Je l'aime.Je le déteste.
Pour toi ma belle, MonickaLhoste .
Ce n'ai pas que je n'aime pas l'école, j'aime apprendre, ce que je n'aime pas c'est les gens. Les élèves, ce qui se prennent pour des stars, ceux qui proprement appelé « les populaires ». Je suis un garçon solitaire, je n'aime pas la compagnie de tout le monde, mais alors eux, Dieu sait à quel point je les
déteste. Sauf lui, lui il fait toute la différence, avec son petit cul tout
serrés dans son pantalon. Je suis fou de lui et en même temps je le déteste, je le haï au même niveau que je l'aime, et c'est déroutant d'aimer et d'haïr une même personne. Il est le populaire, le vrai, celui qui rigole du malheur des autres, celui qui crois qu'il est plus haut que nous terriens. Donc lui il
est catégoriser comme le populaire, et moi l'insociable, celui qui s'habille en
noir, qui aime les tatouages et les piercings, celui qui est le bras droit de
Satan. Aux yeux des gens je suis un gothique, qui fume de la beuh et qui vole les sacs des petites vielles dans la rue pour pouvoir payer mon herbe.
Et cela va paraitre peut-être bizarre mais je suis un religieux et je vais à la messe tout les dimanches. Et toc.
Je suis pas la meilleure personne dans ce lycée, ni dans cette ville, voir même de la planète, mais de la à me catégoriser car je n'ai pas le même physique ou le
même style vestimentaire que eux est petit. Je pensais que tout cela était
fini, que les moqueries avais cessé, mais en réalité les gens sont toujours la
même petite merde qu'avant, que la génération de nos parents, je dirais que sa
c'est empiré, les gens sont si méchants, si mesquins, si ignorants. Et merde
Louis fait parti de ce genre de personne. C'est un petit ingrat, qui ne pense qu'à lui, qu'à ses cheveux et ses dents blanches.
Mais bordel de merde, je l'aime. Alors imaginez ma joie quand le professeur de
sociologies nous a mis ensemble pour un devoir maison à faire à deux, c'étais
électrisant de s'avoir que j'allais enfin pouvoir être seul avec lui, que
j'allais pouvoir l'approcher, voir le toucher. C'était jouissant. Quand le prof
à annoncer son nom de famille j'ai faillis venir dans mon pantalon tellement
j'étais heureux, lui il a fermé les yeux, comme abattu, bah oui, le satanique.
Il m'avait regardé de biais, me jaugeant, surement occupé à se demander quelle connerie il allait pouvoir sortir au prof pour changer de partenaire.
-Avant que vous me souliez avec sa, non vous ne pouvez pas changer de partenaire,
maintenant changer de place et retrouver le votre, avait-il dit.
J'avais ris.
Louis c'étais levé car moi je me lève pas, et encore moins pour aller devant.
-Bien écoute mec, on ira chez moi, disait-il.
-Ok.
-Bon bah note l'adresse, avait dit Louis arrogant.
-Calme toi,
et évite de me parler comme sa, je suis pas ton pote, pas ton bouffon non plus,
avais-je dit.
-Note.
Notre première conversation c'était dérouler comme sa, pas de bonne impression, une agressivité dans sa voix, comme si j'avais tué son chat pour des rites satanique. Un vrai connard.
Et donc je me suis retrouvé le lendemain devant chez lui, une jolie maison beige, toquant à sa porte. Je m'attendais à le voir lui, mais une petite fille ouvra la porte.
-Bonjour, dit-elle zozotant légèrement.
-Hey, tu sais que tu ne devrais pas ouvrir la porte aux personnes que tu ne connais pas, lui dis-je en souriant.
-Lui dit pas, demande-t-elle.
-Ok, mais ne recommence pas alors, lui dis-je en retour.
Elle me sourit en guise de réponse puis appel sa maman. Une femme en pantalon en flanelle arriva me souriant.
-Harry ? Demanda-t-elle.
-Tout à fais madame, enchanté, lui répondis-je tout sourire.
-Entre donc, Louis est-à l'étage il va descendre, continua-t-elle.
Je hochai la tête et attendis que louis se décide de descendre pour que l'on commence à travailler, j'avais hâte de le voir, de revoir c'est si beaux yeux, sa si belle bouche qui quémandais d'être prise. J'étais complètement épris de lui.
-Monte Styles, dit-il du haut des escaliers.
-Harry, dis-je déjà souler de son comportement.
-Quoi ?
-Je m'appelHarry, dis-je.
-Je sais, continu-t-il avec un sourire arrogant.
-Alors ai le respect de m'appelé par le prénom que ma mère ma donné, lui souriais-je en retour.
-Ta gueule, tu m'énerve déjà.
-Arrête de me manquer de respect Louis, parce que putain ne crois pas que je me gênerais pour t'en coller une, lui dis-je menaçant.
-Ah parce que tu te rebelle maintenant ? Me demande-t-il avec un regard mauvais.
-Quand-es la dernière fois que vous m'avez fais chier ? Jamais, je n'ai jamais eu le besoin de me rebeller, vous vous en prenez qu'aux plus faibles.
-Je n'ai jamais rien fais moi, dit-il.
-Ah parce que tu pense que c'est bien de rire sur les autres ? Devant eux en plus,
ne rien faire alors qu'ils sont humiliés ? T'es tout autant la même merde qu'eux.
-Maintenant c'est à toi de fermer ta gueule Harry, parce que putain je n'accepterais pas que tu ose dire que moi j'humilie les gens, putain de merde, dit-il énerver.
-Je te regarde tout les jours, tout les jours avec tes copains de merde vous vous
amusés à humilier les autres.
-Tu meregarde ? Genre ? T'es pédé ? Dit-il écarquillent des yeux.
-Quoi- euh-pff non, essayais-je.
-Oh merde mais tu me mate ? Haaaaan, je m'attendais pas à sa, t'aime la queue, rigola-t-il.
-Tu vois, lui dis-je blasé, tu m'humilie la, t'es une merde Louis, j'en reviens pas à
quel point je me suis trompé sur toi.
Je partis sans demander mon reste, sans demander d'excuse parce que ouais je sais Monsieur Tommo ne donnais jamais d'excuse, il était trop haut pour moi. J'étais déçu et blessé, quel enculé putain. Je ne suis pas reparti en cour pendant une semaine, disant que j'étais malade comme un chien, ce n'était pas totalementfaux. J'étais mal, j'avais mal au cœur et à l'estomac, sa me donné la nausée, de s'avoir que quand je retournerais en cour tout le monde serra au courant de mon homosexualité.
A cette instant je ne s'avais pas encore si je devais l'aimer ou non, il m'avait encore prouvé qu'il n'était qu'un con, il avait atteint le summum de la débilité
humaine. Quand je suis retourné en cour le lundi suivant, j'avais peur, j'avais beau jouer le dur, le coriace, si cinq mecs se mettais sur moi j'étais foutu. Mais rien ne se passa, personne ne fit de blague désobligeante, je ne me suis pas fais attrapé dans un couloir par les colosses du lycée. Juste les regards habituels.
Louis m'attrapa pendant la pause déjeuner à l'endroit ou je suis habituellement, derrière le lycée, là ou personne ne vient, là ou personne ne me fais chié ;
-Salut Harry, dit-il.
-Tu veux quoi au juste ?
-M'excuser ok ?
-Ah bon parce que tu t'excuse maintenant ? Dis-je méchamment.
-J'ai jamais eu le besoin de m'excuser tu sais, tu pense de mauvaise chose sur moi, mais je ne suis pas la personne que tu crois, continu-t-il doucement.
-Tu traine avec des personnes qui rabaisse les gens, tu rigole quand ils le font, tu t'ai moqué de moi ! Commençais-je à hurlé.
-Tu vois très mal alors parce que sinon tu aurais vue que mon rire étais faux, que quand les autres s'éloignaient je prenais leurs défense et que je leur disais que c'étais mauvais.
-C'est vrais que sa a suffis hein ? C'est vrai qu'ils ont arrêtés de se moquer des autres, mais dit moi Louis pourquoi tu traine avec eux ? Si comme tu dis tu n'ais
pas pareil que eux ?
-Je suis dans l'équipe de football, ce n'est pas par choix que je traine avec eux, j'ai été catégorisé directement quand je suis arrivé ici, dit-il.
-Ne va pas me dire que cela te gêne, ce n'est pas comme si c'étais dur d'être « le
roi » du lycée.
-Tu crois ? Tu pense que c'est facile de l'être ? Je suis tout le temps épié, tout le
monde me juge, tout le monde attend un faux pas de ma part. Je ne peux pas assumer ce que je suis, je ne peux m'affiché avec la personne que j'aime, alors tu pense que tout sa c'est facile ?
-En quoi c'est compliquer ? Etre avec ta copine, t'afficher avec, en quoi c'est
compliquer ?
-Je suis gay Harry.
-Quoi ? Dis-je en écarquillent les yeux.
-Surprise ? Ouais je suis gay, alors va dire sa aux mecs de l'équipe, tu va voir que bientôt cela sera moi la victime.
-Mais... Pourquoi tu t'es moqué de moi ?
-Je ne me suis pas moqué, j'étais juste étonné, merde Harry je- tu- je ne pensais pas que toi aussi tu aimais les hommes, dit-il petit.
-Tu n'as jamais remarqué mes regards ? Je te regarde constamment Louis, dis-je aussi petit que lui.
-Et toi tu n'as jamais remarqué les miens ? Sourit-il.
-Pardon ?
-Je te regarde tout le temps, j'adore tes yeux, j'essaye tout le temps de les croisés. Tu me plais, je sais que je ne suis pas la meilleure personne de ce lycée, que je ne t'ais jamais parlé jusqu'à la semaine dernière mais tu me plais depuis
des années, j'avais juste peur...
-Sérieusement ?
-Ouais,dit-il en écarquillent les yeux.
-Tu n'as plus peur maintenant ? Demandais-je timidement.
-Nope, je ne pensais pas que je te plaisais, tu étais si inaccessible, solitaire. J'avais peur que tu me rejette et que tu balance à tout le monde mon homosexualité.
-Je- woh- merde je peux t'embrasser ? Demandais-je en souriant de toutes mes dents.
-Je n'attends que sa ! Pouffa-t-il.
Je lui souris encore plus et m'approche de lui, il me regarde de ses yeux si bleu, je me penche, je m'approche, je me colle à lui et pose enfin mes lèvres sur les
siennes.
Je pense que je l'aime.
Je pense que je le déteste encore plus.
On est si différents, mais notre différence nous va bien, notre différence ne nous
dérange pas, nous somme égaux. C'est exceptionnel ce qui nous arrives.
C'est mon exception.
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