A toi petite fille qui attend. A toi qui a tout le temps devant toi, mais qui à chaque instant pense à ces êtres que tu chéries tant. Sois patiente, tes rêves se réaliserons peut-être. Dans dix ou cinquante ans, qu'importe. Il vaut mieux mourir vieux et heureux, que jeune remplie de rancœur. Oui je sais, chaque seconde te pèse comme des années. Mais, dis toi, que ses longues journée te paraîtront si infimes  fasse à ta vie. Ta vie, quoi que tu dises, ne sera ni longue ni douloureuse, seules tes pensées seront atroces et sans pitiés. ton pire ennemi sur Terre tu le regarderas tous les matins dans le reflet du miroir. en ce moment, tu te dis surement qu'il ne vaut pas la peine de continuer. Je te comprend, c'est d'ailleurs la seule fois où ça arrivera. Mais, pense aux autres. Pense à tous ces gens dons tu ne pense qu'ils pensent à toi. Ça serait un peux égoïste de partir comme ça. Peut-être que tu es la seule qui fait attention à ce que tu fais. Peux probable, même si tu aimerais y croire. D'ailleurs, jusque là, aucun de tes espoirs ne se sont avéré vrai. Alors pourquoi ça changerait ? Tes rêves sombres sont aussi réalistes que les plus beaux. Si Dieu le veut, ta déception cette fois, fera tes joies. Et heureusement pour toi, tu ne crois pas en Dieu.