Sans indices




Rien. C'est tout ce dont je me souvient, tout ce que j'ai comme indices de ce qui c'est passer. C'est de mon droit non ? Qui avait bien pus faire ça ? A une fille comme moi ? Pour autant je ne suis pas le genre a vouloir faire du mal a quiconque. Enfin, peut être que j'était autrement y'a trois moi. Trois moi c'est assez pour changer ? Qu'est ce que je raconte ... Je ne pouvait pas changer si j'etait dans un comma.

D'ailleurs, je me demande bien ce qui avaient marquait sur ce papier. Apparemment il revenait à la police. Est ce que au moins il parlait de moi ? Et même pourquoi la personne aurait elle fait ça? C'est un risque a prendre. Le tas d'indices que peut révéler un seul bout de papier est énorme.

Mais oui ! C'est ça ! Le papier doit surement contenir des empreintes digital ! De quoi retrouver la personne ou du moins un de ces alliés ! Si je l'avais put, je me serais lever. Mais mes jambes sont encore engourdis. Alors, toujours sans urgences, j'appuie sur le bouton "APPELEZ EN CAS D'URGENCE". En y regardant de plus prêt, je m'aperçois que ce que je croyais être de l'usure, est simplement des tâches de sang. En y passant mon doigt, je remarque que le sang n'est pas encore sec. Je porte mes mains à mes yeux, et y découvre un bandages sur chaque mains que je n'avais même pas remarquer. Elle ne me font aucune douleur. Malgré que je reprenne doucement de la sensibilité.

Une infirmière, differente de celle de la veille, déambule prête à agir en cas d'urgence. Ce qui, bien sur , n'est pas le cas. Elle s'arrête dans sa course en me regardant droit dans les yeux. Je la fuis du regard.

"- Tout va bien ?

- Oui, merci. J'ai une question, y'a-t-il un téléphone, ou quelque chose de quoi appelez ?

- Oui bien sur !, me répondit-elle. Vous pouvez vous lever? C0ar on en a pas dans les chambres.

- Je n'en sait rien, je ne sens toujours rien.

- Très bien, je vais te donner mon téléphone personnel. Tu ne le dis à personne Ok ?, me dit-elle en me jetant un regard rassuré.

-Ok.

- Qui veut tu appeler ? Ta mère ? Ton père ?

Oui c'est vrai , ma famille ! Je n'y avais même pas songée ! Je les vois dans ma tête, je vois mon père, son image, le sourire au lèvre, et à coté ma mère, qui le regarde avec t'en d'amour. Pour autant je ne me souvient d'aucun souvenir avec eux. Peur être que ça me reviendra.

- C'est possible de joindre la police ?"

Elle ne me questionne pas, de pourquoi ou autres question qui peuvent paraitre curieuse. Elle se contente juste de composer le 17. Le téléphone sonne puis décroche. Elle me tend en vitesse l'appareil et me laisse parler.

" - Allo ? Ici la police vous m'entendez ?

- Oui bonjour, j'appelle pour me renseigner.

- Pour vous renseigner sur quoi exactement ?

- Sur moi.

Il laissa un blanc avant de reprendre. Peut être n'avait il pas l'habitude d'avoir ce genre de conversation.

- Très bien je vous passes mon supérieur.

- Ok, très bien merci.

- Allo ? Ici le commandant. On m'a dit que vous vouliez vous renseigner.

- Oui, bonjour, je m'appelle Atsuyo, j'ai 16 ans. J'ai était dans un comma de 3 mois, je me suis réveiller hier. On m'a informer que il y avait un papier, accompagner d'un message dont j'ignore le contenu. Mais si la personne qui ma agresser a laisser ce message, il doit bien y avoir des empreintes ou quelque chose comme ça non ?

- Effectivement, il doit bien y avoir des traces si la personne à toucher le papier. Rappelez moi votre nom.

- Atsuyo Shizue.

- Oui effectivement je vois que vous avez était dans un comma. Je vois également que vous étiez accompagné d'un papier. Mais hier on m'a informer que le papier avait disparu. On suspecte qu'il est était accidentellement jeter.

- Et vous avez penser à un vol ? C'est la seule preuve qui pourrais démontrer qui est mon agresseur.

-Nous le savons bien, mais nous ne pouvons rien y faire.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top