Chapitre 11

Je la serra fort et lui demanda:

- Qu'est ce que tu fait là? Ont est ou?

- Ho! Je sais pas, je me suis réveilliez ici il y a 5 mois, tous les jours ont m'apporte une personne et ont me dit quoi faire.

Ha, c'est pour ça qu'il m'a dit bonne chance mais...

- Il ne répond pas aux questions?

- Non, alors j'obéis, de toute façon ça m'amuse.

- Ils te font faire quoi, c'est bizarre quand même. je lui dit.

Elle me regarda et claqua des doigt, un lustre noir que je n'avais pas vu s'alluma, le temps que je retrouve ma vue elle dit:

- Fait gaffe c'est pas beaux à voir mais bon.

Je regarda et écarquilla les yeux:

- Ho mon dieu.

Au plafond, des gens était pendu par le tête, deux tas d'humains qui semblais torturés. Elle m'expliqua:

- Tous les jours ils m'emmenaient un humain, me donnait des instructions comme le mutiler, le brûlé, le frapper. Ils me disaient les infos avant qu'il arrive car ils voulaient que je disent mon poème dans l'ombre comme pour toi. Au final, je dois les pendre au plafond après les avoir fait souffrir. C'est amusant mais cruelle. Ces pauvres gens n'ont rien demandé et me sont donné, j'ai même du tuer une fille de mon âge et violé un gars.

- Mon dieu, mais tu était obligé, pourquoi, ils t'ont menacé?!

- Oui. Ils ont dit qu'ils tuerais mon frère.

Son ton prit un teneur triste sur la fin, son frère n'a que 7 ans ce qui fait de lui une cible parfaite vu qu'il ne sais pas contrôler ses pouvoirs.

- Que t'ont dit pour moi? je demanda.

Elle n'eut pas le temps de répondre que la porte s'ouvrit, ma cousine ferma les lumières d'un seul coup, j'observe dans l'ombre, un humain entra, cela signifiais qu'ils savaient qui j'étais. Mélodie récita son poème et sortit, la personne étais une femme, elle hurla en voyant ses yeux rouge sang.

- Les....morts! Vous...n'avez pas le droit....de faire ça!

- Croyez moi, madame, j'en suis désolé, je suis obligé pour mon frère.

Le visage de la femme s'assombrit:

- Vous pouvez vous sauvez vous même bande d'égoïste, vous ne comprenez pas les humains, vous ne trouvez pas la vie joyeuse, la mort vie en vous!

Elle aurait du se taire, celle là, c'était la phrase de trop, Mélodie serra les poing et sa magie rouge et noir illumina ses mains, elle serra encore son poing droit, la femme attrapa son ventre en hurlant de douleur. Les yeux rouge de ma cousine était rouge sang et régnait de colère, elle dit:

- Alors ça fait mal? Je peut vous faire mal sans bouger juste en serrant les points et en pensant à l'organe que je veut faire souffrir!

- Vous...vous êtes des monstres.

Elle serra son autre points, les jambes de la femme cassèrent, elle s'écrasa par terre et soudain elle hurla en tenant son cœur puis reposa sa tête par terre, elle était morte.

Je m'approcha pendant qu'elle fixait la femme au plafond. Je voulut parler mais elle m'interrompis:

- Ils m'ont demandé de ne rien te faire et de continuer sinon  tous ce qui nous tiens à cœur, elle tueras.

- Qui ça elle?

- Ta mère...