PDV Cristian :

Le soleil vient imposer sa loi en me forçant à me réveiller. Je me lève, toujours les yeux pratiquement fermé, et me dirige vers la cuisine, comme tous les matins. Seulement, cette fois, un truc horrible se produit ! Je me cogne le petit orteil dans ce qu'il me semble être une petite table basse. Depuis quand j'ai une table basse dans ma chambre moi ?

J'ouvre entièrement les yeux et me rend enfin compte que je ne suis pas dans ma chambre. Les souvenirs d'hier soir me reviennent en mémoire. Un petit sourire viens s'étiré sur mes lèvres, avant de vite disparaitre en remarquant l'absence d'Ever. Elle ne doit pas être bien loin. Enfin j'espère.

Je descend l'escalier que j'ai emprunter hier, lorsqu'un gargouillement viens me rappeler que nous n'avions même pas manger emporter par la fatigue. Arriver à proximité ce qu'il semble être la cuisine, je m'arrête soudain en entendant des voix.

" ... et je n'ai pas réussi à évité le coup. Will m'a bien toucher cette fois, il faut vraiment que je m'améliore ou il aura ma peau avant que j'ai la sienne. Cette guerre n'a que trop durée, dit la voix que je reconnais être Ever.

- Fais attention Ever, et n'oublie pas qu'on est tous là pour t'aider en cas de besoin. Comment va ta jambe ? demande une voix masculine.

- C'était une horreur mais elle va mieux. Tu n'imagine même pas à quel point j'ai eu peur quand j'ai vu l'état de ce qu'il m'a fait. J'ai réussi à minimiser au maximum les dégâts, le reste peut parfaitement se soigner tout seul. J'espère juste que ça ne me laissera pas de cicatrice. Une est déjà suffisante et me coute déjà à regarder. Je l'a hais.

- Ever je sais que tu t'en veux énormément pour l'accident, mais il faut maintenant que tu l'accepte. Et, ce n'ai pas en partant te battre avec la haine qui est en toi, qui va t'aider. Elle peut même,au contraire, te porter préjudice.

- Comment veux-tu que j'arrive à l'accepter si cette hideuse cicatrice me rappelle systématiquement ce que j'ai fait ! J'ai tuer mes parents ! répond t-elle je devine les larmes aux yeux.

- Oh ma belle, viens la, répond le mec."

Un sentiment étrange s'empare de moi en imaginant Ever dans les bras d'un autre que moi.

" Merci Soyoka. Aller file, la belle au bois dormant devrait bientôt se réveiller, plaisante-t-elle.

- Chef, oui chef !

- Imbécile, je suis entourer d'imbécile, s'indigne-t-elle.

- Hé ! Petit peste. Allez, bye soeurette.

- Bye. Dit au autre de ne pas se faire remarquer.

- T'inquiète."

Puis je n'entends plus rien. Étrange. Je décide alors de rentrer dans la pièce comme si de rien était. J'aperçoit Ever le dos tourner en train de se faire une tartine. Personne d'autre à l'horizon. Soit je deviens fou, soit c'est encore un de ces trucs magiques bizarres. Je pencherai plus pour la deuxième. Enfin bref.

Je me rapproche d'Ever d'un pas lent et discret, plus je me rapproche et plus je la trouve sexy mais mignonne à la foi. J'entoure son corps de mes bras et colle son dos contre mon torse, sa tête se calant inconsciemment en arrière me fais sourire.

" Bonjour, mon amour. Bien dormi ?

- Oui. Faut dire que tu es un excellent coussin et aussi une excellente couverture.

- Oui, je sais ja sais. Je suis exceptionnel.

- MDR !

- Tu me vexe la.

- Tant pis pour toi. Bon ramène tes fesses et viens manger, on a rien avaler hier.

- Chef, oui chef !

- Quand je dis que je suis entourer d'imbéciles, dit-elle désespéré .

- Hein ? fis-je innocemment.

- Rien rien laisse tomber. Aller mange."

Je m'attaque aux céréales et aux tartines qu'elle a préparer, et nous mangeons tranquillement en parlant de tout et n'importe quoi. Je suis content de m'être un peu plus rapprocher d'elle.

PDV Ever :

Je me lève après avoir rêvé une nouvelle fois de ma vie passée. De ma mère, mon père et le reste de ma famille. Ma tête est poser sur le torse de Cristian, je me redresse délicatement et lui caresse légèrement les cheveux. Je fini par me lever pour le laisser dormir encore un peu.

Je regarde l'heure, il est 7h25 du matin. C'est le week-end et tant mieux. Je sors de la chambre, descend les escaliers et traverse le grand salon pour aller dans la cuisine. J'ouvre la fenêtre pour sentir l'air frais de l'hiver sur ma peau quelques secondes. Soudain une brise passe à côté de moi, et prend une toute autre forme une fois à l'intérieur de la maison.

" Coucou Soyoka ! Ça va ?

- ouaip et toi ?

- bien bien. Oh mais tu t'es blessé ?"

Je lui explique alors l'attaque et discute avec lui un long moment. Je lui dis alors au revoir car Cristian ne devrait pas tarder à ce réveiller, et il ressort par la fenêtre . Je la referme et prépare le petit déjeuner. Après quelques instants, je sens des bras entourés mon corps et un torse se coller contre mon dos. Je cale ma tête inconsciemment contre la personne qui me tiens dans ses bras, et qui n'est autre que Cristian.

" Bonjour, mon amour. Bien dormi ? me dit-il d'une voix très douce et toujours un peu endormie.

- Oui. Faut dire que tu es un excellent coussin et aussi une excellente couverture.

- Oui, je sais ja sais. Je suis exceptionnel.

- MDR ! lui répondis-je.

- Tu me vexe la.

- Tant pis pour toi. Bon ramène tes fesses et viens manger, on a rien avaler hier.

- Chef, oui chef !

- Quand je dis que je suis entouré d'imbéciles, dis-je désespéré quand je repense à la réaction de soyoka, heureusement qu'il est partie avant que Cristian n'arrive.

- Hein ?

- Rien rien laisse tomber. Aller mange."

Il attaque les céréales et moi ma tartine au Nutella. On fini de manger, je lui dis que je dois m'entraîner et qu'il peut partir, mais bien évidemment il conteste et ne veut apparemment pas me laisser seule pour m'entraîner avec ma blessure encore récente à la jambe.

Je me dirige vers ma salle d'entrainement. J'ouvre la porte, et je commence à m'échauffer une fois rentrer dedans.

" Wouah ! Dit Cristian derrière moi. Eh bah, ça c'est une salle d'entraînement ! Y a de tout, c'est incroyable. "

Évidemment je ne suis pas bête, vu qu'il est là, je vais devoir me passer d'armes aujourd'hui. Je ne tiens pas à lui montrer les petits secrets de cette villa. Je vais donc en profité pour entraîner mon corps à corps. Et puis comme ça, il va me servir à quelque chose le Cristian. Ça lui apprendra à vouloir rester, pas vrai ? je souris d'amusement.

" Je sais. Allez mets toi au milieu de la pièce sur le grand tapis. On va faire un petit combat.

- Comme ça je pourrais me venger de la dernière fois.

- Rêve toujours. "

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Coucou tout le monde 🤗 !!

J'espère que vous avez aimé ce nouveau chapitre.

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Bisous 😘😘😘😘 !!!