Sonnet de la solitude
Quand pour moi sonnera la glas,
Celui de ma dernière heure,
Qui alors du fond de son cœur
Sincèrement me pleurera ?
Ma tombe l'on arrosera
De larmes fausses et de fleurs,
De lourdes plaintes et de pleurs,
Mais nulle elle ne frappera.
Solitude est mon fardeau,
Me noie de chagrins abyssaux.
Personne, jamais, ne me chéri
Personne dans ses bras ne m'accueille.
Sans amour je dépéris.
Seule, je me sens si seule.
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