poemes qui va bien a Aepete
Aepete sa me rappeler qu'il y a un poeme que je crois qui va bien a votre amour j'espere que vous allez aime!
La main dans la main.
Va, ne crains plus les maux et le poids de la vie ;
Ceux qu'affranchit l'amour peuvent braver le sort ;
Contemplons l'avenir sans peur et sans envie :
L'amour est fort comme la mort.
Lorsque de faux amis viendront à toi, soupire
De sincère pitié pour eux, et, plein de foi,
Plus haut qu'eux, bien-aimé, viens chercher le sourire :
Laisse-les tous, regarde-moi.
Sans compter les périls, vole au but, cœur fidèle ;
Qu'importent les écueils, les autans, les frimas ?
Crois que la vie est juste et marche au devant d'elle,
Front haut, entouré de mes bras.
Et, la main dans la main, dominant tout prestige,
Nous vivrons, nous mourrons, triomphants par l'amour ;
Non plus Toi, non plus Moi, mots que l'amour corrige,
Mais Nous, sans fin et sans retour !
Bon maintenant voici ma propre playlist de poeme qui va bien a Aepete je mettrais seulement 3 ou 6 poemes
L'amour sincère.
Amour tendresse bonté du cœur,
Beauté divine beauté suprême ;
Douce pensée d'une vie meilleure,
Mon dulcinée mon beau que j'aime.
J'ai tant rêvé j'ai tant aimé,
Vos douces lèvres se sont posées,
Baisers offerts baisers d'enfer,
M'ont foudroyé d'amour sincère.
Vos cheveux court livrés au vent,
Vos yeux d'un brun aussi charmants,
Vos cris d'amour qu'encore j'entends,
Plaisirs soupirs si bouleversants.
Vous êtes ma douce beauté suprême,
L'homme unique d'amour que j'aime,
De tous les garçons de la terre,
Le plus joli le plus sincère.
J'ai tant aimé ce que vous fîtes,
Tant apprécié ce que vous fûtes,
De cet amour ce paradis,
Ces quelques mots que nuls réfutent.
Je n'ose encore vous dire aussi,
Tout cet amour qui me ravît,
Douceur bonheur si douce flamme,
Que m'ensorcelle si beau homme,
En ce poème vous donne récit !
Que serais-je sans toi.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme au passant qui chante on reprend sa chanson
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu'il fait jour à midi qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne
Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N'est-ce pas un sanglot de la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues
Terre terre voici ses rades inconnues.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Ange d'amour.
Est-il bien vrai qu'avec moi tu veux vivre,
Qu'un doux penchant m'a nommé ton vainqueur ?
Est-il bien vrai que du feu qui m'enivre
Une étincelle a passé dans ton cœur ?
Non, ce n'est point un aveugle délire :
Je suis aimé, tes lèvres me l'ont dit.
Dans tes regards, où les miens ont su lire,
En traits de feu mon bonheur est écrit.
Ô ma chérie ! ô moitié de moi-même !
Ange d'amour ! ange qui m'as charmé !
Redis-le-moi ce mot sacré : Je t'aime !
Enivre-moi du bonheur d'être aimé !
Aimé de toi ! vivre au fond de ton âme !
De mon image occuper ton réveil !
Et quelquefois, dans un songe de flamme,
D'un doux prestige agiter ton sommeil !
Contre mon sein frémissant de tendresse,
Presser ton sein de plaisir palpitant,
Et savourer, plein d'une double ivresse,
Un siècle entier dans un rapide instant !
Comme une rose épanouie à peine,
Pour me nommer voir tes lèvres s'ouvrir,
Et sur ta bouche, éperdue, hors d'haleine,
Sentir mon âme, et trembler, et mourir !
Ah ! ce bonheur qu'aux dépens de ma vie
Auraient payé ma constance et ma foi,
Dieux immortels ! que l'on me porte envie...
Soyez jaloux... ce bonheur est à moi !
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