Phantomhive.

Il y avait une tombe où il y était marquée "Rachel Phantomhive" et l'autre où était marquée "Vincent Phantomhive". Ils sont réellement morts ? Je commença à partir quand je m'écroula par terre. Que ce passe-t-il ? La peur m'emporta mais je ne pouvais pas bouger. Mon corp était lourd, mes paupières ne voulais pas s'ouvrir. Ma tête me faisait mal comme pas possible. Qu'est-ce qui c'est passé ? Je cru entendre la voix d'une personne que je hais tout particulièrement :

- Je t'ai eu salope, tu vas mourir. Mais tu vois, je veux te tuer devant le petit con que tu aimes.

Il parle de Ciel là ? La voix était celle de mon père. Je paniqua. "Ciel aide-moi" pensais-je au plus profond de mon cœur, de mon âme. Mon père me prit comme un sac à patate. Je luttais pour ne pas m'endormir mais se fus plus fort que moi et je tomba dans les bras de Morphée. Quand je me réveilla, il faisait tout noir, ou peut-être bien que non. Je crois que c'est juste parce que j'ai un truc devant les yeux. J'étais attachée à quelque chose de froid. C'était rond et long, on dirait des barreaux. Des barreaux de lit !? "Non ! Non ! Pas ça ! Je t'en supplie !" criais-je au fond de moi. Les mots voulaient sortir de ma gorge, de ma bouche mais ils ne pouvaient pas. Ils étaient comme...coincés. Ma gorge étant sèche, ça empirait. Au lieu des mots, se fut des cris stridents qui sortirent. Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ? À ces pas, je pouvais entendre qu'il s'approchait de moi. Il enleva se qui servait à me cacher la vue. Il me dit avant de le retirer :

- Ma petite fille est réveillée à ce que je vois.

Il me répugne. Quand il enleva le truc, la lumière m'éblouissa. Je fus obligée de fermer les yeux. Peu à peu je m'y habitua. Je rouvris lentement mes yeux. Mon père, assit en face du lit, sur une chaise, me toissa du regard avant de me dire :

- Bien dormis ?

- Ta gueule. Dis-je calmement.

Il se leva, tout aussi calmement que je ne l'était, me détacha des barreaux mais refit les liens juste après. Il se posta en face de moi et me lança un coup de pied dans le ventre. Je fus propulsée hors du lit, contre le mur.  Il me dit avec un rire qui donne envie de vomir :

- Petite, ne m'insulte pas avant que ton petit ami ne soit là pour le spectacle.

- Crève charogne. Dis-je simplement.

Il me mit un coup de pied dans le visage et me dit :

- Ce n'est pas comme ça qu'on parle à son père, voyons Luna.

La porte s'ouvra dans un fracas qui me fis tambouriner la tête. Mon père regarda les nouveaux arrivants puis souria comme un enfant. Iose baissa, me prit par les cheveux et m'assis correctement avant de me dire :

- On peut commencer !

Au lieu de lui répondre, je lui cracha du sang à la figure. Va-t-il vraiment me tuer ?