Nous avions 4 étages à descendre et plus beaucoup de temps! Une fois au rez de chaussez les lumières commençait à s'éteindre. Mais cela ne nous empêchait pas de courir. Une fois à la sortit, elle était déjà fermer. Nous étions arrivé trop tard...

-Arg q'est ce qu'on fait?...

-Allons voir si il reste quelqu'un ici. Proposai-je.

Il fut d'accord avec moi. Nous marchions dans le lycée. Il fessait vraiment tout noir. Les rideau automatique nous privait de lumière. La peur commençait à m'atteindre. C'est alors qu'un bruit ce fit entendre et je sursauta.

-Tu as peur du noir Izuku?

-Oui un peu...

Il sortit de sa poche son téléphone et activa le flash. Je remarqua alors que j'avais simplement écrasé un bouchon de stylo ce qui me rassura. Je proposa à mon ami d'appeler sa mère ou son père pour qu'il puissent faire quelque chose. Nous aurions dut penser à cette possibilité plus tôt mais bon...

Il appela sa mère mais son téléphone ne voulut pas capter le réseau. j'essayais donc avec le mien mais ce fut le même résultat. Il nous restait plus qu'a chercher si il restait quelqu'un dans l'établissement.

Je me sentait plus en sécurité avec le flash mais surtout avec Shoto qui avait accepter que je lui prennent la main. Ce qui était vite passer à son bras.

-Comment fait-tu pour avoir des mains si chaude?

-J'ai toujours eu tendance à avoir plus chaud que les autres. Ça me fait rire quand en hiver je porte une tenue plutôt légère alors que ma mère porte 3 à 4 pull.

Il ne cessera jamais de m'impressionner. Le fait d'engager la discutions avec lui me fessait me sentir un peu mieux.

Nous partions en direction de la loge mais personne, la cantine non plus. Nous étions passer par tout les endroits du lycée mais il n'y avait personne. Shoto avait même découvert des endroits. Il nous restait plus qu'a attendre.

Nous allions donc nous asseoir sur un banc du rez de chaussé et nous attendions.

Je commençait vraiment à me refroidir. Les chauffages étaient tous étains ce qui rendait l'établissement très froid. J'essayais de me réchauffé avec mes mains froides puis je sentit un vêtement ce rajouter.

-Ça va aller Izuku.

Il m'avait mit sa veste sur le dos.

-Garde ta veste Shoto, tu vas avoir froid sinon.

-Non ne t'en fait pas. Je te l'ais dit j'ai rarement froid.

J'acquiesca et Fermat la veste. Je me sentais bien. Et puis j'aime l'odeur de Shoto.

-Merci Shoto.

J'hésitais à lui poser une question qui trônait dans ma tête mais je lui posa quand même.

-Dit moi Shoto. Cette marque que tu as sur ton côté droit, d'où vient elle?

-Ah cette marque. C'est une longue histoire. Mais je vais t'en parler car tu m'a parler de ton histoire...

-Si tu n'en as pas envie tu n'est pas obliger.

-Mais non ne t'en fait pas.

Il commença donc à raconter.

-Mon père avait prévu pour moi un avenir près définit et j'était séparer de toute ma famille à part lui. Il me fessait suivre des courts toute mon enfance et encore. Il voulait que je fasse des études de droit. Moi c'était l'art qui m'a toujours passionner. Mais qu'est ce qu'il en n'avait à faire. Il voulait que je sois comme lui. Il battait ma mère et ça me mettait hors de moi. Ma mère voulait seulement m'aider, que je puisse vivre la vie que je voulais. Il me battait aussi. Et puis un jour à mes 4 ans, ma mère parlait à sa mère au téléphone et elle lui parlait du fait qu'elle ne voulait pas que je ressemble à mon père. Je suis arriver à ce moment là. Luis demandant ce qu'il n'allait pas. Puis je vit son regard terrifié, ses bras remplit de bandages et de blessures. Je vit la douleur qu'elle avait à s'inquiété. Sous la folie et la peur, elle prit sa théière remplit d'un thé brulant et me le versa sur ma partie rouge qui représentait celle de mon père. Et cette cicatrice est rester.

Suite à son discourt je me sentit extrêmement triste. Il a eu une enfance si difficile... Je m'en veut de lui avoir demander une tel chose.

-J'aurais pas dut te demander... Je suis désolé.

-Ne t'en fait pas, maintenant ça va mieux. Je me suis réconcilier avec ma mère qui à quitter mon père et il n'est plus à m'embêter.

Ces yeux me mentait mais ne voulant pas lui faire plus de peine je lui répondit d'un "tant mieux"

-On as tout les deux eu une enfance difficile, pas vrai Izuku?

-On peut dire ça oui. Essayons de passer à autre chose.

C'est moi qui me met à positiver maintenant...? Shoto essaya de changer de sujet mais je ne dit pas non mais j'était surprit de sa question. 

-Tu est déjà tomber amoureux Izuku?

-Oh... Oui je suis déjà tomer amoureux... 4 fois je pense... Mais ça n'a jamais été réciproque...

-Quel étaient ses personnes?

-Je pense que j'était tomber amoureux de Kacchan. Je ne sais pas vraiment, c'était bizarre entre nous.

-Tu l'aime toujours?

Je le voyait bien arriver mais ça ne me dérangeait pas d'en parler.

-Je ne sais pas trop... l'amour c'est pas mon fort, même après avoir lut des Shojos et des Yaois... Mais actuellement il y a quelqu'un que... Je pense aimer

-Oh je voit. Parle moi des autres.

-En primaire il y avait une fille et au collège une autre mais je voyait bien qu'elles n'étaient pas pour moi, surtout quand j'ai vue qu'une des deux avait un petit ami c'était mort pour moi et l'autre une petite amie c'était encore plus mort pour moi.

Je vit un sourire incompris sur son visage, du moins je ne comprenait pas pourquoi il souriait. C'était surement pour se moquer.

-Arrête de te moquer de moi, Shoto...

-Désoler hihi.

-T'es encore plus beau quand tu souris Shoto. Dit-je en souriant.

Merde! Qu'est ce que je vient de dire à l'instant!? Je vais me faire tuer!

-Oh... Merci... Toi tu est vraiment encore plus mignon quand tu sourit.

Il rougissait et souriait à la fois. Je me contentait de rougir et d'être étonner. Mon cœur battait très fort quand il me mit la main sur la joue.

-Dit moi Izuku... Quel était la quatrième personne dont tu est tomber amoureux?

HUHUHUHU! OUI JE VOUS LAISSE LA JE SUIS NE GROSSE BÂTARDE JE SAIS MUAHAHAHA!!! 'Fin... non je croit que j'ai un lien de sang avec mes parents hihi. J'ai écrit ce chapitre dimanche dernier car il y avait mes cousins, on a parler mais j'ai écrit plus de mots que j'en ais dit... non je ne suis pas associable je ne voit pas de quoi vous parler...

Bon j'y vai! Petit bisous sur la fesse droite!