(PDV Hélène)

Le soleil me piquait les yeux et je me suis lentement relevée du lit pour me retrouver dans une chambre inconnue.

Les vêtements éparpillés par terre étaient ceux que je portais lors de la fête organisée par ma meilleure amie hier soir.

C'est une tradition que c'est parents fesaient tous les ans, ils invitèrent tous les amis et la famille.

Chaque année mon amie voulais que je me trouve un mari pour que mes parents arrêtent de me détestaient.

Une fois la fête commencé, je me promenais un verre à la main sans envie de me trouver un mari.

Eh bien, vous devez sûrement vouloir savoir pourquoi, c'est parce que je n'avais pas envie de m'emmerder avec un mec.

Alors que je me promenais un verre de coca à la main j'ai vu ma mère Colette Anderson parler à ma sœur Johana Anderson sous un arbre dans le jardin.

Mon ouïe est particulièrement excellente, je pouvais entendre ce qu'elles disaient à distance.

Même si Johana avait baissé la voix, je l'ai quand même entendu.

Elles m'insulter.

La colère bouillonnait en moi. Comment oses-t'elles !

Alors, une fois qu'elles en ont eu fini de parler, j'ai arrêté Johana alors qu'elle était seule, lui demandant de s'excuser auprès de moi.

Apparemment elle n'as pas tenu compte de mon avertissement. Avec un visage dédaigneux affichant un "et alors", j'ai versé mon verre de coca sur elle, souriant en la voyant crier et s'enfuir.

Mais ma mère était furieuse et a crié d'une voix forte : "Hélène ! Trouve ta sœur maintenant !"

Je ne pouvais pas désobéir aux ordres de ma mère même si je n'en avais pas envie, alors je suis venue chercher Johana.

"Johana ! Où es-tu ? Je me trouvais maintenant au fond du jardin. Si je continuais d'avancer j'allais partir dans la rue. Je ne pensais pas que Johana perdrait la raison et se jetterait au fond du jardin en pleine nuit.

Je fesait abstraction des rires des autres pour voir s'il y avait Johana dedans.

Soudain, j'ai senti une odeur inhabituel.

J'ai senti d'innombrables odeurs mais j'ai juré qu'aucune d'entre elles n'était aussi attractif que celle-ci.

J'ai suivi l'odeur et j'ai essayé de m'approcher de la source. Quand je me suis approchée d'un arbre, un homme grand a surgi de derrière l'arbre.

Instantanément, l'odeur m'a envahie. Bien que je ne puisse pas voir le visage du gars dans la faible lumière, je savais qu'il ne fesait pas partie des invités.

"Qui es-tu ?" Ai-je demandé prudemment. Sa respiration était bruyante et j'avais l'impression qu'il me fixait dans l'obscurité. Dans un tel cas je n'osais pas agir imprudemment.

Soudain, il s'est jeté sur moi et m'a pris dans ses bras. Il était si fort que je ne pouvais pas me libérer.

Juste au moment où j'ai essayé de crier à l'aide, j'ai soudainement ressenti une sensation étrange. Ma conscience semblait être occupée par une autre personne. Je ne pouvais pas penser clairement et j'ai fini par m'évanouir.

Quand je me suis réveillé j'étais dans cette étrange chambre.

J'ai repoussé la couverture et je suis sortie du lit, ramassant mes vêtements. Il y avait une veste de costume d'homme accrochée au dossier de la chaise à côté de moi. Qu'est-ce que c'est que ça ? Je l'ai jeté en colère sur le lit et cet abruti est parti comme ça ?

"Est-ce lui mon mari ? Pourquoi je ne ressens rien maintenant ?" Malgré la douleur entre mes jambes, j'ai enfilé mes vêtements.

Mais ensuite j'ai réalisé que le pendentif que ma mère m'avait donné avait disparu.

Après l'avoir cherché partout dans la chambre et être devenue frustrée, j'ai entendu un coup à la porte.

Ma mère et mon père se sont précipités quand j'ai ouvert la porte.

"Patrice Anderson votre fille à passé toute la nuit à s'amuser avec un inconnu alors que tous ses amies la cherchait. S'il l'apprenennent cela sera une honte pour toute la ville !"

Ma mère a pris un air surpris et a lancé à mon père. Ensuite elle m'a regardée avec colère et m'a dit : "Hélène je t'avais demandé de chercher Johana hier. Mais qu'as tu fais ? Tu t'es amusée ici."

"Non ce n'est pas vrai !" Ai-je expliqué précipitamment.

"Regarde les suçons sur ton cou. Tu essayes toujours de tromper ton père ?"

J'ai instinctivement couvert mon cou. Le maudit homme m'avait laissé plusieurs suçons sur le cou.

"Hélène je suis tellement déçu de toi." Mon père a jeté un coup d'œil à mon cou puis à la chambre en désordre, secouant la tête.

"Je ne me suis pas amusée." J'ai retrouvé mon calme et j'ai dit calmement, "J'ai croisé un garçon en cherchant Johana et ensuite je me suis évanouie. Je ne sais pas pourquoi je suis ici. Je pense qu'il est probablement mon futur mari."

"Ton futur mari ?" Ma mère a ri "Impossible tu ments. Tu n'auras pas de mari."

"Beaucoup de filles comme moi ont trouvé leur mari. Est-ce que j'ai raison ?" Ai-je tenté d'être patiente devant mon père, malgré mon mécontentement envers l'attitude de ma mère.

Bien que j'étais en colère contre ce que l'homme m'avait fait, j'ai ressenti une étrange sensation hier.

Ma mère n'a pas répondu à ma question, mais a regardé mon père à la place.

"Quand tu est née, une voyante à fait une prédilection sur toi et a dit que tu étais une fille qui n'aurait jamais de mari," a dit mon père en me regardant avec pitié. Cela m'a choquée.

C'est impossible ! Impossible ! Comment pourrais-je ne pas avoir de mari ? Ai-je instinctivement dit.

Maintenant j'étais encore plus désespérée.

Mon esprit était en tumulte et je ne pouvais pas réfléchir calmement du tout. Comme je n'ai pas de mari mon père et ma mère vont me regnier de la famille.

"Ton père te mentirait-il ?" Ma mère a dit avec moquerie. Ensuite, elle a regardé mon père et a dit : "Chérie je sais que tu es dans une situation difficile."

"Hélène, je ne serai pas partial avec toi même si tu es ma fille." Mon père a respiré profondément. Son visage est devenu calme et il y avait de la solennité et de l'autorité dans sa voix.