Chapitre 4 - En colère
Le lendemain, bien que je me sentais plus sereine à mon réveil, auprès de Natsu, il m'avait semblée par moment plus distant, de ce simple fait je me sentais de plus en plus mal à l'aise, comme un poids en moi qui ne voulait pas partir, cette boule au ventre qui grandissait. Par moment je le voyais plonger son regard dans le vide, pris dans ses pensées, je n'avais pas besoin d'être un génie pour comprendre où ses pensée était focalisé.
Bien que je pensais que nous nous préparions pour aller au lycée, c'est quand nous sommes arrivés à l'intersection d'une rue qu'au lieu d'aller en direction de l'école nous sommes allés à l'opposé, main dans la main il m'annonça d'un ton plus sérieux que nous allions au poste de police porter plainte, il ne voulait pas attendre la fin des cours et je dois bien avouer que moi non plus.
Mais son comportement m'effrayais, de plus en plus j'avais la sensation qu'il m'en voulait. Je le comprenais mais c'était dur à supporter. Froid et distant par moment, doux et attentionné par d'autre, j'avais du mal à suivre.
Assise en salle d'attente nous attendions que quelqu'un veuille bien nous recevoir, le regard plongé sur mon téléphone, forcé de montrer des preuves je n'avais pas eu d'autre choix que d'activer celui que père m'avais acheté. Ma puce mise en place j'avais eu peur de regarder, une simple notification qui annonçait trois nouveaux messages. Trois messages de cet inconnu, j'avais eu peur de les lires, mon regard figée sur ce simple écran. Natsu avait alors pris la liberté de regarder à ma place. Défilant de haut en bas en démarrant du plus ancien des messages au plus ressent, j'avais bien vue qu'il cherchait à savoir qui était cette personne, mais je suis désolée Natsu, il ne m'a jamais laissé d'indice sur lui. Rien. Pas d'information sur sa vie, sur son sexe, son âge. Je l'avais vue s'énerver du regard part moment, et c'est depuis qu'il les a vue qu'il me paraît plus distant.
D'un côté je le comprends, se dire que sa copine, la personne qu'il aime plus que tout se fait harceler par un inconnu depuis six mois, qu'il n'a rien vue, ne peut rien faire pour que ça s'arrête, ignore les projets de cette personne, sans oublier qu'il ou elle me suit de près... Comment ne pas se renfermer le temps d'encaisser. Le regardant l'espace d'un instant, tremblante que je suis, je stresse à l'idée que ça ne s'arrange pas, qu'on ne le retrouve pas, qu'il ne me pardonne pas, qu'il n'y arrive pas.
Cette simple idée m'effraie, je sais que c'est impossible, que c'est idiot de l'imaginer, je me fais du mal pour rien, mais je n'y arrive pas, cette simple pensée me hante et me torture. Au point de me faire mal au cœur, je sens une larme couler mais bien que j'aimerais ne pas m'afficher à nouveau ainsi je la laisse faire, je la laisse s'échapper, espérant me sentir plus légère, encore tremblante, je sens mes mains lâcher mon téléphone que je rattrape aussitôt, revenant à moi je sais que le moment n'est pas à ça, je me lamenterais plus tard.
Et pourtant, sa main est venue se poser délicatement sur la mienne, je ne peux que le regarder, surprise, un simple regard inquiet et rassurant à la fois. Sa douce chaleur réconfortante qui m'atteignais, son simple regard émeraude plongé dans le miens, lui qui arrive à me faire si mal et en même temps il a ce don de me rendre si heureuse. L'amour peu faire souffrir mais je ne veux pas que notre amour se passe ainsi, je veux l'amour, la joie, le bonheur et tout ce qui est positif. Je ne veux pas de la haine, de la colère, des doutes.
- Mademoiselle Heartfilia ? Approcha un policier, me sortant de mes pensées nous allons pouvoir y aller, si vous voulez bien me suivre.
Lâchant des yeux Natsu je le laissais m'aider à me relever de cette chaise en bois assez inconfortable je dois bien l'avouer, marchant ensemble, sa main dans mon dos, suivant le policier dans un bureau que je présumais être le sien, nous nous y installons face à lui, un silence s'installe un moment jusqu'à ce que le policier le brise de sa simple question, me demandant ce que je venais faire ici. Logique j'ai envie de dire, mais c'est dur de se dire que ce genre de chose nous arrive à nous, ça m'effraie, mais sa présence, celle de Natsu, me fait du bien, même si tout est compliqué à cause de moi. Pardonne-moi.
Soufflant alors un instant je me lance dans un monologue, commençant par le début, les messages répétitif, devenant plus nombreux, moi ayant bloqué plus de numéros que je ne l'aurais imaginé. Lui montrant les messages je pouvais ainsi préciser que l'un d'eux avait été très précis sur ce que je portais, prouvant qu'il savait qui j'étais, la fameuse goutte d'eau qui avait fait déborder le vase, celle qui m'avait poussée à tout raconter.
Je pouvais le voir, le policier qui écoutait attentivement ce que je disais, écrivant quelques informations au passage. Ne disant pas un mot jusqu'à ce que je finisse de tout lui raconter, me demandant comment je me sentais, à ce moment-là je n'ai pas pu m'empêcher de regarder Natsu qui faisait de même. Sentant sa main resserrer la mienne, le simple contact de sa peau sur la mienne qui m'aidait.
Son simple sourire qui m'était adressé ou je ne pus que répondre de la même manière, un fin sourire moins pétillant, moins heureux, plus sombre, mais il était là, je ne sais pas si je peux me permettre de sourire, j'ai l'impression que comme quand j'avais mon cancer on me l'interdisait, Je, me l'interdisais.
Expliquant ce que je ressentais donc une nouvelle fois, répétant ce que j'avais dit à Natsu la veille. J'espérais me sentir mieux après. J'espérais que tout ceci ne soit que cauchemar don j'allais me réveiller, ou quand bien même, que tout disparaîtrait loin derrière moi. Je voyais cet homme, le regard qui n'avait pas changé, ne faisant que son travaille il restait de marbre. Me regardant moi et Natsu, nous demandant si nous avions une idée de qui pourrait me faire ça. Mais non, rien ne nous venaient, et pourtant il a pris en note des noms de personnes sans que je comprenne pourquoi. D'après lui cela pouvait être n'importe qui. Mais je connaissais mes amis, aucun ne ferais sa, ni ma famille.
- Bon. D'après ce que vous me dite il doit changer de numéro souvent. Je pense à des téléphones prépayé. Ce qui va nous compliquer la tâche. Ils sont malheureusement in-traçable, mais ne vous en faites pas, nous allons envoyer des patrouilles surveiller votre domicile afin de voir si quelqu'un s'en approche d'un peu trop prêt.
- Et c'est tout ?! S'énerva Natsu me surprenant, lui qui restait jusqu'à maintenant calme, ce levant, les deux mains sur le rebord du bureau resserrant son emprise tout en regardant l'inspecteur dans les yeux tentant de se contenir pardon mais ça dure six mois, nous n'allons pas attendre les bras croisés qu'il vienne de lui-même s'en prendre à Lucy !
- Je suis désolé jeune homme mais c'est la seule chose que nous puissions faire à l'heure actuelle, mais nous allons évidement interroger les voisins, les quelques personnes noté plus tôt, avec un peu de chance nous le retrouverons vite. Quand à vous mademoiselle je vous recommande de changer de numéro pour éviter de nouveaux messages successif.
- Oui. Nous avions prévu d'y aller aujourd'hui annonçais-je la tête basse devant la colère de Natsu
- Bien, ne vous en fait pas, nous trouverons qui est à l'origine de votre calvaire.
Après m'avoir demandé les numéros que l'inconnu avais utilisé nous nous sommes levés, je savais que sa servirais à rien, les lui donner ne leur permettrais pas de le retrouver, lui-même nous l'avais dit, mais s'il voulait essayer soit. Quittant le commissariat sans réel solution l'air frais de dehors me fit du bien, évacuant mon stress je me sentais mieux. Natsu me surpris à me prendre la main, je voyais bien qu'il ne savait plus quoi faire, mais je n'osais parler, gardant le silence sans savoir quoi faire, quoi dire.
Me tirant contre son torse il me donna ce que j'avais le plus besoin, sa présence, son soutien. Me laissant aller je déposais ma tête contre son torse, sentant ses mains réconfortantes dans mon dos il me laissait pleurer contre lui en silence, en toute liberté.
Après ce qui ma semblée être une éternité il m'écarta de lui, m'adressant un simple sourire avant de sentir ses pouces essuyer mes larmes encore présente. Je sais qu'il sera toujours là pour moi, malgré ce qui m'arrive, mais j'espérais pouvoir avoir le droit à une vie normal, mais même ça, ça me semble interdit.
Me guidant dans ses pas nous nous dirigeons à présent vers mon opérateur à deux pas d'ici, changer de numéro, est-ce que ça allait vraiment marcher. Je l'espérais évidement, mais bien que les messages risquaient de ne pas revenir je ne devais pas oublier qu'il me suivait, alors peu importe qu'il ne puisse plus me contacter, lui c'est où me trouver.
- De vrai incapable ! Coupa se silence Natsu, criant devant les passants
- Mais ils ont raison Natsu, on ne sait rien de cette personne. Ils non pas un début de recherche, rien qui nous certifie même de savoir si c'est un homme ou une femme... Continuais-je de marcher en trainant des pieds comprenant que tous ceci était loin d'être fini
- Je sais Lucy, mais met toi à ma place ! Quelqu'un s'en prend à toi et sa m'effraie. S'arrêta t-il en se mettant face à moi le sourire effacé de son visage. Déposant une simple caresse sur ma joue je finis par le regarder plongeant dans ses prunelles vertes le regard triste. Je suis désolé Lucy, pardonne moi de ne rien avoir vue plongea t-il sa tête dans le creux de mon cou, ma main sur ses cheveux je tentais de le rassurer, je savais que ce simple geste venant de lui me montrait son inquiétude, son impuissance face au problème
Je le laissait donc faire, il en avait besoin lui aussi, évacuer son stress, sa peur, il tentait d'être fort pour moi, me rassurer, mais en faisant ça il en oubliait de se protéger lui-même, qui prendrait soin de lui alors, je devais donc à mon tour être là pour lui prouver qu'à l'heure actuelle tout allait bien, qu'il ne devait pas s'en faire, que tout cela était possiblement que de courte durée, mais si moi-même je n'y croyais pas, comment le convaincre lui.
- Natsu fis-je surprise en réalisant ce qu'il venait de me dire tu n'es pas responsable, c'est moi qui n'ai rien dit.
- Oui c'est vrai, tu n'as rien dit mais je ne peux pas t'en vouloir car moi aussi je suis fautive de ne rien avoir vue... C'était-il écarté de moi
L'envie de pleurer était devenue si forte, les regrets de Natsu me parvenaient, mon cœur à cette simple idée qu'il souffrait me faisait mal. Mais il devait arrêter, il ne devait pas se résoudre à laisser cette personne se mettre entre nous. Je me refusais à éprouver de nouveau se sentiment d'incertitude. Lui tenant la main je l'arrêtais dans ses paroles, le voyant finalement me refaire face je me mis à le regarder plus sérieusement le surprenant sûrement. Moi aussi je ne devais pas me lamenter.
- Natsu arrête ! Pris-je mon courage de deux mains fermant les yeux avant de lui refaire face. Ne le laisse pas s'immiscer dans notre vie. Je ne les pas laisser faire pendant six mois, on a étés en vacance, on a continués de s'amuser, on a fait la rentrer ensemble sans jamais perdre le sourire, alors arrête ! Puis-je le voir élargir ses yeux de surprise surement, mais je t'en prie Natsu, écoute moi. Je veux continuer de sourire, tu n'es pas censé me rendre triste ! Tu dois me faire sourire, me rendre heureuse ! C'est bien ce que tu m'avais promis non ? Le voyant définitivement surpris, encaissant la triste vérité je continuais mon monologue sans m'arrêter Alors arrête et oublions qui est cette personne. On s'en souciera plus tard, mais aujourd'hui je ne veux pas que ces simples messages me replongent dans le noir. Tu. Natsu s'il te plaît.
Mon regard ne quittant pas le sien, je pouvais sentir mon cœur battre à vive allure. Il semblait surpris je pense, puis très vite je le vit se détendre, ses épaules se relâcher. Il m'adressa un fin sourire me soufflant un "très bien, tu as gagnée". Mais j'avais l'impression que ce n'était pas terminer. Que cette histoire allait de nouveau prendre le pas sur ma vie. Mais je n'en avais pas envie. Ce que je voulais était pour commencer finir mes études, aider Sting dans l'entreprise familial, continuer mes compositions, voir Natsu reprendre à son tour l'entreprise de son père tout en travaillant en tant que pompier à ses heures perdu, emménager avec lui, me marier, et la seulement avoir notre premier enfant. Mais tous sa semblait hors d'atteinte, déjà on me harcelait, de plus je suis enceinte, je ne sais plus quoi faire, tout disparait, j'ai l'impression de ne plus avoir le contrôle sur rien.
Marchant ensemble je pouvais voir non loin de nous le bâtiment qui me renseignerait sur la possibilité d'avorter. Mais en avais-je réellement envie. Bien que mes projets n'incluaient pas ce bébé je l'aimais déjà, il était une part de moi et de Natsu après tout. Mais même si ce petit être était là je ne voyais pas comment dans toute ces conditions nous pourrions l'élever, nous étions de simple étudiant. Mon père me tuerait. Theira sauterait au plafond nous disant qu'elle pourrait s'en occuper, mais étant médecin elle ne pouvait se le permettre. Elle n'en avait pas le temps. Soufflant en silence je laissais ma main se glisser sur mon ventre imaginant un avenir avec ce petit. Bien trop de problème dans ma vie pour lui, du moins pour l'instant.
- Hey les tourtereaux qu'est-ce que vous faites là ? Nous surpris une voix féminine nous forçant à nous retourner
- Jubia ?! Mais tu n'es pas à l'école ? Demandais-je étonnée de la voir ici
- Non je reviens d'un long weekend de famille alors j'irais demain, et vous ?
Ah oui ça me fait toujours bizarre d'entendre Jubia parler à la première personne. D'après elle Grey lui avait demandé d'essayer car sa le déstabilisait, mais finalement elle en a pris difficilement l'habitude et aujourd'hui la voilà devenue une fille tout à fait normal, bien que par moment ses anciennes habitude reprenne le dessus. Repensant à sa question je l'invitais à nous suivre lui racontant alors toute l'histoire sur le trajet, après tout je ne voyais pas pourquoi maintenant que j'avais décidée d'en parler à Natsu pourquoi les autres serais mis à l'écart. Bien que ce que je lui disais la choqua elle comprit mon besoin de rester dans une ambiance des plus normal et habituelle, alors que Natsu grognant de son insatisfaction ne comprenait pas. Je faisais face à Jubia, soulevant mes épaules afin qu'elle comprenne que Natsu était ainsi fait. Bien qu'il avait accepté plus tôt d'essayer cela lui semblait sûrement plus dur que prévue de contenir sa colère.
- Natsu est quelqu'un de surprotecteur Lucy, tu devrais le savoir maintenant, c'est normal qu'il veuille régler sa. Il réagirait pareil pour n'importe qui d'entre nous.
C'est vrai, je l'avais oubliée. Le sentant lâcher ma main il prit un pas plus rapide devant nous, les mains dans les poches, j'aimerais savoir à quoi il pense. J'aimerais savoir s'il m'en veut, s'il me pardonnera. Mais Jubia avait raison, il est protecteur, beaucoup trop quand sa touche quelqu'un qu'il aime. J'aurais dû savoir qu'il refuserait de passer à autre chose, je n'étais sûrement pas en sécurité pour lui. Sa doit énormément l'inquiéter.
~•~
Prenant la tête de la marche Natsu guettait les passants qui se trouvait non loin de lui, essayant de voir si une personne, n'importe qui les observait à distance, bien que l'idée de trouver la bonne personne aujourd'hui semblait un peu trop facile, mais cela l'aidait à se concentrer et contenir sa colère. Il s'en voulait, il n'avait rien vue, il avait été là et n'avait pas pu voir que Lucy souffrait en silence, subissant seule les assauts d'une personne dont ils ignoraient tout.
La regardant un instant, un simple coup d'œil dans sa direction, elle semblait rire avec Jubia, se demandant comment elle pouvait contenir en elle autant de force, riant, souriante, profitant de la vie alors que quelqu'un s'acharnait contre elle, il l'enviait, il n'était pas ainsi, il ne pouvait pas faire semblant. Et pourtant il le savait, bien que lors de son cancer elle avait abandonnée elle avait en elle tellement de force, assez pour continuer à se battre, assez pour supporter une vie qu'elle ne voulait plus, elle l'avait fait pour lui, il l'en remerciait car aujourd'hui il pouvait la voir heureuse a ses côtés, il devait faire la même chose pour elle, mais une part de lui ne pouvait pas y arriver, pas en sachant la menace si prêt de son bonheur.
Arrivant après quelques minutes au lieu prévue Lucy entra accompagnée de Natsu et de leur amie, Jubia. Par chance étant en jour de semaine l'agence semblait vide et Lucy fut très vite prise en charge pendant que la bleuté regardait les nouveautés en présence de Natsu, bien que ce dernier ne semblait aucunement intéressé.
- Tu en pense quoi toi Jubia, réellement. S'approchant de Jubia qui ne quittait pas des yeux la vitrine, il s'emblait attentif à ce qu'elle pourrait bien lui dire
- Pour tout avouer sa m'inquiète un peu, voir beaucoup, mais je comprends aussi Lucy, après ce qu'elle a vécu il est normal qu'elle ne veuille pas qu'on s'inquiète, comprend là aussi, ça ne fait que quelques mois qu'elle a retrouvée une vie normal, l'idée de perdre cette routine dois l'effrayer. Et si on lui montre notre inquiétude elle pensera sûrement que sa joie n'était que de courte durée. Se pencha t-elle au-dessus d'une autre vitrine admirant une tablette qui semblait l'intéresser
- Mh. Semblait comprendre un peu Natsu. Je vois ce que tu veux dire. Alors je ferais un effort en sa présence.
Se retournant en direction de la blonde il comprenait sont point de vue de ne rien changer à leur vie. Mais malgré sa il ne pouvait rester là à ne rien faire. Soufflant doucement, grimaçant presque, il se résignait tout de même qu'en sa présence il laisserait cette affaire de côté bien que ça ne semblait pas l'enchanter, il savait bien que pour le sourire de Lucy sa en valait la peine. Il se promettait à lui-même de laisser sa colère de côté, pour elle, mais une fois seul il garderait un œil lui aussi sur qui conque s'approcherait trop.
La regardant discuter avec le vendeur, elle semblait inquiète, mais malgré ça il la trouvait si belle qu'il ne put que sourire à sa simple vue, sur le moment il était heureux de l'avoir rien qu'à lui, elle était pour lui la personne la plus importante de sa vie, il en était sûr, cette fille était la femme qui lui fallait, bien qu'ils étaient âmes sœur si ce détail n'existait pas il le savait, il n'aurait eu aucun doute sur ses sentiments, car elle est et resteras pour lui celle qui réchauffe son cœur d'une douce chaleur, cette simple chaleur unique que nous appelons tout simplement, l'amour.
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La peur de l'inconnu peut nous submerger, car l'on ne s'est pas à quoi s'attendre. Mais n'oublions pas que derrière l'imprévisible, se cache toujours, une partie de bonheur que l'on espère au fond de soi. Il faut s'y risquer, car la vie est un danger permanent. En réalité, la véritable peur que nous puissions avoir, serait de mourir, sans avoir osé franchir le pas.
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