Louis ce tient debout face à ce vieux bâtiment qui s'avérait être le restaurant dans lequel Louis voulait l'inviter. Pour être honnête il ne s'attendait pas à dîner dans un restaurant perdu au milieu des champs, avec de gros routier moustachu partout.

La scène est digne d'un film d'horreur et l'idée qu'un homme armé d'une tronçonneuse lui saute dessus pour lui couper la tête lui vient à l'esprit. Il se sent pâlir rien qu'en imaginant la scène. Calme toi Harry ! Hurla sa conscience, alors qu'elle-même était terrifiée. Il ne comprenait pas pourquoi Louis l'avait ramené ici. Il aurait préféré quelque chose d'un peu plus.. Romantique, plus chaleureux. En plus Louis, la laissé tout seul, prétextant aller aux toilettes.

La seule et unique lampe de la salle n'arrête pas de grésiller, un bruit de verre brisé se fit entendre fessant sursauté le jeune homme.

Plongé maintenant dans l'obscurité, entourée de motards et routier bourré, Harry pria pour que Louis revienne au plus vite.

Les minutes passèrent et Louis n'est toujours pas là.. Mais qu'est-ce qu'il fout ? Pensât ils. Il devient pale, ses mains se mettent rapidement à trembler à l'idée qu'il soit partie sans lui ou pire, que quelqu'un l'ait agressé, peut-être même enlever.

Quand il le vit arrivé les mains dans les poches, Harry fut partagé entre l'envie de lui sauter dans les bras ou le frapper pour l'avoir laissé seul aussi longtemps.

- Tu as froid ? Tu trembles. Dit Louis, le regard visiblement inquiet.

- Je n'aime pas cet endroit.. Il répond, la voix tremblante.

- Je sais.. Mais c'est le seul restaurant que je connais qui est éloignée de la ville.. Tu n'as pas envie de tomber sur ta mère ? Répond le plus âgé, un sourire désolé aux lèvres.

- Non.. Dit-il, en baissant les yeux.

- Il y a un fast-food pas loin, paraît-il que les hamburgers sont excellents..

- Un simple hamburger me suffira.. Coupa le boucler.

Le repas terminé les jeunes hommes deux partirent en direction de la voiture, doucement Harry alla se blottir dans les bras de son amant, humant son parfum. Il avait froid, ses dents claquèrent entre elles, pourtant il n'était pas pressé d'arriver à la voiture, car il devra se séparer des bras sécurisant de son amant.

Quand ils arrivèrent à la voiture, Louis mis le chauffage réussissant à se réchauffer un peu alors qu'Harry lui, avait toujours autant froid et comme s'il pouvait entendre ses pensées Louis posa une main sur la cuisse du jeune homme. À ce simple contact le corps de boucler s'enflamma. Il sent toutes les fibres de son corps se consumer au contact de cette main sur sa cuisse. Délicatement il posa sa main sur celle de Louis.

Il avait terriblement peur de sa réaction, il avait peur qu'il ne le repousse, mais quand il senti les doigts de son amant serré sa cuisse, il n'a pas pu résister une seconde de plus, et peut-être qu'il aurait dû s'abstenir, mais il continua sur sa lancée et remonta doucement leurs deux mains entrelacées vers son entrejambe.

Sa respiration s'accéléra, il était terrifié, c'est la première fois qu'il prenait autant les choses en main, la première fois qu'il montrait réellement son envie d'être touché.

Louis ne cilla pas et Harry ne sait pas s'il aurait préféré qu'il lui saute dessus, ou bien le fait qu'il reste impassible le rassure et lui donne encore plus l'envie de continuer.

Fortement et à plusieurs reprises, il fit faire à la main de Louis, une douce pression sur sa longueur qui durcissait rapidement ce qui lui valu plusieurs injures de la part de son amant.

Quand il est sur qu'il n'obtiendrait pas plus de réactions de la part de son amant, il profita que Louis ne retire pas sa main pour se placer correctement sur son siège, écartant les jambes au maximum et avec l'aide des deux mains toujours entrelacées, il accentua ses touchers. 

Il bandait tellement dur pour cet homme. Il ferma les yeux s'abandonnant au plaisir, et commença à imaginer plein de choses, il l'imaginait à genoux devant lui, sa bite disparaissant entre ses douces et fines lèvres, le suçant goulûment.

Au plus il appuyait sur son membre au plus sa respiration s'accélérer. Mais la frustration prit rapidement le dessus. Il avait envie de plus. Il avait envie de le toucher. Mais Louis ne bougeait pas, soit où il n'osait pas, soit il pensait qu'il n'avait pas le droit.

- Touche moi. Il murmura, le souffle court.

- Non.

- Touche moi. Les mains tremblantes, Il dezippa sa braguette avant de reposer leurs mains et de recommencer.

- Bordel Harry.. Non.

Son non veux dire oui, il le savait.

- J'ai besoin que tu me touches.. Louis s'il te plaît.

Une lueur de désir traversa les yeux de Louis.

- Tu veux que je te touche ? Très bien.. Ne vient pas pleurer après. Va derrière, je te rejoins.

Fier de lui Harry pouffa légèrement de rire, avant de retirer son jean et de se faufiler sur la banquette arrière et de s'y allonger. Il continua de se toucher en exagérant toujours plus ses gémissements. Il refoula l'envie d'éclater de rire quand il entendit Louis jurer aux sons qu'il produisait.

Mais rapidement Louis le rejoint sur la banquette arrière.

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