chapitre 14

Nouvelles vie


Son doux parfum de fruits rouges envahit mes narines.
Le voilà déshabiller, son corps semblable à une statue de marbre. Quant à moi , assise sur le lit, frêle et nue comme un vers ,je me sens si faible comparé à cette homme.
Il s avance, comme affamé, voulant soter sur la chaire fraîche de mon corps .

Il ce saisie de moi , brutalement.
A dire qu'il n'y a pas si longtemps il était professeur, j'en souris ,amusé.
Ce qui a le don de piquer sa curiosité malsaine.

_ A quoi tu penses ? ~

_ A toi Hisoka, rien qu'à toi .
Je le dévore des yeux et rougis.

C'est à son tour d avoir un sourire satisfait.
Il fait glisser ses longs doigts le long de mes cuisses.
Je m enfonce dans les draps.

Je me souviens de moi , il y a plusieurs moi . Je n avais pas confiance, je ne souriais pas .
Mais aujourd'hui, avec lui , je me sens puissante.
Certes, beaucoup diront que ces malsain , que rester avec un homme qui drague tout ce qui bouge n'a pas de sens, mais je leur dirai que peu importe,il m enivre ,et je suis à lui ,c'est tout ce qui compte.

Il me saisit sauvagement les bras, qu'il me plaque le long du corps afin de mieux m embrasser.
Il me fait basculer, et j'en profite pour arranger enrouler mes jambes autour de lui ,et caresser son torse.

Il ne perd pas plus de temps pour s'exciter . Pénétrant en moi .
C'est ainsi que dans de furieux vas et vient des gémissement ce font entendre, accompagné de grognement à en tomber temps ils étaient sexy .

La journée c'est passé à ces bêtises et ces jeux.
Jusqu'à le soir venu, où comme un chat des rues, le renard a la crinière rousse s'extirpa du lit. Enfilant un costume noir, il partit sans m adressé un regard.

Je me lève, heureusement qu'il est crû me voir endormi.
J'ai sûrement quelques bonnes heures pour fouiller la maison.

Histoire ce repose sur son deuxième métier, me dit il , mais de quoi s'agit il ?
Il fait beaucoup de cachotteries ces derniers temps, tout en étant drôlement riche.
C'est bien trop louche...

Après avoir pris une douche et enfiler des vêtements propres, me voilà prête.
Je commence par ouvrir me tiroirs de son grand bureau noir, celui que je n'ai pas le droit de toucher.

La seule fois où j'ai essayé, il c était mis très en colère.

••••

_ t/p ? T/p !?

Il me chercher, puis me trouva à ranger son bureau.

_ Mais que fais tu ! Ne t approche jamais de cette pièce, tu a bien compris.

Il m à vais tirer par le bras avant de me plaquer contre un mur.
Le regard sombre.

_ c..compris.

_ bien ~

••••••

Qu'est-ce qui peut bien valoir tant de méfiance ? En tout cas pas une simple tromperie comme m avait fait supposé Machi au travail.
Elle ne vas pas assez loin, et je lui prouverait que je ne suis pas parano.

* tic tic *
Je sursaute.
Mon Dieu, il est de retour !
J'entends ses pas résonnaient.
Je pourrais juste lui expliquer la situation...non il fermera le bureau à clé c'est sur et sertin.

Je décide de me planqué sous le bureau.
Mon cœur s emballe, prise de panique, je colle ma main à ma bouche pour éviter tout bruit .

_ Bon sang où ai-je la tête, j'allais oublier le tatouage.
Murmure t il .

Un tatouage ?
Il n'en a pourtant aucun .
Je vois ses jambes couvertes d un pantalon noir ce baladait devant moi,  avant de sortir de nouveau.
Je respire un grand coup , soulagé.

Je retourne à mes fouilles et cherche quelconques preuves dans ce mystérieuse endroit.
Je finis par tomber sur des documents incontournables, dans une langue qui n existe visiblement pas .
Seul les chiffres sont lisible.
Des sommes colossal.

Je range le tout comme je l'ai trouvé, à l identique.
Puis je jette un œil aux livres de la bibliothèque. Je comprend soudain mieux pourquoi il enseignait le français. De la littérature classique, au thriller sanglant, il est visiblement friand de livres.

Aux moments où je sort de la pièce, un bruit retentit. Un appel.
Je marche à petit pas vers le téléphone sonnant, et regarde avec curiosité l appareils qui avait sûrement trente ans de retard.
J hésite.
Mais ma détermination prend position de moi . Je dois savoir.

Je décroche sans un mot.
Une voix d homme, robotique répond dans un souffle.

_ Samedi soir, 23h , aux tournesol.
Il raccrocher sans attendre de réponse.

Je me crispe, complètement terrifiée.
Mais dans quoi me suis-je fouré ?
Quoi qu'il en soit je dois me tenir prête pour Samedi, mais " aux tournesol " je le demande bien ce que cela veut dire.

En tout logique je fais des recherches et trouve quelque possibilités aux alentours.
• le champ de tournesol à 1h d ici
• l usine d huile de tournesol non loin
• le manoir Tournesol

L une de ces possibilités me semble probable. En espérant que le message n'est pas plus codé que ça.
Je file au travail, rejoignant Machi pour le service.
Je lui raconte tout, sans oublier un détail.

_ Ma chérie tu es sur que ça va ? Si ce gars est trop toxiques il n'est pas fait pour toi , pourquoi ne pas retrouver Mickey, il t aime non ?

_ je suis sur que ce n'est plus le cas , et puis je ne veux plus entendre parler des personnes du lycée.
Dis je en nettoyant un verre.

_ En tout cas c'est quand même bizarre, j essper pour toi que ton mec n'es pas dans les mêmes magouilles que le miens.

_ ... ? Tu veux dire quoi exactement.

Elle approche son visage joliment maquiller d un léger fard à paupière bleu.
Elle me chuchote.

_ mafia.

Je me fige.
Et si c'était ça ?

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