Chapitre 8: L'acceptation

Des larmes tombent du visage du brun, figeant le plus jeune.

Thoma: ...Non. Non, non c'est faux ! Tu mens ! Vous mentez ! Elle est forte ! Elle n'a pas pu me laisser seul !

Il se retire de la prise du brun.

Thoma: Elle bat facilement le Fatui ! Elle ne peut pas être...

Il ne pouvait pas le dire, ses poings serrés, ses pupilles briller, menaçant de pleurer.

Zhongli ignoré comment agir, regardant le roux...Tartaglia était un grand frère, et avait une famille...Il était le mieux placé pour aider le plus petit.

Le rouquin eut vraiment du mal à contenir sa tristesse, mais en voyant la détresse de son homme, Tartaglia se rapprocha et se mit à la même hauteur que le jeune.

Tartaglia: Je ne connais pas vraiment toute l'histoire... Mais de ce que je sais, c'est que ta sœur était une personne qui aimait aider les gens... Étant un grand frère, je pense pouvoir comprendre ses agissements. On veut toujours rester le héros et protéger notre famille à tout pris... Mais on a tous des points faibles, qu'on soit fort ou non... Je sais que je pourrais me mettre en grand danger si mes frères et sœurs l'étaient, pour les protéger jusqu'à donner ma vie...

Ses yeux couleur océans se mirent à briller, il retenait au mieux ses larmes. Pas seulement par fierté, mais pour soutenir les deux garçons... Trop de larmes coulaient à cet instant.

En écoutant Tartaglia, Thoma sentit ces forces le trahir.

Le quitter.

Alors...C'était ça ?

Personne ne lui avait dit...?

Elle était partie ?

Mais comment ?

Quand ?

Où ?

Pourquoi ?

Son cœur se serra.

Il le savait au fond de lui, mais avait toujours gardé espoir.

Mais si Zhongli lui-même et cet homme le disent...

Il ne pouvait que les croire.

Thoma: ...Ma sœur...

Ses larmes finissent par tomber, tremblant, mais se reculant.

Thoma: ...Mais comment...?

Tant de questions.

Il en avait trop.

Alors doucement se rapprochant, et tendant les bras vers Thoma, Zhongli ajoute.

Zhongli : ...Elle a voulu se battre pour défendre un petit village. Mais elle était malade. Malgré que je lui avais demandé de rester à l'écart, elle a refusé boulant protéger les habitants...Un dieu, à présent archon, la alors prise en tant que cible et la vaincue. Je n'ai pas pu la protéger, ce n'est que des heures après qu'ont la retrouver sans vie.

S'agenouillant devant le petit, qui trembler, il rajoute.

Zhongli : Pardonne-moi...

Osial.

Il était celui qui avait tué sa sœur.

Mais ça...Il l'ignorait.

Thoma: ...Mais qu'est-ce que je fais...? Je n'ai plus personne...Ma famille n'existe plus, ma recherche de 15 ans et...Terminé...Et ce Katana...

Il le jeta au loin, de rage.

Thoma: J'avais promis qu'il m'aiderait à trouver ma sœur ! A la protéger ! Je n'ai pas le droit de tenir une tel arme alors que mon serment a été anéanti !

Une famille est sacrée et irremplaçable... Tartaglia savait ce que ça représenter pour lui... Sans vraiment réfléchir, il attrapa le jeune et serra fort dans ses bras.

Tartaglia: Il n'y a qu'une chose que tu peux faire... C'est rester fort, fort pour elle... Montre lui d'où elle est que tu peux te battre autant que tu peux pour lui faire honneur... La rendre fière...

Thoma les poings serrer aurait voulu partir.

S'éloigner.

Allez...Ailleurs.

Mais il se sentait trop démuni.

Trop faible.

Trop inutile.

Thoma: Je...Je veux la revoir...Je veux avoir sa présence...

Ces larmes tomber sans contrôle, Zhongli en voyant la scène sécha au mieux ces larmes, allant les rejoindre enveloppant le petit avec Tartaglia.

Zhongli : ...On ne pourra pas la remplacer...Mais je suis là.

Sa queue vient alors caresser le dos du plus petit fermant ces yeux, jusqu'à finalement tomber d'épuisement...C'est à ce moment-là que Zhongli voit les cernes, les cicatrice sur les bras, ainsi que ces mains abîmer...

Zhongli : ...Le pauvre...Il a cherché 15 ans...Guizhong avait refuser qu'on dise qu'elle été décédé...Mais elle ne m'avait jamais parler de son frère...

Tartaglia lui lança un regard triste.

Tartaglia: Dans ce genre de situation, on n'en parle jamais de notre famille pour les tenir à l'écart du danger... A part mes parents, mes frères et sœurs ne savent pas ce que je fais comme boulot... Et c'est quelque chose que je veux leur cacher jusqu'à la fin...

Il baissa le regard et se redresser en tenant le jeune contre lui.

Ce silence... C'était un choix... Mais aussi une obligation...

Zhongli : Ce qui est compréhensible...

Il regarde le petit évanoui dans les bras du roux.

Zhongli : ...Occupons nous un peu de lui quelque temps. C'est la moindre des choses mais...On devra le faire partir après, je ne pourrais pas m'occuper de lui.

Il baisse le visage, serran ces lèvres.

Il ne voulait déjà pas voir Tartaglia mourir sous ces yeux.

Alors Thoma...Encore moins.

Tartaglia hocha la tête et rentra avec le jeune qui alla déposer dans une deuxième chambre.

Tartaglia: Il a plus besoin de repos qu'autre chose...

Il sortit de la chambre en refermant derrière lui et se plaça devant le brun.

Le brun baisse le visage, se tenant les bras, inquiet.

Il ignorait quoi faire.

Il ne savait pas.

La situation lui échappait.

Sa respiration s'accélère, son regard briller toujours, mais refuser de verser plus de larmes.

Elle l'avait protégé jusqu'au bout.

Si Osial avait su qu'elle avait un frère, il l'aurait tué.

Zhongli... Ou plutôt Morax à l'époque n'avait rien pu faire.

Il serra les mains en y repensant.

Tartaglia vit le mal-être de son amant et le prit dans ses bras, lui montrant qu'il était présent pour lui dans cette situation.

Et dire que le brun venait de faire son deuil, ceci lui tombait dessus en si peu de temps...

Il plongea son nez dans son cou, le serrant fort contre lui.

Tartaglia: Ne t'inquiète pas... Tu n'es plus tout seul...

Zhongli eut de petites larmes qui retombent, tremblant, il demande perdu...

Zhongli : Je dois faire quoi ? Qu'est-ce que je peux faire ? Je ne supporterais pas de vous voir vous deux disparaître...Je serais impuissant, je ne tiendrais pas...Mais je ne peux pas le laisser seul...

Il sera le haut du roux de ses mains, fort, cachant son visage.

Tartaglia senti son cœur se serrer et passa sa main fans ses cheveux.

Tartaglia: Je... Je ne te quitterai jamais... Je voulais te l'annoncer, il y a un moment, mais je n'ai jamais trouvé le moment... Je resterai à jamais avec toi, tu ne seras plus seul désormais...

Aux paroles du roux, le brun se fige, et lève lentement la tête.

Zhongli : ...Comment ça...?

Il avait peur de comprendre, le regardant, mais calmant ses larmes à sa main dans ses cheveux.

Tartaglia lui essuya ses joues.

Tartaglia: Le démon que j'ai reçu par la Tsarine... M'a donné une sorte d'immortalité...

Zhongli devient pâle.

Zhongli : Quoi...? Mais...Tu... Enfin, ça ira ? Je suis soulagé, heureux ! Mais enfin, tu es sûr ?

Il hésita entre sourire, ou pleurer de joie, ou avoir peur pour son roux.

Tartaglia lui sourit tendrement en prenant son visage en coupe pour l'embrasser amoureusement.

Tartaglia: Tant qu'on est ensemble... Je pense pouvoir être capable de tout...

Le brun souri, pleurant de joie cette fois-ci, répondant à son baiser, fermant ses yeux l'entourant a la taille avec ses bras.

Tout heureux, le rouquin continue son baiser en entourant son cou de ses bras avec le sourire.

Se calmant peu à peu, il réalise alors quelque chose.

Il rompt doucement.

Zhongli : Mais alors...On peut... Essayer de s'occuper d'un..."Enfant"?

Tartaglia le regarde en souriant.

Tartaglia : On peut.

Zhongli continue de pleurer de joie, bondissant dans les bras de Tartaglia, sa queue et ces cornes revenant pris par l'émotion.

Tartaglia se mit à rire devant la réaction de son brun. Sauf qu'il ne s'attendait pas que le brun soit aussi lourd avec sa queue qui venait d'apparaître et fini par terre avec son homme sur lui.

Le brun rigole, se frottant la nuque.

Zhongli : Désolé...Tu va bien, pas trop sonner ?

Il le regarde un peu inquiet, lui posant la main sur sa joue droite.

Tartaglia : Non je vais bien.

Dit-il en riant.

Zhongli se décale, ne voulant pas lui faire mal tout de même, lui tendant la main pour l'aider à se relever tout sourire.

Tartaglia lui prit la main pour s'aider à se relever.

Tartaglia: Tu es heureux mon amour ?

Zhongli : Oui ! Mille fois oui ! Je-

Tellement prit par l'émotion ses larmes continues, mais il tremblait.

Il ne serait plus seul.

Plus jamais.

Son vœu a été réalisé.

Il enlace son amant, entourant son bras de sa queue.

Tartaglia sourit et le colla encore plus à lui.

Il resta comme ça de longue minute calmant ses larmes, mais continuant à enlacer son roux, le parsemant de baiser au cou, au front, aux joues, au nez.

Il sourit, comme jamais il avait souri.

Ce poids c'était enlever, envoler, et de cette planète celui qui est immortel comme lui, il s'agit de son amant, c'était le plus beau jour de sa vie.

Tartaglia se mit à rire sous ses baisers, le trouvant adorable.

Se calmant enfin, il sourit toujours, regardant le roux, le libérant de ces prises.

Tartaglia lui sourit.

Tartaglia: Ça l'air d'aller mieux, je suis content de te voir comme ça.

Il lui caresse la joue.

Se frottant à sa main, il acquiesce.

Zhongli : Comment je ne pourrais pas aller mieux ? Je ne pensais pas ça possible...!

Tartaglia: Et bien... Si !

Sa queue bougea de gauche à droite frénétiquement.

Zhongli : Il faut fêter ça ! Mais attends on doit attendre que Thoma aille mieux...

Le rouquin hocha la tête.

Tartaglia: Faisons ça.

Zhongli : Attends et Thoma...?

Il regarde vers la chambre, interrogateur.

Tartaglia: On va attendre qu'il se réveille au moins, il va être complètement perdu et désorienté face à ça.

Dit-il en suivant son regard.

Zhongli : Je pense que...

Il lui prend la main, lui souriant.

Zhongli : Que tu seras le mieux placé pour lui annoncer tout ça...

Tartaglia: De quoi ? Qu'on le garde avec nous ?

Zhongli : Oui idiot !

Dit-il en riant, en lui faisant une petite tape à l'épaule.

Tartaglia: Eh !

Il lui sourit.

Tartaglia: Tu te lâches de plus en plus ! Pour un sage !

Zhongli : C'est ta faute, tu m'influences trop.

Un grognement se fait entendre de l'autre côté de la porte.

Zhongli : ...Il a dû se lever.

Tartaglia: T'influences....

Se mit à rire le rouquin alors qu'il se rapprocha de la porte. Il hésitait soudainement.

Voyant ce dernier ne plus avancer, ni bouger, Zhongli se met derrière lui et l'enlace doucement, puis en plaçant son visage à son cou, il murmure.

Zhongli : ... Détends-toi, inspire et expire. Il ne faut pas que tu te stresse, après tout, tout à l'heure, tu lui as parlé normalement et ça la... Aider d'une certaine manière.

Tartaglia: Tu as raison...

Il lui sourit, inspire et expire et ouvrit la porte doucement en passant sa tête.

Tartaglia: Thoma ?

Thoma sursaute, manquant de tomber du lit, regardant l'homme face à lui, restant contre le fond du lit...Pas habitué à voir quelqu'un au réveillé, ni être en sûreté comme ça...

Le voyant un peu effrayé, le rouquin ouvrit la porte en grande pour laisser Zhongli entrer avec lui et resta en recule.

Tartaglia: Calme-toi... On ne va rien te faire...

Zhongli se rapproche doucement, mais Thoma resta sur le lit les regardant.

Il avait...Peur ?

Non, surtout il été sur ces gardes.

Il leur fait confiance.

Mais...Il redoutait mille et une chose.

Thoma: ...Je suis plus habitué. Je ne pensais pas que vous m'aiderait.

Tartaglia: Vu ce qu'il s'est passé il y a une demi-heure, je n'allais pas te laisser partir dans ton état...

Dit-il d'une voix calme et voulant être rassurant.

Thoma: Je...

Il regarde les deux hommes face à lui, et détourne le visage assez rouge.

Thoma: Je ne voulais pas gêner...

Tartaglia: Tu ne gênes pas...

Le rouquin profita qu'il ne regarde pas pour s'approcher doucement sans le brusquer.

Zhongli le laissa faire...

Thoma le regarde de nouveau, mais ne bougea pas.

On dirait un chien couinant presque.

Thoma: ...Vous avez votre vie. Moi je dois me débrouiller. Je te l'ai dit, je dois continuer à me salir les mains moi...

Tartaglia finit par s'asseoir à ses côtés.

Tartaglia: Pourquoi tu devrais te salir les mains ...? Tu as l'air d'avoir 15 ans, as cet âge, on fait autre chose de sa vie...

Thoma: Je fais ça depuis que Guizhong n'est plus là...

Dit il serrant le drap non loin.

Thoma: ...Et j'ai 25 ans.

Tartaglia: Encore mieux ! Tu es jeune ! Ne bousille pas ta vie à ça.

Il le trouvait vachement plus jeune vu sa taille.

Thoma gonfla ses joues.

Thoma: Ne me regarde pas comme ça...Je sais que je parais jeune, mais quand même... Et j'ai que ça qui me fait vivre. Alors si je vais continuer, d'ailleurs, je dois trouver une autre mission...

Tartaglia: Où tu trouves tes missions ? Je suis bien curieux ?

Perplexe, il croisa les bras sur son torse en levant un sourcil.

Thoma: A Liyue. À minuit, il y a une boutique qui ouvre et dedans un tableau de mission si trouve.

Explique ce dernier, puis remarque alors.

Thoma: C'est normal ça...?

Il montre la queue de Zhongli, qui gêner la cache.

Tartaglia: Cet boutique...

Il soupira.

Tartaglia: Tu vas te faire arnaquer toi un jour.

Il tourne ensuite la tête vers son amant et sourit.

Tartaglia : Plus que normal...

Il se mit à rire.

Zhongli: Je n'y suis pour rien...!

Thoma les regarde souriant un peu.

Thoma: Mais...Je ne pense pas qu'ils vont me laisser tranquille vue que j'ai échoué lors de cette mission...Alors je peux dire adieu à mon gagne-pain.

Zhongli regarde Tartaglia, lui donnant un coup de coude.

Tartaglia : Oui c'est bon, j'ai compris...

Marmonna le rouquin.

Tartaglia: Heureusement que ce n'était que le coude et pas ta queue...

Murmura le roux en lui lança un regard perçant avant de le remettre sur le jeune.

Tartaglia: Comment ça, ils ne vont pas te laisser tranquille ? Tu as échoué, tu as échoué.

Zhongli se recule en voyant le regard de ce dernier, le fusillant du regard.

Thoma: Sa marche pas comme ça...Mais vous semblez vouloir me dire un truc...C'est quoi ?

Tartaglia: Toi, tu restes là !

Il attrape le brun par la queue et le replaça derrière lui.

Tartaglia: Je ne suis pas tout seul dans cette histoire...

Dit-il en faisant allusion à leur conversation, puis il remit son regard sur le jeune en face de lui.

Tartaglia: On s'était dit que... Tu pouvais rester ici...? On s'occuperait de toi...

Zhongli allait frapper Tartaglia, pour lui avoir attrapé la queue au combien sensible comme ça, mais se contient.

Zhongli : Je pense que cela serait...Le mieux pour toi.

Thoma les regarde surprit.

Thoma: ...Quoi ? Vraiment ?

Tartaglia: Bien sûr, si on te le dit.

Il sentit peu à peu une aura assez sombre dans son dos. Il essayait de garder son sourire bien que nerveux.

Tartaglia : {Oups...}

Thoma s'approche alors du roux, le regardant intensément puis, va contre lui sans rien dire.

Zhongli sourit à la scène.

Zhongli : Je prends ça pour un "oui"

Un "humhum" positif se fait entendre, mais il reste contre Tartaglia.

Tartaglia bien qu'un peu surpris, passa son bras autour du jeune et le serra contre lui.

Tartaglia: On va veiller sur toi maintenant... Tu n'es plus seul... Comme une autre personne ici...

Il leva la tête et la mit en arrière pour regarder son amant en souriant.

Le brun fut surpris, mais souri gentiment.

Thoma frotta sa tête contre le roux, tremblant un peu.

Thoma: Je veux plus tuer...Ni blesser...

Avoue ce dernier la voix tremblante.

Tartaglia lui caressa la tête.

Tartaglia: On fera en sorte que ça n'arrivera plus alors. Repose-toi sur nous maintenant...

Thoma le regarde, mais cache son visage.

Thoma: ...Désolé...Pour ce que j'ai fait.

Cette phrase surprend le brun, soupire puis pose sa main au dos du petit et le masse doucement.

Zhongli : ...Tu avais tes raisons. Ce n'est rien.

Tartaglia : C'est oublié, la colère et l'inquiétude t'a fait tourner la tête... On connaît...

Il baissa le regard, mais continue ses caresses.

Le plus petit commence à enfin se détendre son regard changeant, Zhongli tira ce dernier vers lui, le prenant dans ses bras, Thoma se laissant faire.

Zhongli : Tu as besoin de manger déjà...C'est toi qui m'as offert ces ramens non ? À moi de te rendre l'appareil.

Thoma: Mais lâche-

Ce dernier fut emmené malgré lui à la cuisine, la queue du brun restant au sol bougeant plus du tout.

Sauf que Tartaglia le vit et le suivit de près.

Tartaglia: Zhongli... Tu es sûr que ça va ?

Le brun le fusille du regard, sans dire un mot, et pose Thoma sur une chaise et lui sort un bento complet et lui tend.

Zhongli : Régale-toi !

Thoma regarde la boite... Tremblant un peu les yeux brillants.

Thoma: ...Frangine faisait les mêmes.

Zhongli : C'est elle-même qui ma apprit à les faire, c'est normal...Je te laisse manger, je dois aller faire un truc. Je te laisse aux soins de Tartaglia.

Souriant et caressant la tête de Thoma malgré que ce dernier grogna, il part de la pièce, allant vers la salle de bain.

Tartaglia s'arrêta à son regard et cligna des yeux plusieurs fois le regardant s'éloigner.

Tartaglia: Qu'est-ce qu'il a ?

Thoma le regarde aussi confus.

Thoma: Je ne sais pas...

Zhongli de son côté alla soigner sa queue, n'allant pas apprécier la prise forte du roux sur elle, passant aussi de l'eau froide dessus et parvenant à retirer tous ces attributs.

Le rouquin passa qu'il lui avait fait plus de mal qu'autre chose. Il se mordit la lèvre et baissa le regard.

Tartaglia: J'ai dû aller plus fort que prévu...

Il soupira et alla s'asseoir dans le canapé.

Thoma: Dis...Il a déjà revêtu sa forme...Divine avec toi ?

Questionne le jeune homme curieux.

Tartaglia releva la tête en souriant.

Tartaglia: J'ai vu toutes ses formes...

Thoma: Tu es sûr ? Décris ! Décris !

Des étoiles étaient visibles dans ses yeux.

Pendant ce temps Zhongli, grimacer, puis reviens lentement vers le duo, après avoir mis de l'eau froide.

Tartaglia revit alors les images du combat dans sa tête lui tordant légèrement le cœur. Il eut un air assez triste, parce qu'en y pensant, ce n'était pas non plus pour le plaisir qu'il l'avait vu comme ça... Il se tortura les doigts en se remémorant ses pensées.

Tartaglia: Je... Je n'ai pas très bien fait attention... C'était pendant un moment difficile...

Thoma, comprenant que ce n'était pas, par plaisir, acquiesce.

Thoma: Ce n'est rien, je verrais par moi-même.

Zhongli: Me revoici...Attends, tu n'as pas toucher ton assiette ?

Tartaglia le regarda quelques secondes avant de détourner la tête, gêner.

Zhongli ne dit rien, mais se met à côté de Thoma.

Zhongli: Je...Dérange ?

Thoma: Non ! Non ! Ce n'est rien !

Il se met alors à manger, sous le regard confus du brun.

Tartaglia : Je vais prendre une douche, je reviens.

Il lança un sourire se voulant rassurant aux deux garçons puis leur tourne le dos pour entrer dans la salle de bain.

Le brun le regarde sentant que quelque chose n'allait pas, il fait signe au plus jeune, et saisit la main du roux.

Zhongli: Quelque chose ne va pas ? Dis-le-moi, ne me fuis pas comme ça...

Sa voix était assez faible, mais sa prise été ferme.

Le rouquin baissa les yeux, chagriné.

Tartaglia: Je t'ai fait du mal sans le vouloir et je m'en veux... Ça me préoccupe juste...

Pestant, le brun plaque le brun contre le mur, de dos, et l'embrasse "de force", le tenant par le col.

Après le baiser, il le fusille du regard.

Zhongli: Oui, sa ma fait du mal, et si tu veux te faire pardonner dit simplement "pardon" comme tout le monde. Ça me suffit largement. Arrête d'avoir ce visage et ce regard, montre-moi le Tartaglia que j'aime. Et celui qui m'a sauvé.

Tartaglia sursauta et le regarda surpris, ne s'attendant pas à une telle réaction du brun.

Tartaglia : Je suis désolé !

S'exclama le rouquin en reprenant un regard pétillant.

Lâchant le roux, il se recule, met sa main sur ses yeux, qui commencer à devenir doré.

Zhongli : ...C'est tout ce qui me faut.

Murmure ce dernier, se tenant la tête.

Zhongli : Tu veux que je fasse manger Thoma ? Enfin, si tu veux vraiment t'absenter...

Tartaglia se rapprocha de lui et prit ses mains dans les siennes.

Tartaglia: Je vais juste prendre une douche, mais... Est-ce que ça va ? Tes yeux sont...

Zhongli : Je...

Il détourne le regard.

Zhongli : Juste trop de questions d'un coup, et je ne me sens pas apte à m'occuper de Thoma seul sans toi à côté...

Ses pupilles reprennent une couleur dorée.

De la confusion.

De la peur.

De la joie.

Une angoisse montante.

De la culpabilité pour Guizhong.

Tout se mélanger.

Tartaglia lui remonta le visage pour le regarder dans les yeux.

Tartaglia: Après dit toi, que Thoma, n'est pas un bébé ni un enfant, juste un jeune de 25 ans qu'on doit protéger.

Dit-il d'une voix assez douce pour le rassurer.

Tartaglia: Et je ne te laisserai pas seul pour ça, je serai toujours là... D'accord ...?

Il lui caressa la joue avec son pouce.

Zhongli : Ce n'est pas...Pas aussi simple Tarta.

Sa voix trembla, essayant de se calmer, il s'accroche à lui, serrant son haut.

Zhongli : Ce n'est pas qu'un simple "jeune" de 25 ans...Je ne peux juste pas le regarder dans les yeux...

Tartaglia : Par rapport à sa sœur... J'imagine...?

Il passait ses bras autour de lui pour le serrer contre son torse.

Zhongli acquiesce.

Zhongli : ...Oui...

Tartaglia : Je sais que ce n'est pas facile pour toi mais... Tu as réussi à faire ton deuil, fait face à lui la tête haute. Il n'a pas l'air de tant vouloir plus que ça...

Zhongli resta silencieux, mais acquiesce de nouveau.

Zhongli: J'ai juste besoin de...De temps. C'est tout. Le temps fera son travail comme toujours...

Dit il la voix basse, relevant le visage plaçant son visage au cou de son amant, sa prise sur son haut se défaisant.

Tartaglia: Et ne t'inquiète pas, je serai là pour t'aider... Je ne vais pas te laisser tout seul face à ça... Ça serait mal me connaître...

Dit-il en souriant légèrement voulant égayer l'atmosphère.

Se sentant mieux, Zhongli hoche la tête, puis enlace le roux.

Zhongli: Merci Childe...

Tartaglia: De rien...

Il l'enlace à son tour et lui fit un bisou sur le front.

Se calmant totalement, ne tremblant plus, et aillant les idées plus claire, doucement, il se recule, libérant le roux de sa prise, inspirant lentement et expirant.

Zhongli: Je vais te laisser prendre ta douche...

Une image lui arrive en tête, devenant un peu rouge, sa queue revenant soudainement, mais se cache alors le visage avec.

Zhongli: A tout de suite !

Puis voulant pas à avoir à répondre aux questions du roux qui n'allait pas tarder à venir, il se met de dos prêt à partir...

Tartaglia fit un sourire malicieux en le voyant prendre des couleurs et l'attrapa par la main avant de l'embrasser dans la nuque.

Tartaglia: Arrête de penser à moi nu sous la douche sinon tu vas avoir la trique...~

Devenant que plus rouge, il balbutie.

Zhongli: Tu me dis ça, mais comment je ne pourrais pas y penser ? Tu...

Détournant le visage, il continue en marmonnant.

Zhongli: Beaucoup trop beau, et divin pour pas que j'y pense...

Souriant d'avantage, il lui fit quelques bisous mouillés dans la nuque avant de lui mordiller le lobe de l'oreille.

Tartaglia: Ça m'excite rien qu'à te penser te caresser en pensant à moi...~

Lui murmure le roux à l'oreille d'une voix sensuelle.

Le brun gémis faiblement à sa voix, et se colla au roux.

Zhongli: Imagine...Si je le faisais là maintenant en face de toi j'aimerais te voir faire de même... Pensant à moi...Les yeux fermés, que tu m'imagines te prendre comme tout à l'heure...T'entendre me supplier de te cajoler comme là

Le rouquin grogna à son oreille tandis qu'il glissa son membre bien tendu dans son pantalon entre les fesses de son amant en gémissant faiblement.

Tartaglia: Regarde dans quel état tu me mets...~

Il se colla de plus en plus à lui en léchant sa nuque et frotta doucement son érection entre ses fesses.

Tartaglia : Je vais devoir m'occuper de ça maintenant... Tu es content de toi j'espère~

Le brun plaça une main sur sa bouche, aillant un gémissement plus prononcer.

Zhongli: Tu avais un contrat de toute manière

Sa queue vient retirer son bas, tournant sa tête sur le côté, mais souriant restant de dos à lui, coller.

Tartaglia retient un gémissement avant de s'éclaircir la voix.

Tartaglia: Thoma ! On doit discuter avec Zhongli, on te laisse quelques minutes !

Lâcha le rouquin en tirant le brun dans la chambre.

Thoma n'eut pas vraiment le temps de répondre, mais avait entendu.

Zhongli contient un rire.

Zhongli: "Discuter" ? Vraiment ?

Il le murmura amuser, mais se laisse tirer par le roux.

Tartaglia referme derrière eux et put enfin se retrouver face au brun en souriant.

Tartaglia: Pas vraiment, mais tu vas hurler...Vu dans l'état où je suis, tu vas prendre cher... Chéri~

Le brun eut sa queue s'agit davantage...Curieuse, d'impatience aussi, mais Zhongli ne l'avouera jamais, détournant le regard.

Zhongli: Je te préviens chérit tu devras me porter si tu y va trop fort !

Tartaglia sourit en commença lui enlever ses vêtements.

Tartaglia: Humm j'adorais garder tes jolis yeux en vue mais il va falloir cacher ça et fermer cette délicieuse bouche...

Il le poussa doucement vers le mur en attrapant les accessoires au passage.

Contre le mur, et entendant les paroles du roux, sa queue bougea encore, le regardant sur le côté.

Zhongli: Ils t'ont tant plus que sa? J'en suis honoré.

Ses pupilles étaient dorées.

Tartaglia: J'adore tes yeux...~

Il l'embrassa en souriant, tandis qu'il lui plaqua doucement au mur en remontant ses poignets au-dessus de sa tête.

Lui rendant son baiser, doucement, une chaleur tendre, et agréable s'empare du brun, sa queue revenant taquiner l'intérieur des cuisses du roux, tout en le regardant, avec un peu de malice.

Le rouquin lui sourit un brin de malice, il colla les poignets du brun au mur dans une entrave d'eau gluante le gardant les bras lever et les poignets bloquer.

Tartaglia: Commençons en douceur je veux te voir un peu et t'entendre

Voyant ses mains bloquer...Dans un truc gluant, qui plut est, il regarde de nouveau son amant avec un sourire amusé.

Tartaglia frôla ses lèvres avant de descendre dans son cou, l'embrassant et le mordillant avant de continuer son chemin sur son torse léchant au passage ses tétons qu'il lécha avec gourmandise. Puis, avec sa langue, il descendit sur le ventre du brun tout en gardant son regard encré dans le sien.

Son corps fut parcouru de frissons, et se contenait au mieux pour ne pas gémir de trop, voulant tenir un minimum...Mais ce regard qu'il lui lançait...

Ça le rendait accro.

La queue de dragon continua ces caresses sur ses cuisses malgré tout.

D'un coup, le rouquin souleva les deux jambes de son homme, mais pour avoir les mains libres, il fit apparaître dans ses doigts des ficelles d'eau qu'il passa sous les genoux du brun pour les maintenir en l'air et les fixa au mur avec son eau gluante.

Tartaglia: Là, tu es à ma merci...

Grogna le roux en se mordant la lèvre, la position de son homme lui plaisait beaucoup...

Sa nouvelle position fait se stopper la queue, allant contre son propriétaire, qui regarder le roux avec curiosité et désire.

Zhongli: Totalement~

Et ça ne lui déplaisait pas.

Au contraire même !

Cette sensation lui plaisait, mais cette eau gluante, lui faisait bizarre, pas négativement.

Zhongli: Montre-moi la suite.

En souriant d'un air taquin, Tartaglia se remit face au membre du brun, mais descendit encore pour se retrouver sous son membre devant l'antre de tout péché. Malicieux, il sort sa langue et le pénétra avec allant chercher son point sensible.

L'effet fut immédiat, il dut serrer les lèvres pour ne pas gémir, même si un léger son fini par sortir malgré tout, son membre palpitant déjà.

Il aurait voulu lui rendre le même geste avec sa queue, mais actuellement elle été beaucoup trop agité, sans aucun contrôle.

Ses mains, c'était resserrer, son corps eu un tremblement.

Voyant l'effet qu'il désirait, il continua sa petite découverte lui écartant bien les fesses pour une entrée complète. Il remplaça après sa langue par deux doigts et remonta sur son membre qu'il lécha de haut en bas pour s'attarder quelques minutes sur ses boules les suçotant et léchant.

Zhongli ne pouvait plus contenir ces légers sons, devenant rapidement mélodie de plaisir, regardant son amant faire, il tentait de bouger légèrement son bassin voulant plus, sa boule de chaleur revenant à grand galop.

Zhongli: Tu m'as vite remis...Dans cet état

Son membre devenu rapidement dur, son regard doré devenue désireux, sa voix été chaude.

Tartaglia: Je viens juste de commencer à m'amuser ~

Il se releva et vient embrasser son homme, voulant le rendre plus accro en allant chercher sa langue alors qu'il bougea ses doigts en lui.

Des gémissement été audible malgré leur baiser ardent entre deux respirations rapides, il alla à la rencontre de sa langue avec la sienne, fermant ses yeux, recherchant plus de sensation encore.

Tartaglia retira doucement ses doigts avant d'attraper le bandeau et l'enfila sur les yeux du brun en souriant. Il rompit le baiser pour respirer, mais souriait.

Tartaglia: Tu vas voir...Tu vas découvrir plein de chose...

Il le pénétra une seconde fois de ses doigts, mais trois cette fois ci, voulant bien l'élargir et le dilater au mieux.

Hurlant sans pouvoir se contenir, ses yeux bander, il respirait rapidement.

Zhongli tenait bon...Après tout, il avait arrêté ce qui aurait pu le faire craquer, alors il parvient à respirer doucement son membre dressé.

Le rouquin bougea ses doigts allant assez profondément en lui, le dilatant au possible et descendit sa bouche sur son membre le prenant en bouche dans un long vas et viens au fond de sa gorge.

La gorge profonde eut raison du brun, le faisant venir une première fois, la boule de chaleur en lui partant dans un couinement de plaisir, se vidant dans la gorge du roux, sa respiration étant saccader.

En lui, ça se contractait contre les doigts de son amant.

Tartaglia retira le membre de sa bouche après avoir avalé toute la semence de son brun en se léchant les lèvres.

Tartaglia: Tu es divin mon amour...Mais tu es venu vite...

Se mit-il à rire doucement en remontant en face de lui, mais n'arrêter pas ses doigts pour autant frappant au passage sa prostate.

Tartaglia: As-tu quelque chose à dire avant de perdre la tête ~?

Zhongli : Je veux être ton jouet, alors fais toi plaisir tu connais mes points faibles alors je te fais confiance je t'aime ~

Il avait la tête vers son roux, sans vraiment voir, une chaleur se formant déjà de nouveau dû aux doigts toujours en lui.

Tartaglia sourit et vient l'embrasser en capturant sa langue. Le sentant bien dilater autour de ses doigts, il en profita pour faire rentrer en lui un quatrième allant rapidement en lui.

Zhongli l'embrasse avec gourmandise, des larmes de plaisir commençant à tomber.

Tartaglia continue son baiser, mais enleva ses doigts pour autre chose. De sa main, il créa un objet spécifique en eau et le pénétra avec en profondeur.

Zhongli gémis dans le baiser bougeant son bassin, sa langue pendante, il prend celle de Tartaglia dans leur baiser.

Il le rendait fou.

Fou d'envie.

De plaisir.

De luxure.

Il fit des vas et viens profondément en lui avec le jouet, quittant ses lèvres et plaça ses doigts sur ses lèvres.

Tartaglia: Je veux t'entendre...~

Au moment même où il avait quitté ses lèvres, ces gémissements se font nettement plus entendre, mais il articula.

Zhongli: Mais Thoma...~ !

Sa voix devient crie sur le "a" se cambrant un peu.

Tartaglia: La pièce est insonorisée...Tu peux faire autant de bruit que tu veux ~ ou que je veux plutôt ~

Sourit le rouquin en allant taquiner ses tétons alors qu'il accélérait ses vas et viens.

Ces cris s'accentuent, frissonnant de tout son être, ses jambes s'écartent machinalement, se contractant encore plus.

Il se sentait déjà à la dérive.

Zhongli: Alors fais-moi crier fais-moi voir le septième ciel même si tu es pas loin déjà.

Tartaglia : Très bien...~

Laissant son jouet à l'intérieur du brun, le rouquin sourit et s'introduit à son tour en lui en gémissant.

Tartaglia: Tu es tellement excité que tu as de la place pour deux...~

Grogna-t-il en allant prendre son membre en main et alla insister sur son gland.

Se crispant d'abord de douleur, pas habituer, cela disparut rapidement aillant été bien préparer.

Zhongli: Continue ~ ! Bouge, embrasse-moi~.

Il était déjà dans le nuage, et il se sentait dangereusement venir, déjà à bout...Mais voulait en profiter donc se contenait au mieux.

Mais le fait qu'il soit "attacher".

Sans rien voir.

Et seulement sentir.

Ça faisait qu'accentuer son plaisir.

Tartaglia sourit davantage et prit son visage en main alors qu'il donna un gros coup de rein.

Tartaglia: Qu'est-ce que tu veux ~?

Il accentua des caresses sur son membre le sentant palpiter entre ses doigts.

Ne voyant rien, sentant seulement ces prises, un autre son, légèrement différent sortit...

C'était de plaisir toujours, mais différent.

Mais sentant sa prise à son menton, il devient plus rouge, mais son coup de rein lui refait, faire ce son...

Zhongli: Embrasse-moi~

Sa respiration était entrecoupée, son corps été devenue bouillant, il commençait à perdre le contrôle sur son propre corps, sa queue étant là, des écaille se montrer peu à peu.

Son membre semblait prêt à se laisser aller, mais...Rien ne sortait, luttant.

Tartaglia l'embrassa sauvagement, se sentant dangereusement venir en entendant ses bruits. Cet homme le rendait fou...

Le voir comme ça, l'excitait au plus haut point.

Il accéléra ses vas et viens en lui, frappant sans retenu sa prostate alors que sa main le branla plus lentement, mais avec poigne.

Le baiser était sauvage.

Même s'il ne pouvait pas bouger, sa langue, elle oui.

Alors il enroula cette dernière à celle de Tartaglia, mordant ses lèvres tendrement, laissant ces sons sortir, son accélération le contracta davantage, jusqu'à finalement venir sur sa main dans un cri de plaisir non contenue rompant le baiser le plaisir trop intense.

Tout avait été parfait...Le roux savait quoi faire pour le faire rapidement dériver, et surtout lui faire plaisir.

Son cœur battait rapidement, et fort.

Et de léger spasme le parcourus.

Tartaglia le suivit peu de temps après grognant de plaisir, et fit disparaître le jouet d'un claquement de doigts se retrouvant seul en son brun.

Tartaglia: En as-tu assez ? Ou tu en veux encore...~ ?

Dit-il d'un ton saccadé, le souffle court.

En guise de réponse, aillant repris un peu le contrôle, sa queue viens s'enfoncer en Tartaglia, tandis qu'il reprend possession de ses lèvres, donnant un coup de hanches vers Tartaglia.

C'était un "non je veux continuer" assez explicite.

Le rouquin eut un spasme, s'enfonçant davantage en son amant lâchant un cri étouffé par leur lèvre. Il attrapa le brun par les hanches et reprit des vas et viens puissant en lui, la tête complètement embrumée.

Donnant des coups tout aussi puissant en son roux avec sa queue, il aimait cette sensation

Cette chaleur.

Le sentir en lui.

Fusionner avec lui.

Sa langue vient jouer avec celle du roux.

Venant jouer avec la sienne, il retira son bandeau pour pouvoir le voir, se faire hypnotiser par ses yeux.

Il lâcha sa bouche, pour prendre son visage dans sa main pour garder son regard dans le sien.

Il gémissait donnant de profond va et vient lent mais puissant, touchant brusquement sa prostate à chaque coup donné.

Ses pupilles étaient dorées, luisant, de petit cœur à l'intérieur.

Ces gémissements le faisaient bander davantage, ces coups le faisaient gémir à nouveau.

Zhongli : C'est divin ne t'arrête pas

La raison avait foutu le camp, laissant place au plaisir à l'instinct.

Tartaglia avait de plus en plus de mal à réfléchir et faisait tout plus qu'à l'instinct. Ses pupilles ne l'aidaient pas à rester sur terre, se noyant dedans.

Tartaglia: Tu es si délicieux...~

Il cambra son amant contre lui en mettant sa main dans le bas de son dos, le faisant cogner brutalement sur sa prostate avec son gland, son membre aussi dur que la pierre.

Tartaglia: Voyons ce que ça donne ça ~

Sa queue eut comme réponse un coup puissant en Tartaglia, tandis que Zhongli manqua de hurler de plaisir, de sa voix chaude...

Zhongli : Re...Recommence~

Sa prostate malmenée, sentir son amant aussi loin le rendait droguer à ces gestes, sa présence en lui, ces baisers, le regardant intensément.

Le rouquin échappa un cri en sentant sa queue manquant de le faire jouir, mais il gardait son regard encré dans le sien, recommençant son coup. Ivre de son expression, il prit son visage dans sa main et le rapprocha du sien.

Zhongli l'entends pas comme ça, il l'embrasse à nouveau, le regardant toujours réitérant son coup en lui, au coup du roux, il gémit dans le baiser de plaisir, il aurait voulu participer...Mais ligoter, il était soumis à lui, a son bon vouloir.

Tartaglia s'arrêta dans ses coups, ralentissant la cadence et rompit le baiser.

Tartaglia: Tu veux que je te libère mon dragon~?

Murmure-t-il d'une voix chaude et pleine de désir.

Zhongli : Oui chéri libère ton petit dragon~

Sa queue lui redonne un coup, mais a la prostate de nouveau, bougeant ses mains.

Tartaglia serrant les dents pour éviter de lâcher un gémissement bien que ses yeux montré son plaisir à s'en trahir. Tremblant, il claqua des doigts faisant disparaître d'abord les ficelles qui retenait ses jambes pour le faire tenir debout d'abord le retenant, contre le mur, toujours en lui. Puis fit disparaître l'entrave de ses poignets.

Il s'accroche à lui sachant qu'il ne pourra pas tenir debout dans son état, mais ses mains, elles, elles ne restent pas immobiles longtemps.

Elles viennent rapidement se placer à deux endroits. L'une à l'arrière de la tête du roux voulant l'embrasser, il se fiait surtout à son toucher à présent recherchant toujours plus de sensation, puis la seconde forme un jouet à son tour, rejoignant la queue de Zhongli, le m'étant en Tartaglia.

Tartaglia étouffa un cri dans sa gorge en sentant un intrus en lui, le corps tremblant. Il essayait de reprendre des coups de reins puissant mais ses bras tremblaient trop, il commençait à perdre le contrôle sur son brun.

Rompant le baiser, il lui susurre.

Zhongli : Le...Lit...~

Tous deux n'avait plus vraiment de force, et ne tiendrait pas debout quelque temps...

Mais Zhongli ne voulait pas arrêter.

Alors de sa voix, hachurer, il lui proposa ça comme solution.

Mais tout en parlant, il ne cessa pas ces coups en lui, le regardant toujours avec ce désir.

Dans un dernier effort, le rouquin porta son amant jusqu'au lit où il le déposa avec les dernières forces qu'il avait dans un gémissement le sentant toujours bouger en lui.

Maintenant coucher sur le brun, il pouvait se permettre de gémir et de trembler sous ses coups, sentant son esprit s'être barré.

Zhongli : Laisse-toi allez aussi~

Il fait bouger plus profondément le jouet, tout comme sa queue, posant ses mains à son bas du dos, appuyant dessus, a ces allers venus le faisant gémir, voir les étoiles.

Il allait venir.

Il le sentait.

Mais il voulait tellement que sa continu.

Zhongli : J'aimerais continuer mais je vais venir...Chéri ~

Il se contracta.

Tartaglia : Venons ensemble alors ~

Il attrapa ses mains dans ses siennes, en mêlant les doigts. Il accentue ses vas et viens, mais a sa contraction, il finit par se déverser dans son homme en lâchant un couinement de plaisir.

Ce fut au tour de Zhongli de venir après son roux, criant le nom de son amant venant avec lui, tremblant, l'embrassant peu après dans un baiser enflammer, sa queue donnant un dernier coup en son roux avant de doucement se retirer ainsi que le jouet qui disparut.

Complètement essoufflé, le rouquin répondit à son baiser tremblant comme jamais tandis qu'il se retira de son brun, tout en restant contre lui.

Le brun essoufflé rompt leur tendre contact.

Son cœur se calmait lentement, ses pupilles par contre été toujours doré.

Tartaglia reprit son souffle en souriant et caressa la joue du brun.

Ronronnant doucement, la queue du brun viens caresser le dos du roux.

Zhongli : Peux plus bouger...Ta été un dieu mon roux~

Tartaglia: Un dieu démoniaque...~

Se mit-il à rire, avant de l'embrasser tendrement.

Zhongli : Un vrai démon ~

Approuve le brun en déposant un baiser au front.

Zhongli : Mais adorable, mignon, beau, fort, et sadique par moment.

Dit-il en souriant amusée.

Tartaglia lui sourit.

Tartaglia : Tu ne peux pas savoir à quel point je t'aime...

Zhongli: Moi aussi, mon petit démon divinement beau~

Il l'embrasse tendrement, ronronnant doucement.

Le rouquin sourit contre ses lèvres y répondant avec amour.

Rompant doucement, en bougeant légèrement, il couine piteusement de douleur.

Zhongli : ...Peux pas bouger...

Dit il, faiblement, n'osant plus bouger sa queue toujours présente.

Tartaglia: Désolé...

Il se poussa pour se mettre à ses côtés.

Zhongli : Au contraire...Cela m'a...Au moins détendu.

Avoue ce dernier devenant très rouge. Il rampe pour se coller à lui.

Tartaglia lui sourit et le prend contre lui.

Zhongli: Dodo...Besoin...

Il ronronne contre lui, mais Thoma...?

Zhongli: Mais...Faut s'occuper de Thoma...

Tartaglia: Je vais y aller si tu veux...?

Grimaçant, et couinant, il était en plein dilemme, mais finalement...

Zhongli: Je te le confie, mais attends d'abord...

Il pose sa main sur son dos, utilisant ces forces "divine" pour soigner sa potentielle fatigue ou douleur.

Zhongli: Sa devrait t'aider...Je peux soigner les autres, mais pour moi, c'est plus compliquer...

Tartaglia, inquiet, le regarde. Il se sentait mieux, mais se sentait mal de ne pas pouvoir lui rendre l'appareil.

Tartaglia: Tu es sûr de toi...?

Zhongli acquiesce tout sourire.

Zhongli: J'ai juste besoin de rester allonger quelques minutes...Je te promets de te rejoindre dès que je peux bouger.

Il place alors sa tête sous sa main, clignant des yeux...Comme pour avoir des caresses...?

Tartaglia se mit à rire et lui caresse la joue et la tête.

Tartaglia: D'accord.

De petits ronrons se font entendre, sa queue bougeant lentement de droite à gauche tel un chaton.

Zhongli : Je...Je vais te laisser y aller sinon j'en réclamerais à l'infini...

Dit il riant un peu, tout sourire.

Tartaglia l'embrasse amoureusement avant de se lever et de se rhabiller.

Tartaglia: Tu nous rejoins dès que tu as repris tes forces ?

Zhongli : Comme promis.

Dit-il simplement, en souriant.

Le rouquin lui sourit, l'embrassant une dernière fois, ne pouvait s'empêcher de goûter encore et encore à ses lèvres. Puis, avant de vraiment devenir plus qu'accro, sorti rejoindre le jeune dans le salon.

Le brun le regarda s'éloigner...

Zhongli regarde ses mains...Ses bras étant sombres avec des lignes dorées.

Zhongli : ...Je dois faire ça pour Guizhong.

Ses pupilles doré s'illuminent.

Plus loin...

Thoma avait fini son bento, fais la vaisselle, fait le ménage, et avait commencer à remettre un mur...Avec sa seule force et sa maîtrise élémentaire.

Tartaglia arriva près de lui en se recoiffant.

Tartaglia: Ça va ?

Thoma sursaute et regarde Tartaglia.

Thoma: Je-

Il gonfle ses joues.

Thoma: Je refaisais le mur parce que j'avais envie ! Non pas, car je me sens coupable de l'état du mur ou autre !

Tartaglia se mit à sourire en croisant les bras.

Tartaglia: Je te crois.

Thoma continua puis demande simplement.

Thoma: ...Zhongli va revenir dans quelque temps ? Il avait le regard bizarre...

Tartaglia se mit à rougir.

Tartaglia: Il était fatigué, il est resté allonger pendant un petit moment pour se reposer.

Thoma: Oh...Ok je vois. Et bien, tu vas m'aider.

Il montre le mur.

Thoma: On va réparer ça !

Tartaglia: Moi, je dois t'aider à réparer ce que tu as cassé ?

Il sourit, amusé.

Thoma: C'est ta maison, et tu avais qu'à protéger et faire les réparations avant !

Dit il agacé, croisant les bras, lui tendant du ciment.

Thoma: Ton élément et hydro non ? Ça ira vite.

Tartaglia: Je m'occupais d'abord du plus important, mon homme.

Grogna le rouquin en s'attaquant à son tour à la construction.

Thoma se tait.

Il était coupable.

Il le savait.

Mais...Sa fierté l'avait fait parler avant de réfléchir.

Il ne parla plus, continuant son boulot : Faire le ciment avec les matériaux, le donner non loin de Tartaglia, et enfin faire des façades bonus pour permettre une vie privée et sûr.

À un moment donnant un coup de maillet à une façade, il se blesse à la main, se pinçant les lèvres ne voulant pas montrer qu'il a mal.

Mais le rouquin le vit facilement, soupira et se rapprocha. Il avait bien vu sa petite grimace.

Tartaglia: Fait moi voir...

Thoma se figea, il voulut reculer, mais c'était le mur donc il se laissa faire, cachant son visage, honteux.

Thoma: Ce n'est rien.

Tartaglia : Effectivement, ce n'est rien... Plus de peur que de mal...

En prenant son doigt, il créa un petit pansement rafraîchissant d'eau et se remit à travailler après lui avoir souri.

Thoma sursaute au pansement, puis au sourire du roux, il eut quelque rougeur, l'air plus détendu.

Il se retourne, reprenant son travail...

Il avait bien aimé son "câlin" auparavant.

Ça l'avait apaisé d'une certaine manière...Mais une chose l'inquiéter.

Thoma: ...Tu connais Scaramouche n'est-ce pas ?

Tartaglia le visage du roux s'assombrit soudainement.

Tartaglia: Si tu veux un conseil, ne dis jamais ce nom devant Zhongli...

Rien qu'à penser ce qu'il lui a fait après avoir su son viol, il préféra prévenir le jeune ne voulant pas qu'il s'énerve.

Thoma: Je...Je sais ce qui c'est passer, j'étais là quand il...Enfin il la tué.

Dit il le visage baisser.

Thoma: Il m'avait pris sous son aile, et m'avait mis à l'écart après une mission prioritaire...Il ne cessait de me parler de toi, Ajax. Il était...Fou quand il me parlait de toi. Je ne préfère pas demander des détails ou autres juste. ...Je peux savoir...Si le fait que tu travaillais à la Tsarine, n'était pas un choix...? Sois honnête s'il te plaît...Tartaglia.

Sa voix était faible, ne bougeant plus.

Tartaglia garda son regard sur le mur, mais arrêté tout geste.

Tartaglia: Ce n'était pas forcément un choix... C'était une obligation...

Thoma se sentit mal...

Thoma: ...Merci de m'avoir répondu.

Il se retourne silencieux, puis doucement va enlacer le roux, en passant derrière lui.

Thoma: ...Désolé de t'avoir jugé, sans te connaître vraiment, et t'avoir dit ces horreurs.

Tartaglia fit un petit sourire en passant sa main sur ses bras.

Tartaglia: Ce n'est plus vraiment une surprise... C'est rare qu'on veuille bien apprendre de moi... Pour certaines personnes, un Fatui reste un Fatui... Une personne sans histoire... Ils ne recherchent pas à comprendre ce qu'il y a derrière...

Thoma: Pourtant...Tu es bien le seul à m'avoir pas blessé, ni avoir voulu me tuer...Et ceux malgré que j'ai attenté à la vie de Morax...Enfin à moitié...Et tu m'as même donné un toit.

De petites larmes reviennent.

Thoma: Je te suis très reconnaissant...

Tartaglia: J'ai encore ma famille et j'ai un cœur... Je ne tue pas non plus pour le plaisir... Et encore moins les jeunes de 25 ans...

Dit-il en se retournant et caressa sa tête.

Thoma prend une des mains du roux, la serrant.

Thoma: ...Je te promets. Sur mon honneur. Et sur ma vie, que je ferais en sorte que tu sois toi, et Zhongli en sûreté ici, et ne pas être un poids !

Tartaglia: Alors je fais aussi une promesse... Que toi aussi, tu restes en sécurité en bonne compagnie dans cette maison... Tu n'auras plus à te souiller les mains avec du sang juste... À accepter notre amitié...

Il lui sourit et serra sa main en retour.

Les yeux pétillants, il sourit un peu.

Thoma: Je...Merci...

Il se met face à lui, et pose sa main sur le cœur du roux.

Thoma: Garde le précieusement...Ton cœur. Garde le comme ça, ça fait ta force, et c'est ce qui fait aussi que ton démon ce pli par moment à toi aussi...Je l'ai vue quand il était face à moi...Quand tu étais face à moi.

Le rouquin sourit tendrement.

Tartaglia: Mon entourage fait que mon cœur reste sain... Et encore plus depuis que j'ai rencontré Zhongli...

Rien qu'à ce souvenir, il sourit le regard dans ses pensées.

Thoma: Je comprends que trop...Zhongli a ce don de changer les autres.

Lui rendant son sourire, il rajoute.

Thoma: J'espère juste pouvoir lui rendre ce qu'il me donne, et l'aider...Lui qui a été seul apparemment...

Il secoue la tête.

Thoma: Mais avec toi, ça ira ! Finissons ce mur ! Il reste plus qu'un côté !

Tartaglia : Ça ira entre vous... Faut juste du temps... Dit toi qu'apprendre pour toi n'a pas été facile pour lui...

Dit il doucement en se déplaçant vers le reste du mur à faire.

Thoma: ...Ah ?

Il tend alors les matériaux pour le dernier mur...Tandis qu'il finit les façades sans se tourner, de dos au roux.

Tartaglia: Il... Je ne sais pas, je dois t'en parler...

Il gratta la nuque tandis qu'il prit les matériaux.

Thoma se tourne vers Tartaglia.

Thoma: Zhongli va mal ???

Inquiet, il se tourne vers lui, finissant son travail.

Tartaglia soupira.

Tartaglia: Ce n'est pas ça... Il se sent mal par rapport à toi... Il ne sait pas comment se comporter avec toi... Par rapport... À ta sœur...

Thoma se fige, et baisse le visage.

Thoma: Oh...Mince...Je...Je vais essayer de l'aider alors...Merci de me l'avoir dit.

Il garde la tête basse.

Thoma: J'ai été dur avec lui...Surtout que ça a dû être dur...Tu voudrais que je te parle de ma sœur et de..."Morax" ? Et des légendes qui leurs sied ?

Tartaglia se tourna vers lui.

Tartaglia : Je suis bien curieux de découvrir tout ça... Je ne sais pas grand choses à part quelques brides par-ci par-là...

Thoma sourit au guerrier.

Thoma: Met ce dernier bout de ciment sur ce mur pour qu'on finisse et on ira boire un peu en cuisine...Je te raconterais tout.

Tartaglia sourit.

Tartaglia: Tu reprends du poil de la bête, ça fait plaisir à voir.

Il mit le dernier bout de mur et se frotte les mains pour enlever la poussière.

Tartaglia: C'est bon pour moi.

Thoma d'un maniement de maillet, refait la dernière façade.

Thoma: Pareil pour moi !

Il fait disparaître son arme, puis va vers la cuisine.

Le rouquin le suivit en lança un regard à la porte de sa chambre, espérer que son homme aille bien.

Thoma lui tend une bouteille, avec un verre, s'étant déjà servi.

Thoma: Installe-toi...Je vais tout te raconter de ce que je sais, tu pourras me poser toutes tes questions si tu veux

Tartaglia s'installe en face de lui et prend la bouteille et le verre.

Tartaglia: Je suis à ton écoute...

Thoma inspire doucement, regardant vers la fenêtre...

Thoma: Voici leur histoire...Celle d'un Archon, et d'une humaine. Un Archons a la puissance démesurée, connus pour son inhumanité, étant un des premiers Archons née, mais aussi le protecteur de toute la région de Liyue. Il était immortel et depuis bien longtemps il veillait sur chacun des habitants les sauvant, protégeant tous sans exception, mais il effaçait la mémoire a tous pour ne laisser aucune trace. Tous sauf deux. Xiao qui devient son élève et celui qui le surveillera qui voue une haine sans merci aux humains pour leur horreur, et leur non-respect vis-à-vis de Morax mais aussi et surtout à cause de Guizhong et...Ma sœur. Elle avait été capturée par des Fatuis et j'étais trop jeune...Elle m'avait sauvé en m'éloignant d'elle, elle n'avait pas encore son arme, mais à ce moment-là elle allait foncer sur les ennemis, mais Morax et arrivé sous une autre apparence que celle actuel bien que similaire. Il l'a sauvé et d'autres habitant son alors arrivé empêchant Morax de pouvoir effacé la mémoire de Guizhong. Ainsi en rentrant elle nota tout sur un cahier sur ce qui venait d'arriver. Son maniement de larmes, son regard, son calme, sa force...Et surtout son aura. Très vite, elle se mit à le chercher et finalement la retrouver...Ici dans cette même forêt. Morax voulait lui effacer la mémoire, mais Guizhong s'étant renseigné la alors enlacer...Ce geste avait figé Morax, et la alors convaincue de lui laisser sa mémoire et devinrent amie...Peu à peu, ils se voient chaque jour, et devinrent très proches, mais ma sœur eut une mission. Soutirer le Gnosis de Morax. Elle l'accepta se disant que cela sauverait Morax de son immortalité si amer, mais ce qu'elle ignorer, c'est que cela le tuerait. Alors au moment où elle voulut le faire en le comprenant, elle se stoppa face à Morax qui fut anéanti. Peu après une guerre éclata pour protéger Liyue Guizhong et Morax, on était les deux protecteurs de la ville.

Morax, aillant, apprit à manier l'épée à Guizhong, et Xiao étant...Trop petit encore. Alors tous deux se sont battus malgré que Morax n'était apparemment pas en forme suite à cet...Histoire, mais la suite...Tu la connais. J'ignore s'il a encore son Gnosis après tout ça...Et J'ignore s'ils ont pu se parler après ça...

Au fur et à mesure de son récit, Thoma avait le cœur lourd, s'imaginant la scène... Parfaitement.

Car c'est via ce cahier de notes que Thoma a su toute l'histoire de sa sœur et Zhongli.

Il comprenait les émotions de sa sœur dans ces mots, et tentait de les retransmettre d'une certaine manière au roux...Morax qui avait été trahis par la seule humaine...Xiao qui voua une haine sans pareil, a sa sœur et tous les humains. Et Guizhong qui disparut après...De manière définitive, sans qu'il ne le sache...Pas avant 15 longues années.

Se sentant défaillir à cette penser il remet son regard vers le roux.

Tartaglia écoutait le récit avec attention. Ça éclaircit beaucoup de zones d'ombre sur son amant et son ancienne vie. La vie n'avait pas été toute belle et toute rose à ce qu'il entendait. Mais il comprenait beaucoup de choses à présent...

Thoma: Tu as...Des questions...?

Questionne le plus jeune.

Tartaglia: Pas vraiment... Ça répond déjà a beaucoup de mes questions, doutes et... Je comprends mieux beaucoup de choses... Merci Thoma.

Il lui sourit.

Thoma: On raconte, mais ça c'est les habitants, qu'un jour un hurlement traversant toute la région, c'est fait entendre, ce cri horrifia tout le monde et qu'un dragon attaqua à partir de ce jour, de nombreuse personne qui osait s'approcher de Liyue, auparavant préférant discuter, à partir de ce moment-là, il tuait sans aucun remord...

Sa tête se baisse.

Thoma: Un dragon avec une immense queue, des écaille marron, des pupilles dorés, des griffe lacérant tout, mais son regard été vide de toute émotion, des orages et tempête accompagnant ces cris...

Le rouquin ne disait rien, mais ça ressemblait bien à la description de son dragon. Il aurait pu péter un câble et dévaster la ville... Après l'avoir vu aussi énervé dernièrement, il avait dû apprendre quelque chose qu'il l'a rendu fou de rage... Mais il ne pouvait pas le blâmer pour ça, et puis c'était du passé maintenant...

Thoma avait les mains tremblantes à cette pensée.

Thoma: Mais...Xiao serait intervenue, et calmer à ce moment-là, sa rage menaçant de détruire ces années de travail pour former la ville et son peuple...Depuis ça, on ignorer tout d'où il est, et s'il été encore en "vie".

Il but alors son verre d'un coup.

Tartaglia détourna les yeux, restant encore silencieux et buvant un peu de son verre.

Thoma: ...J'espère qu'Osial ne l'apprendra pas qu'il et-

Zhongli: Toujours en vie ?

Finit Zhongli apparaissant accouder à la porte, les bras croisés, les yeux fermés, sa queue et cornes apparentes.

Tartaglia se mit à sourire faiblement en s'adossant à sa chaise. Il ne prenait pas la peine de se retourner, il savait que son brun allait les rejoindre.

Les pupilles du brun étaient dorées.

Non pas par joie.

Ni par plaisir.

...Mais de colère.

Thoma: Comment connais tu Osial...?

Zhongli: C'est un Archon. Tout comme moi. Et pour une autre raison qui ne concerne que moi.

Thoma: Tes yeux...?

Tétaniser par le regard du brun, il regarde Tartaglia, le brun avait le regard mauvais, mais a la remarque du plus jeune, il met sa main sur ses yeux.

Zhongli: Navré. Je me suis laissé emporter.

Thoma: Tu nous écoutes depuis combien de temps...?

Zhongli: Je suis un dragon. J'ai tout entendu. Du moins depuis le début de ton... Récit.

Dit il regardant la bouteille de saké, s'en approchant, et la prenant finalement en main avec un verre.

Tartaglia tourna la tête vers son homme.

Tartaglia: Ça va mieux toi ?

Zhongli resta muet, le regard étrange, buvant simplement, allant à côté du roux, cherchant à se calmer... Sa colère montant de plus en plus.

Ce "conte" lui a rappelé quelque chose qu'il avait oublié durant de longues années...

Thoma s'approche de lui, prenant la bouteille de sa main.

Thoma: Qu'est-ce qui se passe au juste ?! Explique-toi, tu es...Bizarre ! Morax ne-

Zhongli: Zhongli

Le plus jeune se recule, prit de peur.

Zhongli: Tu veux vraiment savoir ce qui ne va pas ?

Le rouquin prit sa main dans la sienne et frappa sa joue contre la sienne pour essayer de le calmer.

Tartaglia: Va si doucement...

Lui murmure-t-il faiblement.

Zhongli revient à lui, se calmant ses pupilles redevenant brune peu à peu, sous le regard effrayé de Thoma.

Zhongli: Osial et celui qui a assassiné ta sœur.

Il eut un blanc.

L'expression du plus jeune changea de la peur, a l'incompréhension, puis a la colère. Il se saisit du col de Zhongli.

Thoma: POURQUOI TU NE L'AS PAS TUER ALORS ?! LUI, QUI EST, A LIYUE EN PLUS DE ÇA ?!

Avec sa queue il dégage Thoma au loin contre un des nouveaux murs.

Zhongli: Morax et mort. Je suis loin d'avoir cette force. Et encore plus de pouvoir le faire.

Le regard démuni d'émotion, Zhongli fait alors un premier pas vers l'extérieur très lent.

Tartaglia: Zhongli ! Attends !

Il le rattrapa assez vite et le rattrape par la main.

Tartaglia: Où est-ce que tu vas comme ça ?

Zhongli: Me calmer, et m'entraîner. Je dois me calmer, sinon je vais redevenir comme la dernière fois.

Dit-il simplement, se sentant mal, cachant ses yeux avec sa queue, mais tenant sa main...

Tartaglia: Avec l'alcool en prime... Tu ne t'éloignes pas surtout... S'il te plaît...

Demanda le rouquin, légèrement inquiet de son état soudain.

Zhongli le regarde surprit de sa demande...

Lui, qui aime combattre, ne lui proposait pas de se défouler sur lui ?

Ou de l'aider a s'entraîner ?

Il ignorait si c'était lui, ou lui-même qui avait un problème.

Mais l'alcool commencer à tourner.

Beaucoup trop vite, son corps étant en lutte actuellement.

Zhongli: Tu as conscience de ce que tu me demandes...? J'ai besoin de me défouler...!

Tartaglia: Je ne me battrai pas contre toi si tu es dans cet état, à moins que j'y suis forcé ! Va désaoule d'abord !

Dit-il en fronçant les sourcils, il avait bien compris ce qu'il avait voulu dire...

Zhongli essaye de se calmer.

Mais le ton du roux ne l'aider clairement pas.

Morax: Tu devrais t'éloigner après tout...Je pourrais le blesser. Lui. Et ton protégé...

Zhongli: ASSEZ!

Hurla le brun, se tenant la tête, sa queue s'agitant davantage, mais il s'éloigna, se dirigeant vers le mont le plus haut des plaines Guili, ces écailles apparaissant de plus en plus.

Tartaglia grogna.

Tartaglia : Thoma reste là ! Restes en sécurité !

Cria le rouquin pour qu'il l'entende bien et se mit à la poursuite du brun. Il se demandait ce qu'il arrivait à son amant, mais avait une petite idée... Un passé qui revenait au galop...

Thoma encore effrayé de ce qu'il venait de voir, mais aussi en colère essayant de reprendre son calme acquiesce avant de voir le roux poursuivre le brun...

Ce dernier avait chuté sur la pente en catastrophe, suite à une douleur dans son corps...Il finit par sortir sa lance, qui s'embrasse, mais qui s'éteint.

Morax: LÂCHE-TOI SUR CET VILLE ! IL EST A L'INTÉRIEUR !!! TUE LE !

Zhongli ne répondait pas, mais lâche sa lance, l'éloignant, son corps devenant un corps de dragon de plus en plus.

Morax: JE LES TUERAIS ! ILS L'ONT TOUS TUER ! XIAO A RAISON !!! CES HUMAINS NE TON RIEN APPORTER DE BON !

L'image de Tartaglia persista pourtant.

Morax: CESSE DE PENSER À LUI ! IL T'ABANDONNERA ! MOURRA ! TOUT COMME GUIZHONG !

Zhongli: C'est faux...!

Morax: GUIZHONG ÉTAIT LA SEULE À MÉRITER TON ATTENTION ! ELLE SEULE, TA RAMENER, TA AIDER A TE RENFORCER A DEVENIR FORT ! Mais quand tu la perdue...Tu as perdu TOUTE TA FORCE !

Ça, il ne pouvait le nier.

Il se bridait et c'était voulu.

Zhongli refusé qu'une telle catastrophe revienne...Aillant causé bien assez de dégât la dernière fois.

Tartaglia arriva, le souffle court près de lui. Il avait observé la scène de lui et hésitait à s'approcher de trop.

Tartaglia: Zhongli...

Larme aux yeux, tremblant, quand il voit Tartaglia, il se recula.

Zhongli : Tu es fou !

Morax en Zhongli ria.

Morax: Parfait. On va voir s'il tiendra la route lui~

Zhongli blêmit, et alors qu'il arrivait à enfin se calmer...Plus rien.

Un silence.

Sa lance venant dans sa main.

Ses cheveux s'allongent et se détachent.

Ces cornes deviennent plus épaisses.

Sa tenue changea pour un kimono marron et doré.

Avec de longues manches.

La peau en écaille.

Sa queue plus épaisse.

En reprenant sa lance, elle s'illumine.

Son regard arriva alors sur celui de Tartaglia.

Morax: Essaye donc de m'arrêter.

Dit-il simplement.

Tartaglia: Zhongli ! Arrête tu es complètement fou là !

Le rouquin se mit tout de même sur ses gardes.

Morax: Appelle ton Archon comme tel. Morax.

Il se rapproche lentement, souriant.

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