Souvenirs de Luna - Harry Potter

Alors, tout d'abord, bonjour à tout le monde ! Ici Doothis et je vais présenter une fanfiction Harry Potter qui a comme but de présenter un souvenir de Luna, en minimum 600 mots ( je ne suis pas du genre à faire des nouvelles longues, alors pour atteindre ce nombre, j'ai dû rajouter beaucoup de choses que je juge inutiles, je suis généralement plutôt du genre à aller droit au but dans mes écrits pour les rendre moins ennuyeux )

Bref, ceci n'est absolument pas ma meilleure fanfiction, elle a été faite dans l'urgence pour la rendre à temps pour un concours, mais bonne lecture quand même !

( je vous ai tellement découragé qu'à ce stade là tous les lecteurs doivent être partis ? xD )

( Non, sérieusement, qui a eu le courage de rester ? )

Vous êtes coriaces xD

And let's go !

J'avais huit ans trois-quart quand ça c'est passé. Oui, c'est ça, car maman était encore avec nous.

Cet été là, je passais mon temps dans le jardin avec mes parents. On cueillait des bildocs et on observait les animaux mystérieux dont papa décrivait la vie dans des articles qu'il publiait dans son journal.

Un après-midi du mois d'août, maman m'avait rassemblé les cheveux en deux petites couettes, et je m'étais moi aussi amusée à coiffer les siens. Je tressais ses cheveux habillement en lui racontant mes rêves pour l'avenir : diriger le journal avec papa, créer des inventions fabuleuses comme maman. On riait comme des silympides, insouciantes, tandis que je manipulais sa chevelure d'or bouclée et semblable à celle d'une déesse.

Ma maman était vraiment très jolie, mon père n'a cessé de le répéter, même après qu'elle soit partie. Ses yeux pétillant d'une éternelle joie de vivre, son perpétuel sourire et ses mains fines et précises, font d'elle la plus belle chose que j'aie jamais vu.

Après sa mort, je conserve encore une image d'elle épanouie et pétillante, un petit peu comme une fleur qui ne fannera jamais.

Ce jour-là, dans la soirée, alors que je venais de manger ma part de porridge, indifférente car habituée aux regards amoureux que se lançaient mes parents, je m'attendais à tout sauf ce qu'on allait m'annoncer.

Car lors de ce repas qui avait commencé de façon tout à fait ordinaire, papa et maman ont déclaré, avec un grand sourire : « ça te plairait d'être grande soeur ? »

J'ai répondu que non, car on était bien tous les trois, comme ça. Ma mère m'a alors dit, ne perdant pas son sourire : « mais, si tu avais un frère ou une soeur, ce serait amusant, non ? Vous pourriez vous jouer ensemble ! » J'ai répondu que je m'amusais déjà bien avait eux, mes parents, et que je n'avais pas besoin de quelqu'un d'autre. Mais papa m'a dit que je changerai d'avis en rencontrant le bébé, de toute façon il était trop tard maman l'avait déjà dans le ventre. Il m'a promis que ce serait le plus merveilleux des bébé, et que moi aussi je l'aimerai. Je savais que ce ne serait pas vrai, mais j'ai souri pour faire plaisir à mes parents.

Puis, dans les jours qui ont suivi, mes parents m'ont un peu laissée, ils restaient tout le temps tout les deux, se faisaient plein de bisous, et parlaient au ventre de maman comme si il allait leur répondre. Il fallait être idiots pour y croire. A table, ils m'oubliaient et ne parlaient plus que de lui, « A ton avis, c'est un garçon ou une fille ? »; « Comment pourrait-on l'appeler ? » Pour son nom, ils hésitaient entre Gaspard, Albert et Ferdinand si ça avait été un garçon, et Tiana, Holly et Sybille pour une fille. Moi, cela m'importait peu. Le bébé n'était pas encore né, et, déjà, je ne l'aimais pas. Pour être honnête, j'étais un peu jalouse de toute l'attention qu'ils lui portaient. Ils en sont venu à oublier mon anniversaire, et j'ai passé cette journée à pleurer dans ma chambre.

Plus les semaines ont passé, plus le ventre de maman est devenu rond. Je me demandais comment un être humain pouvait tenir là dedans, il allait vraiment être minuscule. Elle pouvait se déplacer de moins en moins, et mangeait beaucoup, BEAUCOUP de fraises.

Et puis, un jour, alors qu'elle en était à huit mois de grossesse, maman faisait une expérience, et je la regardait du coin de l'oeil. Alors, un sortilège a mal tourné, et sa tête a explosé.

Elle est morte, sous mes yeux, avec le bébé. Papa n'a plus parlé du bébé, comme si il n'avait jamais existé.

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