chapitre 2

Je le déteste

On c était fixé un moment, ce qu'on appelle plus communes " eys contact " ,
Ce moment m avait complètement sortie de ma petite bulle.
J avait peur, peur qu'il dévoile que je travaille dans une boîte louche la nuit. Peur qu'il essaye de ce vengé, ou de me faire du chantage.

Mon nouveau job , contrairement à ce qu'on pourrait croire me plaît tout de même. Je peux être différente, dans la peine ombre à servir des vers . Je vois des nouvelles têtes chaque jour et des habitués . Je vois plusieurs vis défiler.
C était un endroit qui magret tout ses défauts me plaisait.

En revanche je le déteste, je le haï de tout mon être. Ce maudit professeur .

On s installa chacun à une table , une fille blonde aux cheveux gonflé et au visage maquiller avec finesse.
Elle était belle avec son haut rose bonbons et son jeans clair .

_ très bien, pour ce premier jour apprenons à mieux nous connaître. Chacun votre tour faites une courte présentation de vous .

Il s était assis sur le bureau les jambes croisés et les bras croisés.
Tout le monde c était mis à murmurai.
Il faut dire qu'avec sa teinture, sa voix sexy et sa chemise entre ouverte , il faisait très pervers.

Chaqun c'est donc exécuter.
Vue que j était en fond de classe, je fut la dernière. Je n'ai pas écouté grand chose, il faut dire que ça ne m intéressai pas du tout. Je me suis plutôt concentrer sur l extérieur qu'on pouvait admirer depuis la fenêtre.
Il y a un joli parc pas loin...

_ Bonjour, je m'appelle Suzi Fadman, et ravie de faire votre connaissance à tous.
Avait dit la fille d à côté. 

Je pousse un soupirs profond avant de péniblement me lever.
Je préfère garder les yeux rivés sur mon bureau, par peur des regards.

_ t/p t/n .
Je me rassis aussitôt.

Je me sentais ridicule. Mais aucun autre mots ne voulais sortir de ma bouche. C était déjà trop humiliant.

_ c'est tout ? ~

_ ...?
Il me voulais quoi au juste.
Je commence à paniqué.
Certains ce mette à rire bêtement .

_ ton âge.
Il profitait de sa fonction de professeur.

Je mis un sertin temps avant de pouvoir prononcer mon âge, remplie de dégoût.

_ 18 ans.

Un sourire ce dessine sur ses belles lèvres rosée.
Plus de doutes possibles, ce n était pas un professeur comme les autres, il s agissait bien d un pervers , ce n était pas que sa façon d être.
Je souhaitais de tout mon cœur que ce type ce fassent virer.
Et vue qu'il ne ce cache pas , ça ne devrait pas trop tarder.

_ bien on va dire que ça passe de justesse.

Double sans .

_ salut moi c'est Suzi , mais bon je l'ai déjà dit. Tu es timide ?
Me chuchote ma voisine de table à travers les nombreux ragots qui ce racontaient déjà sur moi .

_ ... je ne sais pas .

_ hahaha t es trop bizarre. Elle lance un regard à une autre fille à l autres bout de la classe. On peut devenir amie si tu veux.

_ ... c'est gentil .

_ cool , regoin nous dans le gymnase après les cours, on te souhaitera la bienvenue.

_ merci.

Elle me gratifie d un sourire à plaine dents.

Le professeur frappa trois fois des mains pour attirer l attention de la classe.
Puis s'avança d un pas dans lent vers le tableau, et saisie un des feutre du tableau.

_ commençons mon cours : le français.

C'est donc un prof de français...
Ça avait un côté étonnant, et de l'autre non . Car à son langage et à son ton délicat, on voyait son art du langage et de la fourberies.

_ ah oui , mon âge a moi , c'est 25 ans.

Ce message m étais sans aucun doute destiné.

On avait commencé par de simples révisions de grammaire, puis on a eux pour consignes de composer un poème libre.
" on commence en douceur "
Avait t il déclaré.

Je gratte délicatement sur le papier aux carreaux réguliers à l aide de mon stylo  bleu.
Le français est une matière que j affection de par l écriture et l expression écrite. Cela permet en quelques sortes de ce libérer d un poids lourd sur le cœur, et de le délivré à du papier et de l'encre.

Mais malheureusement il a fallu qu'il soit préférable de français.
J avait l impression que plus je restait dans cette salle de cour plus je le haïssait.

L après-midi on a reçu nos emplois du temps et toutes une petite pile de paperasse à remplir.
Je sans que j allait bien m amusé ce soir.

Après ces longues heures, nous fûmes enfin relâcher de cette établissement qui me semblait si lugubre.
Je sortie la dernière.

_ c'est bien toi la barman ?

Je l interroge et trace ma route.

J'ai cherché pendant plusieurs minutes le gymnase où Suzi m avait donné rendez-vous. Je n'étais pas sereine , j avais peur. J était plutôt du genre à éviter tout contact.
Mais ne serait-ce pas impoli de ne pas ce pointer ?

Je me tiens devant le grand bâtiment bleu et vitrée .
Une petite balade m attendait.
Suzi ce rapproche de moi , et les deux filles et trois garçons .

_ salut t/p , dis tu devrais vraiment changer de vêtements, ils sont dépassé.

_ et ses cheveux haha.
Pouf une brune avant que Suzi ne lui lance un regard noir.

_ viens on t'as préparer une surprise de l'autre côté de cette porte.
Me voilà face à la fameuse porte où une banderole avec marqué 《 bienvenue t/p 》.
Mon prénom était mal écrit.

_ vas y , ouvre la .
M incite un des garçons qui portait des lunettes.

J était contente.
J'ouvre la porte et là... * splach * je me retrouve trapper d eaux glacé.

_ hahaha elle est plus âgée mais surtout plus conne oui .

_ bon débarras.
Suzi me poussa dans la pièce.
C était des toilettes.
Elle referma violemment la porte.

Je fis volte-face et tambourina sur la porte.
_ s il vous plaît pas ça. Pitié !

Mais rien à faire.
Ils étaient déjà répartis.

J'ai essayé de chercher comment sortir, et j'ai finit par trouver : le haut de la pièce comprenait un espace.
Je monte alors sur la cuvette et m agrippe à la parois.
Je réussis à grinper puis saute de l autres côtés , atterrissent violemment sur mes genoux désormais écorché.

Je prends mon sac et retire la chaise qui avait servi à me bloquer.
Une fois à l extérieur le vent qui souffle sur mes vêtement mouillé me congele.

Je marche à pas lent , déprimé.
J'ai été si bête.
Je ferai mieux de continuer à éviter les autres, ça vaut mieux pour le gens de mon espèce.

Je sentie soudain de grande main déposé une veste sur mes épaules.
Je me retourne, surprise.

_ Qui t'as fait ça ?
Il l avais dit sur un ton aussi froid que son regard à la limite du mépris.

Ce Messieurs Morrow ce mêlé décidément trop à ma vie.


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