je vais me débarrasser de toi

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Je sais, vous êtes très en colère contre moi et j'en suis vraiment désolée. J'ai une bonne raison pour n'avoir pas publier de chapitres durant ces derniers mois.

👉Et la première est que je suis en vacances moi aussi, alors j'en profite. Ce n'est pas tous les jours que ça arrive.

👉La seconde est que je souffrais du mal qui attrape tous les auteurs au sommet de leur gloire : l'angoisse de la feuille blanche... Ce n'est pas que je n'avais pas d'idée, mais la flemme d'écrire. Puis cette flemme s'est transformée en peur. Peur que ce ne soit pas aussi parfait que je le désirais donc... J'ai un peu mis de côté l'écriture et rempli ma bibliothèque de lecture. Et j'en ai eu pour mon compte. D'ailleurs, Elle ne désemplit pas. Heureusement, cette angoisse est passée. Je me suis d'abord mise à la correction des  chapitres précédents ( et c'était long... Long...) avant de poursuivre l'histoire qui sera encore longue... Longue... Mais j'ai décidé de la faire en deux parties finalement.

J'ai trop d'idées et pas assez de temps pour les mettre sur papier, surtout que si ça doit se faire alors ça devra être un travail impeccable. Je n'aime pas donner du temps pour rien.

Pour me faire pardonner, je vous propose de me laisser en commentaire le nom d'un livre que vous aimeriez que je visite ( malgré ma bibliothèque pleine ). Je ferai l'effort de laisser des commentaires constructifs dessus. J'espère que ça ira.

Voilà, c'est tout pour le moment.

Bonne lecture.

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Comme pour le premier indice, Seiji nous a fait assoir sous un arbre pour consulter la carte. Étalée devant nous, il pointe du doigt la deuxième croix vers laquelle nous devons nous diriger.

Seiji : elle se trouve en amont du ruisseau. Il nous suffit donc de le longer en sens inverse. L'autre indice est un peu plus loin.

Camarade 1 : et c'est quoi ça ? Demande-t-il en pointant des pics sur la carte.

Seiji : une forêt plus dense que celle où on se trouve. Et c'est là qu'est caché l'un des indices.

Moi : le deuxième indice n'a pas l'air d'être loin d'ici. On va vite mettre la main dessus.

Seiji : alors ne perdons pas plus de temps, allons-y !

Nous acquiescons et quittons notre refuge pour longer le ruisseau.

Au bout de quelques minutes, Nous arrivons à l'entrée d'une forêt vraiment très dense. Elle fait froid dans le dos.

Moi : il n'y a pas de doute possible, c'est bien ici que se trouve le second indice.

Onohana : je propose que comme tout à l'heure, on se sépare en petits groupes pour couvrir une plus grande zone de recherche. Et nous pourrions même trouver le dernier indice.

Seiji : c'est une bonne idée, mais l'allure de cet endroit ne me rassure pas. On pourrait s'y perdre.

Moi : si on doute de notre position, on n'aura qu'à grimper aux arbres pour se retrouver.

Camarade 2 : et si on ne sait pas grimper ?

Moi : il faut un grimpeur dans chaque groupe.

Seiji : D'accord. On va former deux groupes. Qui sait grimper aux arbres.

Moi : je me débrouille pas mal.

Onohana : moi aussi, je l'avoue.

Pourquoi ?! Elle peut pas être la plus nulle pour une fois ?

Camarade 3 : moi aussi !

Seiji : Onohana viens avec moi, je pourrais mieux te surveiller comme ça. Quelqu'un d'autre pour rejoindre notre groupe ?

Oh non ! Il va gâcher mon plan. Je dois être dans le même groupe qu'elle.

Moi : fi... Finalement, je crains de ne pas être si douée que ça en fait. Je ferais mieux d'aller avec elle. Et ne t'inquiète pas, je vais bien la surveiller. Dis-je, faussement gênée.

Seiji se contente de soupirer, mais il accepte. Nous nous séparons, trois par groupe et chaque groupe doit prendre une direction différente... Encore.

Camarade 2 : notre groupe va traverser la rivière. Le votre continuera tout droit, c'est ça ?

Elle semble inquiète.

Moi : Oui ! Y a-t-il un problème ?

Camarade 2 : si. J'ai peur des courants d'eau. Même quand ils sont faibles.

Tout le monde semble agacé sauf mon ennemie qui elle, semble réfléchir.

Onohana : je pourrais te porter sur mon dos ?! Bien sûr, Ça dépend de toi.

Camarade 2 : je veux bien, à condition qu'on ne tombe pas dans l'eau. J'en mourrais, croyez moi.

Moi : tu n'es pas sérieuse, j'espère...

Seiji : arrêtons de jacasser. Ces indices ne vont pas se trouver tout seuls. On y va maintenant ! Ordonne-t-il.

Tous, Nous optempérons. On se sépare enfin. Moi, Onohana et sa camarade prenons le chemin du ruisseau. Les garçons entrent dans les bois qui me filent toujours la chaire de poule.

Une fois face au ruisseau, il semble plus profond que ce que je pensais. Il va falloir le traverser à la nage.

Moi : on va devoir se mouiller un peu. Vous êtes prêtes ?

Elles hochent la tête, puis Onohana porte sa camarade sur son dos.

Moi : allons-y !

Je jette une première jambe à l'eau. Je suis surprise par sa fraîcheur. Elle n'est pas froide, loin de là. Je jette la seconde et commence à avancer. Au bout d'un moment, l'eau m'atteint les genoux. J'ai peur qu'arriver au milieu de la rivière - car oui s'en est une - qu'elle ne soit plus profonde. Malheureusement, le pire se produit lorsque l'eau m'arrive à la taille, En plein milieu de cette rivière.

J'étais tellement concentrée sur ma traversée que j'en avais oublié mes compagnons. Je me retourne pour voir ce qu'elles deviennent. Et quelle surprise de voir Onohana marcher, littéralement, sur l'eau. Elle arrive à mon niveau et me dépasse même. Elle avance tout de même doucement à cause du poids sur son dos. Comment elle fait ça ? Pas le temps de rester là à rêvasser. Je les rattrape difficilement, et nous ressortons de l'eau ensemble.

Étalée sur le sol comme une vieille chaussette, je reprends mon souffle et tente de me sécher au passage.

Camarade 2 : wouaa ! T'es trop forte Onohana !

Je sursaute puis me retourne pour observer sa réaction.

Onohana : Oh, ce n'est rien. C'est Shisui qui m'a appris cette technique.

Camarade 2 : wwooouuu !! Quelle chance d'avoir un Ninja aussi puissant pour maître !

Onohana : je le vois plus comme un grand-frère, tu sais. Et puis, il se fait de plus en plus rare...

Camarade 2 : quand même, t'as trop de chance.

Je me relève, toussotte, ce qui les fait cesser de parler. Elles m'agacent.

Moi : bon, c'est bien tout ça, mais il faut y aller, pas vrai ? Dis-je tout en tapotant ma jupe.

Toutes les deux  : Oui !

Elle m'énerve à toujours jouer les héroïnes. Elle m'énerve vraiment. Je dois absolument me débarrasser d'elle si je veux être en paix. Il ne s'agit plus d'une simple jalousie de gamine mais d'une jalousie plus profonde. On dirait qu'elle a tout pour elle. Je n'en peux plus de la supporter. Mais avant, il faudra éliminer l'autre fille de l'équation. Et je sais quoi faire. Je suis un génie... Un génie du mal !! 0

Je m'adosse à un arbre, prétextant la fatigue.

Onohana : tu es sûre que ça va ?

Moi : Oui, sois tranquille. Ça doit être la traversée de tout à l'heure qui m'a épuisé. Tu n'as qu'à poursuivre les recherches, tu m'as l'air d'avoir le flaire pour ces choses.

Onohana : mais non, Qu'est-ce que tu racontes ?  le fait que j'ai trouvé le premier indice c'était un coup de chance, c'est tout.

Moi : tu devrais quand même essayer. On va t'attendre ici, d'accord ? Insistai-je auprès de sa camarade.

Camarade : heu... C'est que... Heu... Ou... Oui... Dit-elle, peu sûre.

J'ai compris depuis longtemps qu'elle n'était pas très partante pour cette activité en plein air. Je savais qu'elle accepterais, avec joie, de faire une pause.

Onohana : bon, c'est d'accord. Mais ne vous éloignez pas hein ?!

Moi : ça va aller pour nous, on veillera l'une sur l'autre. Pas vrai ?

Camarade : si si, bien sûr.

Onohana : alors j'y vais. Je vais aller par là, Elle indique sa droite. Je vais faire vite et revenir ici.

Camarade : bonne chance, lance-t-elle lorsque notre amie disparaît derrière un arbre.

Je sors la corde que je gardais dans ma sacoche et la dissimule dans mon dos. Je l'avais emmené pour attacher Onohana à un arbre mais finalement c'est cette fille qui sera attachée.

Camarade : c'est courageux de sa part, tu ne trouves pas ?

Moi : si. Elle est comme ça depuis que je la connais.

Elle s'adosse à son tour contre l'arbre. Je fais un tour de celui-ci, me retrouvant derrière elle. Je jette la corde de l'autre côté, fais un tour complet de l'abre au pas de course, me dépêchant de faire un noeud, bien serré.

Camarade : hein ?? Quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Izumi, tu es là ?

Elle tente en vain de se détacher, sans résultat. Je n'ai pas passé une journée entière à apprendre comment faire ce noeud pour qu'il soit aussi simple à défaire. Je reviens face à elle, et l'affronte du regard. Elle a l'air si effrayée... C'est exactement la même expression que je veux voir sur le visage d'Onohana quand ce sera son tour.

Camarade : mais, pourquoi tu n'es pas toi aussi attachée ?

Elle en a presque les larmes aux yeux car elle a compris, enfin je crois.

Moi : ça ne faisait pas parti de mon plan, j'en suis navrée... Mais je dois te laisser ici.

Camarade : pourquoi tu fais ça ? Qu'est-ce qui te prend ?

Cette fois, Les larmes sont définitivement sorties de leur cachette. Pauvre petite. Je reviendrai et l'hypnotiserai à l'aide de mon sharingan pour qu'elle oublie tout ça. Ensuite nous pourrons reprendre la chasse aux indices.

Moi : chuuut ! Ne pleure pas. Les membres de L'ANBU viendront sûrement te chercher. Quand à moi, je vais faire ce que j'aurais du faire depuis le début. Je n'ai rien contre toi, rassure toi.

J'active mon sharingan pour l'hypnotyser avec.

Moi : si on te demande, tu diras qu'Onohana et moi sommes aller chercher l'indice. Tu es restée ici car tu étais trop fatiguée pour nous suivre. C'est compris ?!

Elle hoche mollement la tête.

Moi : c'est bien.

Depuis le premier jour où je l'ai rencontré... Onohana. Je l'avais pressenti, mais je l'avais négligé. Il s'avère qu'aujourd'hui ce soit ma plus grande rivale. Je ne peux pas laisser faire ça. Car s'il y'a bien une fille qui l'aime vraiment, c'est moi, uniquement moi.

Je saisis le mouchoir imbibé de somnifère dans ma pochette et le dépose sur le nez de cette fille. Elle se débat encore un peu avant de rejoindre le doux pays des rêves.

Moi : au revoir et à bientôt. Fais de beaux rêves, car le cauchemar ne va pas tarder.

Elle s'endort profondément. Je défais le nœud et la libère. Elle s'étale au sol comme une crêpe. Je saisis le masque que j'avais prévu. Il m'avait servit de déguisement l'an dernier, Un masque de tigre. Mon plan au départ consistait à faire disparaître Onohana discrètement et de continuer l'activité comme si de rien n'était. Malheureusement, Ça ne s'est pas passé comme prévu. Je vais devoir faire plus d'efforts et plus attention. J'enfile le masque et prends la même direction qu'elle il y'a peu de temps.

Une chose est sûre, c'est qu'à la fin il ne restera que moi.

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Je trouve que cette petite vengeance prend des proportions énormes. Mais j'espère que ça vous plaît. À bientôt. 😘😘😘😘

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