14 - Batifolages
Ahem Ahem... Bon c'est un léger spoil mais la fin de ce chapitre est déconseillé pour les moins de 14 ans.
À vos risques et périls.
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Point de vue Riku
Dabi a obéi sans discuter et roule toujours sur l'autoroute, à la sortie de la ville. Malgré les barrage de la police qui faisaient des contrôles routiers, il a su trouver le bon itinéraire pour les éviter. Depuis, plus un mot ne sortait de nos bouches, trop fatigués pour se parler. Je sais où il m'emmène.
Cette maison en pleine campagne... Je n'y mettrai jamais les pieds s'il ne vient pas.
Après quelques heures de route, j'aperçois cette maison perdue au milieu des montagnes et des forêts, et la rivière s'écoule juste derrière. Il n'y a rien d'autre que ce bâtiment et le voisin le plus proche se trouve de l'autre côté de la forêt à plus d'un kilomètre. Au moins c'est clair, personne ne pourra nous déranger ni nous trouver ici.
<< J'ai pas trouvé plus grand, plaisante Dabi en se garant. >>
- Ca me va... Tu me fais visiter ?
On sort de la voiture en prenant nos affaires, pendant que Dabi éteint son téléphone et retire la batterie pour ne pas être pisté. Je souris en prenant sa main avant d'insérer la clé dans la serrure et ouvrir la porte en grand. Il fait sombre et c'est un peu poussiéreux, mais ce n'est pas dérangeant. Il suffit juste de rétablir l'électricité au tableau de bord. Il y a tout juste l'essentiel pour vivre à deux, la cuisine, une salle de bain, le salon et la chambre est au grenier, accessible par une échelle en bois.
Tout est si calme...
Dabi ouvre toutes les fenêtres pour laisser entrer la lumière et s'occupe de rétablir le courant avant de revenir poser nos affaires dans un coin. Je retire les draps sur les meubles et ça me surprend de reconnaitre le style rustique et rétro, aussi bien les canapés que les commodes en bois vernis.
- Comment tu as fais pour trouver ça ?
<< Oh tu sais le bouche à oreille hein... >>
- Dabi ne te ruine pas pour moi--
<< Viens ici. >>
Il m'attrape par la ceinture pour me ramener contre lui et m'embrasse tendrement. Je rougis en répondant timidement, je ne suis pas encore habituée à cette douceur.
<< Vois ça comme une "lune de miel" en avance... sourit-il. >>
- Nyu ?
Avant de réaliser le sens de sa phrase, il est déjà parti inspecter les alentours de la maison pour s'assurer que personne ne nous a suivi jusqu'ici. Mais-- On est pas mariés, pourquoi il parle de lune de miel ????
- Heu Dabi, tu peux m'expliquer ???
<< Tu as faim ? demande-t-il innocemment. >>
- Un peu mais c'est pas la ques--
<< La la la, j'entends rien ! >>
- Mais écoute moi !
<< Tu marmonnes, je te comprends pas ! rit-il. >>
- Tsss toi...
L'après midi sera sûrement un instant que je n'oublierai jamais...
J'ai l'impression de jouer dans un film d'amour complètement cliché, mais c'est ce qui rend cette journée amusante. Dabi m'a emmené visiter la campagne et me poursuit dans le champ de fleurs sauvages suite à quelques provocations de ma part. Je n'ai jamais autant ri de ma vie, et puis la météo est magnifique !
C'est comme si le temps s'était arrêté pour nous...
Je ris en voyant les cheveux de Dabi remplis de fleurs alors qu'il sortait la tête au dessus des herbes hautes parfaites pour me cacher, il est vraiment mignon et moins impressionnant comme ça !
- Oh ne boude pas.
<< Hmm... >>
Il boude vraiment comme un enfant...
Je l'aide à se débarrasser des fleurs emmêlées dans sa tignasse et lui lèche la joue avant de repartir pour lui échapper, mais il réussit à m'attraper par la taille et me plaquer au sol pour me chatouiller.
- Nyah !
<< Tu m'as cherché minette ! >>
Je pivote mes jambes malgré mes fou rires et inverse nos positions avant de glisser sur la pente et nous laisser rouler bouler jusqu'en bas. Dabi me tombe dessus et me bloque entre ses bras, le nez presque dans mon cou et moi je ne peux plus m'arrêter de sourire et de rire.
- Tu as encore des fleurs dans les cheveux...
<< Pas grave au moins je t'ai eu. >>
- On dirait bien...
Je caresse sa joue en souriant et retire une marguerite juste devant son oeil. Le silence revient entre nous et mes yeux restent plongés dans les siens sans jamais s'en lasser. Je n'ai jamais senti mon coeur autant palpiter... Et j'ai envie de dire des choses que je pensais ne jamais avoir l'occasion de dire.
- Je t'aime...
Il allait répondre mais je ferme sa bouche.
- Laisse moi parler... J'étais en colère contre toi... Contre tes mensonges... Je t'en ai voulu... Mais je ne peux pas te détester. Tu auras beau faire ce que tu voudras pour me faire fuir, je ne te haïrai jamais Dabi maintenant que je vois qui tu es réellement.
Je pose ma main contre son coeur pour le sentir battre sous ma paume.
- Je ne connais pas ton passé, mais je suis sûre d'une chose... Il ne définit pas ce que tu es. Peu importe à quel point tu as souffert, je suis convaincue qu'il n'est pas trop tard pour faire les bons choix. Et si tu le veux... Je veux partager ma vie avec toi. Je veux que tu vives aussi longtemps que possible... Et...
Il me regarde intensément sans rien me dire, me laissant rougir comme une idiote, avant de sourire et se rapprocher un peu plus.
<< ... Et ? >>
- Et... Pourquoi pas laisser le temps décider de ce qu'il adviendra...
<< Hm... Viens. >>
Alors que je n'attendais que de l'embrasser, je suis frustrée de le voir reculer de mon visage et se lever en m'aidant à mon tour, avant de prendre ma main et m'emmener sur le sentier de la forêt.
Sur le chemin, on échangeait très peu de mots mais beaucoup d'étreintes. Il m'arrivait parfois de le chatouiller pour m'amuser, la forêt chantait à notre passage et certains animaux s'arrêtaient pour nous regarder, notamment des couples de renards et de biches qui se baladaient comme nous. Décidément tout ce cadre tire vraiment d'un film à l'eau de rose... Je commence aussi à croire que le message de Mère Nature s'éclaircit.
- Dabi... C'est magnifique !
Je m'arrête sur le vieux pont en fer et contemple les poissons remontant le cours d'eau en écoutant les oiseaux chanter plus intensément dans cette partie de la forêt. Les feuilles et les arbres dansent au gré du vent et le parfum boisé et frais me donne une impression de paix indescriptible. C'est comme si toute la pression d'antan s'était effacée en l'espace d'un simple voyage et que tous les problèmes soient restés en ville.
<< Je m'appelle Touya. >>
- Nyu ?
Je me tourne vers Dabi... ou plutôt "Touya", il regarde ailleurs, un peu gêné.
<< Touya... Todoroki... >>
- ... C'est un beau nom...
Il relève les yeux vers moi et je souris, puis il m'invite à m'asseoir sur un banc en tronc de chêne non loin avant de poser un genou devant moi.
<< Ecoute... soupire-t-il en prenant ma main. Je suis pas doué pour dire ce que je ressens et je serai peut être pas la personne que tu voudras que je sois... Et j'ai besoin de temps pour m'habituer à tout ça, mais je suis prêt à faire un effort Riku. C'est une promesse que tu ne peux pas douter. >>
Je souris en serrant sa main, alors qu'il plonge l'autre dans sa poche. Mon sourire s'efface et mon coeur commence à s'emballer en comprenant ce qu'il cherche à faire. Dabi... Tu es fou !
<< Pour te le prouver... Je n'ai trouvé que ça. Quand on est partis ce matin, je n'ai pas réfléchi et je savais ce que je voulais. Je voulais attendre encore pour te le demander, mais au vu du nombre de rivaux qui sont prêts à t'avoir, je refuse de te laisser filer. J'ai jamais été aussi sûr de ma décision, maintenant je veux savoir la tienne. >>
Ma gorge se noue et mes larmes me piquent les yeux en voyant l'écrin de velours encore fermé entre ses doigts, jusqu'à éclater en larmes en voyant enfin la bague briller sous les rayons du soleil de 16h.
- Dabi...!
<< Riku... Si je t'ai emmené ici, c'est pas par hasard. Cette forêt me fait penser à toi... alors je me dis que c'est le meilleur endroit pour te demander si tu acceptes de partager ta vie avec moi. >>
J'attrape son visage que j'embrasse passionnément, baiser auquel il répond tendrement. Pour moi, la réponse n'est même pas à discuter. Tout s'enchaine si rapidement, mais pourquoi attendre quand on est sûr ? Moi aussi j'aurais voulu attendre avant de prendre cette décision, mais la vie est bien trop courte pour laisser durer... Je préfère profiter du présent tant que je le peux encore.
- Je le veux !
Il sourit et me passe la bague au doigt avant de sécher mes larmes. Je suis heureuse de pouvoir choisir l'homme que j'aime et lui dire oui sans hésiter et sans contrainte... Il embrasse mes phalanges et blottit sa joue dans ma paume, paisible.
<< Riku Todoroki... Désolé mais ça ne sonne pas très bien... >>
- Tu préfères Nekomura Touya...?
<< Et pourquoi pas ? J'aime bien ta famille. >>
- Hmm... C'est vrai que ma mère t'a adopté.
<< Tu sais que j'oublie que je suis un criminel à force ? >>
- Ici, il n'y a aucun Vilain à l'horizon.
Je le tire par la main et l'emmène marcher en me blottissant sous son bras. À peine amoureux, aussitôt fiancés... Qui le crut ?
Deux jours plus tard, le même bonheur flotte dans l'air et nos soucis ne hantent même plus nos esprits. Dabi n'a jamais autant dormi et aussi bien de sa vie, d'après lui. Perdus au milieu des montagnes, c'est comme si tout le mal qu'il renfermait au fond de lui s'était évaporé.
C'est tout ce que j'espérais...
Tôt ce matin, je sors du bain en séchant mes cheveux et remet ma bague à mon doigt en la contemplant. Si tous les hommes de la Terre pouvaient être comme le mien... Je suis certaine que la population mondiale serait en surcharge.
Je monte réveiller Dabi dans la chambre, mais sa bouille endormie me fait hésiter. Il dort si profondément dans le grand futon qu'on partage tous les deux, pourquoi le tirer d'un potentiel si beau rêve ? Je souris en m'asseyant à ses côtés et caresse ses cheveux, mais mes yeux descendent machinalement vers son buste découvert et commencent à compter chacun de ses muscles visibles.
Depuis deux jours, je me sens vraiment étrange... Ca fait deux jours que mes lèvres me brûlent et d'étranges pulsions me donnent des pensées... osées... Je n'ai jamais ressenti ça avant, et je crois que mes chaleurs ont commencé. Chez nous, quand une femelle entre en chaleurs, sa peau sécrète un parfum doux comme des phéromones chez les animaux.
Mon odeur à moi... C'est la vanille...
Aucun mâle ne peut y résister, hormis les personnes du même sang. La consanguinité n'existe pas chez nous. Mais Dabi... Je ne suis pas non plus insensible à son odeur.
Je ne peux résister à ses lèvres que j'embrasse légèrement pendant son sommeil, avant de sursauter en sentant sa main glisser dans ma nuque pour intensifier l'échange. Quel fourbe il ne dormait pas vraiment... Je sens son autre main agripper mon peignoir et me basculer sur le côté sans lâcher mes lèvres. Je passe mes bras autour de son cou alors qu'il me submergeait de sa carrure, maintenant prisonnière sous son corps que... Que...
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.
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IL DORMAIT NU ?!!!
Qu'est-ce que je sens entre mes cuisses ????
... J'ai chaud...
Dabi rompt ce baiser pour me laisser respirer et mordille ma lèvre inférieure, le souffle chaud et court, puis descend son nez dans mon cou pour humer mon odeur et embrasser ma peau. Je me sens si sensible à chaque caresse... Depuis quand est-ce qu'on se retient...?
- Dabi...
Je soupire chaudement en sentant ses mains me serrer un peu plus contre lui et caresse ses omoplates fortes bien que scarifiées. Le sentir installé confortablement entre mes jambes n'arrange pas mon état... Son corps frotte légèrement contre le mien, ses hanches collées contre la peau de mes cuisses, par pitié c'est une torture...!
Mais au lieu d'aller plus loin, Dabi mordille mon épaule pour m'arracher un petit son sortant du fond de ma gorge en me débarrassant lentement de mon peignoir qui commençait à me tenir vraiment chaud, tandis que ses mains descendaient de plus en plus en remontant le tissu vers ma taille. Je dénoue la ceinture en le laissant dévoiler mon corps peu à peu et le contempler quand il relève la tête. Regardant ma respiration modérée via les gonflements de ma poitrine, il se mordille la lèvre avant de plonger la tête sur le sein qu'il a pris pour cible, afin de le titiller malicieusement.
Je bascule la tête en arrière en lâchant un son de désir et attrape sa tignasse alors qu'il descendait vers mon ventre. Ses mains massent mes hanches avant de remonter vers ma poitrine, me provoquant des frissons incontrôlables de la tête jusqu'au bout de ma queue qui remuait sous nos corps. Être en chaleur dans un moment pareil... C'est juste impossible à contrôler...
Dabi s'arrête au niveau de mon bas ventre et soupire chaudement contre ma peau en caressant mon ventre. Mais un détail me coupe dans mon élan de total abandon de toute conscience et j'attrape son poignet.
- Dabi... Attends...
Il revient auprès de moi en cherchant mes yeux, puis frotte sa joue contre la mienne.
- Si on fait ça... Tu connais le risque...
Il ne dit rien et m'embrasse amoureusement, puis fouille dans ses affaires juste au dessus de ma tête avant de sortir une boite de pilules.
- Des pilules contraceptives...?
<< Entre autres. >>
- Mais c'est cancérigène, je n'avalerai pas ça !
<< Qui a dit que c'était pour toi hm ? sourit-il en décapsulant la première plaquette. Une femme est fertile en moyenne 4 jours par mois alors qu'un mec est fertile 365 jours par an. T'as compris l'inégalité de charo ? >>
- Dabi non !
Mais il ne m'écoute pas et en a déjà avalé une !
<< Tu sais... soupire-t-il, les yeux lumineux. Ces pilules n'ont rien de dangereux, fais moi confiance. Je vois pas pourquoi les femmes doivent toujours avoir la responsabilité de se protéger, c'est qu'un ramassis de conneries et ça me rend fou, elles tombent pas enceintes toutes seules que je sache... Laisse moi juste deux minutes le temps que ça fasse effet et je suis clean si ça peut te rassurer. >>
Je crois que j'ai choisi la perle rare... Je veux et exige qu'il soit le père de mes enfants !!
Je gémis en sentant ses doigts caresser ma fleur intime, coupée dans mon élan par un baiser fougueux et si passionné à m'en brûler la langue. Des pilules pour hommes... J'espère juste qu'il a raison et que ça n'aura aucun effet négatif sur sa santé...
Je m'agrippe à ses épaules que je griffe légèrement alors que ses doigts accéléraient leurs mouvements circulaires et une nouvelle sensation se mélange à la chaleur au creux de mon bas ventre. Je crois que j'ai déjà un orgasme !
<< Jouis maintenant si tu veux... sourit-il entre deux baisers. >>
Je me cambre en retenant un cri en sentant son érection frotter contre moi et mes genoux se resserrent autour de sa taille maintenant coincée entre mes jambes. Dabi retire délicatement ses doigts en caressant mon intimité comme pour la féliciter de son travail, puis s'approche de mon oreille et les mots qu'il prononce dans sa voix suave me font perdre la raison.
<< Good girl... >>
Je le serre contre mon coeur en lui arrachant un baiser et frémis à la douleur de sa venue en moi, le faisant grogner légèrement et froncer les sourcils. De légers picotement transpercent mes jambes alors qu'il s'aventure plus loin jusqu'à prendre entièrement place et laisser échapper un long soupir un peu tremblant. Il se contient de ne pas être trop violent ou trop brusque et moi... Je tremble encore de ma douleur de perdre ma virginité qui s'estompe lentement.
- Dabi... Tu trembles...
<< Si tu savais la torture que ça me fait... >>
Je cale mon front contre le sien en prenant tous les deux le temps de nous habituer l'un à l'autre, puis Dabi commence à faire danser son corps contre le mien en serrant ma main. Il m'embrasse plusieurs fois pour me rassurer alors qu'il appuie peu à peu en cherchant le point le plus sensible. Je ferme les yeux en essayant de lâcher prise, quand un courant me force à cambrer le dos.
Un premier son est lâché, puis un deuxième, et encore un beaucoup plus aigu, alors que Dabi recommençait son geste encore et encore et de plus en plus fort, puis il gémit contre mon oreille à son tour pour m'accompagner. C'est chaud et si agréable, mais alors sa voix... Sa voix m'excite encore plus... Elle m'enivre à tel point que je ne veux pas qu'il s'arrête.
Le rythme prend rapidement une cadence modérée, sans être trop rapide, et Dabi sollicite plus de puissance dans ses hanches afin de m'arracher des cris toujours plus aigus et les faire résonner dans toute la maison. Il ne se prive pas non plus de faire entendre sa voix alors qu'il était dévoré par l'extase.
- Touya !
<< Putain c'est bon ! gémit-il dans mon cou. >>
Je suis d'accord avec toi... J'attrape une touffe de ses cheveux en laissant mes cris envahir la chambre et Dabi se donne à coeur joie, il le fait même très bien comprendre. Nos corps deviennent tout pègue à cause de la sueur et quelque chose me dit qu'on est loin d'en avoir finir... Peu importe, c'est si bon !
- Touya...
<< Encore~ supplie-t-il. >>
- Touya...!
<< Encore ! >>
- DABI !
Tout s'arrête subitement après un ultime cri à l'unisson, puis il lâche un long râle d'extase en relâchant sa semence qui me crispe d'un spasme incontrôlable. Ca me brûle de l'intérieur...!
Je savais que Dabi avait plutôt bonne réputation avec les femmes et ses prouesses au lit, mais je n'imaginais pas à ce point... Je pensais que c'était surjoué...
Cet homme est-il vraiment humain pour avoir autant de qualités en fin de compte ? Je me le demande.
Lui qui se dit être un salaud de première, moi je ne vois pas où est le défaut. Il est ouvert d'esprit, il sait faire la part des choses sans aller dans l'excès, ni trop vite ni trop lentement, il se préoccupe de mes moindres envies, analyse mes réactions-- JE VAIS EPOUSER CET HOMME !!!
Kamisama... Arigatou...
<< ... J'en ai encore envie. >>
- Heu... Laisse moi récupérer d'abord.
<< Je rigole, rit-il. >>
Je lui donne une tape derrière la tête alors qu'il reste couché sur moi.
<< Aie. >>
À suivre...
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Ca va, je vous ai perdu en chemin ?
Non Mini Touya c'est pas pour cette fois-- LAISSONS RIKU RESPIRER UN PEU ! >^<
Heu si j'ai oublié des mots ou fais des fautes, dites le moi parce que le chapitre est assez long et flemme de repasser dessus.
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