(Beaucoup de temps à passer entre temps.)

PDV de Gaichu.

Je me réveille, je fais face à un groupe de shinobi, je reconnais des ninjas de Konoha, je regarde ma main, je suis la technique de l'Edo tensei.

Il faut croire que je suis mort, je fais face à des ninjas que je massacre sans le vouloir à cause de mon état, je suis dégoutant.

Je me fais rappeler par celui qui m'a invoqué et je fais face à Itachi et à Sasuke.

Itachi est sous Edo Tensei mais il a l'air libre.

-Serpent : J'ai bien fait de ramener Gaichu Aburame, aussi appelé la honte des Aburames.

-Sasuke : La honte des Aburames.

Itachi lance une attaque que je pars, je ne contrôle pas mon corps.

Je m'attaque à eux, je ne vais pas leur faire du mal, je suis de toute façon déjà mort.

Mais c'est Kabuto qui dirige mon corps.

-Kabuto : Le saviez-vous, la mère de Gaichu était une malade mentale, elle a forcé son fils à apprendre des jutsu interdit des aburames et à les appliquer. C'est parce qu'il maitrise des techniques interdites qu'il ne devait pas connaitre qu'il est haï par les Aburame. Il a été traité comme de la merde.

Je vois le visage de Sasuke se changer en pure haine.

-Sasuke : Pourquoi ne t'es-tu pas révolté, Gaichu ?

-Kabuto : Et s'il pouvait te répondre.

Kabuto libère ma parole.

-Kabuto : Répond à la question, Gaichu Aburame.

Je tente de lutter mais son emprise est trop forte.

-Gaichu : Car je ne voulais pas le faire, je voulais leur montrer que j'étais meilleur qu'eux là-dessus, je voulais aussi protéger mes camarades et les futurs camarades de Konoha.

Itachi me met dans un genjutsu qui me paralyse le temps de la fin du combat, jusqu'au bout, je n'ai eu que peu d'impact sur cette réalité, c'est triste.

Epilogue.

J'ai été vaincu et l'Edo Tensei a pris fin.

Je n'ai jamais su que j'avais planté des graines de clémences et de pardon dans le cœur de Sasuke.

Ah oui ils se sont mariés et ont eu des enfants, ils parlent de moi à leurs enfants.

Je l'ai toujours ignoré mais Itachi et Kaskashi avaient des sentiments pour moi.

Parfois les plus grands héros ignorent le bien qu'ils ont fait toutes leurs vies et ne peuvent jamais récolter les fruits de leurs durs labeurs.

Fin

Note de l'auteur : Je n'arrivais pas à choisir quoi faire et cela s'est fini comme cela. Il y a une autre histoire de prévu.