Chapitre 30: Matin de Noël et Anniversaire.
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Chapitre 30:
De tout sa vie, c'était certainement la première fois qu'il participait à un repas aussi gargantuesque. Les assiettes qui avaient été plus que généreusement remplie, avaient su petit à petit se vider. Il est vrai qu'ils mirent tous un peu de temps pour arriver à un tel résultat, mais entre deux anecdotes, quelques blagues, et bien des fous rire, ce but avait été finalement atteint.
A l'extérieur la neige ne tombait plus depuis longtemps, mais un vent des plus glacé s'était levé, et sifflait avec vigueur sur la campagne alentours. Lugubre et désagréable, il tranchait avec l'ambiance festive de cet événement si spéciale, durant lequel les familles aimaient à se réunir.
Malgré le petit incident qui à son plus grand étonnement avait réussi à lui faire faire une sorte de crise de panique. Livaï avait réussi à reprendre le dessus de ses nerfs vraiment trop fragile à son goûts dernièrement. Ne voulant vraiment, vraiment pas gâcher ce tout premier Noël qu'il fêtait avec sa nouvelle famille, il était satisfait d'avoir à nouveau pu dominer ses nerfs. Néanmoins son aptitude à observer ceux qui l'entour, avait fait que bien des fois, il avait remarqué chez certains invités, comme une sorte de retenu volontaire de dire ce qui leurs traversaient l'esprit. Il les voyait généralement se tortiller sur le chaise puis lui jetait un regard, et se reprendre comme pour avaler des mots, et peut-être même des questions. A la suite de cela, le sujet de conversation virait sur autre chose, plaisanterie, souvenirs qu'il ignorait, discussion sérieuse, bref tout ce que peut contenir se genre de soirée.
Ses habitudes à analyser ce qui l'entour, et qui était vraiment né en lui quand il était devenu barman, s'émoussa au fur et à mesure que son verre se remplissait. Lui qui était d'une retenu quasi parfaite, se laissait aller à boire les délicieux alcools qu'on lui servait. Eren surprit de le voir agir ainsi lui en fit la remarque, et la célèbre excuse dite par à peu près tout le monde au moins une fois dans sa vie claqua.
- Oh c'est bon, c'est la fête.
Les enfants avaient, du fait que leurs parents étaient beaucoup plus souple dans ce genre de repas interminable, put aller s'amuser à l'étage en attendant le coup de grâce. A savoir le dessert.
"A l'époque je buvais pour fuir ma vie de merde."
Cette confidence du passé revient soudainement dans son esprit. Boire n'était pas un obis, ni une passion, et encore moins un plaisir. Mais c'est vrai que quand il vivait dans la rue, il s'était pris des bitures phénoménales, qui il est vrai lui avait fait un peu oublié la misère de sa vie, mais l'avait puni à son réveil, en régurgitant ce que son estomac contenait. La peine pour se laisser aller, était de subir l'une de ses pires phobies.
- Pourquoi je refais ça..là tout de suite ? Se questionna t-il mentalement, sans parvenir à réellement faire attention au brouhaha des discussions.
Cette mise à nu de cette vie misérable qui avait été la sienne, et qui avait une fois de plus éclaté aux yeux de tous, l'avait plongé dans un désarroi abyssal. Enchaîner les verres pour se donner à nouveau cette contenance qu'il avait perdu en montrant son âme ainsi blessé, était la pire des réactions.
Ses yeux bleue nuit bordés de cils d'un noir intense, fixaient le verre remplie d'un digestif plutôt fort. Il ne disait rien, mais le fixait en faisant tourner lentement entre ses mains le liquide ambré. De la musique s'éleva à ses oreilles, et des rires redoublèrent. Il y eut des oh et des ah, pour cette fin de repas bénis, qui se composait en plusieurs dessert. Une main énorme et solide à la fois le fit sortir de ses pensées moroses, qui l'empêchaient d'être à 100 % dans la fête.
- T'as encore de la place ? Questionna Louis en pointant de son autre main, les nombreux desserts fait par grand-mère et sa petite fille.
- Une toute petite, ricana t-il étrangement. Comme si cela avait été fait par une voix extérieur à la sienne.
Pourtant lui seul eut cette surprenante sensation, et tandis que certains et certaines refusaient la moindre bouchée supplémentaire de peur d'éclater sans doute. Les plus gourmands continuaient cette course à la gourmandise, fière sans doute de ce dire plus tard, qu'ils n'avaient loupé aucune étape.
D'une traite Livaï vida son verre de digestif et marqua une grimace un peu crispé tant le breuvage était fort. Bientôt une assiette remplie d'une part de chaque dessert lui fût donné. Il y avait dans ces bouchées sucrées de la gourmandise, mais aussi le savoir faire de grand-mère et que tout le monde qualifiait d'inégalable.
- Vous avez vu ? Se venta un peu la doyenne. La vieille elle sait encore y faire hein ! Bon j'ai eu un tout petit peu d'aide de Chloé mais...à peine, taquina t-elle sous les rires de l'adolescente.
- T'es injuste grand-mère, de défendit la jeune fille qui avait sur ses genoux son petit frère Juju qui commençait à piquer du nez. Je t'ai pas "un peu" aidé. Je t'ai " beaucoup" aidé.
- Oh pfff...si peu ! continua t-elle avec malice, avant de reconnaître tout les efforts de l'adolescente.
La soirée continua en laissant les minutes et les heures s'égrainer. Les plus petits bientôt capitulèrent, et tel une colonie de vacances allèrent tous se coucher, après avoir reçu un câlin et un bisous de papa et maman. Sans doute, certainement même, étaient-ils tous impatient d'être le lendemain matin, afin de voir tout les beaux cadeau que le père Noël leurs aura livré. Profitant qu'ils étaient tous couché et endormi en un claquement de doigts, parent et grand-parent en profitèrent pour déposer auprès du sapin, les futurs cadeaux, déposé par le célèbre Monsieur en rouge. Les adultes en firent de même pour leurs conjoints, et bien des taquineries naquirent lorsque les plus curieux, voulurent céder et ouvrir leurs paquet maintenant.
- Non demain matin comme les enfants, entendirent-ils à chaque fois.
Haussant les épaules cette idée fatale d'une attente interminable ..ou pas, les firent retourner dans la grande salle à manger, qui fut en grande partie débarrassée. La musique fût un peu baissé, mais les rires furent toujours là, présent et fidèle au poste. Livaï aussi riait, facilement même et pas à demi comme il en avait l'habitude. A croire parfois qu'il avait honte de faire cela. Pourtant une très petites bougonneries, passa ses lèvres minces lorsque son jeune compagnon posa une main sur son verre une fois de plus remplie d'alcool. Eren savait que s'était sans doute un peu culotté de sa part de faire ça. Mais intérieurement, il craignait déjà pour les répercussion du lendemain.
- Ça fait un peu beaucoup là ! Lui affirma donc Eren en levant l'un de ses sourcils épais. Oui je sais s'est la fête..mais demain tu vas être malade et le regretter...avec...ta phobie. Enfin tu sais...
- Beuh ! Je ne vais pas vomir ! Rassura Livaï dans un frisson qui secoua son échine rien qu'à l'évocation de ce mot dégoûtant. Pi...Toi aussi des fois tu abuses de l'alcool..Comme à ton anniversaire par exemple.
- Oui et justement le lendemain j'ai regretté, répondit tranquillement Eren.
A côté de lui Armin, Jean Abel et sa femme avaient entamé une vive discussion passionné.
- T'en fait pas, le rassura Livaï en tapotant un peu brusquement sur les joues de son fiancé, je tiens bien l'alcool, précisa t-il en écrabouillant peu après les joues de ce dernier, et qui ainsi déforma la bouche d'Eren. Tu sais que t'es mignon toi ?
- T'es pété Livaï ? Marmonna le jeune homme, qui se souvient d'une phrase que lui avait dit Hansi une fois.
" En faite quand Livaï est saoul, il est arrogant et désinhibé. Rien ne le gêne, rien ne le freine. RIEN."
- Meuh non ! Je suis juste détendu ! Nuance ! Assura t-il sous les rires de ceux qui l'avaient entendu.
- Et bah ça alors...s'étonna Eren, en passant la main sur sa nuque, puis en voyant son amant se lever de son siège tout en lui tendant la main. Quoi ? Qu'est-ce que tu veux !
- C'est la fête donc on danse ! Non ?
Ses joues étaient rougeq, et son regard emprunt d'une fatigue ou ses excès de la soirée avait joué leurs part. Armin en l'entendant dire ça, poussa un souffle surpris. Jamais il n'aurait cru entendre ou même voir Livaï demander à Eren de danser devant tout le monde.
- Met un Tango Chléo please, demanda maladroitement notre ivre patron du salon de thé. Pardon, je veux dire Chloé. Allez mon grand bébé, lâcha t-il en direction d'Eren qui passa du blanc au rouge un moins d'un quart de seconde ! Faut savoir s'amuser comme tu le dis souvent ! Allez..
" Vraiment, il n'a plus rien qui le gêne." raisonna à nouveau la voix d'Hansi, dans l'esprit du jeune photographe.
Autour d'eux, les rires et les allez ! Allez ! Encourageant des oncles, tantes, cousins cousines, parents prêt à faire encore la fête, raisonnèrent dans la large pièce. Complice Chloé mit la musique demandée, quand enfin son cousin se décida à se lever de son siège.
- Tu conduis, déclara Livaï en direction de son fiancé, même si malgré ses dire c'était lui qui " menait" la danse.
Encore une fois, de " tango", les gesticulations du couple n'en eut que le nom. Caricaturale et agité dans d'étrange mouvement peut gracieux, ils avaient le don d'amusée tout le monde. Néanmoins un fait frappa alors Eren, qui se sentait comme un pantin dans les bras de son petit ami.
Ils étaient nuls pour danser ensemble, et avant la mariage, ils devaient tout les deux remédier à ça.
Pourtant le jeune homme d'un optimiste joyeux, et d'un tempérament festif se laissa aller à se jeu là, et s'amusa comme un vrai gamin en entendant les rires de son adoré. Surpris tout le monde poussa une sorte de souffle étonné quand Livaï malgré sa petite taille, parvient sans souci à faire basculer Eren en arrière- même si il n'était pas loin du sol-, sans qu'il n'y ait le moindre risque qu'il le lâche.
Saoul ou pas, Livaï restait maître de son incroyable force.
Ce petit délire étrange et incompréhensible, surtout de la part de Livaï poussa ceux qui étaient encore debout, - grand-mère étant parti se coucher- à danser jusqu'à ce que leurs pieds demandent grâce. On poussa un peu la table à demi débarrassé, on gesticula, on ria beaucoup, et on mit surtout de côté des petites gênes qui en temps ordinaire pouvait frapper ici et là. L'eau coula à flot, tout comme l'alcool aussi.
Quand enfin tout le monde capitula pour prendre du repos, la table était à présent débarrassé du moindre plats, couverts, assiettes, fourchettes, dont une partie était entrain d'être lavé dans le lave vaisselle.
Une partie des convives baillant et fatigué, durent remettre manteau et bonnet le temps de traverser la court, avant de rejoindre ce qui en temps de vendange était un dortoir pour les saisonniers. L'envie de s'allonger et de dormir parut à cet instant être l'envie prédominant tout ce petit monde. On se souhaitait une bonne nuit, ou plutôt une bonne sieste au vu de l'heure qu'il était.
- Livaï je t'aime. Mais là, t'es vraiment torché comme jamais mon chéri. C'est dingue, c'est la première fois que je te vois te laisser autant aller.
Tout en disant cela Eren montait les marches tout en portant Livaï dans ses bras, un peu comme une mère avec son môme. Derrière eux, Jean et Armin les suivaient pour rejoindre leurs propres chambre. Tout comme Grisha et Carla. Mais le festif brun, au tempérament un peu morose, ce qui était là un étrange mélange, avait à cette heure la langue bien pendu.
- Tu dis ça, mais tu vas vouloir faire des trucs, petit cochon ! bredouilla à voix basse le brun près de l'oreille du photographe, le tout doublé d'un bâillement sonore. En faite, je crois que c'est toi qui est saoul, pas moi. Ivrogne.
- Pff...ah ah ah, ria bien malgré lui Eren. Non c'est toi l'ivrogne.
- Non c'est toi ! Répéta Livaï, lorsqu'ils arrivèrent devant la porte de leur chambre ! Là, il secoua vaguement la main, en direction de ses beaux parents, puis de Armin et Jean. On se revoit vite hein ! Lâcha t-il un peu bêtement, comme si là ils se séparaient pour une longue période.
- Oh la la, s'inquiéta à Carla qui tout comme Grisha répondit dans un geste de la main quasi machinal. Il va le regretter demain...le pauvre.
La porte grinça sous son ouverture franche, et fit tout autant de vacarme si ce n'est plus, quand Eren la referma à coup de pied. Une fois cela fait, il alluma la lumière puis déposa son fardeau à demi éméché sur le lit. En toute franchise même si ils s'étaient bien amusé ce soir là, le jeune photographe ne savait trop quoi penser du fait que son si sévère compagnon s'était laissé aller à boire autant.
Malgré tout la nuit était bien avancé, et il ne voulu pas réfléchir d'avantage à tout ceci, et préféra reporter ses réflexions à plus tard, quand son esprit serait plus clair et plus reposée. Assis sur le lit Livaï détachait les boutons de sa chemise froissé, tout en maronnant des trucs pas très compréhensible. Très vite, il la jeta au sol tout comme son pantalon et ses chaussettes, chose qu'il ne ferait absolument jamais en temps ordinaire. Eren de son côté fouillait dans leur valise à la recherche de leurs tenues de nuit.
- Suis sur...petit cochon que tu veux...j'mette mes bas blanc hein...hein ! C'est ça ? Et bah ok, on fait ça ! Allez, allez !
Tout en disant cela, le brun avait tendu la jambe dans l'attente qu'Eren lui fasse enfiler le dis vêtement. Ce dernier après avoir déposé sur un fauteuil, leurs tenu de nuit pour le lendemain matin à leurs levé, l'observa avec sur le visage la même surprise qui l'avait saisi plusieurs fois au court de la soirée. Livaï était là sur le lit, juste en sous vêtement, avec une jambe inutilement levé, et un regard franchement vitreux. Passant près de son fiancé, Eren lui fit baisser la jambe et l'incita à se glisser sous les draps. Après cela il contourna le lit, puis ouvrit la couette du côté de son lit. Après avoir éteint la lumière, il se glissa à son tour à l'intérieur des draps, en poussant un franc souffle de soulagement.
-Tu sais bien qu'on les à jeté car ils étaient foutu, rappela Eren en entendant Livaï marmonner, encore une fois dieu seul sait quoi.
- Ah ? C'est vrai ...
Ouvrant son long bras, le jeune homme senti bientôt son petit ami venir se coller à lui, telle une petite ventouse. Les mains solides du brun partirent durant un temps à l'aventure, tandis que pour une fois et surtout à cause de son état d'ébriété, Eren avait nul envie de jouer à la bête à deux dos. De loin, de très loin même, il préférait dans ce genre d'amusement avoir un compagnon pleinement conscience de ses capacités, plutôt qu'à moitié ivre.
Heureusement les insistances pour une fois inutile de Livaï, ne durèrent pas longtemps puisque très rapidement le sommeil le saisi. Le joue écrasée contre le torse d'Eren, il arriva pour une fois à s'endormir en un claquement de doigts. Fait rare mais bénéfique.
Dans la chambre situé à côté de la leurs, le marchant de sable paraissaient ne pas avoir encore sévis. Le tout jeune couple, qui de leurs côté avait passé une excellente soirée. Surtout pour Jean encore un peu surpris d'entendre et de voir autant de tolérance en comparaison à sa propre famille, paraissait ne pas chercher le sommeil dans l'immédiat.
La lumière était éteinte, et les deux amants étaient agréablement au chaud sous une couette assez épaisse. Le sommeil était là comme en veille sous leurs paupières fatigué. Mais il y avait malgré l'heure plus que tardive, une sorte de prolongation. Collé l'un à l'autre comme dans une tentative de fusion impossible, leurs lèvres avides paraissaient ne plus pouvoir se séparer. Le souffle court, car les moments de prise d'air était plutôt rare, leurs langues avides ne cessaient de se cajoler. Les doigts d'Armin entre deux baisés fougueux glissaient dans le chevelure souple de Jean. Les mains de ce dernier un peu baladeuses, un peu curieuses passèrent dans son dos, en le serrant ainsi d'avantage contre lui. Bientôt la jambe de son blondinet monta sur sa hanche.
- On devrait....on devrait....balbutia l'homme à la haute taille, dont les mains prisent d'une soudaines indépendances, palpèrent le fessier tout rond...dormir...
Sa voix ordinairement franche, était agrémenté de quelques touches pleines d'hésitations. C'était un peu comme si il ne croyait pas en ses propres paroles. Oubliant ce qu'il venait de dire, sa bouche s'empara à nouveau de celle de son petit ami, ou leurs langues dansèrent un ballet des plus endiablé....A nouveau les mains de Jean pelotèrent franchement le fessier de son amant, qui émit d'étranges petits gémissements semblable à des couinements. Le tissu gênant un peu trop ses paumes de main, Jean baissa le sous-vêtement dans un geste un peu impatient et qui arriva jusqu'à mi-cuisse, et renouvela ses agréables palpations.
Cela parut sans doute être parfaitement suffisant pour accentuer chez Armin, cette petite pulsion d'amour mêlé d'envie qui l'agitait. Sa voix plus fluette que celle de Jean, gémie plusieurs fois le prénom de celui-ci ...Les choses étaient soudainement entrain de déraper entre eux, alors que jusqu'ici, l'un comme l'autre avaient décidé d'avancer à leurs rythme et surtout tranquillement. Pourquoi là tout de suite, tout semblait s'envoler dans une sorte de tourbillon de passion incontrôlable ?
Cette question parfaitement valable, n'obtient aucune réponse logique. Sans doute était-ce juste que leurs tempéraments sage jusqu'ici, semblaient leurs crier que justement de cette sagesse louable, ils en avaient assez. Leurs bouches toujours aussi avides d'amour, continuèrent leurs embrassades multiple qui bientôt teinta leurs lèvres d'une légère rougeur dû à ces excès. Les mains de Jean baissèrent un peu plus le sous vêtement de son petit ami jusqu'au genoux, qui d'une main un peu tremblante en fit de même.
L'obscurité parfaite de la nuit, sût cacher à cet instant le carmin des joues d'Armin. Bientôt leurs deux membres dotés d'une certaine vitalité, entrèrent dans un contact étroit les faisant presque frisonner jusqu'à la racine des cheveux.
- Oh la la, bredouilla d'une voix tremblante le blondinet en sentant être basculer sur le dos.
Malgré la pénombre parfaite, il arrivait à distinguer la silhouette forte de Jean et qui s'était installé au dessus de lui. Doucement celui-ci se pencha pour embrasser son cou. Plus bas, leurs deux membres étroitement liés, les firent onduler du bassins comme-ci ainsi l'un répondait à l'autre. Un frémissement logiques les agitas, et des geignements de plaisir commencèrent à se faire entendre dans la pièce.
- Hum.....lâcha le blondinet la main sur sa bouche, dans une discrétion difficile à garder. Lui contrairement à son meilleur ami, ne savait pas que dans cette maison, les murs étaient relativement épais. Et qu'à moins de beugler comme un âne il y avait peu de chance de se faire entendre.
Tout en recevant une pluie de baisé dans le cou, Armin sentit la main de son amant glisser entre leurs deux ventres, et s'emparait ainsi de leurs intimités.
- Avec moi, murmura à son oreille l'homme à la haute taille, dans l'espoir que la menotte de son charmant compagnon viendrait accompagner sa main dans ses gestes de montée et descente.
Et c'est ce qu'elle fit. Lentement, doucement, puis un peu plus vite, leurs voix bientôt se firent entendre dans des gémissements compréhensif, et leurs cœurs se mirent à battre d'un bouleversement parfaitement logique...La tension monta encore, et de plus en plus rapidement. Leurs corps se tendirent jusqu'à ce que l'orgasme les fauchent, tel une faux sur un champs de blé. Le souffle court, le corps un peu pantelant, le silence n'était coupé que par leurs souffles devenu pressé par ce plaisir soudain et partagé.
Jean et Armin eurent soudainement l'impression d'avoir passer comme une petite étape dans leur relation. Eux qui s'étaient jusqu'ici contenté de bisous un peu poussé, n'avait jamais été jusqu'au moindre acte sexuel. Sans doute parce que l'un n'avait que peu d'expérience en la matière, et que l'autre ayant eut que des petites copines avait peur d'être un maladroit ou piètre amant avec un garçon. Même si loin d'être idiot et ignorant Jean savait parfaitement comment les choses se passaient entre hommes. Tout comme Armin d'ailleurs.
Doucement la main qui était restée tendrement appuyé sur la joue d'Armin, alla malicieusement allumer la lampe de chevet posée sur la table de nuit. Surpris par cet éclat lumineux soudain, le blondinet croisa ses bras au dessus de son visage rouge écarlate. C'était la première fois qu'il ressentait se genre de plaisir partagé. Car rappelons le, sa première fois avec une fille de son âge, ne s'était pas à proprement parlé, bien déroulé..
- Pourquoi t'allumes ? Bredouilla t-il d'une voix pleine de gêne.
- Pour t'admirer, sourit Jean en écartant les bras de son petit ami, dont le visage était parfaitement cramoisie. Tu es trop mignon..
- Mais...c'est...ultra gênant...t'es nul. Je sais plus où me mettre....Là-dessus il avait vaguement tapé de son poing l'épaule de Jean. Celui-ci reçu le coup porté avec bien peu de conviction, avec un sourire sur le visage.
Son long regard observa chaque recoin du visage rouge, chaque petit bout de peau. Il admira les grands yeux bleue claire, emprunt d'une pointe gêné touchante et bouleversante.
- Tu me plaît tellement Armin..Tu me plaît en tout point en toute occasion, et à chaque instant. Tu es certainement la personne que j'aime et que je respecte le plus au monde, déclara t-il dans une confidence amoureuse. Tu le sais ça ?
- Oui, bien entendu, admit le jeune homme en éteignant vite fait bien fait, la lumière qui venait à peine d'être allumer. Je t'aime plus que tout moi aussi, tu sais.
Plongé à nouveau dans la pénombre le couple se fit un câlin bien plus sage. Juste pour le plaisir d'être ainsi l'un contre l'autre, et dans l'espoir de trouver le sommeil sans avoir à rester dans leurs coins. Après quelques secondes de silence Jean poussa un gros bâillement, mais reprit la parole.
- Si..si on doit aller plus loin, je préfère que ce soit ailleurs...qu'ici dans une maison remplie de monde, et surtout avec ton meilleur pote juste à coté. Je veux que contrairement à ta première fois, que la notre soit parfaite...et pleine d'amour afin que là, tu en ais un bon souvenir. Tu comprends ?
Encore une fois, il y eut un silence relativement court, ou Jean reçu un tendre baisé sur la joue en guise de réponse à sa question.
- J'ai de la chance de t'avoir comme petit ami, murmura timidement Armin. Tu es si attentionné, avec moi, que ça me touche sincèrement.
- C'est moi qui suis chanceux, le contre dit avec amusement ce dernier parfaitement détendu au chaud dans ce lit douillet.
Tendrement enlacé plus un mot ne sorti de leurs bouches. Mais aucun écart ne se fit entre eux, même lorsque l'endormissement les saisirent. La nuit qui était déjà bien avancée, s'acheva sans aucun autres éclats, ni aucuns autres bruits. Les âmes se reposèrent après tout ces agréables excès festifs, et accueillirent en leurs esprits des songes paisibles.
Bientôt le ciel nocturne se teinta de légère éclaircie dans un silence qui aurait pu être totale, si le vent glaciale avait consenti un instant de cesser de souffler. La neige haute de plusieurs centimètre, parût lorsque le soleil commença tout doucement à poindre, briller tel une multitude de joyaux exposé aux yeux de tous.
Livaï était bien dans son lit, la joue parfaitement écrabouillée contre son oreiller humain. Son sommeil était pesant et sans le moindre cauchemar. Cela lui faisait un tel bien, qu'il aurait sans doute souhaité que cela durent encore une heures, ou peut-être même deux. Mais un bruit arriva à attirer son attention malgré son endormissement presque parfait.
Un cri...Un seul ? Non pas un seul, ils étaient plusieurs, et teintés d'autre chose que de la frayeur et de la douleur qui avait teinté son enfance. Pourquoi criaient-ils ainsi ? Son esprit brumeux eut bien du mal à décortiquer les émotions qui s'échappaient de ces nombreuses exclamation. Pourtant il parvient petit à petit, à reconnaître ...de la joie. Oui c'était bel et bien de la joie, voir même de l'euphorie. Pourquoi ?
Lentement ses paupières s'ouvrirent, malgré la lourdeur qui les accablaient. Émerger lui demandait selon toute vraisemblance, une énergie qu'il n'avait pas en cette matinée de Noël. Son corps encore engourdit par le sommeil pas si lointain, ressemblait à une machine un peu rouillé. A ses côtés son petit ami et fiancé, sortit de son sommeil avec beaucoup plus de vigueur. Allongé sur le dos, la couette au dessus de la tête, Eren repoussa cette dernière en jurant un bon coup.
- Putain ! Pourquoi ils gueulent comme ça !! Y en a qui dorment ici, merde !
- C'est Noël,...marmonna Livaï avec bien peu de vaillance. Les enfants doivent ouvrir leurs cadeaux, je suppose.
A son tour Livaï sorti de dessous la couette, tel un diable sortant de sa boite. A nouveau il tenta d'ouvrir les yeux. Mais constatant la réticence que ses paupière avaient à rester ouvertes, il les frotta vigoureusement avec la paume de ses mains.
- Tu n'as jamais été aussi impatient qu'eux à leurs âges ? Je suis sûr que si.
- Si...bien sûr que si.....mais ça fait juste, chier d'être réveillé comme ça..
Eren bougonnait, Eren était à l'évidence mal réveillé. Malgré tout, il arriva à tempérer sa mauvaise humeur, en portant son attention sur Livaï qui malgré, sa voix encore un peu traînante de part son sommeil pas si lointain, paraissait en quelque sorte en pleine forme. Pas de migraine, pas de gueule de bois, malgré les descentes sévère qu'il avait fait la veille.
- Si on descendait ? Proposa d'ailleurs ce dernier. J'ai très envie d'un café !
- C'est dingue, marmonna Eren en allumant la lumière de sa lampe de chevet qui lui fit cligner des yeux plusieurs fois. Moi si je bois autant que toi, tu l'as fait hier. Je dégueule à tout vas. Et toi t'es...
- Rah pitié, ne parle pas de ça ! Bredouilla le brun dans un frisson incontrôlable qui remonta jusqu'à la racine de ses cheveux. S'étant levé pour s'habiller, un frisson de dégoût avait secoué son corps à moitié nue. Hier j'ai été ridicule de me laisser autant aller...c'était si..
- T'en fait pas, la famille ne va pas te faire la moral, là-dessus. Ni même te juger. J'en suis certain ! Assura Eren en se levant à son tour puis en s'étirant dans une étrange posture.
Un bâillement digne d'un lion se fit entendre de sa bouche, avant qu'il ne trottine en direction de son amant, qui avait déjà enfilé son pantalon de pyjama. Là, il le ceintura en passant les bras autour de sa taille puis déposa un baisé tout simple sur sa joue.
- Bonne anniversaire mon petit chéri, sourit Eren qui peu après colla sa joue à celle de Livaï, tout en ondulant dans une danse bien moins laide que celle de la veille.
- Merci.
- 25 ans ça se fête, plaisanta la jeune homme, qui ne bougea pas de position.
- Ah ah, c'est ça....25 ans...ria Livaï en posant les mains sur les bras du jeune homme. Rajoute en dix, et le compte sera bon.
- Pff peut importe, m'en fiche de l'âge, Marmonna Eren en déposant encore un dernier bisous sur la joue avant de se décider à s'habiller un peu plus chaudement. Brr fait froid.
Terminant de se préparer, le duo sorti peu après de leur chambre et réalisèrent rapidement qu'ils étaient les derniers à se lever, au vu des portes grandes ouverte à l'étage. Sans parler des nombreuses voix d'enfants et d'adultes qui se faisaient de plus en plus entendre en bas. A travers la fenêtre du palier, une lumière pâlichonne apportait une certaine luminosité.
Autour de l'énorme sapin de Noël, enfants et parents étaient assis à même le sol, et découvraient avec joie, le plaisir simple d'ouvrir un paquet cadeaux. Les plus rapides des plus petits, étaient déjà entrain d'étrenner leurs nouveaux joujoux, et cherchaient pour certains à rendre l'autre jaloux. Il y avait des étoiles dans les yeux, des sourires sur les lèvres et des bisous de remerciement sur les joues, pour ceux qui ne croyaient plus au père Noël.
Des papiers colorés jonchaient le sol, et des cartons de jouet et autres, qui commençaient petit à petit à faire un jolie tas. L'oncle Louis s'occupa bien vite de ces déchets en les écrasants dans ses mains avant de les jeter dans un gros sac poubelle.
Au même instant, Jean serrait Armin dans ses bras. Le blondinet quand à lui avait un beau pull ultra confort et d'une douceur à faire pâlir n'importe qui sur les genoux. Lui qui détestait le froid, aimait tout ce qui l'aidait à lutter contre tout ce qui le faisait désagréablement frissonner.
- J'vais pouvoir avoir du bon, du très bon café, affirmait Jean avec un franc soulagement sur le visage. Et pas le jus de chaussette que je me tape tout les matins. Merci.
N'ayant jamais fêter Noël, Livaï se posa par automatisme en spectateur. Il s'amusait de l'euphorie des mômes, dont certain après avoir fait le tour de la famille venait lui montrer leurs beau jouet. Jouant l'admiration, il écarquillait les yeux et donnait l'impression aux enfants, qu'il était impressionné par leurs nouvelles acquisitions.
- Hey ! L'interpela Eren en agitant la main pour qu'il vienne le rejoindre, car comme un môme il avait vite trouvé le cadeau que Livaï avait pris soin de lui acheter. Viens ouvrir tes cadeaux toi aussi.
- Mes ? Répéta le brun, en voyant sa belle mère afficher à son doigts une très jolie bague, qu'elle montrait à tout le monde.
- Bah ouais ''tes", intervient à son tour Louis en lui faisant l'une de ses célèbre grande claque dans le dos.
Non loin d'eux, grand-mère s'était assise sur une chaise, et observait toute sa descendance s'agiter avec bien du bruit. Parfois elle mimait l'envie de voler un jouet quand un petit venait lui montrer ce que le père Noël lui avait apporté. Alors l'enfant s'enfuyait face à cette mamie voleuse, qui éclatait de rire en voyant ça.
- D'abord, tu ouvres les miens, s'impatienta presque Eren en montrant du doigts ce qui était en effet une bien belle pile de présent.
- Mais ? Bredouilla Livaï surpris car mise à par avoir un cadeau de son fiancé, il ne s'attendait pas à avoir tout ça. Mais.....pourquoi tout ça ?
- Ah ah ah, Ria avec une pointe de fierté Louis, qui aimait les effets surprises. Le copain, il croyait vraiment qu'on allait oublier son anniversaire !
- Le Naïf, renchéri l'oncle Warren.
- Ça ce voit qu'il connaît pas encore bien la famille, ajouta Franz.
Louis était là debout, haut de ses 2 m 10, ce qui à peu de chose près était le double de la taille de Livaï. Ses poings énormes étaient sur ses hanches, et un air malicieux, assez semblable à celui de grand-mère, faisait briller son regard noisette. Commençant à comprendre ce qui se passait, Livaï se rappela soudainement de toutes les discussions téléphonique d'Eren avait eu avec son oncle, et qui avait été étrangement discrète.
Livaï alla donc s'asseoir près de son compagnon tandis que petits et grands sous l'impulsion de Louis, qui jouait les chef d'orchestre, chantaient un " joyeux anniversaire" à Livaï.
Rouge de confusion car être le centre d'intérêt n'était pas quelque chose dont il avait l'habitude, Livaï avait l'impression soudaine que son visage était entrain de prendre feu. Jamais, on avait trouvé utile de célébrer sa venu au monde. Sans doute parce que durant longtemps, on lui avait surtout fait comprendre que sa vie et son existence était inutile et insignifiante.
" Ça fait dix ans qu'on t'a chier au monde. Et bah tu parles d'un cadeau. "
" Ta mère aurait mieux fait de se débarrasser d'un avorton comme toi. Peut-être qu'elle serait encore en vie. Ah ah ah ! "
" Allez fout le camp Livaï, anniversaire ou pas ! Au moindre pet de travers c'est la cave ! Allez hors de ma vue."
Ses anniversaires enfants n'avaient été qu'humiliation. Sûrement était-ce aussi pour ça qu'une fois adulte il n'avait jamais trouvé utile, ni même nécessaire de fêter ce jour, car à quoi bon ? Pris brièvement dans ses songes, se fut l'exclamation de joie d'Eren en ouvrant son paquet qui le fit sortir de ses pensées. Clignant des yeux, il avait été surpris de voir la longue paires de bras de celui-ci passer autour de son cou.
- Ooooh sérieux une console, avec mon jeu préféré mais...mais comment t'as su ?
- J'ai mes sources, répondit évasivement Livaï en lançant un coup d'œil en direction d'Armin.
- Quoi ? Vous avez comploté tout ça tous les deux ? Et je n'ai rien vu !
- Ouais, et c'était pas facile vue que tu as l'œil partout, assura le blondinet tandis que Jean observait la console de jeu.
- Comme je n'y connais rien en jeux vidéo et tout le tralala. Armin m'a été d'un grand secour, expliqua Livaï en ouvrant le premier paquet cadeau avec sur ses genoux le petit Juju qui très curieux, voulait voir aussi ce que contenait tout ces beaux cadeaux.
Ici et là, des photos étaient prises, et cette bonne humeur typique de cette famille soudée, venait réchauffer le cœur de tous.
- Un bon d'achat pour des produits de nettoyage, lut Livaï en ouvrant une enveloppe cachée à l'intérieur de la boite. Gros nul, ria t-il en levant les yeux au ciel. Ça ne m'étonne même pas.
- Oh...c'est nul...répéta Juju parfaitement dessus. C'est quoi le reste ? Demanda t-il en collant le bon d'achat dans les mains d'Eren.
- Franchement..., se moqua un peu Carla qui reconnaissait bien là, une blague de son fils.
- Ça ne m'étonne pas de lui, ria Grisha.
Sortant du carton une boite qui ressemblait à une sorte de mini valise d'une marque de maroquinerie très très célèbre, Livaï observa un instant cette dernier, puis l'ouvrit avec une lenteur qui faisait presque frémir d'impatience le petit Juju. Autour d'eux les enfants continuaient de jouer assez bruyamment. Dans le beau coffret, se trouvait trois bouteilles de parfum célèbre, et dont la popularité était telle, qu'ils étaient en rupture de stock. Un fait été certain, cela avait dû coûter un bras.
Ouvrant l'une des bouteilles, le patron du salon de thé leva les yeux au ciel tant la fragrance était un véritable délice. Aussitôt le petit garçon voulu sentir, et trouva qu'en effet ça sentait très bon. Mily s'ajouta au tout, et se retient de jurer tant c'était agréable comme odeur.
- Ça c'était le cadeau de Noël ! Précisa Eren en recevant un tendre baisé, qui le fit sourire. Et ça c'est pour ton anniversaire.
- Je suis beaucoup trop gâté, déclara Livaï.
- Oh ça non alors, on est jamais trop gâté ! Releva grand-mère, sous une nuée de " oh ça, c'est vrai."
- Bien dit, ma petite mère, ajouta Louis.
Le second cadeau celui pour son anniversaire, sembla quelque peu inquiéter Eren, qui n'était pas vraiment sûr de son choix. Cela se voyait facilement avec la façon qu'il avait de se tortiller les doigts et de le fixer avec appréhension. Il s'agissait en faite d'un coffret simple, dans lequel se trouvait plusieurs cravates aux nuances et au motif divers et varié.
- Comme...comme tu en mets une tout les jours à ton travail. Je..je me disais que ça faisait une pierre deux coups..Tu aimes au moins ?
- Oui, bien sûr, assura Livaï en hochant la tête tout en souriant, le regard fixé sur les nombreuses cravates qui s'offraient à sa vue. Son caractère pragmatique était tel qu'il aimait ce qu'on appel les cadeaux utile. Le soucie à présent, ça va être de faire un choix.
Dans cette pile de cadeau auquel Livaï ne s'attendait pas, se trouvait une tasse sur lequel il était écrit " si tu veux frôler la perfection, passe à côté de moi." Là-dessus, il avait éclaté de rire comme à peu près tout le monde. Cette idée venait tout droit de grand-mère qui paraissait très fière de l'amusement que cela avait déclenché. Il y avait aussi, un beau porte feuille en cuire, ce qui était pas plus mal, car le siens faisait un peu la tête. Des boites de chocolats. Un coffret de "mignonnette" d'alcool de qualité, de la part de Louis et Élisa. Une écharpe et un bonnet d'une douceur incroyable, un bracelet en cuire tressé, et des bouquins de son auteurs préféré.
Jamais de toute sa vie, il n'avait été aussi gâté. Et jamais on avait vu ça comme normal, le simple fait de lui faire un présent. Voir tout ces gens autour de lui, tout ceux qui étaient à présent sa famille se satisfaire de lui offrir tout ces cadeaux, apportait à son cœur une bonne dose d'amour familiale dont il avait été trop longtemps privée.
- Je suis encore à me demander, si je mérite tout ça, déclara t-il lorsque l'agréable corvée fut achevé. Mais vraiment je tiens à tous vous remercier. Jamais je n'ai passé un si bon anniversaire, alors..merci 1000 fois, de m'accepter autant dans votre famille.
Il était là debout, avec autour de ses épaules le bras d'Eren qui ne cessait de lui embrassé la joue. Il aurait voulu comme toujours cacher son émotion, derrière son impassible visage, mais un sourire simple et heureux, ne voulu pour une fois laisser sa place à qui que ce soit.
Ce jour de Noël et d'anniversaire, fut sans aucun doute le meilleur de toute sa vie.
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Et voila pour le chapitre 30. Rien qu'à cause des cadeaux pour Livaï ça a été une véritable tanné à écrire. Je ne savais pas quoi lui filer comme cadeau etc...c'était vraiment pas amusant à écrire se passage. J'espère que ça ne se voit pas trop.
Dans les cas merci pour votre lectures.
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