort lentement de moi et enlève le préservatif.
Je me relève en étant en super forme. Avec les jambes en feu il ne m'a pas rater non plus. C'est ça le sexe avec un ministre.
Il est au toilette j'en profite pour m'habiller rapidement et attacher ma tignasse je me lève pour sortir sur la terrasse du port on était seul le bateau était revenue au port.
Je prend une grande bouffe d'air. Qu'est ce aie je viens de faire. Je me suis donner à lui corps et âmes aujourd'hui. Pourquoi j'ai fair ça. Amel ne me le pardonnera jamais c'est sure.
Je sens ses bras entourer ma taille.
Je me retourne pour le fixer il était tout propre et habillé. Il repousse les mèches sur mon visage. Et m'embrasse les yeux le nez avant de m'embrasser tendrement.
Lui: tu vas bien ?
Moi: je réfléchis.
Lui: fais taire tes démons on est seul parles moi.
Moi: j'ai j'ai adorer ce moment je n'ai jamais ressentis ça. Mais tu es marié Aziz tu appartiens à une autre et moi aussi.
Lui: Maimouna s'il te plaît arrête de paniquer je t'ai dit quoi il n'y a que toi et moi ici et partout. Ok hey regardes moi.
Je le fixe.
Lui: c'est finis tout ça c'est toi et moi maintenant et je t'ai qu'il n'y avait pas de retour en arrière. On navigue ensemble. Et la on a naviguer ensemble tout à l'heure sur toutes les îles du mondes car j'étais avec toi ok.
Je hoche la tête. Il me remets mes chaussures ok arrive devant mon bâtiment.
Il m'embrasse tendrement juste devant la voiture.
Moi: tu veux monter.
Il me fixe choquée de ma demande.
Lui: je te laisse reprendre tes esprits. Tu travailles demain?
Moi: c'est mon jour de repos.
Lui: d'accord je passe te chercher samedi ça te va.
Moi: oui, reste avec moi cette nuit.
Lui: c'est vraiment ce que tu veux.
Moi: fait pas semblant de pas le vouloir.
Il rigole. Et me prend la main il chuchote un truc à son garde du corps et me suis à l'intérieur.
Cette nuit la il me fit l'amour encore et encore jusqu'à ce que nous ne puissions plus prononcer un seul mot.
Je poste après la coupure du jeune comme ca d'où ma amel ken Bakar.
Vous pensez quoi de ses deux là.
😘
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