Chapitre 1: Un enfant
Dans une forêt assez reculé de toute vie, vivait un homme assez fort, talentueux, sage...Du nom de Zhongli.
Cet homme n'était pas connu, et pourtant à quiconque, il venait en aide, la personne l'idolâtrer...Mis à part une personne.
Cette personne lui en avait voulu de ne pas l'avoir aidé comme elle le souhaiter. Et décida de lui jeter une malédiction.
Zhongli obtient alors l'apparence d'un enfant de 13 ans à peine, bien qu'il avait toujours ces souvenirs, et sa sagesse... La sorcière lui annonce alors :
Sorcière: Que le dieu Osial te maudisse ! À partir de maintenant, tu vivras sous cette enveloppe corporelle pour l'éternité ! Et ceux jusqu'à que tu reçois la preuve d'une reconnaissance ou d'un amour véritable !
Le désormais enfant d'apparence allez rouspéter, mais se retrouva seul en un éclair... Ces habits trop grands, et n'aillant plus du tout sa force qui lui permettait de vivre, il se met à pleurer tel l'enfant qu'il était désormais...
Revenant de mission près d'ici un jeune homme a la chevelure rousse et aux yeux aussi bleu que l'océan fit disparaître ses armes faites d'eau. Ce jeune guerrier combatif se nommait Tartaglia sur ces terres, il travaillait pour une organisation qui était les "Fatui" et était le plus fort et l'imbattable de tous. Sauf que cette force surhumaine ne lui apportait que de la jalousie envers ses coéquipiers qui ne se gênait pas pour lui balancer en pleine figure. C'était d'ailleurs pour ça qu'il était un guerrier solitaire et sans attache.
Le brun à présent minuscule, marcha peu à peu, reprenant son équilibre avec cette taille, mais tomba rapidement.
Il se mit alors à pleurer, sa longue queue de dragon visible montrer sa faiblesse...Il était faible.
Sans défense.
Sans personne.
...Seul.
Le rouquin en entendant des pleurs près de lui se rapprocha doucement, il rangea sa feuille de mission dans sa poche et écarta les feuilles devant lui. Il se retrouva devant un jeune enfant en pleurs avec d'étrange habits et une queue de dragon.
En le voyant Zhongli, fut rassurer, mais sur ces gardes, allant se cacher derrière un buisson, chouinant encore...
Ces habits étaient déchirés... Enfin, ses tissus trop larges sur lui, des blessures était visibles sur son torse.
Tartaglia cligna des paupières avant de se rapprocher.
Tartaglia : N'ai pas peur, je ne vais pas te faire de mal.
Il avait une voix douce et pas agressive.
Tremblant encore, sa queue bougeant dans tous les sens, il n'osait pas parler...
Regardant l'adulte face à lui, il ne bougea plus.
Le rouquin regarde partout, étonné qu'un enfant se trouve seul ici dans cette forêt pourtant pas très sûre.
Tartaglia: Aller sort de là... Tu n'es pas en sécurité ici...
Il approcha sa main gantée du jeune garçon.
Regardant la main, il hésita...
Mais il n'avait pas vraiment le choix vu sa situation.
Mais il devait surtout garder cet air enfantin...
Timidement, reniflant, il prend la main de l'homme face à lui, apeuré.
Zhongli: ...Tout...Seul...
Sa peur avait fini par lui faire lâcher ces mots.
De sa petite voix d'enfant, sa peur avait repris le dessus.
Cette sensation d'être seul.
De n'être rien.
Encercler par le danger constant.
Regardant le roux de ses pupilles marron, luisant de larmes, il demanda.
Zhongli : Pas...Me tuer...?
Tartaglia le regarda avec un sourire et les sourcils baisser.
Tartaglia: Ce n'est pas vraiment mon genre de tuer un enfant...
Il passa sa main sous le buisson et la posa sur la joue du petit brun, essayant ses larmes.
Tartaglia : Aller sort...
Sortant comme un chaton, il sortit alors... Montrant que d'avantage sa queue ainsi que ces petites cornes, mais se trimballa le vêtement dix fois trop grand étant pudique quand même.
Tartaglia montra son étonnement sur l'accoutrement de ce jeune garçon, mais se reprit vite se relevant.
Tartaglia: Qu'est-ce que tu fais ici tout seul ? Où sont tes parents ?
Zhongli réfléchit quelques secondes...
En soit, il ne mentait pas s'il disait que ces parents été morts.
Pour ne pas dire inexistant.
Zhongli: ...Mort...Par loup loin...J'ai couru jusqu'ici mais les loups mon attaquer et par chance je m'en suis sorti avec ses tissu très grand qui m'ont dissimulé...
Le rouquin se sentit mal pour ce petit et lui prit la main.
Tartaglia: Tu peux marcher ?
Zhongli : ...Lentement...Mais tissu trop grand pour me cacher...
Dit-il un peu rouge.
Mon dieu que sa taille normale lui manquait déjà !!!
Mais il tenait fermement sa main, ne voulant pas être seuls.
Tartaglia: Alors attends, je vais faire quelque chose...
Il fit apparaître une dague faite d'eau et s'accroupit devant le jeune garçon.
Tartaglia: Surtout, ne bouge pas...
Il prit les bords de tissu avant de les couper à la hauteur de ses genoux et de couper ses manches à ses coudes.
Se retenant de sursauter, le plus petit une fois fais se colle au roux, tout tremblant, fixant la dague.
Qui d'ailleurs disparaît rapidement.
Tartaglia : Au moins comme ça, tu pourras mieux te déplacer.
Le voyant tout tremblant, il se demandait si le petit brun pouvait marcher, il le sentait terrorisé. Soupirant, il prit le jeune garçon contre lui et le porta dans ses bras passant ses bras sous ses fesses.
Tartaglia : Je te ramène en ville, quelqu'un pourra peut-être t'aider là-bas...
Et il se mit en chemin pour la ville la plus proche, Liyue.
Devenant très rouge, au mot ville, il s'agite soudainement.
Zhongli : Non...! Je...
Sa queue s'agite.
Zhongli: Les gens vont vouloir me tuer ! Récupérer ma queue, mes cornes, me vendre en esclave ! Non !
Il bougea de manière à tomber des bras du roux, voulant fuir voyant le danger qui l'attend.
Tartaglia: Eh calme toi !
Le sentant gigotait et sentant qu'il allait le lâcher, il le plaqua contre son torse et plaça son bras derrière son dos.
Tartaglia: Reste calme... On ne te fera rien tant que tu es avec moi...
Couinant de douleur, il se stop, regardant le roux que plus effrayer.
Zhongli : Vous, vous êtes même pas présenté...Comment je pourrais être sûr de rester entier...?
Le rouquin relâcha sa prise en entendant son couinement, ayant oublié ses blessures.
Tartaglia : Excuse-moi... Je suis Tartaglia, un guerrier. Si tu restes avec moi, personne ne viendra te faire du mal...
Zhongli : Un guerrier...?
Un guerrier ?
Quel chance !
Avec ça, il sera vraiment en sûreté !
Zhongli : ...Zhongli.
Finit-il par murmurer, calmant enfin ces tremblements.
Tartaglia: C'est comme ça que tu t'appelles ? C'est mignon pour un enfant...
Il lui sourit et reprit son chemin.
Le brun ne dit rien, s'accrochant fort au roux.
Il avait été enfermé quand il était enfant justement pour pas que des gens ne le voit.
Et ceux durant 20 années.
Personne ne le connaît vraiment.
Et encore moins n'a vu sa queue ni ces cornes.
Au moins, personne ne le reconnaîtra...
En arrivant en ville, le rouquin se raidit légèrement et leva la tête, restant fier. Il croisa certain de ses collègues qui le regardaient avec un regard jaloux sans vraiment faire attention à l'enfant dans ses bras.
Fatui: Tiens, le "jeune sir" est de retour ?
Fatui 2: Toujours entier...
Fatui 3: C'est qui ce gamin ? Le "jeune sir" aurait-il un cœur ?
Fatui 2: Vous avez vu le gamin ?!
Fatui: Tssss.... Un monstre avec un monstre...
Tartaglia se retourna vers les trois Fatui qui le poignardaient dans le dos et leur lança un regard électrique ou ses pupilles passèrent rapidement du bleu au violet qui les paralyse et les fit partir. Il reprit un regard bleu avant de reprendre sa marche.
Zhongli comprit rapidement que le jeune roux n'était pas très apprécié, et avec sa forme actuelle ça n'allait pas l'aider...
Zhongli : Désolé...
Murmura t'il finalement une fois seul, se cachant toujours contre lui.
Tartaglia: Hein ?
Il baissa la tête vers lui et lui sourit discrètement.
Tartaglia: Tu n'y es pour rien, ça a toujours comme ça ...
Allant vers une sorte sanctuaire, il croisa plusieurs Fatui qui lui balancent des injures, mais il continue la tête haute pénétrant dans un grand bâtiment.
Tartaglia: On va aller voir une personne... Je t'emmènerai en sécurité après...
Le petit brun acquiesce, malgré qu'il semblait reconnaître l'endroit...
Mais ces Fatuis...
Il en avait entendu parler, on ne raconte pas vraiment de belle chose et pourtant, l'un d'entre eux l'aide...?
Le rouquin arriva devant une femme qui était assise sur une sorte de trône. Une grande femme a la chevelure aussi blanche que la neige et un regard glacial. Tartaglia s'inclina face à elle, gardant le jeune garçon contre lui.
Tsaritsa: Ajax... Mon petit Ajax... J'imagine que tu as rempli ta mission sans problème.
Tartaglia: Tartaglia madame... Mais oui... La mission est faite...
Le petit reconnu la personne face à eux.
Heureusement pour lui, elle ne l'avait jamais vue comme ça...!
Elle et lui avaient passé un pacte, comme quoi elle garderait l'anonymat de lui. Voulant rester dans l'ombre... Refusant de s'attacher par peur de mettre en danger de nouveau les gens qu'ils aiment.
Le brun resta silencieux.
La femme vit l'enfant contre son meilleur guerrier.
Tsaritsa: Qui est cette enfant ?
Tartaglia redouté cette question, serrant le jeune contre lui.
Tartaglia: Il était seul dans la forêt donc j'ai décidé de le ramener...
La blanche le regarda d'un air supérieur et fit un signe de main.
Tsaritsa: Très bien... Alors tu t'occupera de lui personnellement et j'interdis à qui que ce soit de venir interférer dans ton rôle...
Dit-elle d'un ton assez appuyer avec un sourire particulier.
Zhongli cligna des yeux, regardant la jeune femme.
Quoi...?
ATTENDS QUOI ?!
Ce Fatui va s'occuper de lui ?!
Mais-
Ce n'est pas une si mauvaise chose...Après tout, il suffit que simplement, il soit un signe de sympathie de sa part, et étant un Fatui en avoir un sera simple !
Tartaglia baissa la tête.
Tartaglia: Bien madame...
Il se releva, mais un Fatui arriva, énerver devant l'Archon Cryo.
Fatui: Mais madame ! Cet enfant n'est pas humain...
Tsaritsa: Silence !
Elle eut un regard glacial.
Tsaritsa : Pour vous tous, veuillez me nommer Tsarine ! Sinon vous aurez une punition dont vous vous souviendrez !
Va mon petit Ajax...
Dit-elle d'un ton plus calme en s'adressant au rouquin.
Tartaglia envoya un regard violet au Fatui et s'en alla sous le regard lourd des autres membres de l'organisation.
Le petit pensa alors...
Zhongli: {Un peu de compagnie lui fera du bien...Le plus grand bien même. Il n'a pas l'air tant grand que ça, je lui donne 20 pas plus...Comme moi.}
Agitant sa queue, il l'enroule au bras du bras le regardant tristement.
Zhongli: Tartaglia...? Vous allez bien...?
Le rouquin descendit son regard vers lui et sourit.
Tartaglia: Bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ?
Le masque était porté et il ne comptait pas le faire tomber surtout devant un enfant. Il prit alors la direction de chez lui avec un sourire peu forcé.
Il était tenté de lui dire qu'il lui ment, et qu'il le sait par expérience, mais se ravisa.
À la place, il met ses bras à son cou, pour l'enlacer à sa manière avec sa petite taille.
Zhongli: Si tu ne veux pas...Te force pas.
Tartaglia s'arrêta surpris du geste du plus jeune, mais lui caresse la tête.
Tartaglia: C'est devenu une habitude, rien de plus.
Il ouvrit la porte de chez lui, une maison simple sans rien d'important, quelques meubles, canapé et une chambre avec un lit, une armoire et un bureau.
Zhongli : Oui, mais...Tout de même.
Il baisse le visage.
Zhongli : Tu dois être très seul...Non?
Tartaglia le pose à terre et lui sourit.
Tartaglia: Je ne cherchais pas la compagnie des autres...
Dit-il dans un rire nerveux.
Le brun l'enlace alors, voulant le détendre.
Zhongli : C'est pourtant bien d'avoir des câlins...Non?
Tartaglia le regarde, quand même ému de sentir de l'affection d'une autre personne que sa famille et passa ses bras autour du jeune garçon. Il essaya comme même de garder son masque, il ne devait pas flancher.
Se reculant de lui-même, Zhongli lui sourit.
Zhongli : Et puis le hasard fait bien les choses...Et le destin aussi. Alors si tu le mérites, tu rencontreras quelqu'un qui te fera sentir plus seul, mais combler.
Tout sourire, il prend une des mains du Fatuis.
Le rouquin lui sourit à son tour et le décoiffa.
Tartaglia: Tu es bien optimiste pour un gamin de treize ans.
Il le regarde.
Tartaglia : Vu que c'est moi qui dois m'occuper de toi, tu vas aller prendre un bain que je m'occupe de tes blessures.
Devenant totalement rouge, il déglutit.
Zhongli: Non, non ! Je...Je sais me laver ! Je t'appellerai quand j'aurais fini...Et je n'ai pas 13 ans, j'ai 20-
Il se stop.
Zhongli : Je n'ai pas 13 ans.
Bouda ce dernier.
Tartaglia se mit à rire.
Tartaglia: Et rebelle en plus de ça ! À treize ans, ça promet !
Le brun tapa le roux, gentiment.
Zhongli : Mais nonnnn !
Gonflant ses joue sa queue s'agite de plus belle, de gauche à droite.
Puis il tilta.
Zhongli: ...Tu vas me laisser me laver seul...?
Tartaglia : La salle de bain est là-bas...
Dit-il en montrant une porte pas loin.
Tartaglia : Mais va si maintenant sinon c'est moi qui t'y emmène et je te lave !
Ria le rouquin en se rapprochant du petit brun.
Sursautant, il se retourne et va vers la salle de bain, lentement avec ces blessures et si enferme.
Zhongli: Tu n'as pas le droit d'entrer !
Dit-il pour s'assurer de l'intimité, avant de faire couler l'eau dans la baignoire...De l'eau bouillante.
Tartaglia: Tu n'auras qu'à m'appeler quand tu auras fini que je m'occupe de tes blessures, je serai à côté !
Il soupira en riant et alla à son bureau pour s'occuper un peu. Sacré journée tout de même... Plusieurs missions remplies sans blessure et un enfant orphelin récupérer...
Il enleva son haut ayant chaud se retrouvant torse-nu, où on pouvait apercevoir des tas de cicatrices en tout genre. Des grosses, des petites, des marquantes ainsi que des moins visibles...
Le plus petit qui était dans l'eau regarde, observe, examine sont désormais "corps" grimaçant.
Zhongli : ...J'ai plus mes marques, mais je n'ai plus ma force, ni la force pour tenir ma lance...Il faut que je la récupère...! Mais comment...?
Il ne pouvait pas rester sans défense.
Et encore moins en étant avec un Fatui qui semble attirer l'attention.
Zhongli: Pas le choix...Je vais devoir partir quand il dormira pour la chercher, et mettre à l'abri ma lance.
Soupirant, il passe du savon sur ces plaies serrant les dents, pour les désinfecter à vif, sa queue donnant de grands coups du a la sensation de brûlure. Une fois lavé et allant désinfecter ces plaies...Il inspira.
Zhongli : J'ai fini...!
Il était très rouge.
Être nus, devant quelqu'un été nouveau pour lui, et surtout qu'il n'était pas un enfant donc forcément ça va le perturber quelque peu, mais il va devoir agir comme un enfant pour ne pas se faire démasquer.
Tartaglia: J'arrive !
Restant torse-nu, il se leva de sa chaise de bureau pour rejoindre la salle de bain et ouvrit la porte. Il prit une boite de médecine pas loin et s'assoit sur le rebord de la baignoire se mettant derrière lui.
La queue se fige en sentant le roux derrière, tandis que le brun tourne sa tête restant de dos à lui.
Zhongli : ...Juste touche pas ma queue. Ni mes cornes...Même si c'est blesser.
Dit-il en balbutiant.
Tartaglia: Il va bien falloir... Ta queue est comme même bien amoché.
Il attrapa du désinfectant et en passant un peu sur les blessures de son dos.
Tartaglia: Va falloir que tu te tournes pour que je m'occupe aussi de ton ventre...
Le brun inspire doucement, malgré que très rouge, se tourna lentement.
Zhongli : ...Montre-moi, et je le ferai moi-même pour ma queue s'il te plaît...
Même si en soit, il savait comment faire.
Attrapant doucement sa queue, il passa sa main délicatement dessus avant d'arriver au bout de queue légèrement abîmé.
Tartaglia : Ici.
Frissonnant de tout son long, il mit rapidement sa main devant sa bouche, mais acquiesce.
Zhongli: Ok...Ok je vais me soigner...
Il regarde alors ce que Tartaglia avait ramener dans sa boite médecine...Et y prend un bandage, un désinfectant...
Inspirant il met du désinfectant et expire lentement.
Zhongli: Je...Je vais me rincer, sortir, et mettre un bandage dessus...
Tartaglia: D'accord, d'accord mais avant laisse-moi finir.
Il prit des pansements et un bandage. Il mit quelques pansements sur les plaies plus petites et pour le bandage, il commença à le mettre autour de sa taille et le passa dans son dos rapprochant son visage du sien.
Le brun parvient à rester de marbre même si sa queue, traîtresse montrer l'exact contraire.
Il le regarda faire, notant qu'il semblait si connaître et surtout qu'il était doué.
Le rouquin fini par faire tenir le bandage en souriant.
Tartaglia: Tu seras déjà mieux comme ça... Je te laisse t'occuper de ta queue bonhomme, je vais aller te chercher de quoi t'habiller.
Il se leva en lui ébouriffant la tignasse, mais fut curieux par rapport à ses cornes qu'il caressa délicatement.
Tartaglia: Elles sont comme même marrante tes cornes ...
Sa queue bougea encore plus, se redressant.
Zhongli : Allez-y doucement...C'est sensible...
Il le regarda faire...C'était agréable, le faisant sourire.
Zhongli: Merci de ton aide...Et de tes soins fait avec beaucoup de précautions.
Tartaglia: De rien, tu n'es pas le premier enfant que je soigne donc je m'applique toujours.
Le rouquin s'éloigna et alla dans son armoire chercher des habits corrects.
En le voyant s'éloigner, le brun eu une mine déçue.
Il aimait bien ses touchers sur ces cornes...!
Alors il se rince rapidement, finit les soins sur sa queue lui m'étant un bandage dessus, puis sort de la baignoire, retirant l'eau et en nettoyant autour, m'étant une serviette sur lui.
Tartaglia: Teucer a dit laisser des affaires par ici...
Murmura-t-il en fouillant au fond de son armoire.
Tartaglia: Ah trouver ! Zhongli ! Viens s'il te plaît !
En l'entendant Zhongli sort habiller de la serviette et de ces bandages...
Zhongli : Je suis là Tartaglia...
Le rouquin sorti des vêtements pile à sa taille.
Tartaglia: Je viens de trouver des affaires qui pourraient t'aller, essaie les.
Il lui donna un t-shirt, avec une veste et un pantalon.
Qu'il saisit avec sa queue, puis enfile le bas cacher par la serviette, le tee-shirt et la veste.
Zhongli : Sa me va ! Merci pour ça !
Tartaglia lui sourit.
Tartaglia: Ça ne sera mieux que tout nu.
Se mit-il à rire.
Tartaglia: Tu as faim ?
Zhongli frappe le torse du roux, rouge puis murmure.
Zhongli: Oui...De la viande ! De la viande ! De la viande !
Tartaglia ria tombant sur les fesses puis regarde le jeune.
Tartaglia: Je vais te faire ça alors.
Il se releva et parti a la cuisine après avoir chopé un t-shirt à lui dans son armoire avant d'enfiler vite fait.
Le brun le suivit de près, affamé.
Zhongli : ...J'ai peut-être l'air jeune, mais je te promets que je suis plus intelligent que beaucoup de personnes...
Tartaglia s'arrêta subitement et se pencha vers lui en souriant.
Tartaglia : A oui ? Tu m'intéresses tout d'un coup...
Zhongli: Test moi alors ! Je te propose un truc. Demain, emmène-moi avec toi en ville...En cachant ma queue et mes cornes, et je te garantis que je te ferais gagner des moras.
Tartaglia croisa les bras avec un sourire.
Tartaglia: Tu es mal tombé mon petit, je n'ai pas besoin de moras. Mais on peut tester.
Le rouquin se releva et s'attaqua aux fourneaux.
Zhongli: Ta besoin de quoi...? Et pourquoi travailler si tu n'as pas besoin de moras alors ?
Questionne le plus petit, très curieux.
Tartaglia: Ce n'est pas qu'un travail, c'est un loisir. Je suis un passionné de combat et adore risquer ma vie. Et je n'ai pas besoin de grand-chose... Je n'y ai jamais vraiment réfléchi...
Perdu dans ses pensées, il arrêta ce qu'il faisait.
Le brun, se rapproche de lui, lui prenant un bras.
Zhongli: Mais...Il le faut ! Le bonheur et la sérénité avant tout !
Tartaglia posa sa main sur sa tête caressant doucement ses cornes.
Tartaglia: Tu es encore bien innocent toi... Ma vie est plus compliquée que ça et tu es encore trop petit pour comprendre...
Il lui sourit doucement.
Zhongli gonfla ses joues prenant ses mains dans les siennes.
Zhongli: Je ne suis pas innocent ! Explique-moi ! Tu veux que je te prouve que je ne suis pas ce que tu crois ?
Le regard plein de défis, il rajoute.
Zhongli: Prends un livre au pif. Et je saurais de quoi ça parle sans même le lire. Tu me diras juste le titre et je te dirais tout.
Le rouquin soupira.
Tartaglia : La seule chose que tu dois comprendre de moi, c'est "pas d'attache pas de douleur".
Mais son regard de défi le fit rire.
Tartaglia: J'aime beaucoup ton regard, mais ce soir, tu manges et tu vas aller te coucher. Vu la journée, on a tous les deux besoins de repos.
Zhongli: Pas d'attache...Pas de douleur ...?
Il bug a sa phrase.
Zhongli: Mais...C'est stupide...! Je veux dire, tu souffres de ne pas avoir d'attache ! Tu ne connais pas les câlins, ni les conseils, le fait d'être aidé...!
Serrant les poings, ses propres mots lui rappelaient ce qu'il s'infligeait lui-même.
Baissant le visage, il trembla.
Tartaglia se tourna vers lui, un peu plus sérieux.
Tartaglia: Quand tu ne connais pas la tendresse venant de quelqu'un d'autre que ta famille, ça ne te manque pas et tu ne le réclames pas...
Il se baissa pour être à sa hauteur et mit sa main sur sa joue pour lui relever.
Tartaglia: Après je suis comme ça, ne te fais pas du mal pour moi... Je vais essayer de te trouver une autre famille qui t'aimera... Tu retrouveras ce que tu as perdu...
Zhongli se recule de plusieurs pas, murmurant.
Zhongli : Je ne veux pas de famille...Qui voudrait d'un monstre comme moi ?
Il le regarde dans les yeux.
Zhongli : Je ne me fais pas du mal pour toi. Tu te fais du mal tout seul...Tu ne peux pas me dire, sans montrer d'expression, que quand tu vois des couples, des amis, ou des gens proches, tu ne les jalousais pas...
Qu'est-ce qu'il répondre à ça... Il gardait la tête haute et les yeux vide, mais son cœur se compressait. Il enviait bien sur tout ce monde qu'il voyait... Sauf qu'il était un exécuteur de renom et détenait une force démoniaque que personne n'avait... Qui pourrait aimer une personne comme lui aussi...
Le rouquin resta silencieux jusqu'à qu'on vienne frapper à sa porte. S'éloignant de ce malaise, il alla ouvrir et tomba sur un agent de la tsarine.
Fatui: Monsieur, La Tsarine vous confie cette mission d'une semaine, elle est assez risquée et ne voyait que vous pour cette mission...
Tartaglia: Je la prends... Je ne peux pas refuser ça à la Tsarine... Mais le petit ?
Fatui: Ça, vous devez vous débrouiller !
Et il partit aussi vite qu'il était venu. Le rouquin ferma la porte et survola sa mission avant de la mettre dans sa poche et de revenir dans la cuisine finir le repas dans un silence de plomb.
Le brun ne supportant pas vraiment ce silence ne mangea pas...
Zhongli: Désolé...Pour ça, cela ne me regarde pas...Après tout, je ne suis que de passage...
Avec ces mots sans lui laisser le temps de réagir, il va vers le canapé qu'il avait vue non loin, et se recroquevilla sur lui-même se couvrant de sa queue.
Tartaglia soupira et passa sa main sur son visage. Pas d'attache, pas de douleur... C'est ce qu'il devait se dire. Il ne devrait pas s'attacher à ce jeune garçon, il avait réussi à rester seul jusqu'à aujourd'hui, mais... Bizarrement, la présence du petit brun lui faisait du bien. Il n'avait pas ri comme ça depuis...
Depuis...
Un nouveau soupir sorti de sa bouche.
Depuis qu'il avait quitté la maison familiale...
Il mangeait rapidement laissant de quoi manger pour Zhongli avant de partir à la douche pour se laver vite fait.
Le brun était en boule, tremblant.
Il refusait toute attache.
Alors pourquoi il s'en prive...? Il a de la famille alors pourquoi ne pas les voir ?
À cause de sa relation avec la Tsarine ? Et de son rôle de Fatui ?
Mais c'est idiot !
Il devait se calmer.
Il est mortel...Et lui immortel.
À cet penser éphémère, il se mordit la lèvre son cœur se compressant.
Le rouquin sorti vite de la douche et parti s'habiller d'un bas ample avant de venir en face du jeune garçon pensant qu'il dormait.
Tartaglia serra les dents, mais il ne put s'empêcher de passer sa main dans ses cheveux pour lui caresser et de passer une petite caresse sur ses cornes.
Ce qui calma le plus petit de ces pensées noires, retirant sa queue, voyant alors Tartaglia.
Et malgré ces pensées précédentes, va contre lui dans un câlin, de petite larmes été présente.
Zhongli: Désolé...Désolé...
Tartaglia le serra contre lui.
Tartaglia : Pourquoi tu t'excuses... Ce n'est pas ta faute si je me suis forgé une coquille pour me protéger...
Zhongli: Je n'aurais pas dû en parler...Et encore moins insister...C'est ma faute...
Il ne voulait pas.
Pour une fois, qu'il avait un "proche" .
Malgré qu'il savait que quand il apprendrait tout, il lui en voudrait.
Zhongli voulait juste...Ressentir tout ça.
Et voulait réellement l'aider...
Le rouquin le prit dans ses bras se dirigeant vers sa chambre.
Tartaglia : Ce n'est rien...
Il le berça en lui caressant la tête puis le posa doucement sur le lit.
Tartaglia: Tu seras mieux ici que sur le canapé. Repose-toi, tu en as besoin... J'ai encore un truc à faire et j'irais sur le canapé. Je te laisserai mon lit.
Zhongli : N....Non! Je peux m'en contenter, je suis habitué ! C'est toi qui travailles, pas moi !
Malgré sa phrase de petit ronron satisfait se font entendre avec ces caresses, mais prend sa main.
Tartaglia le regarde surpris et s'assoit sur le lit.
Tartaglia : Reste là, ça te sera plus confortable avec tes blessures...
Il se pencha au-dessus de lui et l'embrassa sur le front en souriant.
Devenant un peu rouge, quand il l'embrasse, il sourit...
Zhongli : ... Promets moi que si tu ne te sens pas bien, tu viens ici.
Demande alors le plus petit a son "amis"
Tartaglia lui sourit.
Tartaglia: Dort bien petit dragon...
Il lui fit un clin d'œil et se leva pour s'éloigner.
Le brun baissa le visage pas rassuré.
Il n'avait pas promis.
Et il ne pouvait pas le forcer.
Alors il dit d'une voix assez faible.
Zhongli : ...Bonne nuit Tartaglia.
Puis se remet en boule, sa queue le recouvrant, souriant un peu au surnom.
Le rouquin lui lança un dernier regard avant de fermer un peu la porte et alla sur le canapé. Il sortit sa feuille de mission l'examinant et regardant les détails. Mais il n'était pas si concentrer, son cerveau était en surchauffe. Ce petit commençait à briser sa coquille qui pourtant été solide...
Ce dernier ne dormait pas vraiment.
Il attendait patiemment que le roux dorme pour partir chercher sa lance, pour au moins la cacher... Aux mains de mauvaises personnes, elle pourrait rendre la personne invincible...!
S'allongeant sur le canapé, sa feuille en main, il commençait à doucement fermait les yeux jusqu'à s'endormir, sa feuille sur son torse.
N'entendant plus le souffle du roux, Zhongli sort de la chambre doucement, grimaçant de douleur...Puis passe à côté du roux.
En le voyant, il sourit, mais sachant qu'il voudra certainement le tuer s'il sait ce qu'il est vraiment, grimace et sort retournant vers la forêt cherchant sa lance...
Tartaglia dormait profondément n'ayant aucune entendu le jeune sortir.
Continuant ces recherches, il ne trouva rien...Mais retrouva par chance sa précieuse boucle d'oreilles que la sorcière avait voulu lui prendre.
Il la remit en souriant un peu, mais voit alors des insignes de voleur...
Zhongli: Des pilleurs...
Grognant de rage, il serre les poings.
Zhongli : Merde ! Faut que je les retrouve ! Mais avec mon état...
De rage, il frappe l'arbre, se faisant mal.
Zhongli: CORPS INUTILE!!!
Se calmant un peu, il rentre alors sans un bruit, voyant Tartaglia...Il se rapproche et passe sa main dans sa chevelure.
Le rouquin bougea légèrement en sentant une caresse souriant tendrement. Il ouvrit les yeux à mi-clos, l'air ensommeillé.
Tartaglia: Zhongli... Tu ne dors pas...?
Le brun continua de lui caresser les cheveux, voyant que cela le faisait sourire, murmurant.
Zhongli : ...Ne fais pas attention à ça... Rendors-toi.
Il lui sourit un peu, voyant le bout de papier sur le torse du roux.
Tartaglia finit par se rendormir sous ses caresses souriant légèrement se mettant sur le dos.
En le voyant sourire, le brun souri à son tour...Mais curieux, il prend doucement la feuille de sur son torse...
Puis il la lit...
"Ajax. Je te confie cette mission importante. Elle durera 1 semaine au minimum. Un groupe de pilleur, c'est emparé d'une arme surpuissante dépassant nos forces. On n'arrive pas à s'en défaire. Ta mission et d'exterminer tout le groupe et de prendre l'arme et la garder."
...
Des pilleurs ?
Une arme surpuissante ?
Quel hasard bien tombé...Mais maintenant il va falloir qu'il soit avec lui pour la mission... Et veiller à ce qu'il ne meurt pas.
Remettant le papier à sa place, il se recule, puis il voit une petite place...Alors se m'étant en boule, il se met contre le roux, s'endort rapidement, tout sourire, dans ses bras.
Dans son sommeil, le rouquin passa son bras derrière le jeune brun pour le coller à lui et plaça son nez dans sa chevelure.
Ronronnant doucement dans son sommeil, le petit brun place ses mains sur celle du roux, sa queue le recouvrant...
Le lendemain
Tartaglia dormait encore, mais commençait à bouger.
Le brun resta coller à lui, dormant toujours profondément...
Le rouquin fini par ouvrir les yeux lentement et sourit en voyant le dragon contre lui. Il lui caressa la joue en souriant.
Tartaglia: Il a une bonne bouille quand il dort...
Souriant à sa caresse, il bougea sa tête pour se frotter contre le roux, sa queue bougeant mollement de gauche à droite.
Tartaglia: Il est vraiment trop mignon... Je vais craquer...
Il continua sa caresse et monta dans sa chevelure pour aller caresser ses cornes qu'il adorait toucher.
De petits ronrons se font entendre, sa queue bougeant davantage, au rythme des caresses.
Zhongli: Aime...Bien...
Il dormait encore et semblait rêver tout en sentant les caresses du roux.
Vraiment gaga de ses petits bruits trop mignon, il en oublia même le temps qui passe et se tourna vers le petit dragon. Il continue ses caresses et sur ses cornes aussi sentant sa coquille se fêler de plus en plus.
Mais le brun cessa tout mouvement d'un coup, avant de couiner un peu, et de chercher la chaleur du roux.
Zhongli: Froid...
Ouvrant un peu les yeux en voyant sa position avec le roux, il eut quelque couleur, mais retourne vers lui au chaud...
Zhongli: Coucou...Je ne t'ai pas réveillé...?
Tartaglia: C'est plutôt à moi de dire ça...
Il passa son bras autour de son corps pour le garder au chaud.
Tartaglia: J'espère que tu as bien dormi sur... Ce bout de canapé ...
Ria-t-il nerveusement.
Allant contre lui, souriant, il répondit joyeusement.
Zhongli : Très bien ! Je me sentais mieux avec toi que tout seul...
Puis il lui fait un câlin.
Zhongli : Un câlin pour bien se réveiller !~
Il savait ce qu'il allait lui dire.
Qu'il irait en mission.
Alors...Il voulait profiter et faire en sorte qu'il l'emmène.
Tartaglia: Sauf que... Il faudra bien que tu restes tout seul cette semaine...
Dit-il gêner alors qu'il souriait face à ses câlins.
Zhongli: Non, je viens.
Dit il fermement, avec un grand sourire.
Zhongli: Tu me sous-estimes...Qu'est-ce qu'il te faut pour que tu m'emmènes avec toi dans cette mission d'une semaine, pour récupérer cette arme ?
Il montre le bout de papier.
Le rouquin arqua un sourcil, s'écartant légèrement.
Tartaglia: Tu as lu ma mission ?
Zhongli : Difficile de ne pas lire quand ces sous tes yeux...Je sais me protéger ! Je l'ai appris à mes dépens...
En disant ça, il agite sa queue.
Tartaglia soupira.
Tartaglia: Ça va être dangereux et je ne peux pas me permettre de te protéger en même temps que de me battre...
Le brun soupire, puis répond...
Zhongli: Les pilleurs se déplacent en groupe maximum de 8. Chaque pilleur, on soit une arbalète, soit des dagues. Et sont peu entraîner. Les groupes sont composés en général de 3 arbalétriers et 2 en corps-à-corps le reste dépend de ce qu'il reste dans leurs rangs. Aucun ne peut agir si on les attaque à distances, surtout qu'ils ne savent pas viser. Leur base et plus loin au Nord a leur chef un Pilleur, mais qui est spécialiste des soins.
Il regarde le roux.
Zhongli : Aucun d'entre eux ne pourra me toucher.
Le rouquin cligna des paupières sous sa surprise.
Tartaglia : Sacré bonhomme que tu es...
Il se redressa et regarda le jeune garçon.
Tartaglia: Juste une chose, tu viens, mais tu restes en retrait ! Je ne veux pas te voir dans le feu de l'action d'accord ?
Zhongli tout heureux, acquiesce.
Zhongli : Je t'avais dit que je savais plein de chose ! Et d'accord !
Il agite ses bras vers lui.
Zhongli : J'ai droit à une récompense pour mes informations...?
Tartaglia le prend dans ses bras.
Tartaglia : Tu veux juste un câlin petit ou tu voulais autre chose ~?
Zhongli : Un câlin me fait plaisir déjà ! Je ne vais pas faire mon gourmand !
Tout sourire, il se remet bien contre le roux, sa queue bougeant frénétiquement de gauche à droite montrant bien l'enthousiasme du petit a cornes.
Tartaglia: Tu es déjà bien gourmand depuis ton arriver~
Ria le rouquin.
Tartaglia: Mais nous devons nous préparer, on a deux jours de marche pour arriver au camp des pilleurs.
Devenant rouge à sa remarque, il gonfle ses joues, puis acquiesce.
Zhongli : D'accord...Je vais te montrer les endroits où on a armes, nourriture pas chère si tu veux !
Tartaglia: Arme pas besoin, j'ai ce qu'il me faut, mais nourriture, on peut aller chercher de quoi manger sur la route.
Lui sourit-il en le posant au sol.
Zhongli: Je peux essayer quelque chose sur toi ?
Questionne le petit en regardant le plus grand.
Tartaglia: Qu'est-ce que tu vas me faire ?
Il se mit à sa hauteur.
Grimaçant en le voyant se rapetisser, le brun répond.
Zhongli: Bouge pas...
Puis il fait un vif geste de son bras, et un bouclier geo se forme alors autour de lui et de Tartaglia.
Zhongli: {...Je peux toujours faire ça visiblement.}
Pensa ce dernier.
Zhongli: Tadaaaa~ !
Le rouquin sursaute.
Tartaglia: Wouo...! Tu es doué comme gamin !!
Impressionné, il regarde le bouclier les yeux brillants.
Le brun rigole.
Zhongli: Ne m'appelle pas gamin...Mais Zhongli par pitié...
Mais après 30 secondes le bouclier disparut, et Zhongli sentit une douleur...Mais ne le montra aucunement.
Zhongli : ...Que 30 secondes.
Tartaglia : {Je me demande ce que ce jeune réserve encore...} 30 secondes, c'est déjà pas mal...
Dit - il en lui ébouriffant les cheveux et se leva.
Tartaglia: Préparions nous qu'on parte vite.
Zhongli : D'accord !
Le brun va vers la chambre et regarde les rideaux de la fenêtre...
Zhongli : Tes rideaux. Je peux les utiliser ? Je veux dire pour autre chose ?
Tartaglia soupire.
Tartaglia: Qu'est-ce que tu veux me faire encore ...?
Le rouquin arriva dans sa chambre et prit ses vêtements pour s'habiller.
Zhongli: ...Me cacher.
Dit-il simplement en allant prendre les rideaux. Il les déchire puis avec quelques gestes habiles, les mets sur lui comme des habits, cachant ces cornes avec une capuche improviser et sa queue...Il avait fait une sorte de manteau.
Tartaglia: Pas mal, vraiment pas mal !
Il lui sourit et se déshabilla pour se rhabiller de ses vêtements de combat.
Tartaglia: Je vais faire des sandwichs pour partir, ça évitera qu'on perd trop de temps.
En le voyant ainsi habiller, il détourne le regard.
Zhongli : D'accord...
Il regarde sa poche, où se trouve sa boucle d'oreilles précieuse...Puis va en cuisine.
Zhongli : Je vais t'aider !
Tartaglia passa sa main dans ses cheveux et le rejoint dans la cuisine.
Tartaglia: Pas de souci !
Il sortit tout ce qu'il fallait et commença.
Le petit commence alors aussi, souriant quand il passa sa main à ses cheveux.
C'était agréable...
Chaud.
Doux.
Rapidement, il forme 3 sandwichs et continua...
Le rouquin en fit quatre avant de les emballer et de les mettre dans un sac pour la route ainsi que de quoi camper.
Tartaglia: Je pense qu'on a tout... On va pouvoir partir.
Le brun acquiesce les sandwiches en main, regardant le roux le regard inquiet.
Zhongli : ...Allons y
Tartaglia: Pourquoi tu es si inquiet ?
Il se pencha vers lui en souriant voulant le rassurer.
Zhongli regarde le roux, se mordant la lèvre.
Zhongli : Je ne peux pas combattre à tes côtés...Tout ce que je peux faire, c'est t'aider avec mes informations...Je ne veux pas que tu...Disparaissent.
Il était petit.
Sans force.
Sans armes.
Alors que s'il était normal, il aurait pu l'aider...! Le protéger !
Tartaglia : Eh...!
Il prit son menton entre ses doigts et révéla sa tête pour le regarder dans les yeux.
Tartaglia: Je te rassure, je ne suis pas un guerrier qu'on peut tuer facilement... Je ne risque pas grand-chose à part quelques blessure...
Cette attention lui réchauffait le cœur.
Zhongli le regarde les yeux brillants.
Zhongli : Promet le...! Promets-le que tu ne seras jamais battu !
Il tend son petit doigt vers Tartaglia, son regard restant sur le roux.
Tartaglia soupira, tu ne vas pas y échapper, il prit son petit doigt avec le sien regardant sérieusement le jeune brun.
Tartaglia: Je te le promets...
Rassurer, et souriant soulagé, il enlace le roux juste après.
Zhongli: Merci !!!
Ça le rassurait en bonne partie.
L'aillant vue torses nus, il peut dire sans problème qu'il a un corps muscler et entraîner...Avec plein de cicatrises.
Alors, il lui fait confiance.
Tartaglia l'enlace à son tour en souriant. Mais il s'éloigna sinon ils n'allaient jamais partir.
Tartaglia : Aller partons, il est encore tôt et on ne croisera personne.
Il prend les affaires et la main du brun avant de sortir fermant derrière lui. Puis il se mit en route sa feuille de mission dans sa poche.
Le brun le suivit, tout sourire...
Zhongli: {Peut-être que si je trouve une lance à ma taille, je pourrais me défendre mieux...Et le défendre lui. Je ne veux pas qu'il meure...! Ce mortel vivra !}
Pensa ce dernier, déterminer.
Sur ces gardes, il regarde tout autour d'eux. De sa vue assez basse, il ne voyait pas grand-chose, mais au moins au moindre petit bruit suspect, il sera alerté.
Les deux garçons marchèrent toute la journée traversant la foret, les plaines, les cours d'eau. Ayant beaucoup voyagé pour des missions très longues, ce trajet paraissait insignifiant pour le rouquin, mais peut-être pas pour le jeune qui était avec lui. D'ailleurs, il se demandait toujours pourquoi il avait voulu l'accompagner...
Mais il se sentait rassuré de l'avoir près de lui, s'il l'avait laissé là-bas, on aurait pu lui faire du mal et il se serait bouffé les sangs à se demander si Zhongli allait bien ou été en sécurité.
Zhongli marché au rythme du roux sans souci, sur ces gardes tout le long...
Il n'aurait pas supporté l'avoir loin de lui.
Et encore plus en sachant sa mission.
À un moment le plus petit eu quelque douleur aux jambes, car bien que lui ne fût pas fatigué, son corps oui.
Tartaglia vit une petite grimace sur le visage du brun et décida de s'arrêta. La nuit commençait à tomber et le petit fatigué.
Tartaglia : On va faire notre camp ici... Tu es fatigué et la nuit va tomber...
Il examina la zone où il était, c'était un endroit vaste avec quelques arbres. Il se dirigea vers un arbre et posa ses affaires.
Tartaglia : On se mettre ici, on sera tranquille...
Zhongli acquiesce, baissant la tête, rageant intérieurement.
Zhongli: Je vais regarder le périmètre...Au cas où.
Puis en remettant sa veste sombre, sur lui le dissimulant lui et ces cornes et queues, il passe devant Tartaglia.
Tartaglia: Ne t'éloigne pas trop...
Dit-il en le regardant puis se mets à construire un camp adéquat. Un petit feu et une tente.
Le brun part observer autour... Veillant à ce qu'il ne se fasse pas voir...
Il n'y avait rien autour d'eux.
En voyant cela, il retourne auprès de Tartaglia lentement, mais s'arrête en chemin.
Zhongli : Pourquoi...?
Il réalise.
Le roux commencé à avoir de l'importance à ses yeux.
Son cœur lui faisait comprendre.
Zhongli : ...Je dois me défaire rapidement de cette attache. Il me tuera à la fin de cette histoire...Alors autant que cela soit un inconnu à mes yeux. Il n'est qu'un outil. Juste le moyen de retrouver ma forme...!
Il avait beau se dire ça.
Son corps n'était pas d'accord.
De fines larmes montent et tombent.
Zhongli : ...Je déteste les émotions. Je me déteste. Je déteste cette gentillesse que j'ai trop eue pour autrui qui m'a détruit...!
Serrant les dents, frappant un arbre...Mais cette fois, il se brisa, et ses pupilles deviennent dorées.
Les émotions.
Sont plus gros, point faible.
C'est la clé pour lui permettre d'avoir un pourcentage de sa véritable force...Mais il n'en a pas conscience.
En voyant l'arbre briser, il ne rajoute rien...
Zhongli : {...Je dois continuer à jouer le jeu...Ne pas craquer devant lui...Ni qu'il découvre mon vrai moi}
S'essuyant les yeux, il s'avance lentement vers Tartaglia, se cachant le visage.
Zhongli : ...Il n'y a rien...
Tartaglia était devant le feu et regarda le jeune arrivé avec un regard brillant à cause des flammes.
Tartaglia: Ça n'a pas l'air d'aller toi...
Se cachant davantage les yeux, il sentit son cœur se serrer.
Zhongli : Sa iras...C'est passager.
Son ventre gargouilla alors, n'aillant pas manger la veille, il était affamé.
Tartaglia: Vient là...
Il tendit le bras.
Cachant toujours son visage, et surtout ses pupilles, il va contre Tartaglia.
Il se sentait bien.
Beaucoup trop bien.
Des larmes tombent de nouveau.
Cette sensation est horrible.
De savoir que cette personne...Tant voudra à mort plus tard.
Et qu'il s'agit de ton premier amis...Qui se souviendra de toi et de ton nom.
Il tira sur sa capuche, sanglotant.
Le sentant tremblant contre lui, le rouquin passa ses mains sous ses bras pour le soulever et le faire passer entre ses jambes. Il passa ensuite ses bras autour de sa taille et son menton sur le dessus de sa tête.
Tartaglia: Je ne sais pas pourquoi tu pleures... Mais calme toi...
Il se sentait mal... Son cœur se compressait alors qu'il ne comprenait pas le mal de ce petit bonhomme. Tartaglia commençait à s'attacher à lui, mais il savait qu'il ne devait pas. Zhongli allait devoir s'en aller plus tard, il ne pouvait pas rester avec lui... Et sans s'en rendre compte, sa prise sur lui augmenta sans pourtant lui faire de mal.
Zhongli le sentit.
Ce sentiment le prendre davantage.
Sa prise sur lui... Empira ses larmes...
De la joie, du bonheur, mélanger à une torture, une tristesse, et un mal-être.
Zhongli : Désolé... Pardonne-moi...
Ces mots.
Était sorti sans vraiment le vouloir.
Ces mêmes mots...Qu'il sait incapable de dire dans le futur.
Il s'accroche au roux fort, respirant au mieux calmement pour pas trop céder.
Tartaglia.
Aura bien été le seul, à l'avoir mis dans de tels états...
Le rouquin lui caressa la tête pour le calmer, essayant de garder ces émotions pour lui. Il prit son visage en coupe dans ses mains et essuyant ses larmes, il essaya un petit sourire.
Tartaglia : On se connaît que depuis deux jours, mais... J'ai l'impression que tu es bien sensible... Calme-toi... Regarde-moi... Ça va aller...
De ses pouces, il caressa ses joues le regard tendre.
Il s'apprêtait à répondre que c'était lui qui le mettait dans de tels états...Mais se ravisa.
Zhongli le regarde, les pupilles dorées, son visage tremper de larmes, mais qui se calme peu à peu.
Zhongli : ...Tu as... Raison, je suis trop sensible...Mais que sur certains sujets...
Il enlace alors le roux, de ses petits bras.
Tartaglia lui caressa le dos et la tête.
Tartaglia: Mange un peu... Ça te fera que du bien...
Zhongli fait un oui de la tête et sourit un peu.
Zhongli : Toi aussi...On a tous de besoins de forces.
Il était enfin calmé, mais ses pupilles étaient toujours dorées malgré qu'elle semblait peu à peu retrouver leurs couleur marron normal.
Tartaglia lui sourit en penchant la tête sur le côté.
Tartaglia: Tu es vraiment exceptionnel comme petit gars... Entre tes attributs de dragon et tes yeux... Qui sont au passage magnifique...
Ses pupilles lui parlaient vaguement, cette couleur...
Il devait divaguer...
La fatigue sans doute...
Secouant la tête pour se remettre les idées en place, il attrape le sac de nourriture pas loin et en sortit deux sandwiches, dont un qu'il tendit au jeune brun.
Zhongli : Mes yeux...?
Il ne comprenait pas, tout en prenant le sandwich, restant contre lui, le questionnant du regard.
Tartaglia: La couleur dorée que tes yeux abordent durant de forte émotions... J'ai remarqué ça hier.
Il attaqua son sandwich lançant un regard au plus jeune.
Zhongli: Doré...? Durant de forte émotion...?
Il réfléchit...Puis réalise.
Sa force était revenue lors de ces émotions !
Zhongli : Je dois essayer un truc !
Il se lève d'un coup, et va vers un rocher immense. Il ferme les yeux.
Zhongli : De fortes émotions...
Tartaglia le regarda partir, mais cette fois-ci le suivi. Il se plaça derrière lui, curieux de savoir ce que comptait faire le brun.
Tartaglia: Qu'est-ce qui te faut comme forte émotion ?
Zhongli se concentre...Mais il n'y parvient pas.
Zhongli : Je ne sais pas...? Une assez forte ! Si les yeux changent de couleur, tu sauras si sa marche...Tu peux m'aider...?
Tartaglia: Je veux bien, mais je ne sais pas trop...
Il se mit à réfléchir sur leur dernier moment où le petit avait les yeux dorés. Puis, une idée lui vient alors qu'un sourire malicieux apparut sur ses lèvres. Il soupire jouant la comédie.
Tartaglia: Naaann t'es trop petit pour ça... À treize ans, on ne joue pas avec les émotions...
Zhongli eut une veine qui ressort.
Zhongli : Je ne suis pas petit ! Et je te le demande ! Alors joue avec mes émotions ! C'est pour un test !!!
Dit il agacé.
Tartaglia s'accroupit pour être à sa hauteur avec son sourire narquois.
Tartaglia : Si tu es petit, si tu avais ma taille, je ne dirais pas, mais la... Tu es un gamin, un petit-enfant trop mignon !
Zhongli eut sa queue qui s'agite.
Zhongli : Mais je suis aussi grand que toi normalement ! Et je ne suis pas mignon !
Ses pupilles se mettent légèrement à s'éclaircir.
Le rouquin garda cette information dans un coin de sa tête se posant quelques questions, mais revient sur terre en souriant.
Tartaglia: Alors je vais te montrer à quel point tu es mignon ~
Il prit le jeune garçon contre lui en souriant et lui fit des bisous sur toute la figure.
Tartaglia: Une vraie peluche en plus avec tes petites cornes et ta queue~
Couinant à ces bisous, et complètement rouge, il n'arrivait plus vraiment à parler, le regardant le regard doré.
Zhongli : Tu...T'abuses ! Mais je l'ai demandé...
Il détourne le visage, sa queue bougeant joyeusement.
Tartaglia se mit rire.
Tartaglia: En plus de tes yeux dorés, tu es tout rouge...~
Il alla à son oreille et murmura.
Tartaglia: Ma petite peluche
Zhongli : Nonnnn! Pas peluche !
Il se débat un peu...Malgré que souriant. Reprenant un peu de calme, il lui murmure d'une voix plus grave malgré lui.
Zhongli : Libère-moi Tartaglia s'il te plait...
Le rouquin le regarde étonner et planta son regard océan dans le doré de ses pupilles. Derrière l'apparence de cette enfant, il voyait une autre flamme brillait dans son regard, une flamme plus mature, plus...
Il perdit complètement la vie autour d'eux, hypnotisé par ses yeux.
Zhongli ne l'avait pas réalisé le regardant attendant...Le fixant du regard dans les yeux, il se sentait dériver, mais revient à lui et s'écarte doucement, allant vers le rocher, puis fonce dessus, et en le frappant avec sa queue le détruit en mille morceaux.
Zhongli : ...Sa y est...! J'ai enfin ma force normale !
Tartaglia secoua la tête, un peu perdu face à ce qu'il venait de se passer et fut impressionné par la force du jeune brun.
Tartaglia: Bravo, tu as une sacrée force en toi !
Malgré qu'il était perturbé, il essaya de se reprendre et de rien montrer. Les joues légèrement rouges, il se gratta la nuque.
Tartaglia: Retournons au camp dormir un peu...
Zhongli acquiesce, mais sentit une douleur le prendre à nouveau.
Serrant les dents, il inspire lentement et va vers Tartaglia, ses yeux de nouveaux normaux, lui prenant la main.
Zhongli : Je te suis ! Et oui, tu as vu ! Je suis fort !
Dit il fier.
Tartaglia lui sourit tendrement. Il se disait qu'il avait du mal voir...
Tartaglia: J'ai vu ça...
Il lui ébouriffe les cheveux avant d'aller s'allonger dans la tente, enlevant au moins son haut pour être plus à l'aise.
Le brun le suis, se mets contre lui, innocemment.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top