Chapitre 1: La soubrette
Debout devant la porte d'un bar j'attendais, que mon employeur m'apporte mon chèque du mois, pour le travail de serveuse que j'avais effectué chez lui depuis maintenant un mois, j'avais réussi à trouver se petit boulot quelque jours à peine après l'hospitalisation de ma mère. La porte de la brasserie s'ouvrit finalement sur un homme gras portant un débardeur blanc qui moulait chacun de ses bourrelets d'une manière absolument... Délicieuse (notez ici l'ironie) il essuya son front ruisselant de sueur à l'aide d'un torchon portant des tâches aux origines douteuses. Il me tendit un petit morceau de papier que je pris avidement. Lorsque je vis les chiffres écrit sur l'encadrement prévu, j'ouvris de grands yeux outrée. Ce gros porc essayait de me rouler.
«-Hey ! C'était pas ce qui était convenu Barry on avait dit Mille deux-cents, il manque quatre-cents balles à ton chèque m'écriais-je hystérique.
-Vraiment ? Pourtant je me souviens d'avoir dis neuf-cents, contra-le barman en grattant sa barbe de trois jours sur ses joues de hamster.
-N'essais pas de m'arnaquer d'accord, j'ai travaillé pour cette argent alors donne moi mon dû, continuais-je tendis que ce sale cafard matait une jeune femme à la jupe un peu trop courte qui passait par-là qu'elle pervers ! Il lui servis son sourire aux dents jaunis lorsqu'il se décala pour la laisser entrer dans le bar en profitant pour loucher sur son décolletée qui descendait jusqu'à son nombril. Elle lui rendit son sourire avant de pénétrer dans la brasserie. Sérieusement ? !
-Écoute Gabrielle, si t'es pas contente de mon chèque je peux tout aussi bien le reprendre. Je suis sûr que tu trouveras un autre moyen de gagner de l'argent» lâcha-t-il en m'arrachant mon billet des mains tout en me détaillant de la tête au pied de ses yeux de fouine perverse. Je resserrais mon bras à l'aide ma main droite pour m'empêcher de le frapper. 'Tain !
Capitulant je lui pris ma seul chance de survit des mains avant de m'en aller. Au moins je pourrais payer le loyer ce mois-ci.
Une petite sonnerie familière en provenance de ma poche me fît perdre le fil de mes pensées. En apercevant le nom qu'affichait l'écran tactile, je souris avant de décrocher.
"-Hey salut ma belle ! Entendis-je crier à l'autre bout du fil.
Je souris.
-Salut Aly alors comment se passe ton boulot d'assistant-photographe ?
-Plutôt pas mal, Chris me laisse prendre les rennes pendant certains shooting. C'est vraiment sympa.
-Pourquoi fallait-il que tu partes jusqu'en Grèce pour ce travail ? Tu me manques ! Gémis-je en reprenant ma route sur les trottoirs de Paris. Des coups de klaxon, le vrombissement des moteurs, les vendeurs qui braillent dans la rues et des gens à l'allure plus que douteuse, rien de plus normal en somme. Le soleil n'était pas aux rendez-vous aujourd'hui, ce dernier c'était planqué comme un lâche derrière de lourd nuage gris qui commençaient à crachoter de fine goutte d'eau sur les passants et malheureusement pour moi, je n'avais pas pensé à prendre un parapluie.
-Je sais, mais j'étais obligé désolé Gabe. Mais changeons de sujet et dis moi plutôt comment va ta mère ? Poursuivit-elle.
-Bah tu sais toujours de le même état. Sa jambe et son bras se rétablisse plus ou moins mais elle est toujours dans le coma, répondis-je en baissant la voix la mine sombre. Mais tu sais pas la meilleur Barry m'a..."
Mon regard s'aventura sur le trottoir avant qu'il ne s'arrête brusquement. Sur le trottoir d'en face, une femme portant une étrange robe noir à frou-frou blanc et noir tentait de traverser la rue les bras chargés de paquet en tout genre qui cachait la vu. Plusieurs coups de klaxon retentirent, faisant tourner la tête vers la provenance du bruit. Une voitures noirs fonçait à tout allure sur la jeune fille à la robe excentrique. Cette scène...une personne se faisant renverser, des cris, des larmes...du sang, elle ne devait pas se reproduire encore une fois, cette fois ci, il fallait que j'agisse. Prenant mon courage à deux mains, je traversais la route comme une furie et plaquais la jeune femme au sol. Ses nombreuses course s'écrasèrent parterre avec mon téléphone, tandis que j'entendais la voiture noir passer derrière moi sans s'arrêter. Il s'en était fallu de peut. Tournant ma tête de droite à gauche, je m'attendais à ce qu'un passant demande au moins si l'on ne c'était pas blessé, mais non, les parisiens s'en tape comme de leur première dent de lait.
-Est-ce que ça va ? Demandais-je précipitamment à fille au long cheveux noir.
-O-oui...enfin je crois... Tant que mes courses ne sont pas écrasés tout va bien, me répondit cet dernière tout en ramassant vivement les paquets éparpillés parterre comme-ci ils étaient plus précieux que sa propre vie.
-Hey, tu sais que le plus important c'est que tu ne sois pas blessé hein ? Ces paquets ne sont pas si important que ça ?
-Oh que si Monsieur ma fait une liste spécial d'aliment rare pour son retour, monsieur voudrait essayer une...attendez une seconde je ne devrais pas vous raconter tous ça, Monsieur s'énerverait en plus il m'a fait promettre de garder le secret et voilà maintenant que je le révèle à une inconnue. Non, mais franchement si il me voyait il...
J'avais décroché à la minute ou elle avait commencé à parler de son employeur et de ses aliments bizarre cette fille barré parle beaucoup trop à mon goût. Je cherchais mon téléphone du regard et finis par le trouvé sous une voiture écran contre terre. Pourvus qu'il ne soit pas cassé priais-je tout en le retournant. Alléluia, l'écran était intacte, mais il affichait qu'Aly était toujours à l'autre bout du fils.
"-Allô ?
-Aaah enfin tu réponds mais qu'est-ce qu'il c'est passé à la fin ? Hurla presque la blonde dans mon oreille .
-Je...Non, c'est rien disons juste que j'ai aidé quelqu'un.
-D'accors...sinon tu t'appretais à me dire quoi tout à l'heure à propos de Barry, il ne t'as pas viré j'espère parce que sinon il va m'entendre.
-Ce n'est pas vraiment ce qu'il c'est passé mais c'est tout comme, ton oncle m'a taxé quatre-cents euro, et comme mon contrat ce terminait aujourd'hui pour le moment je n'ai plus de travail.
Alice grogna à l'entente du mot oncle, bien qu'il ce soit marié à sa tante depuis maintenant deux ans elle ne le considère pas comme un membre de sa famille.
-Ce p'tit ******** ******** ***** ******** ****
#Pour votre équilibre psychologique j'ai préféré censuré les paroles d'Aly jugé beaucoup trop violente.#
- Ne t'en fais pas pour sa je trouverais bien quelque chose tentais-je à fin de la rassurer.
-Alors tu cherches un travail c'est ça ? m'interpella la jeune femme aux yeux légèrement bridé que je venais de sauver.
Je me retournais vers elle et la vis me toiser de la tête au pieds.
-Attend Aly ne quitte pas, posant ma main sur le micro de mon téléphone, j'invitais la jolie asiatique à poursuivre.
-Eh bien il se pourrait que j'ai ce qu'il te faut, affirma-t-elle en rangeant ses courses dans le coffre une voiture noir luxueuse. Ça te dirait de travailler pour la famille Lefèvre ?
Lorsqu'elle prononça se nom, je restais bouche bée tandis que ma meilleur amie hurlait de joie malgré le fait que j'ai bouché le micro elle avait tout entendu.
Mais..ça ne peut pas être cette famille la pas vrai ?
-Whaaaaaa accepte ! Accepteeeeeeeuh ! Se mit à crier Aly folle de joie.
- C'est pas...impossible... Murmurais-je perdu.
-Si c'est bien eux, la riches et célèbres famille de parfumier et prêt-à-porter Lefèvre, comfirma la jeune femme déguisé en lolita. Fait un choix rapidement, car cette opportunité n'est pas offerte à tout le monde.
J'hochais la tête, vigoureusement bien sûr que ce n'était pas offert à tout le monde !
-Alors acceptes-tu mon offre ? Termina-t-elle en ouvrant en grand la portière de la voiture noir. »
Une nouvelle vie s'offre à moi est-ce que je tente le coup ?
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