Fin.
- Je suis amoureux de toi Harry, toutes les personnes parfaites à tes yeux ne le seront pas aux miens..
En ce remémorant cette scène une douleur atroce prit place dans sa tête, lui donnant le tournis et l'envie de vomir. Il pleurait tellement qu'il n'arrivait plus à respirer correctement, il prenait enfin conscience que Louis ne reviendrait plus, que Son Louis a disparu à tout jamais, que son cœur ne bat plus dans sa poitrine, que son corps ne dégage plus cette douce et agréable chaleur qui le réchauffé il est maintenant froid peut-être même glacé.
Il poussa un cris de rage en se laissant tomber à terre. Ses poings s'abattent violemment sur le sol, il s'en voulait tellement, pourquoi faut-il qu'il gâche toujours tout ? Il a tué Louis, c'est de sa faute, il a tué la personne qu'il aimait le plus au monde.
Petit flashback
- Harry.. Bébé.. Arrête on va avoir un accident.. Harry..
Harry savait que c'était dangereux, mais il était tellement heureux à cette instant, Louis venait de le rendre tellement heureux qu'il voulait lui aussi le rendre bien, lui faire plaisir. Sourd aux dires de Louis, Harry continua sa caresse buccale sur le sexe de son amant. Les gémissements de Louis se font de plus en plus fort, ainsi que sa respiration. Il comprit qu'il était sur le point de jouir alors il accéléra. De plus en plus vite, de plus en plus profond au fond de sa gorge, il le suçait comme jamais. Un cris aigüe résonna dans ses oreilles, un crissement de pneus, un "boum" se fit entendre puis plus rien, le noir absolue.
Un autre cris de rage, il avait ce besoin d'exploser, d'exprimer sa douleur à travers ces hurlements. Son cœur étais en miette. Il voulait mourir, maintenant, sur ce tapis où ils ont fait l'amour pour la dernière fois. Ce tapis où ils se sont prouvé qu'ils s'aimaient encore même après deux longues années d'absence. Il arrivait encore à entendre leurs gémissements, les soupirs incessant de Louis, il arrivait même encore à voir leurs corps entrelacés.
LEMON
Savourant chacune de ses caresses, chacun de ses baisers, écoutant ses gémissements de plaisir, je n'arrivais toujours pas à réaliser que Louis était entrain de me faire l'amour.
C'était intense, ses coups de reins qui buttait contre mes fesses, mon anus qui s'était très rapidement dilaté laissant place au plaisir dans tout mon corps. Ses testicules qui cognaient contre mes fesses. Je devais me retenir d'hurler.. De crier.. De gémir de bonheur et de plaisir. Il me faisait l'amour de la plus belle des manières, tendrement et sauvagement en même tant. Mes mains se sont posées sur ses fesses, voulant lui faire comprendre qu'il devait accélérer. Je voulais le sentir encore plus loin en moi, encore plus loin dans mes entrailles.
- Tu vas finir par me tuer un jour, Harry. Ria Louis en accélérant le mouvement.
Il alla de plus en plus fort en moi, avec rage et fougue, la tendresse n'avait plus sa place.
- Ça te dit de.. Hum.. Me chevaucher ? Il me demanda timidement, ses joues étaient roses dû au plaisir, des goûtes de sueurs scintillaient sur son front, il était tout bonnement magnifique. Hypnotisé par ses deux prunelles bleues qui me fixaient, j'hocha la tête, j'étais prêt à tout pour lui. Un fin sourire prit place sur ses lèvres, faisant accélérer les battements de mon petit cœur. Délicatement il se retira de moi et s'allongea sur le sol. Viens bébé.
Mal à l'aise mais surtout rouge de honte je me positionna sur son bassin. Je n'avais pas honte d'être nu face à lui ou je ne sais quoi, j'avais honte car je ne savais pas comment m'y prendre. Heureusement pour moi, Louis plaça lui-même son sexe a mon entrée.
- Descend délicatement.
Je faisais maintenant des vas-et-viens avec mes fesses dans un rythme effréné me focalisant seulement sur le visage de Louis. L'une de ses mains pinça mon téton alors que de l'autre il malaxait ma fesse. Les miennes étaient sur son torse.
Il se mit à lui aussi donner des coups de fesses, enfonçant son gland profondément en moi tout en me branlant. Je dois avoué que cette position est vraiment très excitante.
- Tu aimes ? Me demanda Louis, je répondis aussitôt.
- Oui.. Oui.. J'aimais plus que tout même, j'aimais le sexe avec lui, abusivement et éperdument.
Quelques secondes après je jouis en hurlant son prénom. Ma semence s'échoua sur son ventre, le plaisir était tellement fort et exquis que j'en perdis le contrôle de mon corps frémissant de plaisir et de jouissance. Mon anus commença à se contracter, à l'instant même, Louis poussa un grand rugissement rauque, jusqu'à s'immobiliser, lâchant sa semence en moi.
J'étais affalé sur lui, il me caressait des cheveux aux fesses. On resta ainsi quelques minutes essoufflés de cette belle retrouvailles puis délicatement il se retira de moi avant d'embrasser mon front.
- Tu as été excellent mon amour. Je sens mes joues rougir à ses paroles, je niche ma tête dans son cou, inspirant fortement son odeur.
- Je ne pense pas avoir été aussi doué que t'es ex.. Murmure ai-je doucement.
Ses caresses s'arrêtent, je grogne pour lui faire comprendre qu'il doit continuer.
- Pourquoi dit tu ça ? Serais-tu jaloux ?
- Je suis jaloux de toutes les personnes à qui tu as pu faire l'amour Louis, je suis jaloux de toutes les personnes qui sont passés dans ton lit, je suis jaloux parce qu'il devait sûrement être mieux, beaucoup mieux que moi, je suis jaloux parce que je t'aime comme un fou.
- Bébé regarde moi.. Je relève la tête, encrant mon regard dans le sien. Je suis amoureux de toi Harry, toutes les fibres de mon corps sont amoureux de toi, et toute les personnes parfaites à tes yeux ne le seront pas aux miens, faire l'amour avec toi c'est inexplicable Harry, c'est l'une des plus belle chose au monde et croit moi personne n'est aussi doué que toi, tu as peut-être moins d'expérience qu'eux mais c'est ça qui rend les choses spécial, tu est tellement innocent, tellement beau que tu rend les choses plus belle. J'aime tout de toi, son regard dérive sur mes cuisses, ses yeux se ferment, il n'aime pas regarder mes cicatrices, en même temps qui aime voir la souffrance d'une personne marquer, graver sur son corps ? J'aime tes cicatrices parce qu'elles font partie de toi mon amour, même si j'aurais aimé qu'elles n'existent pas. Je refuse que tu sois jaloux, personne ne peut rivalisé face à l'amour que je te porte Harry et.. Bordel veux-tu m'épouser ? Je dois me mordre la lèvre inférieure pour ne pas pleurer tellement ses paroles me touchent, je ne pensais pas qu'il était encore amoureux de moi, moi aussi je l'aime, moi aussi je suis amoureux de lui. Réponds quelque chose s'il te plait.. Tu veux ?
Quand je vois les yeux de Louis briller je n'arrive plus à contenir mes larmes.
- Oui.. Oui.. Oui.. Je le veux.. Bien-sûr que je le..
Le corps secoué par de violent spasmes Harry se redressa, titubant il avança jusqu'à la fenêtre ou ce trouvais un balcon. Tout ses souvenirs, tout ses moments, le souvenir de Louis, Louis qui l'attend là haut. D'un pas sur de lui, il enjamba la barrière. Son coeur battais à une vitesse folle. Sa vue étais brouillé à cause des larmes, mais il arrivait à voir le vide sous ses pieds. Pour la première fois en 18 ans de vie, il avait le contrôle de sa vie, un faux mouvement et tout est fini. Il se sentait libre comme l'air. Son corps tremblait comme jamais. Une partie de lui avais peur de la suite, il avait peur de mourir de cette manière. La seconde partie était sereine, sereine de savoir qu'il ne souffrirait plus du manque de la personne aimée.
- Pourquoi toi ? Ça aurais du être moi.. C'est de ma faute pas de la tienne. Je suis tellement désolé mon amour. J'aurai du t'écouter.. Il regarde droit devant lui, les lumières de ville qui illuminaient les rues, il leva les yeux au ciel, une étoile brillait plus que les autres, directement il pensa que c'était Louis qui veillait sur lui, Crois pas que je ne vais pas sauté parce que tu me regardes. Je vais te rejoindre et on se mariera là haut, on aura un chien, un Grand chien et aussi une Grande maison comme ça on pourra avoir plein d'enfants.. Tu crois que je ne sais pas que tu préfèrerais que je reste ici.. Je ne suis pas débile, mais pour une fois je ne t'écouterais pas Louis, son corps bascula vers l'avant, une de ses mains lâcha la barrière, il était désormais suspendu dans le vide, sa vie ne tenait plus qu'à 5 doigts. Je t'aime tellement mon ange.. Il ferma les yeux, ouvrit ses doigts, poussa sur ses jambes, il laissa son corps basculer dans le vide mettant un terme à sa vie, à cette histoire.
Fin.
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