Chapitre 2: Le mystérieux employeur
Assise, sur le siège passager de la Audi A3 TDI de Cassandre Uchiwa (comme elle c'était présenté un peu plus tôt), j'observais les rues de Paris défilé sous mes yeux. En acceptant de monter dans cette voiture, j'avais aussi accepter le travail que Cassandre m'avait proposé, et en ce moment même, nous étions en direction de la propriété des Lefèvre. Et ne voulant absolument pas passer pour une débile finie, je repassais dans ma tête toute les informations que j'avais à leur sujet:
La célèbres marques étaient diriger par Marion Lefèvre, une femme d'une cinquantaine d'année, ayant divorcé depuis maintenant quinze ans, elle à été obligé d'élever ses six enfants presque toute seul, et lorsque les parfums et les vêtements sont devenus célèbres, elle est partis conquérir les États-Unis avec sa fille, cette dernière ne s'occupe d'ailleurs uniquement que de la partis mode de la marque.
«-Nous sommes bientôt arrivé, m'informa, gentiment la jeune femme déguisé en...en quoi déjà ?
-Hum...excusez-moi de vous demander ça si brusquement, mais pour qu'elle raison étrange portez-vous cette...euh..tenue ? Demandais-je en choisissant soigneusement mes mots.
Pour tout réponse, elle explosa de rire, d'un fou rire plus précisément. Tellement fou que la jolie asiatique tremblais de tous ses membres, ce qui m'inquiétais considérablement étant donné qu'elle conduisait, qui plus ai sur une route de galet entouré d'arbres ressemblant à des sapins.
-Tu sais...tu peux me tutoyer Gabrielle, je suis presque sur que nous avons le même âge et la raison pour laquelle je porte cette tenue est simple, Madame Marion, apprécie chacune de ses employées, elle nous appelle ses "poupée" car la plus part du temps elle nous utilise pour tester ses nouveaux vêtements, comme des poupées grandeur nature, c'est d'ailleurs elle et sa fille qui ont conçu ses tenues de soubretttes, basé sur les déguisements des cosplayeuses japonaises.
J'hochais la tête comprenant plus ou moins ce qu'elle me racontait, mais un petit détail me turlupinais toujours.
-Si Mme Lefèvre n'est pas là, qui donc va m'embaucher ? Et puis, elle ne risque pas de s'énerver parce que...c'est comme même toi, qui m'a proposé un emploi ?
-Ne t'inquiète pas pour ça, Madame Marion m'a donné l'autorisation de donner du travail tant que l'employé à les capacités, et concernant le fait que Madame n'est pas là, son fils Monsieur Alexis qui s'occupe de la partie parfumerie, est là, avec ses quatres frères et sœurs. Normalement, tu n'auras pas à t'occuper d'eux personnellement. Et de toute manière, ils sont en vacance chez leurs père, ils reviennent donc en fin de semaine, avant la rentrée.
Je dois bien avoué que je suis surprise quand au fait de monsieur Alexis, pour tout vous dire j'ignorais complètement son existence, bon en même temps je ne suis pas fan de magazine people, mais quand on a une amie comme Alice, on a intérêt à se cultiver un minimum.
-Hum...Justement, quel type de travaille vais-je devoir faire ? Demandais en fixant les petits yeux bordé de cils qui me fixaient à travers le rétroviseur.
-Le ménage, le service à table ce genre de chose, ça ne devrait pas être difficile, j'ai remarqué que tu possédais de très bon réflexe lorsque tu as réussi mon test tout à l'heu...Cassandre se mit à baisser la voix, brusquement.
-Attend, de quel test tu parles ? Ne me dis pas que t'as fais exprès de te jeter sur la route comme ça ?! M'écriais énervé.
La japonaise se mit à triturer le volant nerveusement de ses ongles peints en verts, son regard faisait des va et viens entre le rétroviseurs et le pare-brise. Quel genre de travail demandais de telle réflexe hein ! À croire j'allais entrer dans la maison de monstre sanguinaire. Puis alors que j'allais ouvrir la bouche une seconde fois pour lui exprimer le fond de ma pensée, son visage s'illumina brusquement.
-Nous sommes arrivé, Gabrielle,» m'annonça-t-elle d'une voix chantante.
J'avançais ma tête à côté du siège conducteur, et regardais à travers le pare-brise. Une immense villa au mur blanc et au moulure sable s'étendait devant nous. Juste devant, des sculpture de pierre rappelant les héros de la mythologie grec décoraient une fontaine centrale dont l'eau claire s'écoulait paisiblement dans le bassin. Cassandre contourna celui-ci avant de s'arrêter devant l'imposante demeure ou nous attendait un majordome tout en costume. Ses cheveux et sa barbes était poivre et sel et ses yeux remplis de bienveillance.
J'aidais rapidement, la soubrette à sortir les courses du coffres avant que cette dernière tende les clés de l'Audi au vieil homme du nom de Damien. Nous avons emprunté l'escalier de service, qui se trouvais quelque mètre plus loin.
«-Bien, je vais parler de ta venue à Monsieur Alexis, en attendant, je t'invite à t'asseoir dans le salon, ça ne devrait pas être très long, Monsieur Alexis ne verra aucun inconvénient à votre recrutement. Il faudrait que tu m'envois ton CV par mail pour la forme..
À peine eut-elle finis sa phrase que je lui tendais celui-ci, un léger sourire satisfait hornais mes lèvres, si j'étais à quelques choses, c'était bien la prévoyance(ou la paranoïa..), j'avais l'habitude de toujours mettre un cv dans mon sac pour des occasions comme celle-là.
Cassandre prit mon curriculum dans ses mains, tout en me regardant surprise.
-J'ai toujours un CV sur moi, au cas où, répondis-je à son interrogation muette.
Elle hocha, la tête avant de parcourir rapidement mon dossier.
-D'accord, déclara-t-elle avant de relever la tête vers moi. Le salon se trouve à gauche puis à droite, puis trois fois à gauche après cet porte, essaye de ne pas te perdre.
Puis la japonais sortie de la pièce en sautillant joyeusement. Je me retrouvais alors seul dans la cuisine, en compagnie de casserole et d'autre ustensiles étrange. Les chances pour que je parvienne à ce fameux salon venait de chuter d'au moins 70%, comment je pourrais me rappeler de ses indications ?!
Ouvrant l'une des portes se trouvant sur le côté, je m'engageais dans le couloir qu'avait emprunté, la soubrette brune quelques instant plus tôt. Ce dernier était dans les tons rouge et or. Un tapis pourpre au broderie doré recouvrait le sol qu'on devinait être en bois. C'est même couleurs recouvraient les murs de la villa, de manière majestueuse. Des meubles en bois magnifiquement sculpté était disposé le long des couloirs. Arrêtant ma furtive contemplation, je tentais de me souvenir des indications que m'avait donné Cassandre plus tôt.
À gauche puis à droite, ou bien à droite puis à gauche ?
Je me frappais le front d'un face palm mémorable, mais quel idiote je suis même pas fichue de retenir le chemin qui mène au salon alors comment m'en sortirais-je si je travail dans cette maison ?! De l'extérieur elle semblait immense alors j'imagine même pas le reste du domaine de plus, tout les couloirs se ressemble, s'en est agaçant.
Je décidais de continuer mon chemin, lorsque j'arrivais finalement à un croisement. Décidant de suivre mon instinct, je pris à gauche puis ensuite à droite.
Le même couloir avec des dizaines de portes semblable au couloir que je venais de quitter, se présenta à nouveau devant moi. Mais contrairement aux autres couloirs, l'une des portes de ce dernier était ouverte.
Je me mordis la lèvre, en fixant la porte. Je sais que je ne devrais pas, mais j'en ai envie... pensais-je. Mais, jouer les fouineuses alors qu'on m'offre un boulot...c'est limite. Rhoo et puis tant pis, cédant à la curiosité je m'avançais.
Un pas après l'autre, je m'approchais prudemment de la porte entre-ouverte qui attisait ma curiosité. Une fois devant, je posais ma main sur la poignée soudain hésitante. Je secouais la tête et exerçais une légère pression de ma main pour ouvrir la porte.
Une robe d'un bleu électrique envoûtant, était entreposé au milieu d'une pièce qui semblait être un atelier de couture. Quatre tables en bois surplombé de machine à coudre blanche, encadraient la robe parsemé de perle blanche. Contrairement au couloir sombre de la maison, cet atelier était complètement immaculée, du sol au plafond, en passant par les rideaux de la fenêtre ouverte, laissant un léger courant d'air entrer, au table de couture.
Mon regard, revînt presque machinalement vers la jolie robe bleu, qui m'avait tapé dans l'œil dès que je l'ai aperçu. M'approchant doucement, de la petite merveille de haute couture, je ne pus m'empêcher de m'imaginer à quoi ressemblerait cet robe sur moi. Elle ne m'irait sûrement pas, de plus je ne suis pas du genre à porter ce genre de robe, moi c'est plutôt la formule tjb (T-shirt, jean, basket), c'est plus le genre d'Alice ce type de robe habillé. Je caressais doucement le tissu du bout des doigts, comme-ci la robe étaient fragiles et qu'elle allait se briser. Cette dernière était douce sous mes doigts à la manière de plume douce et soyeuse. J'éloignais rapidement ma main lorsqu'une nouvelle personne entra dans la pièce.
«-Que faites-vous ici ? »S'exclama une voix dans mon dos.
Surprise, je me retournais vivement et ramenais mon bras à moi. Je restais sans voix face à un homme au cheveux blond presque chatain qui se tenait devant la porte les bras croisé. Il portait la même tenue noir et blanche que l'élégant majordome du nom de Damien que j'avais rencontré plus tôt. Dans ses magnifiques yeux bleu on pouvait y lire de la colère, colère qui disparu rapidement quelques instants après qu'il est aperçu mon visage. Entre nous, ce mec était beau à tomber parterre et j'étais littéralement en train de lui baver dessus.
«-Que faites-vous ici ?» Redemanda-t-il plus calmement.
Reprenant mes esprits, j'enroulais une de mes mèches noirs autour de mon doigt ce que je fais habituellement quand je stresse et bredouillais milles excuses tout en tentant d'expliquer ma situation, ce qui eu pour effet de l'adoucir vu le sourire qu'il avait au visage.
«-Donc en gros tu t'es perdues ? Résuma-t-il tout en grattant sa légère barbe de trois jour qui soit dit en passant le rendait encore plus mignon.
Je ne sais, pas comment il à fait pour me comprendre, mais peut importe, je suis complètement perdu et c'est la seul personne connaissant les lieux et capable de me guider qui se trouvait dans le coins donc...
-Je... En fait, je cherchais le salon que Cassandre m'avait indiqué, mais il est clair à présent que ce n'est pas ici.
-Oui, mais tu n'es pas vraiment à blâmer, Cassy s'emmêle souvent les pinceaux quand il s'agit d'indiquer un chemin, que t'as telle dis exactement ?
Le surnom qu'il venait d'employer me laissa penser que lui et Cassandre devaient sûrement proche, mais étrangement cela me mettait mal à l'aise.
-En fait j'ai comme qui dirait oublié ce que Cassandre m'avait indiqué, révélais-je en baissant la tête honteuse.
Il parut d'abord surpris avant de rire d'un rire franc.
-Allez viens, je vais te montrer le chemin »
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