chapitre 7 quelques ans plus tard

<je sais que ma douleur est poussé à l'extrême,quand je me rends compte de souhaiter; de ne jamais t'avoir rencontré,toi et ton sourire>

Je ne sais pas.
Je ne sais plus combien de temps c'est passé
Combien de feuilles sont tombées
Combien de rayon lunaire/solaire m'ont éclairé...depuis que tu es partie

Luxus regarda d'un oeil peu intéressé le paysage qui se faufilait sous ses yeux assit confortablement sur son siège de bureau tant d'années ont passé tant d'années que les choses, non. Que son monde a été bouleversé au minimum quatre ans pensa - t-il le poing accoudant sa joue il avait abandonné sa carrière de boxeur sous les plaintes de ses nombreux fan et c'était lancé dans l'entreprise de son père reven tail,drôle de nom pour lui. Qui essayait de rivaliser avec celle de son grand père en vain

Cela n'intéressait en aucun cas luxus, lui ce qu'il voulait c'était retrouver celle qui avait détruit son monde cette femme masqué depuis il avait mis une distance envers ses amis si on lui demandait comment allaient ses anciens camarades de classe,il ne s'aurait comment répondre car lui même il ne le savait pas il avait des problèmes beaucoup plus urgent notamment. Son état psychologique

En plus de quatre ans il n'avait toujours pas oublié, il n'avait toujours pas oublié cette douleur il n'avait toujours pas instaurer le calme dans son esprit qui se faisait rongé et dévorer chaque jour par les images de son seul et unique âme - soeur datant. Dieu que ça remontait de loin mais dieu qu'est ce qu'il aimait. Il aimait ses sautes d'humeur, il aimait sa folie constante et inexplicable pour formé des couples peut être étais ce dû à un complexe... il passa une main sur son visage dépité de penser encore à cette femme il devait tourner la page il le savait..mais ne savait pas comment parceque..

Ça lui manquait.

Son sourire lui manquait son air diabolique lui manquait cette moue boudeuse qu'il provoquait lui manquait à chacune des expressions de la blanche des images d'elle dans ces états venait lui venait à l'esprit comme des poignards qui lui rappelait ce qu'il a perdu

- mr le président le blond sursauta étant interrompu dans ses pensées par sa stagiaire evergreen excusez moi de vous dérangez mais il reste des documents à signer

D'un signe de tête luxus indiqua à son employer de poser les dite documents sur le bureau et de s'en aller une fois chose faite il se replongea dans ses pensées sans exit, c'est ce qu'il faisait chaque jour. Pensé pensé pensé et pensé encore et encore à son sourire pour final retrouver l'image d'elle en sang un trou sur le front chaque soir ses mains tremblaient, chaque soir il suait ,chaque soir son âme perlait la tristesse, sans s'arrêter à chaque cauchemar. Il en avait marre de vivre ainsi, de vivre avec ce cauchemar flagrant de vivre avec ce fantôme rayonnant.

Ses paupières s'ouvrit simplement laissant transpercé la détermination de ses pupilles. Par de là la vitre, il ferait payer à cet être qui lui a tout prix en une seule nuit...c'est décidé

je vais la tué.

- madame fernandez j'ai une question

La rouge tourna son regard agacé vers son élève et se fit violence pour ne pas lui balancer la crai en plein visage

- qu'es ce qu'il a sharp et j'espère pour toi que cette question ne mettra pas en cause mon état psychologique entre professeur à torsonnaire.

- je suis sûr que vous mentez quand vous dites que vous étiez hyper populaire au lycée

- moi je suis sûr que tu mens quand tu racontes à tes potes que tu n'es plus puceau

Suite au parole de la rouge toute la classe rigola tandis que le dénommé paul fimunait de colère sur son siège

- laisse tomber lança un de ses potes la prof elle est trop balèze

- ouais rajouta un autre épuis comment tu peux douter de sa popularité juste regarde la juste en écrivant au tableau elle a un de c'est charisme et en plus elle est ultra jeune pour une prof

Mais paul lui ne l'entendait pas de cette oreille cela l'exaspérait de voir la rousse aussi populaire auprès des élèves tout le monde n'avait que son nom à la bouche depuis son arrivée et encore partout où il allait il avait droit a des "qu'est ce qu'elle est belle madame fernandez" "j'adore ses cheveux" "elle a trop de charisme c'est fou" "il paraît que mr fernandez est son époux" "mieux elle apprenait ici avant" c'est qu'une prof bordel sa mâchoire se contracta en fixant d'un oeil mauvais son professeur qui expliquait sa leçon il aimerait tellement la voir loin d'ici,loin de ses potes qui ne fait que baver sur elle.Loin de sa petite amie qui ne parle que d'elle

D'un coup il eut une idée suite à cela un sourire machiavélique orna son visage, il allait en fin avoir la paix il allait en fin ne plus voir la tronche de cette femme vous ne vous attendez pas à ce qui va vous arrivez madame fernandez

Alors que erza sortait d'un pas lent de son bureau elle vérifia une dernière fois si elle avait rangé ses clés certaine de cela fixa l'horizon quatre ans ça faisait déjà quatre ans depuis tant de choses c'est passé elle releva lentement le bras qui détenait son alliance qui émit une infime lueur tant de choses se sont passés... elle carressa tendrement son ventre continuant de fixer l'horizon

Et toi tu n'es pas là pour t'extasier.

Elle baissa la tête sous le coucher de soleil alors qu'un rire perlait ses lèvres je vois déjà d'ici là toi qui saute sur moi en criant que j'ai été plus rapide que les autres alors qu'elle relevait son regard vers l'horizon,des larmes menaçaient la rouge, elle les essuya d'un revers de bras. Elle devait être forte car elle n'aurait pas aimé la voir dans un tel état après quatre ans que pouvait elle faire

Sa bonne humeur était ancré dans ses souvenirs tel une ancre noir inscrit sur son coeur elle repensa ensuite aux regards de la blanche qui se vidait petit à petit de joie et surtout de vie elle se mordit férocement la lèvre puis entendit un bruit

Alors qu'elle dirigeait son regard vers son élève paul sharp qui s'avançait vers elle le poing en l'air criant de courage la rouge esquiva d'un pas son attaque avant de lui tordre le bras derrière son dos en le mettant à genoux de force et de le mettre à plat ventre sous les gémissements plaintif de son élève

Et bain tu n'y es pas aller de main morte avec lui souviens toi que c'est quand-même ton élève zaza

MIRA.

Erza avait tourné vivement sa tête derrière elle,criant le prénom de son amie dans son esprit. Elle aurait juré entendre sa voix elle aurait juré l'avoir entendu parler,mais malheureusement ou heureusement pour d'autre cas. Seul le vent l'avait répondu balançant ses cheveux au gré de sa danse

- MADAME ! LÂCHEZ MOI !

Quatre ans sérieusement,ça faisait quatre ans que Grey avait avoué ses sentiments à juvia, quatre ans qu'ils vivaient ensemble, quatre ans....que les disputes s'enchaînaient quatre ans que ces deux âmes soeurs se dichiraient,étais ce vraiment le sort du destin ? Étais ce vraiment le choix cruel de ce monde de fissuré le miroir de cette amour ? Le rêve de juvia d'avoir énormément d'enfants avec l'homme de sa vie s'était il envolé au loin juste par une brise ? , elle ne le savait pas, et elle ne voulait plus rien entendre. Elle ne voulait plus rien confondre juste repensé à cette amour datant.

Grey lui avait la migraine, il passait des nuits sans dormir ses cernes le montraient quatre ans que nous sommes enfermé de cette amour soudain grey se demanda pourquoi continuer comme ça, pourquoi rester plus longtemps avec la bleu si ils souffraient et tout les deux le savaient,alors qu'il allait laissé un son sortir de sa bouche une image lui vint celle où il a rencontré la bleu

Voulait il vraiment tout briser ?

"C'est votre nouvelle photographe juvia essayez de bien vous entendre"

Allait - t-il laissez cette fissure avoir raison d'eux ?

"La bleue accorda un sourire au ténébreux tandis qu'une légère brise vint caressé sa chevelure"

Allait il vraiment laissé ce sourire ce briser

Alors que le brun était toujours dans ses pensées il sentit deux mains le poussé, le poussé dans les bras de sa copine sous l'impact ils tombèrent tout deux sur leur lit, alors que juvia était dans la confusion grey lui regardait derrière lui pour identifier la personne qui l'avait poussé et compris tu es une plaie même quand tu n'es pas là il reporta alors son regard vers sa bleu, sa bien aimé, sa propriété, sa juvia

Il le savait il ne supporterai jamais voir cette belle femme dans les bras d'un autre, même si elle le rendait fou il ne supporterai jamais qu'elle s'éloigne de lui il préférait mourir que de ne plus apercevoir la lueur de ces yeux océans , il savait que ça ne s'arrêterait pas, les disputes, les cris , les larmes mais après tout ce n'était pas ça un couple ? Et c'est parceque ils s'aimaient passionnément que leur amour était autant toxic

Il savait que juvia l'aimait et lui il l'aimait alors pourquoi dévier leur amour dans des larmes. Juvia ne comprenait toujours pas qu'est ce qui arrivait à l'homme qu'elle aimait ? Puis elle le vit approché de plus en plus et son coeur battait la chamade elle avait peur, peur que tout cela se termine il sorte la phrase qui hantait ses horribles cauchemars "je veux qu'on se sépare" Non, non elle avait attendu tant d'années pour lui partagé ce qu'elle ressentait elle avait attendu et attendu et elle n'en avait plus la force

Elle ne voulait plus rester toute seule en pleurant sa solitude, elle ne voulait plus pensé à la fois où son amie a quitté cette vie si cruel. Elle ne voulait se mutilé en pensant à ce moment où elle n'a servi à rien, à la fois où son amie c'est fait frappé par luxus, juvia était la plus marqué par les événements, elle n'avait pas un tempérament fort comme lucy luxus natsu ou erza, elle ne prenait pas sur elle comme Sting et grey non, elle elle souffrait elle la voyait chaque soir elle avait peur oui peur le noiraud a été sa seule brise de lumière durant sa période sombre il lui fallait de la lumière....parmi son enfer

Elle ne voulait plus ressentir cette solitude qu'elle a ressenti plus d'une année sinon elle ne voulait plus ressenti son âme suffoquer, elle ne voulait plus ressentir ses ongles s'enfoncer dans sa chaire si tendre et belle mais elle le savait....elle risquait de cédé à ce monde cruel.Tout ce qui l'a retenait, était son amour pour grey oui ils se disputaient, oui ils se criaient dessus, oui des fois c'était toxic...mais elle préférait ça que d'avoir à nouveau comme amie sa solitude.

Alors que Grey approchait doucement de son oreille les larmes de juvia longeait sa peau douce elle redoutait le moment fatidique qui l'a hantait , elle redoutait ses paroles elle redoutait sa vie, grey lui ne dit rien un instant puis se permit d'ouvrir la bouche pour laisser la bleue sans voix

- la vraie liberté, c'est de pouvoir danser avec ses chaînes il jugea la fille qui détenait forcément son coeur du regard cherchant la moindre émotion il y découvrit du doute et de la surprise il lui carressa tendrement la joue gauche je t'aime juvia et je suis sûr que tu ne supporterai jamais de me voir avec une autre un rire s'échappa de ses lèvres dès qu'il aperçut le regard colérique de sa bien aimé bipolaire jusqu'au bout tu sais je suis certains, plutôt persuadé contre nous il n'y a que de l'amour mais trop difficile à éparpillés entre nous il n'y a que des retours parceque, ne supporte carrément pas d'être éloigné, j'aime changé d'avis quand tu me tournes le dos....je te préfère près de moi plutôt que chez un autre et je pense qu'il faut sérieusement changé l'ampoule à force de s'amuser avec l'électricité juvia ne pu s'empêcher de rire face à cette phrase chute. Et donc je pense qu'à force on consumera tout notre amour sans raison si on continu de cette façon et moi bizzarement j'aime bien quand on est comme ça toxic et qui sort du lot qu'on ça se complique et qu'on a plus les mots j'adore changé d'avis quand tu me tourne le dos je te préfère près de moi plutôt que chez un autre alors je te le demande pour la seconde fois et de façon beaucoup plus ouverte et sincère il lui carresse le bout de la joue avec son pouce pour lui adressé un regard amoureux chérie...ma chérie ma pire ennemie tu sais pas à quel point je te déteste le jour et que je t'aime la nuit alors dans cette nuit je te demande de partager avec moi un amour toxic....rempli de cris de larme de colère d'insulte et surtout d'incroyables dose d'amour je veux que toi et moi....nous dansons avec nos chaînes pour l'éternité

Il pleut....comme ce jour lucy est muni de son parapluie regardant de ses prunelles vide de vie le ciel, ça faisait quatre ans alors que la chevelure

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top