Englobant la vie, englobant nos âmes,

La mort sévit, aussi dangereuse qu'une lame, 

Elle nous dicte nos peurs, nous dicte notre heure, 

Pourtant n'apporte pas le malheur.

Dans l'ombre du soleil, 

Tel un fléau ou tel une merveille, 

Sous chaque formes, sous chaque apparences, 

Se cache la mort, une funeste danse. 

Nous attirant ou nous dégoûtant, 

Nous délivrant ou nous emprisonnant, 

La mort nous rattrape toujours, 

Quand vient notre heure, quand vient notre tour.

Naître revient à mourir, 

Souffrir revient à guérir, 

A chaque problème sa solution, 

Même si parfois dure est l'action. 

Accepter ne revient pas à oublier, 

Mais à apprendre, 

Que la mort partout soit elle, 

Emporte les gens qu'on aime à l'éternel. 

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Petit poème créé à la lueur d'une bougie à la rose. Merci à ceux qui le lisent ^^.