Le calme impossible.
Âllo ?
Vous... euh...
vous êtes là ?
Bon j'espère que c'est bien le cas.
Heya, c'est euh... la soeur de Sophie.
Mais comme l'autre flemmarde me ne donne même pas de prénom. -_-
Appeler moi Filasoph.
Qui suis-je ? Enfin quel est mon titre ?
Fille du diable en personne.
Enfin c'est une blague faite par ma petite soeurette.
A toi qui lit cette histoire.
Bienvenue.
En tout cas, pas besoin de vous présenter, je ne cherche pas les noises.
Enfin, pas pour l'instant.
Bon où commencer ? Ah oui peut-être par ça... si j'ai assez de connexion pour restez avec vous.
Ah voilà le message...
...
...
envoyé !
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Cette histoire est en lien direct avec celle de ma soeur Sophie.
Mais aussi avec toutes les histoires de Skyplayer.
Donc respecter son boulot de taré et le mien aussi -_- ( Même s'il prend du temps à lire vos histoire.... y compris les miennes XD )
Bref passez une bonne lecture :)
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Il y a eu des hauts et des bas, entre moi et ma famille. Je suis plutôt contente de ma situation financière et sociale, je me posais sous le soleil levant de couleur rougeâtre sous un vent fort qui passe dans le moment passé semble me faire voyager dans les airs des souvenirs.
Allongée sur l'herbe de mon jardin en touchant délicatement les feuillage de l'automne qui arrivait inévitablement. Je pris mon temps pour me détendre et de ne pas penser à cette journée.
Moi je veux arriver à la fin.
Vous savez là où tout se termine.
Là où toutes les destinations se rejoignent en un point.
La fin.
Une légende que mon père me racontait tous jours.
Père de Filasoph : Ben voyons, tu fous quoi allongée dans les feuilles mortes de l'hiver ? Lève toi et tout de suite avant que je ne te prenne par les cheveux -_-.
Filasoph : Je te jure papa, pas un moment. Pas un moment tranquille seule à ne rien faire.
On pourrait se dire qu'il y aura une aventure, des guns, et de l'amour. Pff... que des naïf, vous êtes clairement au mauvais endroit. Je ne suis pas ma soeur positive qui raconte sa vie H24 et qui cherche un copain et des amis.
Je suis trop fatiguée de tout ça.
Moi au contraire, je veux juste être au calme.
Et y a toujours... toujours un événement qui va bouleverser mon calme.
C'est pour ça que je veux en finir.
Je veux en finir avec ce chaos.
Bon revenons à où nous étions.
Me reposant sous les feuilles marron, je me relève pleine de terre et de saleté. Je fixe mon père de proche d'un air similaire à lui. D'un air grincheux, je le pousse hors de mon chemin sur le côté.
Il ne réagit même pas à ma brusque manière de le perturber.
Comme une pierre inamovible, je passe sur le côté dans le but de rentrer à l'intérieur de la maison.
Puis, bien évidement, je me fais crier dessus par ma mère. Pff... Vous savez, sa me touche pas trop, car j'ai l'habitude d'être une fille pas facile à gérer pour ma famille. Bien que je sois totalement épuisée par les cris de ma mère et de ma joue bien gonflée par sa gifle.
Je... je veux juste être en paix.
Passant à la douche, me prenant un violent savon.
Je me rhabille correctement d'une tenue sobre et douce avant de me poser dans ma chambre en soufflant toute trempée avant de réviser mes cours.
Si seulement, si seulement je pouvais avoir la paix ?
Si seulement je pouvais arrêter d'y penser.
Mais je n'y peux m'y résoudre.
Car le pire du pire.
Le fléau de mon calme...
C'est lorsqu'elle a ouvert ma porte sans me prévenir et...
Sophie : Filasoph !!!! Viens jouer avec moi !
Elle sauta sur moi en plein travaille avant de tousser de l'encre verte sur mes réponses.
Filasoph : . . . . . . DEGAGE !
Sophie : Hiiii !!!
Ben voyons, elle vient de disparaître telle mon ombre sous un coup de soleil. Pff... veuillez m'excuser, cela faisait quelques années que Sophie a eu un copain. Dylan je crois ? Puis un petit ami. Jordan.
Elle qui semblait chercher la voie qu'elle recherche, elle trouva son bonheur.
Mais moi... fixant mon cahier verdoyant d'encre putride d'encre de ma soeur... je... pff... m'écrase la tête dedans.
Je...
Je suis tellement fatiguée de jouer les bonnes soeurs.
Celle qui est toujours parfaite devant les autres.
Celle qui est toujours là à aider en secret tout le monde.
Après avoir nettoyé mon visage et mon cahier de réponse.
Je m'épuise dans le lit en regardant mon ombre s'effacer dans la nuit.
Rêvant de fuir cette maison bien que extraordinairement sympa...
Mais la joue gonflée m'empêche de penser à mon bien être.
Tout le temps là à me rappeler que je ne peux pas être au calme.
Qu'il y ait toujours quelque chose pour me gêner.
Deux... non trois heures de travaux acharnés pour rien.
Voilà ce qu'est ma soeur au fond de moi.
Un boulet. Une ombre avec qui elle se colle à sa lumière.
Sophie : Filasoph, je suis désolée... pour avoir euh... comment dire...
Filasoph : Vu comme tu me réponds avec ton air faussement abattue, t'es pas honnête... pff... tu vas me faire pleurer de désespoir ma soeur. Tu as vomi sur mon cahier.
Sophie : Filasoph.
Filasoph : J'en ai marre de cette vie pour jouer la fille parfaite. D'être celle qui doit être toujours à la hauteur de papa qui ne me respecte même pas. Et maman... j'en parle même pas. Et toi ! Surtout toi ! T'es....pfff..... part de ma chambre.
Sophie : Mais... tu ne vas pas bien ?
Filasoph : Evidement que je ne vais pas bien ! T'as pas une idée de ce que je vis ! Papa est du genre stricte avec moi. Très stricte alors qu'il te laisse faire ta vie tranquille.
Sophie : Je peux t'aider ?
Filasoph : Non !
Sophie : Et maman ?
Filasoph : Maman c'est pire et tu le sais très bien. Et toi... je suis punie à cause de TOI ! Pff... pourquoi à chaque fois que TU fais une bêtise, JE suis celle qui me fait punir... T'es trop chiante ! RAAhhh !!
Je prends ce cahier bien sale avant de le balancer de toutes mes forces contre ma soeur. Bien sûr, elle saisit le temps de prendre le cahier dans la tronche avant de se faire éjecter hors de ma chambre en courant.
Pourquoi je devrai continuer à avancer sous cette lancée sombre ? Avant de reprendre mon travail, je sens que la fatigue m'a prit le dessus.
Mais pas le temps de se reposer.
Je prends une piqûre de mon sang, pas beaucoup pour remplir une petite lame de verre avant de l'expérimenter de plus près... Pff... ma couleur verte vire au rouge sombre puis au noir.
Pour vous c'est peut-être pas grand chose, mais en temps que première de la classe d'étude de médecine, c'est un jeu d'enfant pour traduire cela.
Les émotions.
Enfin... mes émotions ou celle de tout inkling / octoling vivant ont des cristaux d'encre en eux qui en somme change de couleur en fonction de l'émotion intérieur que nous possédons. Il est difficile de changer de couleur instantanément sans en payer les conséquences de se perdre soi-même.
Pourtant, j'ai entendu dire de mon père que certain était capable de construire des armures d'encres sans pour autant se faire submerger par les émotions comme un certain Michael, d'autres qui peuvent vivre sans encre sans tout autant exprimer d'émotions. Je crois que j'avais retenue le nom de Karari ou Karui.
Enfin l'encre de ma soeur instable qui l'empoisonne.
Tellement de choses à apprendre. Je suis excitée à en savoir plus
Car il est vrai que nos émotions peuvent contrôler notre couleur mais l'opposé est totalement vrai. C'est pour cela qu'on a un système naturel d'auto liquidation quand on subit une encre "ennemie" qui n'est autre qu'une encre d'une autre couleur.
Ne perdons pas notre temps.
Et allons au coeur du sujet.
En général, je suis de couleur verte et légèrement bleuté à cause de mon côté filou, mais depuis un moment...
Je vire souvent au rouge foncée qui est une couleur très agressive, si agressive qui représente bien la colère et la frustration lorsqu'on est provoqué. Je crois qu'elle a été interdite lors des matchs de guerres de territoire ou même dans les matchs de Splatfest. Il eut beaucoup d'incident sur le fait que des personnes ont été sauvagement attaqué par des fous qui osent essayer de se faire un nouveau style.
Moins étonnamment, ma couleur vire au noir... c'est ma couleur naturelle. Couleur interdite par la haine engendré par la somme des couleur des émotions.
Enfin malgré cela, les couleurs ne sont qu'une plus ou moins une forte influence sur nous.
Ainsi, je présume que je vais devoir passer par tant de choses pour redevenir normale ?
Non.
Pas exactement.
Je lâche mes notes et je range ma seringue avant de sortir de ma chambre lorsque que.... que... OUTCH !
Père de Filasoph : -_- Genre. Genre tu te drogues ?
Filasoph : PAPA ! Regarde où tu marches !
Père de Filasoph : J'ai tranquillement entrain d'attendre que tu sortes et c'est toi qui me fonce la tête la première. Vraiment pas intelligente toi. Bon répond à ma question. D'où tu te drogue ? J'ai déjà assez de problème avec ta soeur.
Filasoph : . . .
Père de Filasoph : -_- Cette tête de dépitée. Ouais je savais que tu me cachais des choses. Je sais beaucoup de choses sur toi et Sophie ; tellement de choses que je pourrais monter genre 4 ou 5 dossier. J'avais dit quoi sur ne pas aller dans les autres mondes pour continuer tes recherches ?
Filasoph : Papa... mais... mais.
Père de Filasoph : Pas de mais, tant que tu n'es pas au courant des dangers t'y cherches pas.
Filasoph : Mais.. ces histoires ! Mais ces histoires que tu me racontais quand j'étais petite ! On allait dans les autres monde pour observer les personnages important, des gens extraordinaires qui ont des pouvoirs. COMME NOUS !
Père de Filasoph : Ma fille. Ce n'était que des histoires pour te faire dormir. -_-
Filasoph : Et alors !? Je sais que tu mens. Car t'as toujours emmené mes espoirs dans le néant !
Père de Filasoph : Ben voyons, depuis quand tu rêves toi ? Je te pensais très sérieuse à l'idée de travailler, surtout que tu a...
Filasoph : Chutt... papa... pas ici !
Je tire la manche de mon père mais... Gggnnnnuuummm... Arrive... pff...pff.. pas... à le bouger.
Père de Filasoph : Pff ha ha ha, t'es vraiment mignonne quand tu es contrariée. Cela m'étonne que tu ne te trouves pas de copain Filasoph. En plus t'as un beau visage qui attire les mecs. Sauf quand t'as un visage noir de colère comme moi ha ha ha.
Filasoph : C'est pas tes oignions ! Bon viens dans ma chambre ou sinon patate dans la tronche.
Père de Filasoph : C'est moi qui offre les Patates. Bon... j'avoue que Maman et Sophie n'aimeront pas savoir que tu te piques. Et je dis toujours non à la drogue.
Filasoph : Comme le sucre et l'amour ?
Père de Filasoph : Fait genre de trouver encore des exemple idiots et je te mette une raclée au prochain repas de famille sur le fait que tu ne t'es pas douchée dans tes derniers matchs.
Filasoph : Pff... t'a toujours le mot à dire toi.
Il me fait un petit rire blasé avant d'entrer dans ma chambre.
Père de Filasoph : *Prends Filasoph et la pose sur le lit avant de s'asseoir à côté d'elle* Bon tu veux savoir un truc de fou ?
Filasoph : Oui. Papa.
Père de Filasoph : Range ta chambre -_-
Filasoph : Pff...
Père de Filasoph : Après je te raconterai un moyen pour te détendre.
Filasoph : Ah super ! Merci papa. Moi qui voulais tant me détendre.
On prend les cahier, puis les sachets des chocolats de ma soeur sur mon bureau, en passant un coup de Atchiii pouha... de poussière partout sur les meubles. Enfin passer l'aspirateur et pff... quand j'aurai ce calme ?!
Filasoph : Terminée.
Père de Filasoph : Donc... voilà, ne penses-tu pas que c'est un meilleur environnement pour prendre son temps et de penser à la suite ? Faut savoir vivre avec les autres Filasoph.
Filasoph : Mais moi je ne veux pas vivre avec les autres, je veux être seule ! Je veux être au calme !
Père de Filasoph : Ben voyons. Si c'est ça que tu veux... j'ai peut-être un truc pour toi.
Alors que je m'effondrai de fatigue sur mon père, il me passa un billet. Pas un billet. THE billet. Celui qui pourrait rendre chaque choses réelle, un billet capable d'ouvrir la boîte de Pandore.
Filasoph : Mais... c'est...
Père de Filasoph : Ouais. C'est un billet de vacance vers la cité clabousse. Un monde complètement chaotique. Tout ce que tu ne veux pas ha ha ha.
Filasoph : . . . Papa... c'est une blague ? J'espère que oui sinon je vais te trucider.
Père de Filasoph : Non. On raconte que là bas, y a eu des choses cool. C'est certes un peu le chaos. Mais tu seras tellement habituée à se chaos que tu reviendras à la maison toute contente.
Filasoph : Papa... pourquoi ?
Père de Filasoph : C'est pour que tu comprennes que la vie n'est pas que le travail. Va jouer de temps en temps, tu as été parfaite jusque là. Donc prend le temps de te détendre.
Filasoph : Ben d'ac papa, promet moi juste de ne rien dire à Sophie ni à ses amis agents secret là qui sauvent le monde.
Père de Filasoph : Je suis pas le genre à laisser des secrets traîner tu sais ?
Filasoph : Ben fait le quand même !
Père de Filasoph : Okay, motus et bouche cousue. -_-
Mon père est vraiment un taré parfois. M'emmener là où je désire le moins y aller. En plus, on a dû résoudre l'affaire de l'octo expansion lorsque j'ai pris la place de ma soeur quand j'étais punie de corvée.
Ma valise préparée en avance par mon père comme s'il savait mes émotions.
Comme s'il me connaissait par coeur... contrairement à ma mère qui cria sur mon père car elle n'a pas été au courant de ça.
Mouais ça m'étonne pas de mon père qui peut parfois être très surmoi. Surtout quand il fait ça tête de blasé comme ça là -_-.
la cité clabousse.
beaucoup de noirceur par de là cette ville.
Situé dans un désert. Sophie va pas m'en vouloir si je m'absente.
En regardant par la fenêtre de ma chambre, j'observe des ombres tournoyer autour de moi. Bien sûr, il ne fallait pas s'en occuper comme ça. Mais encore.... en ouvrant la fenêtre de ma chambre, un gros requin à la cicatrice enflammée sur son oeil vient me voir avant de me lécher la tentacule.
Papa m'en a fait cadeau pour le voyage.
C'est le grand requin. Il est très intelligent.
Et je l'adore. Lui et moi on a fait tellement de choses ensemble.
Filasoph : Hi hi hi Arrête toi. T'es trop gentil de venir avec moi à l'aventure.
Le requin me jeta de l'eau en pleine figue pour me gronder... ça fait un peu mal à la peau. Surtout que nous inkling / Octoling, on est vulnérable à une trop grande quantité d'eau.
Filasoph : *Pose sa tête sur le requin* Bon demain je viens sur toi. Alors tu me fais pas tomber dans l'eau, ça serait sympa qu'on mange un gros poisson tous les deux.
Le requin me lécha tout mon corps avant de sourire d'affection. Il sent très bien à l'odeur que j'ai saigné. Les requins ont un excellent sens pour ressentir les odeurs. Je n'ai pas le mot en bouche... car de toute façon, j'en ai rien à faire.
Mais bien sûr...
Le requin fit sortir quelque chose de sa bouche.
SOPHIE : WHAAAA !!!
Et... voilà qui voilà... ma soeur -_-.
Filasoph : WHUOA !? Tu fais quoi dans la bouche de mon requin !?
Sophie : C'est mon requin à moi aussi ! Et il adore notre odeur corporelle idiote qui ne sait rien.
Filasoph : << Comment ça idiote qui ne sais rien !? >> *Tire Sophie avant de lui frotter la tête* Respecte le requin ! T'as bien fait de lui faire sa dentition ?
Sophie : OUI OUI OUI ! J'ai tout fait ! Bon.... je burk... si mon petit copain me voit avec tant de liquide gluant quasiment blanc et rouge sur moi... burk...
Filasoph : A cause de toi ! Je vais devoir me laver !
Bon je suppose que le voyage sera pour demain alors....
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