25. V.M 🔞

🔞 sujets très durs. Vraiment TRÈS dur. J'ai moi-même eu envie de vomir. On parle de viol sur mineur, language cru. Je vous avez prévenu qu'il y aurait un point de vue de Valentin et se sera le seul car... Il est trop pourri même pour moi. Mais je me devais de le faire. Alors âme sensible, dès que le petit emoji 🔞 apparaîtra jusqu'à ce qu'il réapparaisse, sautez ce moment.

Sur ce, bonne lecture ~

Ma main envoie valser ce qui se trouve sur mon bureau. Un cri de frustration sort de ma bouche.

La garce !

Je le savais. J'aurai dû la tuer depuis longtemps. Je fais les cent pas, bouillonnant de rage. On ne joue pas impunément avec moi.

- Retrouvez les.

L'homme dont le nom m'échappe hoche de la tête puis tourne les talons afin de sortir de la pièce me laissant seul avec ma colère et ma frustration. Cette emmerdeuse risque de tout faire foirer. Autant j'ai la police dans le creux de ma main, autant j'ai peu de contact avec ce qui est journaliste. Il va falloir que je remédie à ça pour le coup.

Depuis le début elle m'a donné du fil à retordre. J'aurai dû me débarrasser d'elle au moment où le gosse est né. Je ne referais plus ce genre d'erreur. Il va falloir bouger tous les sujets maintenant.

Quel merdier.

Les dents serrées, je prend mon téléphone et clique sur le contact dont j'ai besoin.

- Tu sais que tu ne dois jamais m'appeler sur ce numéro.
- Arrête de me prendre pour un ignare Imogen. Si je le fais c'est qu'il y a une raison.
- Je t'écoute dit-elle, lasse.
- Les sujets W se sont échappés. Je dois trouver un nouveau labo pour les autres.
- Qu'est-ce que t'as encore fait Valentin.

Intérieurement je grogne. Je déteste cette vieille pie mais elle est très utile et a le bras long. Un soupir lasse franchit mes lèvres. La discussion risque d'être extrêmement déplaisante.

- Elle a su amadouer un garde.
- J'espère qu'il n'est plus là pour en parler.
- Disons que de garde il est passé à expérience.
- Ce n'est qu'une maigre consolation claque la vieille.
- Je n'allais pas lui offrir une mort rapide et dénuée de douleur.
- Où sont-ils maintenant.
- Il semble qu'ils ne soient plus ensemble. Elle a été aperçue seule dans les rues de Saint-Louis. Mes hommes sont sur le coup. Pour l'enfant il a pour le moment disparu des radars mais il va refaire surface. Un enfant bleu ne passe pas inaperçu et personne ne voudra le garder. À moins qu'elle l'ait jeté dans le fleuve Saint-Laurent et là...
- Retrouvez-la vite et faite lui passer l'envie de s'échapper de nouveau. Que quelques gardes s'amusent avec elle. Pour le môme je vais voir avec mon petit-fils. Il est dans la police. Peut-être que quelqu'un a signalé la présence d'un... Nourrisson.
- Bien. Pour ce qui d'un nouveau laboratoire ?
- Il sera prêt dans deux heures. Préparez vos sujets et surtout Morgenstern. Pas de vagues.
- J'en prend note.

Mon ton est sarcastique. En bientôt dix ans de travail elle est la première à m'échapper mais je compte remédier à ça rapidement. Je raccroche, rageur. Elle fait la femme aux airs supérieurs mais c'est grâce à moi qu'elle est là où elle en est aujourd'hui. Je vais devoir lui faire un gentil rappel. Mon regard se porte sur un cadre photo. Un enfant aux yeux d'un noir d'encre regarde l'objectif. Il était ma plus belle réussite et ma fierté. À cause de cette bonne femme qui me servait de femme il n'est plus.

Je serre les dents. Les femmes n'apportent que des problèmes la preuve en est encore aujourd'hui. Je souffle d'agacement. Je passe un nouveau coup de fil.

- Monsieur, je suis ravi de votre appel.
- Mon petit Aldertee susurrai-je. Plie bagage et viens. J'ai du travail pour toi.
- Bien sûr.

Un blanc se fait mais je sais que mon poulain est en train de regarder le premier vol en direction de Québec.

- Le prochain vol est dans deux heures. Je serais bientôt là monsieur. Besoin de quelque chose en particulier ?
- Prend ton matériel. Passe le bonjour à ta famille.
- Je n'y manquerai pas monsieur. À tout à l'heure.

La conversation se coupe et je me laisse tomber sur mon fauteuil. Je laisse ma tête s'appuyer lourdement contre le dossier. Aldertee est le meilleur chien de chasse quand il s'agit de traquer quelqu'un. Il réglera rapidement ce petit inconvénient. J'ai besoin de me détendre. Appuye sur un bouton de mon téléphone fixe et une voix mélodieuse me répond.

- Monsieur ?
- Faites venir le sujet A et L. J'ai besoin de me détendre.
- Bien monsieur. Tenue particulière ?
- Nus et lavés.
- Bien monsieur. Ils seront là d'ici vingt minutes.

Ce n'est pas parce qu'ils sont des expériences qu'ils ne me servent pas personnellement. Il faut avouer que leurs petits corps sont délicieusement serrés.

🔞🔞🔞🔞

Je me perd un instant dans mes pensées et je sens ma queue se dresser en pensant au cul que je vais ravager. Sentir leur corps trembler de peur mais aussi d'excitation me mets l'eau à la bouche. Avec lenteur je frotte mon érection de ma paume afin de garder la trique pour une jolie bouche.

Des coups sont portés contre le battant de ma porte et j'accède à leur demande. Mes yeux brillent en voyant leur corps mate et huiler. Leurs yeux sont humides et je me délecte de leur tremblement quand les gardes les poussent vers moi.

- Si ce n'est pas mes petits sujets préférés minaudai-je.

Le garçon me défi du regard et j'hausse un sourcil moqueur.

- Inutile de me regarder ainsi. Ta bouche va venir sucer ma queue maintenant à moins que tu veuilles que je m'occupe déjà de ton petit trou de salope ?

Il tremble un peu plus.

- C'est bien ce qui me semblais. Quand à toi ma chère. Tu vas faire en sorte qu'il passe un bon moment. Me suis-je bien fait comprendre ?

Elle hoche de la tête, tremblante comme une feuille alors que des larmes silencieuses coulent le long de ses joues. Oui. Ils sont parfaits. Je laisse ma main défaire le bouton de mon pantalon ainsi que ma braguette. Je sors rapidement mon membre tendu et fais un rapide va et vient dessus pour m'attiser un peu plus. Je fais signe au garçon d'approcher et il s'avance vers moi.

- À genou.

Il se laisse tomber et un souffle affolé s'approche enfin vers mon membre.

- Fait ça bien. Je veux souiller ce visage. Quand à toi ma jolie. Il ne doit pas jouir. Pas avant que je m'enfonce en lui et qu'il ait sa petite bite dans ton petit cul. Il ne faudrait pas qu'il te mette enceinte.

Un éclat de rire m'échappe alors que je sais qu'elle n'a pas encore l'âge de procréer. Seulement, si je veux la vendre elle doit rester vierge de devant.

Enfin je sens sa petite bouche autour de moi et un râle de bien être m'échappe. Il fallait vraiment que je me détende. Ce sujet est le plus doué en fellation malgré son air rebelle. J'ai bien fait de le faire appeler. Je laisse ma main agripper fermement les cheveux sombres et accélérer la cadence. J'ai besoin de jouir une première fois. Je bute contre sa glotte avec délice. Je me sens prêt à venir et alors que mon sperme va pour se déverser je sors de sa bouche et le recouvre de ma semence.

- Parfait.

Je laisse mon regard s'égarer sur la petite à quatre pattes en train de vainement tenter d'exciter mon petit sujet.

- Il faut bander pour baiser mon grand. Veux-tu une punition ?

Il déglutit et je sais qu'il est mort de peur. Il secoue frénétiquement de la tête. Je soupire.

- Montre ton petit cul. Et toi lâche le. T'es bonne à rien. Vraiment les femmes... Même gosses vous êtes inutiles. Tu ne seras que son vide couilles est-ce clair ?

Elle hoche la tête lentement. Je souris alors. J'aime quand on est si docile.

- Tes mains sur le bureau.

Il s'exécute le corps raide. C'est pas ainsi qu'un va pouvoir la sauter. Sans plus de cérémonie j'entre un doigt en lui qui se cambre. Il tente d'échapper mais une claque sur sa fesse le stoppe.

- Bien.

Je martèle son trou avec force jusqu'à ce que de petits sanglots s'élèvent dans mon bureau. Un sourire me prend. Voilà.

- Je vois que t'aimes être traité comme la chienne que tu es. Regarde comme tu bandes.

Un nouveau sanglot s'élève et je jubile. Qui a dit que les gosses étaient des choses innocentes ?

- Tu aimes ça hm. Tu pleures alors que ton cul se dandine pour que je fourre ma queue dedans.

Mon regard se tourne vers la gamine.

- Toi. Va contre le bureau et lève bien ton cul pour que ton ami puisse bien s'occuper de toi. Et toi, je vais t'écarteler et tu va crier.

Alors que le petit s'avance doucement vers la gamine, d'un large mouvement de hanche je rentre en lui le forçant à faire de même.

Notre scéance fût des plus plaisantes. Je me sens d'humeur charitable et leur donne une heure de répit avant de devoir retourner au labo. Le sang et la semence s'écoule le long de leurs cuisses et je me sens satisfait.

🔞🔞🔞🔞

Un appel entrant me sors de mes pensées et je grimace.

- Chère ex-femme. Que puis-je pour toi.
- Je peux savoir ce qui t'as prit.

Je fronce les sourcils. De quoi parle-t-elle.

- J'apprécierai beaucoup que tu développe ta pensée.
- Tu comptais cacher longtemps que les Lightwood s'étaient fait avoir par le Sorcier ?

Ah. Ça. Un regrettable incident.

- En quoi cela te concerne.
- J'ai été... Mariée à toi. Si jamais ce type décide de nous éradiquer, je ne compte pas en faire partie grogna-t-elle.
- Mais très chère, il n'y a aucune assurance qu'il vise le Cercle et puis. Un homme seul contre nous tous ?

Un rire mauvais me prend. Cet homme, bien que malin, ne pourra jamais rien nous faire. Il est seul. Quoique. L'aîné Lightwood n'a pas été retrouvé. Robert voulait le tuer. Peut-être l'était-il quelque part.

- J'espère que tu as raison. Car s'il se pointe je n'hésiterai pas à marchander ma vie.

Je grince des dents. J'aimerai bien mettre fin à sa vie mais disons qu'elle a un certain poids pour m'en empêcher. Toutes des garces. Je souffle de mécontentement. Dire que je m'étais détendu. Je ferai peut-être venir le sujet S, un jeune homme d'une docilité à toute épreuve assez bien fait et qui sait s'occuper de moi aussi bien que lorsque je m'occupe de mes petits.

- C'est ça. Va te faire baiser.

Je passe un nouvel appel mais de mon fixe. Quelle journée de merde.

- Monsieur.
- Le sujet S. Maintenant.
- Bien monsieur.

J'ai besoin que ça saigne. Avec mécontentement je donne un coup dans les flancs des deux gosses qui laissent un gémissement de douleur leur échapper.

- Toi dis-je en parlant à la gamine. Tu va prendre tarif.

Je sors de mon placard à jouet un martinet aux lanières de cuir. Oui, il faut vraiment que ça saigne...

Bon. Je me déteste autant que je déteste Valentin.

Ce chapitre a été très dur. J'ai dû le temps de l'écrire me mettre dans la peau d'un type qui me fais horreur.

Je jure que sa fin sera horrible pour me dédouaner.

Je vous avez donc prévenu que ce sera horrible mais je vous promet que l'on n'entrera plus dans sa tête. Cela a été bien trop éprouvant.

Au prochain chapitre on retrouvera la petite tête d'Alec et de son amour pour Magnus et Baby blue. Ils vont aussi enfin le nommer.

Un peu de fluffy me fera le plus grand bien et je suppose qu'à vous aussi.

Je vous aime ! Plus de 1k de com' sur cette fic c'est juste wouaaaah. On arrive sur du 4.5k de lecture. Bref z'etes exceptionnel(le)s. Je pense bien évidemment à Blue, Moon, Audrey, Shane, Nath, Paulin, AU, etc. Merci à tous et toutes 🥰😘

Je vous dit à bientôt~

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