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J'ai remarqué avoir souvent pris l'habitude de conclure mes écrits, de terminer leur avant-propos, par « voilà ». Mais « voilà », c'est tout ce que je trouve, à chaque fois, pour décrire ce sentiment d'abandon en posant le point final, ce sentiment de plénitude d'être allée jusqu'au bout de ce chemin. Alors « voilà ». Mon amie Kirsten, c'est fini.
Mon amie Kirsten, je l'ai commencée pour quelqu'un, et finie pour moi. Mon amie Kirsten, c'est ce coup de tête, ce coup du cœur, que j'ai commencé sans avoir où cela m'emmènerait.
J'espère qu'elle vous a plu, en tout cas, autant que j'ai pris de plaisir à l'écrire ! Merci d'avoir été jusqu'au bout des méditations de mon petit Klaus, merci d'avoir traversé cette époque terrible à ses côtés, et merci d'avoir partagé avec Kirsten ce triste jour. Et j'espère aussi, comme eux, que votre Klaus ou votre Kirsten, car on en a tous un, j'en suis certaine, sait que vous êtes sa Kirsten ou son Klaus.
Renoncer au bonheur, demeurer hors de sa portée, c'est terriblement triste. Mais le laisser passer, ça, ça l'est encore plus.
À nouveau, je réitère mes remerciements, au plaisir de vous retrouver sur un autre des mes écrits et sinon à la prochaine,
Chloé ✍︎
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