Chapitre VIII

Ma mère est-elle morte ou pas?

Ciel commença sa phrase :

- Écoute....ta mère...à été... tué par...

- Mon père ? Je ne le laissa pas finir sa phrase, je continua, où est-il?

- Encore en liberté. Je ne sais pas comment il à fait mais il à échappé à Sebastian.

Quand il finit sa phrase je me leva et parti en furie dans le couloir. "je vais tué celui qui à tué ma maman" me répétais je dans ma tête. Pourquoi a-t-il fait ça ? C'est pas elle qui aurais dut mourir mais moi ! Elle, elle n'avais rien fait ! C'est pas juste ! Alors que je courais dans les grands couloirs de ce manoir. Une main attrapa la mienne, ce qui me stoppa net. Il me dit :

- Arrête. Tu ne pourra rien faire. Si il te voit, il voudra qu'une chose : te tuer. Alors s'il te plais reste là.

- Pourquoi ? Pourquoi l'a-t-il tué ? Je n'aurais pas du la laisser. Je dis la fin de ma phrase en sanglotant.

C'est alors que Ciel me tourna de façon à ce qu'il puisse voir mon visage. À l'aide de ses pouces, il essuya les larmes sur mes joues et me dit, à voix basse :

- Ce n'est pas ta faute. Ton père est dangereux, c'est tout. Tu n'as pas à le justifier. D'accord ?

Je fis un signe positif avec ma tête. Il me prit dans ces bras. Au début je fus surprise mais je me laissa embarquer et réconforter par cette personne merveilleuse. Cette personne est unique. J'aimerai tellement rester gravé dans son cœur... Quoi ? Qu'est-ce que je dis moi maintenant ?! N'importe quoi !.. Quand il se détacha de moi, il me dit :

- Va dans ta chambre, tu risque de te faire mal à l'abdomen si tu continue à courir comme ça dans les couloirs.

J'obtempera et alla dans ma chambre. Une fois dans celle-ci je m'assis sur le lit et réfléchis "c'est de ma faute si ma maman est morte... Et maintenant qu'elle est morte je n'ai plus rien à perdre. La seule chose qui comptais le plus pour moi c'était elle. Elle était ma vie, ma raison. Il faut que je le retrouve. Personne ne doit mourir. Si il veux me tuer moi, c'est ce qu'il aura..." Je sorti donc de ma chambre et me dirigea dans l'entrée. Arrivé aux escaliers, je regarda derrière moi pour voir que personne n'était là. Comme je ne vis personne, je me retourna pour voir devant moi et commença à descendre les marches de ces grands escaliers. Quelqu'un m'attrapa l'épaule. "Merde ! Je me suis fais chopper par Ciel" pensais-je. Il me dit visiblement en colère :

- Que fais-tu ?

- Je pars, il faut que je le retrouve. Répondis-je en essayant de descendre (ce que j'échouais lamentablement).

- Non, on s'en occupe. Toi, tu as besoin de repos.

Je ne m'étais toujours pas retournée. À vrai dire j'avais peur de lui faire face. Je ne lui répondis pas et continua à essayer de me délivrer de son emprise. "Il a de la force, ce gamin !" Plus j'essaya de retirer sa main, plus il la descendait de mon bras. Quand sa main fut arrivée dessus la mienne. Il... ou moi... enfaite peu importe. Nos doigts s'entrelaçaient. Tout ça m'obligea à me retourner. Quand cela fut fait, je ne sais pas ce qui lui prit mais il m'attrapa par la taille et m'approcha de lui. Je ne savais pas se qu'il fallait que je fasse. La seule chose que je voulais dans l'immédiat c'était l'embrasser. Goûter à ces lèvres. Que ce passe-t-il ?

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