Chapitre 25

J'étais stressée et mon cœur battait à cent à l'heure... Pourquoi je me sens tout à coup si mal.

Spécialiste: Alors d'après ce que nous avons ici le test est positif.

Je me redresse d'un coup pour le regarder comme si j'attendais plus d'explications à ce qu'il venait de dire, comme si ce n'était pas clair dans ma tête.

Charles: Que dites vous ?

Spécialiste: À 99% il s'agit bien de la même écriture que celle retrouvée. C'est-à-dire que les écritures sont les mêmes.

Charles: Quoi ? Êtes-vous sûre que ce résultat n'est pas faussé ?

Spécialiste: Je peux vous l'assurer à 99% que ces résultats sont vraies.

Je reste figé un moment, je n'en pouvais plus, je ne le supportait plus, j'étais mal, tellement mal que j'en ai perdu toutes mes forces.

Je me lève de la chaise sans dire mot puis je me dirige vers la sortie.

- Monsieur ? Mais monsieur où allez-vous ?

Si seulement je pouvais aller où je pensais.
Je sors de cet maudit endroit puis j'entre dans ma voiture...Je conduisait à vive allure, je m'en foutais de mettre ma propre vie en danger car elle n'avait plus de sens sans elle. J'accélère jusqu'à la vitesse maximale.

       Pendant ce temps.

Je suis assise sur la terrasse contemplant la belle vue du paysage qui s'offrait à moi jusqu'à ce que Georges me rejoigne.

Georges: Tu est là chérie ?

Kate: Oui chéri je suis là !

Georges: Désolée de t'avoir laisser trop longtemps, voilà tiens ta boisson.

Kate: Merci mon chou.

Il s'asseois à côté de moi et ensemble nous profitons de ce beau moment...

J'étais assise buvant mon jus d'orange lorsque tout à coup une douleur aiguë me prend au niveau de la tête. J'avais mal et c'était très terrible. De mes mains je garde ma tête en espérant que cela s'arrête.

Georges: Qu'est-ce qui se passe chérie ? Qu'es-ce qui ne va pas ?

Kate: J'ai très mal à la tête. Je ne sais pas pourquoi mais cette douleur est insupportable...Aïeee !

L'inquiétude pouvait se lire sur le visage de Georges...Il semblait ne pas supporter que je sois aussi mal.

Georges: Calme toi mon amour, d'accord ? Je vais t'aider à te relever pour que nous retournions à l'intérieur.

Il me tend son bras que je tiens très fortement et nous rentrons à l'intérieur.

Il m'apporte des cachets que je prend avant de m'obliger à faire une sieste.

- Allez chérie maintenant repose toi. Tu te sentiras plus mieux à ton réveil.

   Éclipse de la journée.

J'ouvre enfin les yeux et lorsque je m'assieds sur le lit il n'y avait personne, Georges n'étais plus là...Je me lève pour me diriger dans la douche me rincer le visage et a mon retour dans la chambre, Georges y était, assis sur le lit.

Georges: Chérie comment te sens-tu maintenant ? T'es tu bien reposée ?

Kate: Oui chéri, je me sens beaucoup mieux à présent... Qu'elle heure est-il ?

Georges: 19 heures Chérie.

Kate: Oh j'ai si longtemps dormi ?  Pourquoi ne m'as tu pas réveillée chéri ? Je dois préparer le dîner.

J'allais me diriger vers la sortie lorsqu'il me retient.

Georges: Ne te dérange pas et reviens t'asseoir. Tu ne dois pas trop te tracasser au risque de tomber à nouveau malade.

Kate: Mais je dois faire le dîner.

Georges: Ne t'inquiètes pas parce que j'ai déjà préparer le dîner.

Kate: Vraiment chéri ? T'aurais dû me réveiller pour que je puisse te donner quelques coups de mains.

Georges: Non ça n'a pas été difficile mon amour car je l'ai fait en pensant à toi.

Kate: T'es un ange chéri !

Je lui donne un bisou sur la joue puis nous sortons de la chambre pour aller dîner.

Georges: Bonne appétit mon amour.

Kate: Merci ! Bonne appétit à toi aussi chéri.

- Humm c'est délicieux chéri. T'es un chef en cuisine tu sais...!

Georges: Je suis content que tu aimes chérie. J'y ai enfaite mis un petit ingrédient en plus.

Kate: Ah bah là je suis curieuse de savoir ce que s'est ?

Georges: Mais si je te le dit celà ne sera plus dans ce cas un secret.

Kate: Oh mais je sais garder un secret moi. Alors s'il te plaît dis moi !

Georges: Tu veux donc vraiment savoir ?

Kate: Oui oui dis moi !

Georges: C'est l'amour. Ce repas je l'ai fait avec amour. Voilà c'est ça mon ingrédient secret.

Kate: Oooh t'avais-je déjà dit que tu étais le meilleur de tous...?

Georges: Euh...non non je ne crois pas. Dit-il en prenant un air pensif le doigt posé sur son menton.

Kate: Alors je te le dis maintenant. Tu est le meilleur mon chéri.

Georges: Allez, viens par là !

                      *

J'étais assis ma bouteille à la main, la tête prête à exploser avec ce bruit dans tout le club. Le boom que fesait la musique, les filles qui se déhanchaient sur la musique, des individus qui buvaient de leurs boisons en profitant de la vie, tout sa me montais à la tête....La rage en même temps que la tristesse me montaient à la tête... J'avais trop mal et je voulais juste disparaitre.
Sans m'en rendre compte je balance la bouteille que j'avais à la main contre le mur. Tout s'arrête et tout le monde me fixait désormais.

Un instant plus tard un monsieur se rapprocha de moi avec derrière lui deux braves hommes.

Inconnu: Monsieur vous devriez sorti d'ici maintenant s'il vous plaît.

Charles: Mais.... Pourquoi ? Laissez moi... rester...un peu...Et d'ailleurs qui êtes.... vous pour me....dire... celà.

Inconnu: Je suis le propriétaire de ce club et je ne permettrai qu'un individu mette en danger les autres.

Charles: Nooon...je peux...vous payez....Donnez votre prix... mais laissez moi....rester encore un.... peu.

J'étais tellement bourrer que je ne savais plus s'il y avait du sens dans ce que je disais, je n'arrivais plus à aligner deux mots correctement...Je voulais juste qu'on me laisse tranquille profiter de ma boisson.

Propriétaire: Monsieur veillez disposez ou je serai dans l'obligation d'appliquer la manière forte.

Charles: Je n'irai... nulle part...Ah !

Propriétaire: Bien sûr que si, gardes amenez le !

Les deux braves hommes de tout à l'heure s'approchent et me prennent par le bras me trainant hors du club.

Charles: Vous ne savez....pas qui je suis...rendez moi au..moins ma bouteille....

Ils me conduisent à l'extérieur où ils me laissent planquer au sol comme le pauvre malheureux que j'étais.

Je me relève sur mes pieds et je retourne à ma voiture.
.....

                À suivre...
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|Bonne lecture.|

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