Chapitre 7: Thoma

Zhongli: J'ignore qui tu es, mais je suis Zhongli pas Morax.
Thoma: Et moi Thoma. J'ai été payé pour vous tuer vous deux.
Dit-il tout en souriant. Il invoque alors ces armes, un katana, ainsi qu'un maillet.
Le regard noir, Tartaglia fit apparaître sa lance.
Tartaglia: Et qui t'a employé ?
Grogna-t-il.
Zhongli, se retire de derrière Tartaglia, sortant sa lance, l'appelant d'un mouvement de main.
Thoma: Un anonyme, mais je me fiche de ça.
Un grand sourire, et un regard à moitié ferme, il rajoute.
Thoma: Je veux juste me battre à fond. Alors divertissez moi.
Sans attendre, prenant son katana, il s'attaque au roux tentant une approche direct, tandis que Morax, le dévis du chemin le faisant venir vers lui, le frôlant avec sa lance.
Zhongli/Morax: Tu ne le toucheras pas !
Les deux voix avaient fusionné.
Tartaglia: Si tu veux te battre à fond, tu as tapé à la bonne porte !
Grogna le rouquin alors que des yeux virent au violet. Il refit apparaître ses deux dagues et commença un corps à corps avec l'intrus
Thoma sourit en le voyant aussi motivé, ignorant alors le brun allant vers le roux, souriant, mais...Il avait une mission.
Et savait que trop bien viser les organes vitaux, et sa Zhongli le remarqua rapidement, parant les attaques visant le cœur, en encaissant a la place du roux.
Thoma: Intéressant...Mais j'ai un job.
Le rouquin se mit à parer les attaques contre son amant, les esquivant à la suite, mais dans un revers, il attrapa le jeune homme le plaquant au sol et une épée sous le cou.
Tartaglia: Tu en n'auras plus dans quelques secondes !
Thoma ria.
Thoma: Prévisible.
C'est à ce moment-là qu'il sort son maillet, menaçant de frappe le roux avec, mais Zhongli para de nouveau, mais l'intrus en profite pour partir de la prise du roux.
Thoma: Bel épée. Elle sera parfaite pour ma collection.
Tartaglia: Dommage, pour toi, elles disparaissent quand je veux...
Se relevant, il claqua des doigts et fit disparaître l'épée que Thoma tenait.
Thoma: Oh allez quoi ! Elle était sympa...
Souriant encore plus, il arrive derrière Tartaglia, maillet en main.
Thoma: Dommage que ça finisse aussi vite~
Zhongli se retourne, voulant parer, mais une douleur vient le paralyser...Une éraflure du katana de Thoma, avait suffi pour l'empoisonner, et paralyser son corps.
Thoma: Le paralysant a mis du temps à faire effet...
Dans un éclair, le rouquin revêtit son démon arrêtant l'arme de son adversaire dans sa main. Il tourna son œil de cyclope vers lui dans un grognement.
Zhongli finit par s'évanouir, son corps luttant intérieurement contre le poison le fatiguant soudainement et son corps refusant de bouger...
Thoma: Enchanter monsieur Démon ! On attendait que vous~
Frappant le sol du pied, un rocher se forme entre eux deux.
Thoma: Que comptes-tu faire ? Après tout Morax et à terre, je pourrais l'achever facilement, et remplir ma mission.


Grognant, Tartaglia se téléporta près de Zhongli, qu'il prit contre lui et se téléporta plus loin pour le mettre en sécurité.
Une fois dans la forêt, il déposa son brun contre un arbre.
Tartaglia: Merde... Je n'ai pas d'anti poison...
Thoma grogna en le voyant fuir.
Thoma: L'idiot. Il ne va pas aller loin avec Morax en poids.
Il part à leurs recherches, fredonnant, katana en main, marchant vers la direction que le démon avait pris...
Zhongli respiré lentement, et transpirer à grosse goutte, mais reste inconscient.
Le rouquin senti leur ennemi se rapprocher, pour la protection de son homme, il préféra bien le cacher dans les buissons.
Tartaglia : Je fais au plus vite...
Il frotta son front au sien et s'éloigna pour aller lui-même a la rencontre de Thoma.
Thoma continua son avancé, puis voit alors Tartaglia venir à lui.
Thoma: Oh ? Tu t'enfuis et après, tu reviens vers moi ? Tout ça pour cacher Morax...Quel acte désespéré. Surtout ici, cette forêt que je connais par cœur.
Tartaglia s'élança sur lui en silence en un éclair lance en main
Thoma ria, tenant fermement son katana, fonçant vers lui, mais...Il avait un plan en tête.
Et compter bien finir sa mission.
Du moins en partit.
Thoma: Tu c'est ce qui est marrant avec vous, les Exécuteurs Fatuis ?
Tartaglia ne s'arrêta pas pour autant, sa lance en main électrifiée.
Thoma: C'est que vous êtes tous des assassins. Comme moi, ce qui rend chacun de mes affrontements avec vous plus captivant, mais soit à la hauteur, tu es le dernier des 11~
À cette phrase son katana frôle Tartaglia, le coupant légèrement.
Le démon ne put esquiver ce coup perturbé par ce qu'il venait de dire, mais réussi tout de même à toucher son adversaire de sa lance à l'épaule.
Thoma serre les dents, mais sourit.
Il l'avait touché, donc dans quelques secondes, il aura des douleurs au corps.
Une simple douleur suffira pour lui permettre de faire ce qu'il souhaite.
Thoma: Si tu voudras le revoir... Reviens en meilleure forme. Ajax.
À ce nom, il fait un bond en arrière et fonce vers Zhongli, pour l'embarquer avec lui, malgré son épaule qui saignait et laisser quelque traces au sol...
Tartaglia voulut le suivre, dans un grognement, mais son corps se figea dans une petite douleur. Le paralysant prenait peu à peu le contrôle de son corps, il tomba à genoux, le souffle court.
Thoma profita de ce moment de faiblesse, accélérant trouvant rapidement Morax inconscient, via son odeur, puis l'embarque avec lui.!
Il n'allait pas le tuer.
Mais l'utiliser pour affronter de nouveau le Fatui, mais sans handicap, et dans un meilleur terrain, il se rendit alors au nord, dans un immense bâtiment...Vide, et si réfugie avec le brun.
Affaibli, le rouquin fini par retrouver son apparence normale et attendit la tête baissée que le poison parte de son corps, serrant les poings.
Il fallut une dizaine de minutes pour que le poison/paralysant ne fasse plus effet...
Suffisamment, de temps, pour que Thoma soit arriver, et que Zhongli se retrouve dans une cage hydro, l'affaiblissant.
Reprenant son souffle, Tartaglia se releva les membres engourdis et s'appuyant sur une lance qu'il venait de faire apparaître.
Tartaglia: J'arrive...
Grogna-t-il en se mettant en route suivant l'énergie de Thoma.
Ainsi que le sang de ce dernier au sol...

Du côté de Zhongli....

Se réveillant doucement, grognant ce sentant affaibli, il regarde autour de lui.
De l'eau.
Ainsi que des machines formant de la glace non loin.
Zhongli: ...Merde.
Thoma était plus loin guettant la venue du roux, fredonnant.
Tartaglia reprit vite ses forces et se mit à courir pour aller plus vite.
Sur son chemin, il voyait des bandages déchirer, quelques assassins, vue leur tenue et leurs armes, assommer il y a peu, et une feuille avec une photo de la maison de Tartaglia.
Sur le papier, il y avait ces mots :
"A ceux qui veulent une vie paisible, sans contrainte ou réaliser un vœu qui leur et cher... Apportez-moi la tête de Morax ainsi que du Fatui, présent dans cette maison."
Signé : Osial.
Tartaglia prit la photo, la tourna pour lire les mots et la froissa dans son poing.
Tartaglia : Osial... Enfoiré...
Il reprit sa route et tomba sur le fameux bâtiment où Zhongli était emprisonné.
Thoma actionna un bouton révélant alors la cage ainsi que la pièce entière d'où se trouve Zhongli a Tartaglia étant entouré d'un simple mur en verre transparent.
En voyant son roux, Zhongli se débat, voulant l'avertir de quelque chose, mais les sons ne passé pas.
Les cornes et la queue du brun été ressortirent.
Tartaglia: Je ne sais pas qui tu es vraiment, mais tu te fais tourner la tête par ce manipulateur d'Osial !
Il essayait de retenir de sauter sur la cage pour la briser, il grogna en voyant son amant dans cet état, affaibli.
Thoma le regardait de haut, littéralement, puis en l'entendant beugler, il descendit se plaçant face à lui, puis...
Thoma: Tu me dis ça. Mais as-tu connu la vie ? Je veux dire...La VRAIE vie ? Celle de vivre au jour le jour, sans nourriture, avec sa famille malade ? De ce qu'on m'a dit sur toi, tu n'es pas quelqu'un en manque, et encore moins qui n'aime pas se battre. Mais l'exact contraire.
Tartaglia: Parce que tu crois qu'on né riche ? Je suis devenu riche par mes propres moyens, en combattant ! En donnant de ma vie pour nourrir ma famille ! Les rumeurs mentent plus qu'elles ne disent la vérité !
Thoma: En acceptant de risquer ta vie. Tu aimes te battre non ? Cela se voit dans ton regard, et ton odeur...Tu empestes le sang. Tu ne fuis jamais face à un combat qui te fait vibrer et repousser tes limites.
Le regard du plus jeune se fait plus sombre.
Thoma: Osial propose au moins à ceux qui ne veulent pas tuer autrui, ni leur faire du mal, de vivre en paix. C'est qu'une illusion, peut-être, mais l'illusion et plus agréable que de s'entretuer. Surtout quand on est "trop jeune", "trop mauvais dans ce domaine" ou autre pour ce monde.
Sa voix été amère, sortant à nouveau son katana.
Thoma: Alors bas toi à fond. Ne me ménage pas. Sors ton démon.
Tartaglia: Osial en profite pour se débarrasser de ceux qu'il le gène de cette façon et tu fais ce qu'il veut !
Il soupira mais prit son regard de combattant.
Tartaglia: Mais si tu insistes tant que ça... Je vais me battre contre toi.
Il fit apparaître ses armes en eau électrifiée tandis que son apparence ne fit que s'assombrir avec ses yeux violets.
Zhongli frappa la vitre, mais de l'eau arriva sur lui et la machine de gel la gela, le figeant.
Thoma: Bien commençons alors...
Changeant sa tenue et une cuirasse plus imposante, son katana en main, il s'élance vers son ennemi prêtant aucunement attention à son regard.
Jamais personne n'a pu l'aider.
Jamais personne n'avait eu de pitié pour lui.
Et jamais il ne voudra de cela.
Sa famille et morte de maladie et de mal nutrition.
Lui seul a pu survivre à ce salissant les mains de sang.
Son regard autrefois naturellement bon et bienveillant et devenu sombre et manipulateur.
...Un certain homme a grand chapeau l'avait en quelque sorte éduquer...
Thoma: Je suis sûr que maître Scari seras ravis de vous voir dans l'autre monde.
Tartaglia : Je vois maintenant d'où te viens ce caractère et tes manies...
Le rouquin eut le regard encore plus sombre tandis qu'il resta sur ses marques, prêt à accueillir le jeune, épées en main.
Thoma arrive alors face au roux.
Thoma: Je l'appelais "Maitre ", car il m'a sauvé, mais je n'ai jamais dit que je l'appréciais...
Dit ce dernier d'une voix sombre.
Thoma: Et Morax ? Pour toi qui il est au juste ?
Le rouquin ne bougea pas, nullement impressionné.
Tartaglia: Il est l'homme de ma vie...
D'un coup de poignet, il fit voler le katana de son adversaire et pointa son arme vers lui.
Mais le plus jeune le fixe.
Thoma: Il est immortel. L'homme de ta vie souffrira en te voyant partir. Si tu l'aimes vraiment, tu dois t'éloigner de lui.
Il fait bouger son katana, visant son cou.
Tartaglia se mit à sourire, puis à rire alors que son corps se mit à changer pour sa forme démoniaque.
Thoma se recule, voyant alors le démon...
Thoma: Tu te fais attendre toi !
S'exclame ce dernier, sortant son maillet, a la place du katana.
Tartaglia: Zhongli a peut-être peur de l'immortalité... Mais pas moi...
Il fonce sur son adversaire et l'envoya valser contre le mur.
Tartaglia: Parce que tant qu'on sera ensemble, je ferais en sorte de le rassurer pour l'éternité...
Thoma percuta le mur, le sonnant pas mal.
Thoma: Pour qu'au final, il soit seul ?
Il ne comprenait pas.
Et il ne pouvait pas comprendre.
Ce dieu.
Morax.
Il avait tant donner dans l'anonymat.
Tant donner de sa propre vie.
Il souffrait en permanence et le pire et qu'il était condamné à l'éternité...
Thoma: Si tu sais qu'il en a peur, pourquoi ne pas lui offrir ce qu'il souhaite depuis tant d'années ? Depuis tant d'années qu'il suppliait à tous ceux le qu'il croise, de vivre, d'en profiter, et même à certains de l'achever ?
Tartaglia se rapprocha lentement du jeune homme , sa lance en main.
Tartaglia : Aujourd'hui, il ne sera, plus jamais, seul dans son immortalité... Je lui offre seulement ce qu'il rêvait d'avoir, une personne a aimé et qui pourra rester à ses côtés pour toujours...
Thoma se recule, tenant son maillet.
Thoma: ...Toi aussi alors ?
Demande ce dernier, observant le démon.
Thoma: Il ne sera plus seul alors...Tu ne comptes pas lui faire du mal ?
Il tremblait un peu.
Mais son regard rester déterminer.
Tartaglia le voyait bien trembler malgré son regard qu'il essayait tant bien que de mal à garder.
Tartaglia: Bien sûr que non... Je n'ai jamais pu lui faire de mal.
Thoma eut peu à peu son regard qui se faisait moins menaçant.
Ce sentant dos au mur autant mentalement que littéralement, il pesta, lançant son maillet sur la vitre libérant le brun en évacuant l'eau, puis il se met de dos à Tartaglia, s'apprêtant à partir.
Tartaglia: Tu changes bien soudainement...
Le démon se dirigea vers son homme le prenant contre lui.
Thoma le regarde faire, tandis que Zhongli une fois contre Tartaglia, sentant sa chaleur, il soupire d'aise aillant été geler en partit pendant plusieurs minutes.
Le maillet, vient alors vers son propriétaire.
Thoma: Un dieu, allant aider les plus pauvres, ne mérite pas un tel destin qui lui était destiné. L'occasion de le rencontrer était incroyable. Alors j'ai simplement voulu le voir...Et le mettre en lieu sûr. Une annonce comme celle-ci avec le nom d'Ajax dessus ne signifier rien de bon pour Morax. Je te surveille. Tartaglia. Un faux pas vis-à-vis de lui et tu auras affaire à moi.
Puis sans demander son reste, il disparut.
Le rouquin reprit sa forme humaine et serre le brun le réchauffant. Il comptait bien rester avec lui tout l'éternité.
Zhongli ne comprenait pas ce qu'il venait de se passer.
Ni qui était ce jeune garçon.
Malgré que son visage lui parait familier mais si lointain...
Zhongli: Désolé...Je ne comprends rien...Mais merci, navré de mettre fais avoir comme ça...
Tartaglia: C'est fini... On va pouvoir rentrer tranquille à la maison.
Il lui sourit et lui caressa la tête.
Zhongli était encore plus confus.
Le maillet...Il l'avait lancé vers lui, et ça a permis de le sortir de cette cage.
Et...Il les laissent partir ?
Zhongli : Il s'est passé quoi ?
Il sourit malgré tout à la caresse, lui faisant la même chose avec sa queue doucement.
Tartaglia: Je ne sais pas exactement, mais... J'ai bien l'impression que c'est une personne que tu as dû aider il y a quelques années...
Il lança un regard vers là où le jeune garçon est parti.
Zhongli : ...J'ai cette impression aussi, mais...Je ne me rappelle plus vraiment. Et il ne devrait pas s'en rappeler, j'ai effacé la mémoire à tous, sauf Xiao !
Plus troubler, il se tient la tête.
Zhongli : Il...C'est bizarre.
Tartaglia: Je crois bien que lui est échappé à ça... Bon, tu peux tenir debout ...?
Sentant le roux tendu, le brun cligna des yeux.
Zhongli: Sa ira, je serais lent, mais ça ira...
Tartaglia se releva en prenant le bras de son amant qu'il mit par-dessus de ses épaules pour le porter.
Tartaglia: As-tu... Entendu notre conversation...?
Un peu rouge et troubler encore, il dit faiblement.
Zhongli : Non...La vitre insonorisée , et après...Je n'étais pas assez "en forme" pour prêter attention à ce que vous disiez... C'est pour ça que je ne comprends rien...
Tartaglia: Alors tu n'as rien raté de grand-chose... Rassure-toi...
Il lui sourit et fit le chemin pour chez lui.
Zhongli se questionnait, et sentait le roux étrange...Sans comprendre.
Le brun s'accroche à lui au mieux, sa queue et ces cornes disparurent enfin...
Zhongli: ...Tu vas bien ? Tu es bizarre...
Tartaglia se mit à rougir et détourna le regard.
Tartaglia: Euh.... Oui, ça va... Ne t'inquiète pas...
Devait il lui dire maintenant où attendre qu'ils soient rentrés ?
Zhongli remarque les rougeurs, mais ce sentant pas apte à insister, il rajoute simplement.
Zhongli: Tu me le diras de toute manière si tu as quelque chose, je te fais confiance, tu me le diras au moment venu...
Souriant à Tartaglia, il l'enlace un peu, malgré que faiblement, voulant le rassurer.
Tartaglia le regarde et lui sourit.
Tartaglia: Bien sûr... Mais je préfère t'annoncer ça quand tu seras en meilleure forme...
Il l'enlace à son tour et lui embrassant la joue.
Acquiesçant, ce sentant frissonner de froid, sa vue se trouble peu à peu, mais reste accrocher avançant avec son amant.
Zhongli: On et...loin ?


Tartaglia: Plus très loin...
Il sentit soudainement de plus en plus le poids de son dragon.
Zhongli: Je ne me sens pas très bien...
Il respirait étrangement, ses yeux été mi-clos.
Le chaud-froid avait eu raison de lui, ça, ainsi que le fait d'avoir été trop en contact avec l'élément cryo et hydro en même temps...Et le poison qui au final n'avait pas été extirper.
Mais il resta conscient bien que difficilement.
Zhongli: Childe...Je pense que j'ai toujours de ce poison dans le corps...
Tartaglia: Et merde...
Le sentant se relâcher, il rouquin prit son amant sur le dos avant de partir en courant vers chez lui pour vite aller allonger le brun.
Tartaglia : On rentre vite avant que tu ne t'écroules...
Zhongli tenait bon, refusant de s'évanouir, ne voulant pas être trop un fardeau, vu qu'il en était déjà un.
Non loin un jeune homme les observer, et grimace en remarquant l'état du brun...Mais ne se montra pas.
Tartaglia: Tiens bon mon amour, on y arrive...
Il fut rassuré en voyant sa maison, il y entra rapidement avant d'aller dans sa chambre et d'y déposer délicatement le dragon sur le lit.
Une fois poser sur le lit, le brun se met en boule sa queue revenant, lui servant de couverture, mais aillant froid et chaud en même temps ne savait pas vraiment si ça l'aider.
Regardant Tartaglia, il respirait lentement au mieux, aillant beaucoup de fièvre.
Très rare ont été les fois où il était tombé malade.
Mais à chaque fois, ce n'était pas pour un petit rhume...
Le rouquin commençait à s'inquiéter, ayant une mauvaise expérience avec son père qui était tombé malade et qu'il avait eu du mal à s'en remettre. C'était rester comme une sorte de peur pour lui maintenant...
Il n'avait pas l'habitude de perdre son sang-froid, mais là, il commençait. Il ne savait pas trop quoi faire dans cette situation...
De son pouvoir Hydro, il créa une bulle rectangulaire pour l'installer sur le front du brun pour essayer de calmer sa fièvre.

Ça l'aida, mais sans vraiment plus.
Zhongli voyant le roux paniquer, souri, malgré que le regard complètement flouté, il posa sa main sur sa joue.
Zhongli: Sa ira... Rassure-toi, cela ne me tuera pas.
À ce moment-là, on frappe a....Ce qui reste de la porte qui était bien abîmer depuis leurs dernière visite, tout comme le mur qui séparait la porte d'entrée et la chambre qui était inexistante à présent.
Après ce petit toc-toc une boite fut mise au pied de la porte, avec des médicaments assez fort, puis une bouteille de thé frai, avec des ramens aux porcs...
Tartaglia ne voulait pas trop s'éloigner, mais il devait. Il appuya sa joue dans sa main avant de s'éloigner rapidement et alla à la porte. Le rouquin examina les environs avant de prendre la boite et de refermer derrière lui avant de vite revenir vers son brun.
Zhongli chercha le roux avec ses mains.
Zhongli: Tarta...?
Puis il sentit cette odeur, le faisant sourire.
Zhongli: Des ramen ~
Il ronronna doucement en reconnaissant l'odeur, regardant vers la boite.
Zhongli: Tu les as vite cuisinés dis-moi...
Tartaglia se rapprocha avec la boite qu'il posa sur le lit.
Tartaglia: Ce n'est pas moi... Quelqu'un les a déposées...
Il baissa le regard, se mordant la joue, gêner de ne pas y avoir pensé avant.
Zhongli devient soudain méfiant.
Zhongli: "Quelqu'un" ? "Déposer" ? Avec ce qu'on vient d'avoir comme visite, je ne veux pas tenter d'y manger...
Mais son ventre gargouilla, le faisant soupirer.
Zhongli: ...Même si j'ai faim.
Tartaglia: Je vais goûter avant de te le donner !
Sans attendre de réponse de la part du dragon, il prit une nouille dans sa bouche.
Qui était chaude, avec le liquide ça lui réchauffa la gorge...
Rien de mauvais.
Pas de poison.
Rien.
Zhongli : ...Chéri...?
Tartaglia: Mange. Ça ne te fera que du bien.
Lâcha-t-il en lui tendant le bol.
Il prend le bol, doucement, malgré que tremblant.
Le brun en prend une bouchée...Puis continua.
Dans la boite se trouver toujours les médicaments.
Le rouquin explora encore la boite et en sortit une bouteille de thé et des médicaments.
Tartaglia : On dirait que quelqu'un te connaît mieux que moi...
Bouda le roux
Ce qui fait rire le brun.
Zhongli: Mais non ne le prend pas comme ça ! Tu me connais bien mieux...Me force pas à donner des exemples par pitié, tu sais de quoi je parle...
Dit il devenant assez rouge.
Il entrevoit ce qu'il tenait dans ses mains.
Zhongli: C'est quoi ...?
Il venait de finir, souriant un peu, le bol, se sentant au moins mieux avec le ventre remplit.
Tartaglia examine les plaquettes avant d'en sortir un cachet et lui tendit la bouteille.
Tartaglia: Avale ça avec le thé, ça te fera du bien...
Acquiesçant, il prend la petite bouteille de thé, puis le cachet...
Puis rapidement ouvre la bouteille à thé l'avalant coup sec.
Le rouquin posa le reste sur le sol et se colla à lui réclamant un câlin.
Encore pas remis, tirant la langue le médicament étant amer. Mais en sentant son roux venir se blottir contre lui, il l'entoure de sa queue et de ses bras, essayant de le consoler.
Zhongli: Childe...Ne sois pas comme ça...
Il lui embrasse le front, lui caressant les cheveux...Il se sentit somnoler.
Tartaglia: Désolé... Je n'aime pas voir mes proches malades... Ça... Ça me fait peur...
Ronronna le rouquin en se blottissant encore plus contre lui.
Se doutant que cela doit avoir un lien avec sa famille, il n'osa pas poser plus de questions, le câlinant au mieux.
Zhongli: Tout va bien...Je pense que les médicaments vont m'aider...J'ai sommeil, mais ça ira...
Sa queue vient caresser le dos du roux, tandis qu'il ferme les yeux, ce sentant apaiser avec Tartaglia a ces côtés.
Tartaglia hocha la tête et la reposa sur le ventre du brun, bercer par ses caresses. Il tourna la tête vers lui, lui souriant.
Zhongli: Dodo avec toi...
Murmura ce dernier, bougeant mollement sa queue une dernière fois, entourant la taille du roux, le gardant contre lui, pour pouvoir y déposer un baiser sur son front, s'endormant finalement.
Le rouquin frotta son nez à son torse et s'endormit contre à son tour, récupérant ses forces.


3 heures plus tard


Le brun dormait toujours, mais sa fièvre était déjà bien retomber, le médicament aillant fait son boulot tranquille vue que le malade dormait, cela permettait au corps de se focaliser sur sa guérison...Son corps ainsi que Morax.
Le brun avait repris une apparence normale, lui donnant un peu froid, n'aillant plus sa queue contre lui, se collant plus au roux.
Tartaglia eut un frisson de froid en ne sentant plus la queue de son amant, dans un grognement, il se plaça sur lui frottant son visage dans son cou. Il sourit en retrouvant sa chaleur.
Sentant son odeur non loin de lui, et sentant son souffle à son cou, Zhongli ouvra les yeux, en voyant son roux contre lui ainsi... Attendris, il ressort sa queue, allant réchauffer au mieux son roux, l'embrassant a la joue, lui caressant les cheveux.
Encore endormi, il ronronna en souriant retrouvant la chaleur du brun sur lui. Il frémit sous ses caresses, mais frotta son nez contre son cou.
Zhongli: Childe...?
Il essaye de le réveiller doucement, l'embrassant a la joue, continuant ces caresses...
Tartaglia: Hum...
Marmonna le roux en frémissant. Il finit par ouvrir les yeux péniblement en baillant.
Zhongli continua ces gestes voulant le réveiller en douceur.
Zhongli: Mon roux...Réveille-toi...
Tartaglia: Je n'ai pas envie... Je suis bien là...
Il passa sa main sur le ventre du dragon en restant loger dans son cou.
Zhongli: Mais...Ton dragon a besoin de bouger...Pour une fois, que c'est moi qui suis matinale.
Il rigole un peu, malgré qu'il trouvait beaucoup trop adorable son roux comme ça.
Tartaglia: Nan... Je ne bougerais... Pas...
Marmonnait le rouquin en se collant encore plus à lui, prit comme dans un étau, bien décidé à ne pas le lâcher.
Zhongli sourit, le câlinant et l'embrasse tendrement sur les lèvres prenant doucement son visage, pour l'éloigner de son cou.
Zhongli : Tu es adorable...
Tartaglia: Je sais...
Dit-il dans un sourire et les joues écrasé dans ses mains.
Tartaglia : Chéri...~?
Zhongli : Oui~?
Il lui caresse, gaga, sa queue venant lui frotter le dos.
Tartaglia: Je veux un autre bisou~
Son regard d'enfant pétillé.
Zhongli l'embrasse alors de nouveau, lui caressant le visage, les cheveux et le dos, le gardant contre lui.
Tartaglia répondit en souriant passant sa jambe sur sa hanche.
Se laissant aller à cet douceur il continue de l'embrasser, le poussant doucement sur le lit se m'étant sur lui, le laissant s'accrocher à lui.
Le rouquin passa ses bras autour de son cou, mouvant ses lèvres contre les siennes demandant plus.
Zhongli continua, accédant à sa demande muette, continuant ces caresses en même temps.
Zhongli : Je vais te réveiller avec quelque douceur ~
Murmure le brun, entre deux baisers tendres et doux.
Tartaglia sourit contre ses lèvres.
Tartaglia: Montre-moi~
Lui murmure à son tour le roux entre deux baisers devenant peu à peu chaud.
Continuant ces baisers, il place sa queue à l'intérieur des cuisses du roux...
Toc-toc
Un toque de porte retentis.
Le brun regarde son brun, attendant sa réaction et quoi faire...
Le rouquin eut une veine qui apparut sur son front. Il se retient de grogner et rattrapa les lèvres de son brun, ne voulant pas s'en occuper...
Zhongli continua alors, venant caresser ses cuisses d'une main, voulant le calmer, et sa queue vient doucement caresser les cheveux du roux.
Zhongli : Tu sais...Je ne sais pas si...Je devrais continuer, j'ignore ce que j'ai eu, et je ne veux pas que tu sois malade toi aussi...
Articule ce dernier rompant leur baiser, lui caressant le visage de sa main libre.
Tartaglia: Je m'en fiche que tu me refiles ta maladie...Je te veux toi à cet instant...~
Lâcha le roux dans un murmure, les joues roses et le souffle court.
Tartaglia: Tu as bien dit que tu voulais me réveiller ~? Je suis curieux de ce que tu peux me faire... Pour me réveiller ~.
Soupirant voyant que son roux n'était pas d'humeur à écouter ces avertissements, il eut un sourire plus sadique.
Zhongli : Pour un guerrier comme toi faut un réveil adéquate non?
Tartaglia leva un sourcil perplexe.
Tartaglia : Tu n'auras jamais rien à ma hauteur.
Sourit-il malicieusement.
Le brun ria.
Zhongli : Peut-être que je ne l'ai jamais essayer, mais...On va dire qu'il y a un début à tout.
D'un claquement de doigts des menottes geo apparaissent...Puis il bloque son amant au lit le tenant au poignet.
Zhongli : Mon doux roux, va avoir une petite leçon mais après...Je réclame à avoir mon tour.
Dit-il en souriant.
Zhongli : Ce sera un contrat ça te vas?
Tartaglia sursaute, mais se mit à sourire d'un ton aguicheur.
Tartaglia: Marché conclu~
Zhongli sourit, puis l'embrasse alors chastement, puis à l'aide de sa queue met les menottes au roux, le maintenant sur le lit, une fois fait claque à nouveau des doigts sortant alors...Un collier avec une boule noir a son centre, sa queue part alors tirer le tiroir du lit y sortant une huile de massage particulier et enfin un bout de tissu.
Zhongli saisit sa langue durant leur échange voulant d'abord le détendre le plus possible.
Tartaglia s'accrocha aux draps, jouant avec sa langue, tandis qu'il releva son torse contre le sien en soupirant. Une de ses jambes allait frotter à sa hanche quémandeur.
Voyant son impatience, le brun rompt son baiser et lui susurre.
Zhongli : On va jouer à l'aveugle ~
Puis sans attendre, met le bandeau aux yeux du roux, allant doucement lui mettre le "collier"
Zhongli : Avant de te mettre le vrai jouet...
Il se met sur les genoux plaçant son membre déjà dur, face à la bouche du roux, puis en lui tenant la tête...
Zhongli : Ouvre ta délicieuses bouche


Les yeux déjà remplis de cœur caché face à cette expérience si bandante, il ouvrit la bouche lentement la langue légèrement pendante.
Le brun en la voyant s'ouvrir, y glisse son membre, se contenant de lui rapprocher la tête, mais cette sensation...Il en était accro définitivement.
Zhongli : C'est trop bon~
Tartaglia eut un frisson en sentant le membre de son amant dans sa gorge. Il bougea sa langue pour la faire tourner autour de son gland et alla le taquiner un peu.
Ce qui le fait grogner de plaisir rapprochant sa tête vers lui, voulant allez plus loin, mais peu à peu ne voulant pas lui faire mal, mais sa langue été une gourmandise qu'il savourait pleinement actuellement.
Mais Tartaglia se laissa faire, étouffant quelque petit soupir de plaisir, continuant de lécher les endroits sensibles de son homme.
Ce sentant se tendre rapidement, il rapproche la tête du roux de manière à ce qu'il a son membre entièrement dans sa gorge, finissant par venir sans pouvoir prévenir avant, dans un grognement de plaisir, mais ne lâchant pas sa prise à sa tête lui faisant avaler.
Le rouquin lâcha un gémissement, mais avala toute sa semence sans se plaindre, ses joues rouges et tout excitées.
Se retirant de la bouche du roux, il se penche pour l'embrasser, venant caresser son entre-jambe.
Zhongli : C'était délicieux rassure toi, tu vas avoir mieux~
Il le met alors sur le ventre, tandis que lui se place sur lui, ouvrant une bouteille...Celle de l'huile de massage, tout en lui susurrant.
Zhongli : Quels sont tes derniers mots avec ta voix "normal"?~
Tartaglia gémit légèrement alors que ses esprits s'embrouillèrent peu à peu.
Tartaglia: Tu es un amant exceptionnel.
Zhongli : Et toi mon amour éternel ~
Lui caressant la joue tendrement d'une main la seconde récupère le liquide de la bouteille aider de sa queue, puis en met sur Tartaglia le massant un peu, après quelques caresses a la joue, il place un doigt dans sa bouche.
Zhongli : Suce.
L'huile avait pour objectif de chauffer Tartaglia, le détendre pour permettre une pénétration plus simple, mais aussi le rendre... Quémandeur. Mais avant de venir en lui, il devait le préparer et le brun dû se contrôler de pas le prendre maintenant...
Et son doigt de préparer le trou du roux.
Son doigt dans sa bouche, le rouquin fit ce qu'il demanda en gémissant, suçant son doigt avec gourmandise. Il sentit soudainement son corps chauffer et son souffle se fit plus court et plus chaud. Le roux bougea son fessier quémandeur alors que son membre palpitait contre le lit.
Zhongli : Patience mon beau crois moi que je le veux aussi maintenant, mais pour ne pas te faire souffrir, je vais te faire languir un peu~
Lui susurre t'il en réponse proche de son oreille, en lui mordant le cou le sachant sensible, une fois bien humidifier, il fait venir en Tartaglia ce même doigt le pénétrant, puis après avoir bien étalé l'huile, il prend la boule du collier et la remonte jusqu'à la bouche du roux la lui m'étant, et reprend son massage d'une main, allant doucement vers son membre, tandis que la seconde main bougea boulant bien préparer son roux écartant et allant en profondeur en lui, touchant sa prostate à plusieurs reprise.
Tartaglia sentit brutalement son corps se tendre et brûler de l'intérieur. La boule l'empêchait de crier son plaisir, mais de la salive se mit à couler de ses lèvres. Il crut devenir fou de plaisir rien qu'à ces caresses et ses doigts. Son dos se cambra lorsque le brun toucha sa prostate lui provoquant un terrible spasme de plaisir. Il crut jouir sans l'avoir eu en lui... Tellement il était envahi par le plaisir.
Le sentant au bord du gouffre, voulant jouer, il continua, mais ajouta sa queue en bonus venant s'occuper elle-même du membre de son amant, tandis que sa main assez proche vient masser lentement avec l'huile, tout en faisant des allers venus avec son doigt en lui, rapide et avec précision ne visant que la prostate.
Le rouquin ne savait plus où donner de la tête, il n'avait plus aucun repère. Son corps était parcouru de spasmes et la boule étouffait ses gémissements. Il essayait tant bien que même de serrer la couverture de ses poings alors qu'il sentait ses jambes le lâchait. Il se cambrait à chaque touche sur sa prostate lui provoquant en lui des coups d'électricité. Il n'en pouvait plus...
Il le voulait en lui, il aurait voulu le supplier de le prendre...
Cette torture le rendait fou...
Zhongli : Tu es si chaud...Si quémandeur, et résistant en plus, mais plus pour longtemps~
Il retira doucement son doigt de lui, le sentant largement assez détendu, il cessa ces mouvements lents et appuyer avec l'huile, se reculant un peu, pour finalement le pénétrez d'un coup de hanche, sans difficulté, étant glissant, chaud, et étroit en Tartaglia cela fait gémir le brun.
Zhongli : Tu me voulais en toi tu me le fait bien comprendre, et maintenant ton vœux et exaucés ~
À la fin de sa phrase, il donna un premier coup fort, touchant de nouveau sa prostate, le gardant contre le lit, l'empêchant de trop bouger, ses mains allant tenir fermement son fessier.
Lorsque le dragon le pénétra, Tartaglia cru s'évanouir... Son hurlement s'était brisé dans sa gorge tandis qu'un énorme frisson le parcourt de la tête au pied. Il essaya de contenir au mieux sa jouissance, mais en le sentant bouger en lui de cette manière, il ne put la retenir trop longtemps. Son corps fut pris d'une violente contraction venant contre son ventre. Il avait complètement quitté le sol, il ne réfléchissait plus à rien, il était ivre de plaisir...
Zhongli quant à lui réussit à ne pas venir tout de suite, malgré ces grognement satisfait en voyant Tartaglia dans cet état.
Zhongli : Je ne fais que commencer mon beau~
Sa queue continua de cajoler le membre du roux, tandis qu'il continue à frapper la prostate du roux, et ses mains allèrent taquiner les tétons de Tartaglia, et enfin Zhongli alla embrasser et mordre par moment le cou de son amant.
Le rouquin n'en pouvait plus, il devenait fou. Si la boule ne l'entravait pas, il aurait laissé sa langue pendre, mais la salive qui s'échappait de sa bouche montrait à quel point en adorait cette situation. Ses yeux révulsés derrière le bandeau, il plaça la tête sur le côté permettant à son amant un meilleur accès, le faisant hurler dans sa gorge. Son membre se remettait à palpiter dans sa queue, le bas de son ventre brûlait, une deuxième boule de chaleur allait encore exploser.
Léchant mordant, embrassant son cou si bien exposé, Zhongli profita de cette position pour le rendre fou, tout en se faisant plaisir en étant en lui, c'est son de plaisir le montrer bien, et l'état de son roux ne faisait qu'accentuer son excitation montante.
Zhongli : Je vais venir mon beau
Tartaglia savait que là, ça va être compliqué pour revenir sur terre. Son esprit était embrumé à ne plus réfléchir du tout, dicter seulement par son corps qui n'en faisait qu'à sa tête. Il se contracta de nouveau violemment et se relâcha une deuxième fois contre son ventre, ses bruits brisés dans sa gorge.
Le sentant se contracte eu raison de lui, le faisant venir en lui dans un cri de plaisir, et dans un dernier coup fort au plus profond de son roux.
Reprenant son souffle, il retire doucement la boule de la bouche du roux, les menottes d'un claquement de doigts et le bandeau, en se retirant de lui.
Le rouquin se laissa tomber pitoyablement sur le lit, son corps prit de spasme incontrôlable. Des cœurs dans les yeux, la langue pendante, il essayait tant bien que mal de reprendre ses esprits ainsi que son souffle.
Le brun le tire doucement contre lui, lui faisant de douce caresse, voulant le ramener en douceur.
Tartaglia reprit peu à peu un souffle normal et calmait les battements de son cœur effréné sous les caresses du brun.
Zhongli: Je suis allé un peu fort... Excuse-moi.
Il le câline encore, voulant le calmer doucement, et lui offrir de la douceur après tout ça...
Le rouquin se mit à sourire et tourna la tête vers lui.
Tartaglia: Non ça aller... C'était... Woua...
Zhongli sourit au roux, l'embrassant au front, lui caressant les cheveux.
Zhongli : "tu n'auras jamais rien à ma hauteur" ?~
Tartaglia se mit à rire.
Tartaglia: Je dois avouer que...
Zhongli le fixe, souriant victorieux.
Zhongli : Que quoi? Allez finit ta phrase.
Tartaglia: Quetuaseteamahauteur...
Marmonnait le rouquin.
Victorieux, il lui relève le visage et l'embrasse.
Zhongli : Fier même là ?
Il rigole un peu, mais se sentait nettement mieux.
Zhongli : Les médicaments ont été efficaces...
Tartaglia lui sourit.
Tartaglia: Je l'ai bien senti...
Le brun ria a la remarque du roux, puis il lui susurre doucement.
Zhongli : Maintenant c'est à moi de le dire, mais à ma manière...J'espère que tu seras à la hauteur.
Puis il lui caresse la tête, regardant la bouteille de thé la reprenant, puis un gros toc résonne depuis la porte d'entrée.
Tartaglia soupira avant de se redresser.
Tartaglia: Je reviens...
Il embrassa son homme dans le cou avant de se lever, mit au moins son pantalon avant d'aller à la porte d'entrée qu'il ouvrit.
Il n'y avait personne.
Juste un papier avec une liste.
"Il aime :
- Les ramens aux porcs.
- Le thé frais.
- Les pierres de lapis.
- Les fleurs de soie.
- Voir les coucher et lever de soleil.
- Déteste les plats épicés."
Non loin une petite boite atterrie au sol avec une boucle d'oreilles en lapis.
Tartaglia se mit à grogner et croisa les bras sur son torse.
Tartaglia: Tu ferais mieux de te montrer tout de suite avant que je ne vienne te chercher...
Un avion en papier percute le front du roux.
"Pour que tu me tues ? Non merci."
Tartaglia lit le papier et eut une veine sur le front.
Tartaglia: Je ne vais pas te tuer... Alors dépêche-toi de te montrer...
Hésitant, et sur ces gardes tout de même, le jeune homme, se met à découvert sur une branche d'un arbre face au roux.
Thoma: ...Je ne ferais rien. Rien n'était empoisonné, je veux juste aider Morax...Enfin Zhongli...
Il tenait son katana tout de même, tremblant un peu.
Tartaglia soupira.
Tartaglia: Dit moi... Pourquoi tu tiens tant à lui...?
À la question, il se tend.
Thoma: Sa ne te regarde pas. Juste...
Il croise ses bras.
Thoma: Je suis lié à lui via une de ses anciennes amies.
Tartaglia croisa les bras à son tour sur son torse en s'adossant à l'encadrement de la porte.
Tartaglia: Tu parles de Guizhong ?
Au nom de sa sœur défunte, son regard changea, mais se met de dos.
Thoma: ...Comment la connais-tu ? Et qu'est-ce qu'elle est devenue ?
Tartaglia: Ce n'est pas vraiment à moi de te le dire...
Sa voix se fit plus douce et plus calme.
Thoma ignoré le sort que Guizhong a eu.
Thoma: Comment sa...? Explique-toi ! Je la cherche depuis 15 ans ! Je dois savoir !
Sa voix se faisait beaucoup plus... Fragilisé ?
Cela faisait 15 ans.
15 ans qu'il rechercher sa sœur, sans que personne ne lui dise quoi que ce soit.
Elle et tout ce qui lui reste en famille.
Et elle lui parler souvent de Morax/Zhongli en bien...Alors en voyant cette annonce, il avait voulu le kidnapper, puis le forcer à lui soutirer des informations, mais il n'avait pas été assez fort et avait même culpabilisé.
Il ne le connaît pas !
Et ceux malgré qu'il aurait voulu le connaître plus tôt, Guizhong lui interdisait d'enquêter sur lui.
Le rouquin se sent très mal le voyant si désespérer, puis il senti une présence derrière lui. Fermant les yeux, il se pinça la lèvre.
Tartaglia: Chéri... Tu ferais mieux de lui dire...
Dit-il d'une voix assez faible.
Zhongli inquiet était venue à l'entrée et avait vu la scène silencieusement.
Puis en regardant le plus jeune, il sentit une douleur le prendre.
Thoma: Morax je-
Zhongli : S'il te plaît appelle moi Zhongli.
Thoma: ...D'accord. Je...Je suis désolé d'avoir agi ainsi, mais je voulais...J'avais besoin de savoir où est ma sœur ? Où est Guizhong ?
Au prénom, Zhongli s'approche du petit, ce dernier recula, mais la queue de Zhongli le tire contre lui.
Thoma: ...Qu...?
Zhongli : Je suis désolé...Thoma, j'ignorais qu'elle avait un frère...Je ne devais pas me montrer...Du moins pas sans effacer la mémoire...
Thoma: Je-!
Zhongli : ...Je suis désolé je n'ai rien pu faire.

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